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Pierrelaye

Pierrelaye est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Pierrelaye
Pierrelaye
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité CA Val Parisis
Maire
Mandat
Michel Vallade (PCF)
2020-2026
Code postal 95220 et 95480
Code commune 95488
Démographie
Gentilé Pierrelaysien, Pierrelaysienne
Population
municipale
9 734 hab. (2020 en augmentation de 19,36 % par rapport à 2014)
Densité 1 057 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 21″ nord, 2° 09′ 01″ est
Altitude 39 m
Min. 35 m
Max. 78 m
Superficie 9,21 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Taverny
Législatives 3e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Pierrelaye
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Pierrelaye
Liens
Site web https://www.ville-pierrelaye.fr/

    Ses habitants s'appellent les Pierrelaysiens.

    Géographie

    Description

    Pierrelaye est une commune périurbaine située à 23 km au nord-ouest de Paris, à km au sud-est de Pontoise.

    Hydrologie

    Le ru de Liesse prend sa source à Pierrelaye, qu'il traverse.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe de Saint-Ouen-l'Aumône, Méry-sur-Oise, Bessancourt, Beauchamp, Montigny-lès-Cormeilles et Herblay-sur-Seine.

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Urbanisme

    Le cœur de l'ancien village se concentre au sud de la chaussée Jules-César, dans l'actuelle rue Victor-Hugo située entre la rue Léon-Pelouse et la place de la Croix.

    Au nord, le château du XVIIIe siècle donne sur un vaste parc[1].

    Typologie

    Pierrelaye est une commune urbaine car elle fait partie des localités denses ou de densité intermédiaire selon la grille de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    La commune appartient à l'aire d'attraction de Paris, qui regroupe 1 929 communes[5] - [6], et à son pôle principal[Note 2].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées [apud] petram latam en 1125 (Saint-Denis) et Petra lata en 1205[7] et française Pierre-laie en 1754[8].

    En langue d'oïl, le syntagme composé des termes pierre et lée (mot issu du latin lata qui signifie « large ») désigne habituellement un dolmen[7].

    Homonymie avec Pierrelaye (SAÔNE-ET-LOIRE, Oyé, Petra Lata 1206)[9], Pierrelaye (EURE, Le Neubourg), etc. et les nombreux Peyrelade (Peirelado / Peirelada) de langue d'oc. cf. château de Peyrelade (Aveyron).

    Histoire

    En 1901, les travaux de creusement du drain de Liesse exhument les vestiges d'une nécropole gauloise de la culture de La Tène. Les tombes contiennent, entre autres, des parures en bronze : torques, colliers, bracelets, fibules.

    En 2002, des fouilles mettent au jour des éléments datables de la fin de la Tène[1].

    Le village s'implante sur la voie romaine dite chaussée Jules César, qui relie Lutèce à la Manche. Le long de cette voie, on trouve des monnaies romaines en 1879 et de grandes bornes gravées affectant la forme d'obélisques en 1882[1].

    Aucune trace de l'antiquité tardive ni de l'époque carolingienne n'a été découverte[1].

    À l'époque féodale, le fief appartient aux religieux de l'abbaye de Saint-Denis. Dès 1125, Mathieu le Bel rend hommage à l'abbaye. Au XIIIe siècle, plusieurs seigneurs portant le nom de Petra lata sont vassaux de Saint-Denis ou de la Maison de Montmorency[1].

    L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est construite au XIIIe siècle.

    Composé exclusivement de plusieurs variétés de sables, le sol ne produit que du seigle et du bouleau. Les habitants se spécialisent dans la fabrication de balais. Bien qu'une grande qu'une partie du territoire soit stérile, quelques vignes croissent à la limite de Saint-Ouen-l'Aumône. En 1750, l'abbé Lebeuf qualifie les terres de « pauvres et couvertes de bois »[1].

    Au XVIIe siècle, l'ouverture de la route royale de Paris à Rouen, future RN 14, entraîne la création d'une petite agglomération au lieudit la Patte d'Oie d'Herblay. Pierrelaye se trouve à l'écart de cette voie et le demeurera pendant deux siècles. Jusqu'aux grands défrichements du XVIIIe siècle, son territoire reste en grande partie boisé. On pratique l’élevage de moutons. Sous Louis XIV, la paroisse compte 320 habitants. En 1733, elle recrute son premier maître d’école[10]. Un moulin à vent se dresse près de l'angle de la rue d'Herblay et de l'avenue du Général-Leclerc[1].

    Essentiellement consacrée à la culture maraîchère, la commune connaît un désenclavement au XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer qui relie Paris à la frontière belge. La ligne est achevée en 1846 mais la gare de Pierrelaye n'est ouverte qu’en 1881 : certains habitants assurant les transports redoutent la concurrence de ce nouveau moyen de locomotion et, pour éviter de perdre leur clientèle, arrachent de nuit les traverses posées la veille…

    En 1848, la rue Georges-Boucher relie le bourg à la route royale. L'ouverture de la gare favorise le développement agricole, les cultivateurs pouvant désormais expédier rapidement leur production vers Paris[11].

    L'hôtel-de-ville est construit en 1901, le groupe scolaire Jean-Nicolas Leveau en 1934[12].

    En 1960, la SA HLM Le Foyer pour Tous réalise un programme de 140 logements sociaux répartis place de la Gare et dans le quartier des Petits-Bois. Suivent, en 1972, la construction de 380 logements au Clos Saint Pierre et le lotissement en pavillons de terrains non irrigables. L'urbanisation se poursuit dans les années 1980, avec des équipements comme la protection maternelle et infantile (PMI), de nouvelles écoles et une salle polyvalente[12].

    Le schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme (SDAU) de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise limite le développement de Pierrelaye, considéré comme un réservoir de terres agricoles et d’espaces verts[12].

    Pendant un siècle, la plaine de Pierrelaye-Bessancourt où se concentrent les cultures maraîchères est amendée par épandage des eaux usées de Paris puis du SIAAP. En 2018, le site est déclaré « multi-pollué »[13] - [14]. Une forêt de 1 350 hectares plantée d'un million d'arbres, s'étendant sur les communes voisines, devrait être créée d'ici à 2050[15].

    À compter des années 1980, une vaste zone d'activité commerciale se crée à la Patte d'Oie d'Herblay le long de l'ex-RN 14 (actuelle RD 14), en partie sur le territoire de la commune. L'urbanisation se poursuit en centre-ville et le long de la route de Bessancourt, accompagnée de nouveaux équipements collectifs (crèche et halte-garderie ; écoles ; bibliothèque ; centre de loisirs ; gymnase ; parc des sports ; tennis couverts ; salles municipales ; extension des services techniques...)[12].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [16], la commune fait partie du département de Seine-et-Oise. Depuis la réorganisation de la région parisienne en 1964, elle appartient au Val-d'Oise et, après un transfert administratif effectif au , à l'arrondissement de Pontoise.

    Pour l'élection des députés, elle est rattachée à la troisième circonscription du Val-d'Oise.

    De 1806 à 1967, elle fait partie du canton de Pontoise. À la création du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Ouen-l'Aumône puis, en 1976, à celui de Beauchamp[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, elle intègre le canton de Taverny.

    Elle ressort du tribunal d'instance de Montmorency, du tribunal judiciaire et du tribunal de commerce de Pontoise[18] - [19].

    Intercommunalité

    Pierrelaye a été membre de la communauté d'agglomération du Parisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2005 auquel elle avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante en seconde couronne afin de pouvoir dialoguier avec la métropole du Grand Paris créée par cette même loi, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Val Parisis.

    En 2014, la communauté d'agglomération Val Parisis et les communes de Méry-sur-Oise et de Saint-Ouen-l'Aumône s'associent, au sein du Syndicat mixte pour l'aménagement de la plaine de Pierrelaye - Bessancourt, afin de créer une forêt plantée de variétés particulières d'arbres (hêtre, chêne…) capables d'absorber le dioxyde de carbone de la plaine maraîchère polluée. À raison de 100 hectares par an, le projet pourrait s'achever en 2050[15].

    Tendances politiques

    Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Michel Vallade remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 523 voix (59,09 %, 24 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement[20] par :

    • Éric Bosc (UMP, 821 voix, 31,85 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
    • Jocelyne Binet (DVD, 233 voix, 9,04 %, 1 conseiller municipal élu).

    Lors de ce scrutin, 45,49 % des électeurs se sont abstenus.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste d'union de la gauche menée par le maire sortant Michel Vallade remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 298 voix (64,9 %, 24 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), battant très largement la liste DVD menée par Éric Bosc (LR - Union de la droite[21], 702 voix, 35,10 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 61,02 % des électeurs se sont abstenus[22] - [23].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1792 Jean François Nicolas Magon du Boisgarin[Note 3] - [Note 4]
    1792 1793 Ambroise Macaire
    1793 1794 Jean-Louis Calle
    1794 1795 Ambroise Macaire
    1795 1796 Jacques Butte
    1796 1797 Jean-Charles Cousin
    1797 1802 Claude Fleuret
    1802 1808 Guillaume de Cambefort
    1808 1816 Clément Leveau
    1816 1821 Guillaume de Cambefort
    1821 1823 M. Melon de Pradou
    1823 1829 M. de Cambefort
    1829 1830 Hippolyte Gas
    1830 1834 Jean-Anne Butte
    1834 1837 François Martel
    1837 1838 M. Osselet
    1838 1845 Jean Etienne Guillard
    1845 1850 Napoléon Butte
    1850 1860 Pierre Auguste Guillard
    1860 1868 Jean Legrand
    1868 1876 Casimir Maiffredy
    1876 1877 Henri Boucher
    1877 1884 Félix Leveau
    1884 Jean Nicolas Leveau[Note 5]
    Les données manquantes sont à compléter.
    1904 1913 Ernest Butte[Note 6]
    1913 1915 Georges Boucher[Note 6]
    1915 1925 Gustave Leveau Président du conseil municipal jusqu'en 1919
    1925 1931 Eugène Bourguignon
    1931 1937 Jean Nicolas Victor Leveau
    1937 1944 Émile Courteville
    1944 mars 1965 Aimé Viennet[Note 7]
    mars 1965 mars 1977 Stéphane Legros[Note 7] RI
    mars 1977[25] En cours
    (au 29 juin 2021)
    Michel Vallade PCF Reporteur photo-offset retraité
    Vice-président de la CA du Parisis (2014 → 2015)
    Vice-président de la CA Val Parisis (2015 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26] - [27] - [28] - [29] - [30]

    Équipements et services publics

    Transports

    Traversé par l'ancienne route nationale 14 devenue RD 14, Pierrelaye est desservi par l'autoroute A 15.

    Sa gare se trouve sur les lignes H du Transilien et C du RER.

    Enseignement

    En 2018, le groupe scolaire Louise-Michel comportant 11 classes ouvre pour faire face à la croissance du quartier du Bocquet[31] - [32].

    À la rentrée scolaire 2019-2020, une extension du collège du Petit-Bois permet d'accueillir 450 Ã©lèves du second degré[33].

    Santé

    En 2018, la commune accueille quatre médecins dont trois appprochent de la retraite. La municipalité sollicite de l'Agence régionale de santé (ARS) un classement en zone prioritaire qui favoriserait l'installation de professionnels de santé. Mais il est refusé et les élus redoutent un désert médical[34] - [35].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2020, la commune comptait 9 734 habitants[Note 8], en augmentation de 19,36 % par rapport à 2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    637652714773890896924947946
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0009669759599871 0291 1431 1101 178
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4361 7111 9152 1682 2742 6042 7982 7623 047
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    3 8904 6065 5865 5486 2516 9237 2247 3227 920
    2014 2019 2020 - - - - - -
    8 1559 4239 734------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Ouvrage collectif dirigé par Monique Wabont, Franck Abert et Didier Vermeersch, Carte archéologique de la Gaule : le Val-d‘Oise, 95, Paris, Maison des sciences de l'homme, 2006, p. 265.
    • Ouvrage collectif, Le patrimoine des communes du Val d'Oise, Flohic Éditions, 1999, volume 1, p. 377-383 (collection Le Patrimoine des communes de France).
    • Béatrice Cabedoce, Eaux usées, usages de l'eau : épandage et maraîchage dans la plaine de Méry-Pierrelaye, Cergy-Pontoise, Conseil général du Val d'Oise, atelier de restitution du patrimoine ethnologique, 2002, 16 pages illustrées.
    • Luc Blanchard, Plaine en devenir : Histoire de la plaine de Pierrelaye-Bessancourt, Sèvres, Studio Graph, , 96 p. (ISBN 978-2-9560567-0-6, BNF 45482919, présentation en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Pierrelaye », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Ascendance sur « Généanet ».
    4. Acte de décès dressé à Pierrelaye le 10 avril 1793. Archives départementales du Val-d'Oise. Vues 45 et 46/153.
    5. Un groupe scolaire de la commune porte son nom.
    6. Contrairement à FranceGenWeb.org, le site municipal indique que Jean Nicolas Leveau a été maire de 1884 à 1919.
    7. Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Archéologie & histoire, doc. cit. en Liens externes.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, p. 1119..
    8. Jean Lebeuf, « Pierre-laie », in Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, t. 2, Paris, Prault Père, 1755, ré-éd. libr. Féchoz et Letuzey, 1883, p. 76-78
    9. Jean Rigault, Dictionnaire topographique de Saône-et-Loire, Paris, 2008, p. 557.
    10. « Pierrelaye : une histoire qui remonte au temps des Gaulois », Découvrir Pierrelaye, sur https://www.ville-pierrelaye.fr (consulté le ).
    11. « Pierrelaye : un essor considérable au XIXe siècle », Découvrir Pierrelaye, sur https://www.ville-pierrelaye.fr (consulté le ).
    12. « Pierrelaye : aujourd’hui, une ville en harmonie avec son passé », Découvrir Pierrelaye, sur https://www.ville-pierrelaye.fr (consulté le ).
    13. Laurence Allezy et Corentin Lesueur, « Pierrelaye-Bessancourt : la pollution au plomb de la plaine atteint des niveaux « inacceptables » : L’étude sanitaire menée ces dernières années sur l’état des sols confirme la pollution aux métaux lourds sur différents sites et les risques pour la santé. Le dépistage systématique du saturnisme infantile n’a pourtant pas été décidé », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Depuis l'arrêté préfectoral de 1999, interdisant la mise sur le marché des légumes produits sur la plaine, les particuliers qui possèdent des jardins poursuivent, eux, la culture et consomment leur production. Il y a aussi la présence des gens du voyage, très souvent installés sur des terrains de la plaine. Aujourd'hui, les résultats de l'étude, qui a porté sur les teneurs en plomb mais aussi sur le mercure, le cadmium, le cuivre, ou encore le zinc, sont sans ambiguïté. « La présence de plomb dans les sols superficiels a été mise en évidence et ce à des teneurs supérieures aux valeurs repères », dit le rapport ».
    14. Marie Persidat, « Pollution de la plaine de Pierrelaye-Bessancourt : «on avait raison de s’inquiéter » : Dominique Vedy de l’association Val-d’Oise Environnement réagit aux conclusions de l’étude sanitaire menée par l’ARS », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    15. Lamia Barbot, « Bientôt une nouvelle forêt dans le Val-d'Oise ? : Des élus du département réfléchissent depuis plus de 15 ans à la création d'une forêt d'un million d'arbres sur la plaine de Pierrelaye-Bessancourt », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La plaine, qui était au xviiie siècle une forêt puis une terre maraîchère, s'est retrouvée polluée de métaux lourds avec l'épandage des eaux usées de la ville de Paris. Depuis, seuls 1 000 hectares sont encore en culture. Du blé, du colza et du maïs survivent par-ci par-là à destination de l'alimentation animalière ».
    16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    19. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    20. Résultats officiels pour la commune Pierrelaye
    21. Daniel Chollet, « Pierrelaye : Éric Bosc lance la campagne de la droite pour les municipales : Le conseiller municipal d'opposition (Les Républicains) part en campagne pour 2020. L'ossature de son équipe est constituée », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Val-d'Oise (95) - Pierrelaye », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Monistère de l'intérieur (consulté le ).
    23. Daniel Chollet, « Municipales à Pierrelaye : Michel Vallade gagne haut la main : Michel Vallade, maire (Pc) sortant depuis 1977, l'emporte avec 64,90% des voix contre Eric Bosc (Lr, liste d'union de la droite), largement battu (35,10%) », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Six ans après leur première confrontation, le rapport de forces n’a guère changé. Il s’est même accentué en faveur de Michel Vallade. Vainqueur avec 59,09 % il y a six ans, il améliore son résultat de presque six points ».
    24. « Les maires de Pierrelaye », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    25. Alexandre Boucher, « Pierrelaye : maire depuis 1977, Michel Vallade ne lâche pas son fauteuil : A 76 ans, le maire communiste brigue un huitième mandat, toujours avec « le même enthousiasme ». Si certains habitants s’interrogent sur le renouvellement politique, peu sont critiques sur le bilan », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. Gérard Le Puill, « Quinze ans de bonne gestion : La démission des quatre élus de droite six mois après celle de plusieurs conseillers socialistes oblige les électeurs à retourner aux urnes. Michel Vallade, maire depuis 1977, conduit une liste d'union sur laquelle figurent un ancien adjoint », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
    27. B.S., « Michel Vallade vise un cinquième mandat à Pierrelaye », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    28. Alexandre Boucher, « Municipales : à Pierrelaye, deux listes veulent renverser Michel Vallade », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    29. Daniel Chollet, « Municipales 2020. Pierrelaye : maire depuis 42 ans, Michel Vallade (Pcf) veut rempiler : Il sera à la tête d'une liste de rassemblement de gauche portant sur des "valeurs". L'élu évoque parmi les projets l'évolution du quartier de la gare », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À la tête d’une liste de rassemblement à gauche portant sur « des valeurs », aux côtés d’élus Pcf, Ps, Insoumis et de Jacqueline Binet (candidate contre Michel Vallade en 2014), le maire repartira à la bataille en mars 2020, déterminé à poursuivre son travail ».
    30. « Conseil municipal du 26 mai 2020 - compte rendu » [PDF], Les délibérations, sur https://www.ville-pierrelaye.fr (consulté le ).
    31. Daniel Chollet, « Retard à l'allumage pour l'école Louise-Michel à Pierrelaye : Le groupe scolaire devait être livré le 3 septembre, mais les entreprises ont pris du retard et l'ouverture ne se fera que le 5 novembre, après la Toussain », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. Daniel Chollet, « Le nouveau groupe scolaire inauguré à Pierrelaye dans un contexte particulier : Les élus ont inauguré novembre la nouvelle école Louise-Michel. Une ouverture dans un contexte marqué par la divulgation d'une enquête sur une pollution au plomb qui fait débat », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le coût de l’investissement est de 11 millions d’euros pour onze classes et de nombreux locaux annexes : salles informatique et de psychomotricité, mini-accueil de loisirs matin et soir, ainsi qu’une cuisine centrale qui confectionnera 1 000 repas par jour pour tous les écoliers de Pierrelaye et qui remplacera l’équipement installé à l’école Pierre-Curie. « Une grosse partie de l’école a été financée par le promoteur dans le cadre d’un projet urbain partenarial (Pup) », précise Michel Vallade ».
    33. Yohann Le Coz, « Val-d'Oise. Le collège du Petit-Bois s’agrandit : Des travaux d’agrandissement et d’accessibilité sont menés cet été au collège pour accueillir 100 élèves supplémentaires », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. Daniel Chollet, « La ville de Pierrelaye face au risque de désert médical : https://actu.fr/ile-de-france/pierrelaye_95488/val-doise-ville-pierrelaye-face-risque-desert-medical_19571755.html », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (Face au risque de pénurie (il ne reste plus que 4 médecins et 3 ont l'âge à la retraite en 2019), la Ville accorde une aide financière sur 3 ans à l'installation d'un docteur, consulté le ).
    35. Daniel Chollet, « Santé : exclue de la cartographie médicale de l'Ars, Pierrelaye ne se laisse pas faire ! : La municipalité de Pierrelaye a lancé une pétition, dénonçant une "discrimination de territoire". L'Agence régionale de santé d'Île-de-France rééxaminera la situation en 2019 », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. M. et Mme Boulard et Valérie Jacquemin, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Pierrelaye », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 69-74 (ISBN 2-84234-056-6).
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