MĂ©ry-sur-Oise
Méry-sur-Oise est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.
MĂ©ry-sur-Oise | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Pontoise | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts | ||||
Maire Mandat |
Pierre-Édouard Eon 2020-2026 |
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Code postal | 95540 | ||||
Code commune | 95394 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Mérysiens, Mérysiennes | ||||
Population municipale |
9 983 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 894 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 49° 03′ 42″ nord, 2° 11′ 13″ est | ||||
Altitude | 38 m Min. 22 m Max. 96 m |
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Superficie | 11,17 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pĂ´le principal) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Ouen-l'AumĂ´ne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.merysuroise.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Mérysiens.
GĂ©ographie
Localisation
Méry-sur-Oise est située à 8 km au nord-est de Pontoise et à 7 km au sud de L'Isle-Adam.
Carte de la commune. Occupation des sols
hydrographie
- Rivière l'Oise en bordure nord de la commune.
- Ru du Montubois en bordure nord-est de la commune (source dans la forĂŞt de Montmorency).
Hameaux
- La Bonneville
- Vaux
- La Haute-Borne
- Sognolles
Lieux-dits
- L'ĂŽle de Vaux
- Montjaret
- Montarcy
- La butte de Montarcy
- La butte Ă Mondion
Transports en commun
La ville est desservie par la gare de Méry-sur-Oise sur la ligne Paris - Persan-Beaumont ( ).
Urbanisme
Typologie
Méry-sur-Oise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7] - [8].
Toponymie
Les formes anciennes de MĂ©ry-sur-Oise sont : Madriacus 862[9], Mairi v. 1205, Meriacum 1214, Mery 1358[10] - [11] - [12].
Pour M.-Th. Morlet, la juste étymologie de Madriacus ne provient pas de Materius, « matériaux, bois, madrier », erreur ancienne régulièrement ressortie, mais plus vraisemblablement d'un dérivé de Mater, -tris, « Mère »[10] ; dans le même sens, E. Negre fait dériver de Matrius, forme issue de Matres, « les Mères »[13]. Ce qui correspond parfaitement avec le site géographique de Méry au bord d'une zone riche en eaux (ruisseaux, mares...) dont la déesse mère est tutélaire au cœur de l'antique territoire de la Culture Seine-Oise-Marne remontant à - 3000 av. J.-C.
Histoire
La seigneurie de Méry, propriété d'Henry de Milly, fut vendue en 1375 à Pierre d'Orgemont (v. 1315/1320-1389), conseiller de Charles V et chancelier de France, acquéreur de Chantilly en 1386.
Elle fut ensuite vendue en 1597 par la descendante des Orgemont, Guillemette, et son mari François II Jouvenel des Ursins marquis de Traînel (v. 1569-1650), au beau-frère de ce dernier, Antoine du Pescher de Saint-Chamans. En 1696, le comté de Méry fut érigé en marquisat au profit de François II de Saint-Chamans-Méry (1658-1714), arrière-petit-neveu d'Antoine.
La fille de François de Saint-Chamans épousa en 1720 le financier Samuel Bernard (1651-1739). Ce dernier, après avoir racheté le domaine en 1728, l'offrit à la fille issue de cette union, Bonne-Félicité Bernard (1721-1784), qui épousa le président Mathieu-François Molé (1705-1793), président à mortier au Parlement de Paris, futur Premier président. Méry entra alors dans la famille Molé et passa ensuite à leurs descendants Lamoignon (cf. l'article Chrétien-François), et à des parents de ces derniers, les Ségur-Lamoignon (descendants d'Eugène et de la comtesse de Ségur).
Charles V, Charles VII, Henri IV et Gabrielle d'Estrées, Louis XIV, Buffon, Saint-Just et Charles X y ont séjourné.
Le baron Haussmann souhaitait fermer tous les cimetières parisiens intra muros dans un but d'hygiène et édifier en contrepartie une immense nécropole à Méry qui accueillerait tous les défunts de la capitale (il pensait que l'agglomération parisienne n'atteindrait jamais cette commune). Une voie ferrée dédiée aurait relié Paris à Méry. L'opposition de l'opinion publique entraîna l'échec de ce projet et de celui du préfet Ferdinand Duval qui l'avait repris après la chute du Second Empire[14]. Toutefois, sur les terres acquises par la ville de Paris pour ce premier projet, fut en fait créée la ferme modèle de la Haute-Borne, très moderne pour l'époque, qui devint un laboratoire de développement du maraîchage pour toute la France.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la carrière Beslier a été aménagée en base militaire allemande comprenant une gare souterraine et un site de stockage et d'assemblage de missiles V2. En conséquence, Méry-sur-Oise a été la cible de trois missions de bombardement alliées en 1944[15]. Elle avait déjà subi un bombardement allemand le .
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
- Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de L'Isle-Adam de Seine-et-Oise, année où elle est intégrée au canton de Pontoise. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, elle rejoint en 1967 le canton de Taverny, puis, en 1985, celui de Saint-Ouen-l'Aumône|[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Ouen-l'Aumône
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des impressionnistes. Toutefois, dans le cadre de l'achèvement de la coopération intercommunale prévue par la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, cette intercommunalité disparait en 2016 et la commune intègre la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts[18] - [19] - [20].
Tendances politiques
Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste menée par le maire sortant Pierre-Édouard Éon (LR) a remporté la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 64,97 % des suffrages exprimés, devançant largement les listes menées par Jérôme Durieux (DVG, 22,55 %) et par Claudie Violette (LREM, 12,53 %), lors d'un scrutin marqué par 35,06 % d'abstention[21].
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2020, la commune comptait 9 983 habitants[Note 3], en augmentation de 8,12 % par rapport Ă 2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Méry était l'un des principaux lieux de la culture du champignon en Île-de-France, grâce à la présence de plusieurs carrières souterraines et à la relative proximité de l'hippodrome de Chantilly, qui alimente les cultures en fumier. Face à la concurrence des pays de l'Est, cette culture traditionnelle a progressivement disparu durant les années 1980. En 2007, un Mérysien a néanmoins redémarré une exploitation privilégiant les petites quantités et la qualité de la production[30], les « Champignons La Marianne »[31].
La commune compte un supermarché et son commerce de proximité est en recul constant.
Depuis septembre 2019, un marché alimentaire se tient chaque samedi matin sur la place de la mairie.
Culture locale et Patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Méry-sur-Oise Inscrit MH (1937)[32]). Le site est aussi un site naturel inscrit par arrêté du .
- Il a été édifié par les Buffé, premiers seigneurs du lieu connus, à partir des années 1220 sur un domaine appartenant précédemment à l'abbaye de Saint-Denis. Une « maison de campagne » est érigée en 1375 par Pierre d'Orgemont, conseiller du roi Charles V. Des modifications sont apportées par Claude d'Orgemont en 1583, puis celles apportées par François de Saint-Chamans donnent l'apparence que possède le château au début du XXIe siècle. Les jardins sont réaménagés à partir de 1735 selon des dessins de Buffon. Durant la Révolution, le domaine est pillé mais l'ensemble est remis en état en 1845 par l'héritière des Orgemont, la vicomtesse de Ségur-Lamoignon. Le château et son vaste parc, un temps propriété de la multinationale Vivendi, a été racheté par la municipalité en 2004. Le château accueille un hôtel de conférences et de séminaires, et le parc est ouvert à la promenade pour tous, avec toutefois des horaires d'ouverture restreints et un jour de fermeture hebdomadaire hors saison estivale[33] Les accès à certaines allées sont également munies de dispositifs anti-fauteuils roulants et anti vélos cargo.
- Elle a été reconstruite à partir de 1485 sur ordre de Charles d'Orgemont à l'emplacement d'un édifice primitif détruit durant la guerre de Cent Ans. Il n'en subsiste que le mur du chevet du XIIIe siècle ainsi que les fonts baptismaux en pierre. Le nouvel édifice a été consacré le comme l'atteste la pierre de dédicace située dans la chapelle latérale. L'église a subi plusieurs remaniements durant les siècles qui ont suivi[35].
- La chapelle Saint Jean-de-Bosco, 90 avenue Marcel-Perrin : elle se situe entre la gare et le centre-ville et est toujours utilisée par la paroisse. La maison attenante sert de presbytère et de maison paroissiale[36].
- Les anciennes écuries du château, impasse du château[35] : leur partie réhabilitée accueille des logements et l'école municipale de musique, alors que l'ancienne remise est toujours à l'état d'abandon.
- Calvaire devant l'Ă©glise.
- Monument aux morts, devant la mairie.
- L'usine des eaux traite l'eau de l'Oise afin de la rendre potable et alimente plusieurs dizaines de communes. Elle a été la première usine à expérimenter la nanofiltration[37].
- Parc du château.
- Chapelle Don Bosco.
- Calvaire de l'Ă©glise.
- Anciennes écuries du château.
- Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Bernard Dubois, réalisateur de cinéma français, est né à Méry-sur-Oise le .
- Odile Monguillon, née à Méry-sur-Oise (1930-2005), athlète internationale de demi-fond, ayant amélioré deux fois le record de France du 800 mètres.
- La comtesse de Ségur (1799-1874) a souvent séjourné chez son fils Adoplhe de Ségur-Lamoignon au château de Méry-sur-Oise[38].
- Joseph Wresinski, prêtre, fondateur du mouvement international ATD Quart Monde en 1957 et inhumé en 1988 au hameau de Vaux, 8 route de Vaux, sous la chapelle Notre-Dame-de-Tout-le-Monde, au siège du mouvement international qu'il a créé.
Patrimoine culturel
Ont été partiellement tournés au château de Méry-sur-Oise :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Chart. de Saint-Denis
- MORLET (M.-Th.) Les Noms de personne sur le territoire de (1968), t. 3, p. 136.
- NEGRE (Ernest), Toponymie générale de la France. (1990), t. 1, p. 571.
- COCHERIS (Hippolyte) Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- NEGRE (E.) Errata & Addenda. Toponymie générale de la France (1998), t.4, p, 1861.
- Philippe Ariès, Essais sur l'histoire de la mort en Occident du Moyen Âge à nos jours, Éd. du Seuil, Paris, 1977 (ISBN 2-02-004736-5).
- « Carrière Hennocque », sur Rue des lumières - histoire de carrières (consulté le ).
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Arrêté du Préfet de la région Île-de-France no 2015063-0002 du 4 mars 2015.
- « Compte-rendu sommaire du conseil communautaire du 14 octobre 2014 » [PDF], sur http://www.ccvoi.fr (consulté le ).
- « L'agglo de la Vallée de l'Oise vit ses derniers mois », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
- Thomas Hoffmann, « Municipales à Méry-sur-Oise : un second mandat pour Pierre-Édourd Éon : Le maire (Lr) sortant de Méry-sur-Oise, Pierre Édouard Éon, a été réélu dès le premier tour des élections municipales avec 64,97 % », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec 64,97% des voix, ce dernier a largement devancé ses deux adversaires Jérôme Durieux (Dvg) avec 22,55% des voix et Claudie Violette (Lrem), avec 12,53% des voix ».
- Alexandre Porcu, « A Méry-sur-Oise, la gauche peine à s’entendre … la droite part divisée : 10 000 habitants à Méry, et beaucoup de prétendants à la mairie. D’abord à gauche où MRC, EELV, PCF et PS peinent à s’entendre. La droite part aussi divisée. », VO News 95,‎ (lire en ligne).
- Eric Bureau, « A gauche aussi les candidats se bousculent », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
- « Pierre-Édouard Eon (UMP) », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
- « Edouard Eon (UMP) fait basculer la ville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
- « « Méry vit au-dessus de ses moyens » : Pierre-édouard Eon, maire UMP de Méry-sur-Oise », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Méry-sur-Oise : la culture des champignons relancée », sur VO News, (consulté le ).
- « « Champignons La Marianne », site du producteur » (consulté le ).
- « Château de Méry-sur-Oise », notice no PA00080124, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le château » et « Les horaires d'ouverture du parc » sur le site « Méry-sur-Oise (site officiel) » (consulté le ).
- « L'église Saint-Denis », notice no PA00080125, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Claude Adam, M. Murschler, M. Remondet et Mme Saghaar-Bessière, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Méry-sur-Oise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 785-787 (ISBN 2-84234-056-6).
- « Lieux de culte », sur Paroisse de Méry-sur-Oise (consulté le ).
- SEDIF - Usine de MĂ©ry.
- L'Echo Régional, supplément gratuit au N°3106 du 12 septembre 2008 - Guide du Val d'Oise 2008-2009 : Sur la trace des écrivains
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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