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Limay

Limay est une commune française des Yvelines et de la rĂ©gion ĂŽle-de-France. C'est une petite ville industrielle, situĂ© en bord de Seine, au sud du Vexin français, face Ă  Mantes-la-Jolie Ă  53 km Ă  l'ouest de Paris. La commune, qui dispose de 300 hectares classĂ©s en espaces naturels sensibles, est devenue depuis le « ville-porte » du parc naturel rĂ©gional du Vexin français.

Limay
Limay
La mairie.
Blason de Limay
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité CU Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Djamel Nedjar
2021-2026
Code postal 78520
Code commune 78335
DĂ©mographie
Gentilé Limayens
Population
municipale
17 112 hab. (2020 en augmentation de 6 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 491 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 59′ 39″ nord, 1° 44′ 12″ est
Altitude 28 m
Min. 17 m
Max. 137 m
Superficie 11,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune d'un pĂ´le secondaire)
Élections
DĂ©partementales Canton de Limay
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 8e circonscription des Yvelines
Localisation
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Limay
Liens
Site web https://www.ville-limay.fr/

    Elle participe au Concours des villes et villages fleuris et possède trois fleurs depuis 2007[1].

    Ses habitants sont appelés les Limayens.

    GĂ©ographie

    Localisation de Limay dans les Yvelines.

    Situation

    Limay, commune riveraine de la Seine, est situĂ©e sur la rive droite du fleuve, dans le nord du dĂ©partement des Yvelines, Ă  1,5 km environ au nord de Mantes-la-Jolie sous-prĂ©fecture, et Ă  43 km environ au nord-ouest de Versailles prĂ©fecture du dĂ©partement.

    Elle est limitrophe des communes de Guitrancourt au nord-est, de Porcheville à l'est et des trois communes de Guerville et Mantes-la-Ville au sud, de Mantes-la-Jolie au sud-ouest (situées sur la rive gauche du fleuve), ainsi que de Follainville-Dennemont à l'ouest et de Fontenay-Saint-Père au nord.

    Le territoire communal englobe en grande partie une île de la Seine, l'île de Limay, la partie appartenant à Mantes-la-Jolie étant appelée île aux Dames.

    Hydrographie

    La source Saint-Sauveur où, les femmes mariées désirant une grossesse[2], allaient en boire l'eau.

    Relief et géologie

    Le territoire communal forme un vaste amphithéâtre tournĂ© vers la Seine au sud, et adossĂ© au plateau de Vexin français. Il s'Ă©tage en trois niveaux, du nord au sud, un plateau en pente douce entre 130 et 115 mètres d'altitude, une partie de transition Ă  la pente plus accentuĂ©e et la basse plaine alluviale entre 20 et 30 mètres d'altitude.

    Climat

    Le climat à Limay est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[3]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.

    Urbanisme

    Typologie

    Limay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pĂ´le secondaire[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10] - [11].

    Utilisation du territoire

    Type d'occupation % Hectares
    Espace urbain construit 33 % 383,06
    Espace urbain non construit 17 % 199,18
    Espace rural 49 % 565,46

    Le territoire de la commune est fortement urbanisĂ© (33 %), avec plus de cent hectares de zones d'activitĂ©s Ă©conomiques[12], cependant près de la moitiĂ© du territoire (plus de 500 hectares) reste rural.

    L'espace habité se compose d'un noyau ancien entre l'église et la Seine et des extensions concentriques comprenant des lotissements de maisons individuelles mais également beaucoup d'immeubles collectifs. L'urbanisation récente atteint désormais le plateau (plaine des Bouleaux) le long de la RD 983.

    L'espace rural occupe surtout la partie nord et nord-ouest de la commune et se compose de terrains cultivĂ©s (grande culture cĂ©rĂ©alière) et une forte proportions de zones boisĂ©es, notamment la forĂŞt de Saint-Sauveur. 300 hectares ont Ă©tĂ© classĂ©s par la commune comme espace naturel sensible.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 6 917, alors qu'il Ă©tait de 6 325 en 2013 et de 5 995 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 91,2 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 49 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 47 % des appartements[I 2].

    En 2018, la commune compte 1 896 logements sociaux, soit 30,1 % des rĂ©sidences principales. Ce nombre Ă©tait en 2008 de 1 758 (31,1 %). La commune respecte donc largement ses obligations issues de la Loi SRU de 2000.

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Limay en 2018 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (2,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 49,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (55 % en 2013), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement Ă  Limay en 2018.
    Typologie Limay[I 1] Yvelines[I 4] France entière[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 91,2 91,1 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 2,6 9,7
    Logements vacants (en %) 8 6,3 8,2

    Voies de communication et transports

    Les communications routières sont assurées par plusieurs axes :

    • dans les sens nord-sud, la route dĂ©partementale D 983 (ancienne route nationale 183) traverse le centre-ville pour rejoindre Mantes-la-Jolie. Cette route qui assure un important trafic de transit dans l'ouest des Yvelines vers le sud et vers Magny-en-Vexin plus au nord a Ă©tĂ© dĂ©viĂ©e dans les annĂ©es 1990 par une rocade contournant la ville par l'est.
    • dans le sens est-ouest, l'axe principal est constituĂ© par la route dĂ©partementale D 190 qui relie Limay Ă  Poissy en suivant la rive droite de la Seine, doublĂ© plus au sud et plus près de la Seine par la route dĂ©partementale D 146 qui assure notamment la desserte des zones industrielles et du port fluvial situĂ©s dans l'est de la commune.

    Deux ponts routiers franchissent la Seine, le pont de Mantes, très ancien lieu de passage, reconstruit en 1951, qui accueille en 2018 près de 20 000 vĂ©hicules par jour, et le viaduc plus rĂ©cent (1993) de la rocade Est, Ă  2 voies. Ce dernier permet de rejoindre l'autoroute A13 Ă  l'Ă©changeur de Mantes-la-Ville (Mantes-Est). Une passerelle pour les piĂ©tons et cyclistes traverse la Seine depuis septembre 2019 en reliant Limay et Mantes-la-Jolie le long du Pont-Neuf, rĂ©alisĂ©e par Grand Paris Seine et Oise et le Syndicat mixte d’amĂ©nagement des bords de Seine et de l’Oise (SMSO)[13] - [14]

    La gare.

    Sur le plan ferroviaire, la commune est traversée par la ligne Paris-Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie par Conflans-Sainte-Honorine qui franchit la Seine par le pont ferroviaire de Limay, viaduc à arches de ciment s'appuyant sur l'île de Limay. Un embranchement particulier s'en détache pour assurer la desserte du port fluvial de Limay. La gare de Limay est située dans le sud de la ville et est desservie par les trains de banlieue du Transilien.

    Limay dispose également d'un port fluvial situé dans la pointe sud du territoire communal et constitué d'une darse de huit hectares creusée perpendiculairement au fleuve. Ce port est géré par l'établissement public du Port autonome de Paris.

    Environnement

    Un taux de plomb anormal a Ă©tĂ© relevĂ© par Atmo dans l'air après l'incendie de la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris, qui pourrait ĂŞtre liĂ©u au passage du panache de pollution induit par l'incendie de la toiture et de la flèche recouvertes de plomb[15]. Selon Atmo, 0,108 Âµg/m3 est un taux « très atypique pour ce site (...) Le site de Limay, situĂ© Ă  environ 40 km de Paris, Ă©tait bien sous le vent de l'ĂŽle de la CitĂ© pendant l'incendie. Sans pouvoir le certifier, il est nĂ©anmoins vraisemblable que ces concentrations en plomb soient directement liĂ©es Ă  ce sinistre", peut-on lire dans l'un des communiquĂ©s de l'agence en date du 11 juin 2019. "Ces Ă©lĂ©ments tendent Ă  indiquer qu'il y aurait un impact de l'incendie dans la zone de retombĂ©e du panache Ă  la suite de l'incendie de Notre-Dame, et que cette zone serait relativement Ă©loignĂ©e de Paris ».

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Limetium au VIIe siècle[16], Limaium en 1249[17].

    Limay, le toponyme pourrait avoir rapport avec des limites (la Seine servant de frontière)[18] - [16], plus probablement des mots gaulois limo (orme) et ialo (clairière).

    Mais l'explication de l'origine du mot « Limay » de Toussaint-Duplessis semble avoir été adoptée par la plupart des historiens locaux ; le nom de « Limay » paraît être abrégé de celui de Limais ou plutôt Li Mais, qui veut dire la maison, la demeure, l'habitation, en latin Mansio[19].

    Histoire

    Le site de Limay était déjà habité à l'époque préhistorique. De nombreux restes archéologiques tels que pierres polies et taillées, pointes de flèches, haches, ont été trouvés dans le territoire communal, notamment à l'occasion de l'exploitation de sablières et ballastières dans les alluvions quaternaires.

    Avant la conquête romaine, le territoire était occupé par le peuple celte des Véliocasses, rattachée à la Gaule belgique.

    En 1376, Charles V fonde à Limay un monastère de Célestins, situé au milieu des rochers et des carrières de Saint-Aubin et le dédie à la Sainte-Trinité. Le monastère fut démoli à la Révolution[20].

    En 1614, Marie de Médicis fait débuter la construction du couvent des Capucins, situé hors du bourg. Les pierres de la citadelle de Mantes servent à sa construction. Le couvent est désormais une vieille bâtisse[20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Antérieurement à la loi du [21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines après un transfert administratif effectif au . Elle est rattachée à son arrondissement de Mantes-la-Jolie. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription des Yvelines.

    La commune était depuis 1801 le chef-lieu du canton de Limay. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton, dont Limay est désormais le bureau centralisateur, a été modifié.

    Intercommunalité

    La commune était le siège de la communauté de communes des Coteaux du Vexin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2013 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales, et qui regroupait deux autres communes.

    Cette intercommunalité a fusionné avec d'autres pour former, le la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O), dont la commune est désormais membre.

    Limay fait partie de l'opération d'intérêt national Seine-Aval créée en 2008.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales de 2014 dans les Yvelines, la liste PCF menĂ©e par le maire sortant Éric Roulot obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 2 508 voix (52,18 %, 26 conseillers municipaux Ă©lus dont 9 communautaires), devançant très largement celles menĂ©es respectivement par[22] :
    - Pierre-Yves Challande (DVD, 1 489 voix, 30,98 %,5 conseillers municipaux Ă©lus dont 2 communautaires) ;
    - Tristan Brams (PS, 809 voix, 16,83 %, 2 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire)
    Lors de ce scrutin, 48,09 % deds Ă©lecteurs se sont abstenus.

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2020 dans les Yvelines[23] - [24], la liste PCF, PS et G.s obtient la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s, avec 1 647 voix (44,26 %, 24 conseillers municipaux Ă©lus dont 3 communautaires), devançant largement les listes menĂ©es respectivement par[25] - [26] :
    - CĂ©cile Dumoulin LR - SL — qui bĂ©nĂ©ficiait du soutien de la liste LREM du 1er tour menĂ©e par SĂ©bastien Duprat[27] — et qui a obtenu 1 235 voix (33,19 %, 5 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire) ;
    - Mickaël Boutry (PCF diss[28], 839 voix, 22,54 %, 4 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 59,93 % des électeurs se sont abstenus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    septembre 1944 avril 1945 Blaise Désiré Jouaneton
    (1882-1977)
    Militaire retraité, résistant
    Élu par le Comité local de libération
    avril 1945 mars 1959 André Lecoq Rad. Conseiller général de Limay (1945 → 1964)
    mars 1959 septembre 1959 Jean Guilleminot DVG Chirurgien
    septembre 1959 1964 Robert Guichard SE DĂ©missionnaire
    1964 1970 Édouard Fosse[30] (1896-1988) Soc.ind. Instituteur et directeur d'école, résistant
    Adjoint au maire (1959 → 1964)
    DĂ©missionnaire
    1970 mars 1977 Jean-François Mouret[Note 3] SE Géomètre-expert
    mars 1977 juin 1995 Maurice Quettier[31] - [32] PCF Instituteur
    Député des Yvelines (7e circ.) (1967 → 1968)
    Conseiller général de Limay (1964 → 1979)
    juin 1995 avril 2010[33] Jacques Saint-Amaux PCF Ajusteur retraité
    Conseiller général de Limay (2002 → 2015[34])
    DĂ©missionnaire
    avril 2010[35] - [36] octobre 2021[37] - [38] Éric Roulot PCF Vice-président de la CU GPS&O (2016 → 2020)
    DĂ©missionnaire
    octobre 2021[39] En cours
    (au 2 octobre 2021)
    Djamel Nedjar DVG[39]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[40] - [Note 4].

    En 2020, la commune comptait 17 112 habitants[Note 5], en augmentation de 6 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3941 5891 3571 4091 2961 3331 3981 3581 362
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3451 3051 3041 3731 3731 3601 5001 5091 597
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6611 6271 7312 0482 2802 6872 9483 1903 617
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5 0826 6159 02410 12912 66015 70915 77916 30416 567
    2020 - - - - - - - -
    17 112--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 8 400 hommes pour 8 747 femmes, soit un taux de 51,01 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,3
    5,2
    75-89 ans
    5,1
    11,8
    60-74 ans
    11,5
    18,9
    45-59 ans
    18,2
    21,3
    30-44 ans
    20,5
    18,4
    15-29 ans
    20,1
    24,1
    0-14 ans
    24,2
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    Le commune compte notamment le collège GalilĂ©e, le collège Albert-Thierry et le lycĂ©e Condorcet, qui, en 2020, accueille 1 350 Ă©lèves dans un Ă©tablissement conçu pour 1 200 Ă©lèves[45].

    Autres Ă©quipements

    En 2021, la commune dispose d'un bureau de poste, mais la Trésorerie, la caisse d'allocations familiales et la caisse primaire d'assurance maladie ont fermé ou annoncé leur fermeture depuis 2015[46].

    Une crèche de 24 berceaux a été implantée en 2019 dans l'ancien presbytère[47].

    Économie

    Inauguré en , Limay Terminal affiche un bilan plus que positif.
    Le trafic des conteneurs a véritablement commencé le . Du au , 844 conteneurs, équivalent vingt pieds (EVP) ont transité sur le quai de Limay Terminal.
    De à , ce sont 3573 EVP qui ont été transportés via la voie fluviale. Les destinations sont principalement Le Havre et Nogent-sur-Seine. Les types de fret, des produits et matériaux destinés l’équipement de la maison, des céréales, des produits destinés à la grande distribution, des pièces automobiles, des ferrailles, etc.
    Grâce à mode de transport - fluvio-maritime - moins consommateur d'énergie et plus respectueux de l'environnement, ce sont donc 4417 conteneurs qui ont transité sur le port de Limay depuis l'ouverture du terminal, ce qui représente 4417 camions en moins sur nos routes.
    L'entreprise Ikea a annoncé en 2021 l'implantation en 2026 d"une plate-forme logistique essentiellement destinée au commerce en ligne sur un site du port de 16 ha qui devrait créer entre 400 et 500 emplois[48].
    • Zone industrielle, dont une usine de traitement de dĂ©chets dangereux et l'usine de matelas Dunlopillo, repris par Finadorm et qui, en 2021, compte 90 salariĂ©s[49] - [50]

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 30 725 â‚¬[51].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vieux pont de Limay.
    L'Ă©glise Saint-Aubin.

    Limay compte trois monuments historiques sur son territoire :

    • Église Saint-Aubin, rue de l'Église / place de la RĂ©publique (classĂ©e monument historique par arrĂŞtĂ© du [52]) : Elle remonte, dans ses parties les plus anciennes, aux annĂ©es 1140. Ce sont la base du clocher et l'ancien chĹ“ur de style roman tardif, qui faisaient suite Ă  une nef unique de la mĂŞme Ă©poque dĂ©molie vers la fin du XVIIe siècle. Le reste de l'Ă©glise actuelle fut Ă©difiĂ© Ă  partir de 1230 environ au nord de l'Ă©glise romane, dans le style gothique. Il s'agit d'un chĹ“ur-halle carrĂ©, au chevet plat, et d'une double nef, le tout voĂ»tĂ© d'ogives et Ă  un seul niveau d'Ă©lĂ©vation. Les deux premières travĂ©es de la double nef furent reconstruites après la guerre de Cent Ans, y compris le portail, dans le style flamboyant. La flèche en pierre du clocher datait de la mĂŞme Ă©poque que le chĹ“ur gothique, mais a Ă©tĂ© entièrement rebâtie au dĂ©but du XXe siècle.
    L'église est surtout remarquable pour son plan à double vaisseau, ses deux voûtes d'ogives antérieures au milieu du XIIe siècle et son clocher, et abrite un mobilier intéressant et varié[53].
    • Vieux pont de Limay, sur la Seine (classĂ© par arrĂŞtĂ© du , avec les restes de ses anciennes portes et la maison du passeur) : C'est un ancien pont des Xe et XIIe siècles[54], reconstruit par Sully en 1613, dont il ne reste que quelques arches cĂ´tĂ© Limay Ă  la suite de nombreuses vicissitudes, dont les dernières furent la destruction de deux arches en 1940. Ce pont figure dans plusieurs tableaux du peintre Jean-Baptiste Camille Corot.
    • Château des CĂ©lestins, avec les restes de l'ancien couvent, et son parc[55].
    Les façades et toitures du bâtiment principal et de l'aile en retour et les trois pièces décorées du rez-de-chaussée de style Empire sont inscrites aux monuments historiques par arrêté du [56].

    On peut Ă©galement signamer :

    • Château des Moussets (XIXe siècle).

    Patrimoine naturel

    • Site gĂ©ologique de Limay : il s'agit d'une ancienne carrière du groupe Lafarge classĂ© « rĂ©serve naturelle rĂ©gionale » (RNR) par le conseil rĂ©gional d'ĂŽle-de-France en 2009. Cet espace protĂ©gĂ© de 69 hectares, acquis par la ville en 2008, est pourvu d'une grande richesse gĂ©ologique (avec des formations sĂ©dimentaires du CrĂ©tacĂ©, du Sparnacien et du LutĂ©tien moyen), faunistique et floristique[57].

    Personnalités liées à la commune

    Limay dans les arts

    Cinéma

    Parmi les films tournés à Limay, on peut citer[59]

    Peinture
    • Frank-Will (1900-1950) a peint un grand tableau Limay, aujourd'hui propriĂ©tĂ© de la commune[60].

    HĂ©raldique

    Blason de Limay Blason
    D'azur au pont de trois arches d'argent maçonné de sable posées sur une onde de sinople mouvant de la pointe, surmonté en chef de trois fleurs de lys d'or posées 2-1.
    DĂ©tails
    Le pont à trois arches évoque le vieux pont de Limay et le chef à trois fleurs de lys le rattachement de la ville au Vexin français.
    Ce blason adopté par la municipalité en 1967 est dû à l'héraldiste Robert Louis[61].
    Il a remplacé un premier blason instauré en 1945 par la commission d'héraldique de Seine-et-Oise qui se blasonnait ainsi :
    de gueules au chef d'azur à la croix pattée et haussée d'argent mouvant de la pointe et brochant sur la partition, à la lettre S du même enlaçant le montant de la croix, accostée en chef de deux fleurs de lys et flanqué en pointe de deux rencontre de loup, le tout d'or[62]

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, prĂ©face de Paul-Louis Tenaillon, prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des Yvelines de 1977 Ă  1994, membre Ă©mĂ©rite de l'AcadĂ©mie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie GuĂ©nĂ©gaud, 1977 (FRBNF 34588328), page 28.
    • Lucien Bresson, Mantes-la-Jolie - Limay, Ausonius, CNRS Éditions, coll. « Atlas historique des villes de France », (ISBN 978-2-271-05734-1).
    • Maurice Quettier, Limay, les racines du futur. La belle histoire du renouveau municipal, Éditions sociales, 1999 (ISBN 2-911833-14-7)
    • Georges Mercier, Limay et son canton, Éditions Alan Sutton, mĂ©moire en images, 1996 (ISBN 2-84253-009-8)
    • Édouard Fosse, Limay en cartes postales anciennes, Zaltbonnel, Bibliothèque europĂ©enne, , 80 p..
    • Édouard Fosse (ancien maire de Limay) (prĂ©f. Rodolphe Walter), Histoire de Limay des origines Ă  nos jours, Lachaud, (rĂ©impr. 1996), 351 p..
    • Michel Bourlier, Christophe Eberhardt, Limay et ses habitants. De l'origine jusqu'Ă  la fin du XIXe siècle, GREM, 2012

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Une avenue de la commune honore la mémoire de J.-F. Mouret : « Sept nouvelles rues », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Fiche sur le site des Villes et villages fleuris
    2. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), p. 28.
    3. Climat des Yvelines sur le site de Météo-France.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
    13. Renaud Vilafranca, « Yvelines. Passerelle Mantes-Limay : mise en service prévue pour 2019 : En 2019, piétons et cyclistes pourront traverser la Seine entre Mantes et Limay (Yvelines) sur une passerelle qui leur sera dédiée », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    14. M.Fi., « La passerelle entre Limay et Mantes-la-Jolie a déjà ses fans : Ouverte vendredi soir, l’infrastructure est déjà très prisée par les piétons et les cyclistes… qui demandent toutefois quelques améliorations ! », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    15. Marine Benoit l2019) Pollution au plomb autour de Notre-Dame : le grand cafouillage des autorités, News publiée par Science et Avenir le 29 juillet 2019 ; voir aussi la cartographie des taux de plomb publiée le 18 juillet
    16. Actes du colloque "Frontières en Gaule." - 1981 - Page 101.
    17. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    18. Pierre Bauduin - La première Normandie (Xe – XIe siècle) : sur les frontières de la Haute Normandie : identité et construction d'une principauté, Pôle universitaire normand, 2004, page 50.
    19. Explication de l'origine du mot « Limay » de Toussaint-Duplessis.
    20. « Découvrir Limay », sur ville-limay.fr.
    21. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    22. RĂ©sultats officiels pour la commune Limay
    23. Mehdi Gherdane, « Municipales dans les Yvelines : Eric Roulot menacé de toutes parts à Limay : L’un des trois maires communistes du département affronte une dissidence sur sa gauche et, à sa droite, fait face à des candidats solides », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. Régis Blondel, « Éric Roulot encore à l'épreuve des urnes : Le maire sortant aborde le second tour avec quelques inquiétudes mais ne se montre pas pour autant fébrile face à la triangulaire qui l'attend », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
    26. Renaud Vilafranca, « Yvelines. Limay : Éric Roulot réélu avec plus de 400 voix d'avance : Municipales. À Limay (Yvelines), le maire communiste sortant Éric Roulot a été réélu, malgré une autre candidature de gauche plutôt handicapante pour lui », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    27. Renaud Vilafranca, « Yvelines. Municipales à Limay : L'alliance Dumoulin/Duprat fait des vagues : Limay (Yvelines). L'alliance entre les deux tours des municipales de Cécile Dumoulin (LR) et Sébastien Duprat (LREM) est dénoncée, notamment par plusieurs colistiers du premier », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’alliance de dernière minute ne fait pas que des heureux. Cécile Dumoulin (LR), arrivée deuxième au premier tour des municipales (29,38 %) à Limay (Yvelines) a annoncé le 3 juin une fusion de sa liste avec celle du candidat LREM Sébastien Duprat, quatrième et dernier du scrutin (11,01 %) ».
    28. Mehdi Gherdane, « Municipales dans les Yvelines : les maires communistes menacés par les dissidences : Dans les derniers bastions communistes, Limay et La Verrière, les maires sortants Eric Roulot et Nelly Dutu, défiés par d’anciens adjoints, sont talonnés par des adversaires de droite », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À gauche, les trois mois de confinement et d'incertitude politique n'ont pas permis d'aboutir à une fusion : Eric Roulot (PCF) et son ancien adjoint Mickaël Boutry (DVG) ont déposé chacun leur liste. « Au-delà des divergences locales, le cœur du problème est de savoir si le parti est soluble dans une gestion intercommunale », confie un « camarade ». « Ce qui est reproché à Eric Roulot, c'est de travailler avec la droite à la communauté urbaine. On peut entendre ces critiques. Mais refuser de le faire, est ridicule car c'est s'enterrer dans une opposition stérile et limiter l'influence de sa commune ».
    29. Édouard Fosse, op. cit., p. 256.
    30. Notice FOSSE Édouard, Marcel par Jacques Girault, version mise en ligne le 30 octobre 2008, dernière modification le 31 décembre 2008
    31. Jacques Girault, « Maurice Quettier, pour mémoire », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Limay : l’ancien maire donne son nom à l’école », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de 1977 à 1995, Maurice Quettier est considéré comme le bâtisseur de l’une des deux dernières villes communiste des Yvelines. On lui doit notamment la rocade et le port de Limay. Cet ancien instituteur est décédé le 30 décembre 2015 à 87 ans ».
    33. « Le maire, Jacques Saint-Amaux, va prendre sa retraite : Jacques Saint-Amaux a annoncĂ© qu'il quitterait son fauteuil au cours du premier semestre 2010 au profit d'Eric Roulot », Le Parisien, Ă©dition des Yvelines,‎ (lire en ligne) « L'un des trois maires communistes du dĂ©partement tire sa rĂ©vĂ©rence. Mercredi soir, au cours de la cĂ©rĂ©monie des vĹ“ux de Limay, Jacques Saint-Amaux a annoncĂ© qu'il quitterait son fauteuil de maire avant l'Ă©tĂ©. « Ni fatiguĂ© ni malade », il entend, Ă  62 ans, et après quinze ans Ă  la tĂŞte de cette commune de 16 000 habitants, quitter « la scène en haut de l'affiche ». « C'est le bon moment pour laisser ma place. » Eric Roulot, son adjoint Ă  la sĂ©curitĂ©, lui succĂ©dera entre mars et juin. Jacques Saint-Amaux restera conseiller municipal et conseiller gĂ©nĂ©ral ».
    34. « Jacques Saint-Amaux quittera la vie politique en 2015 : L'un des derniers élus PC ne participera pas aux cantonales », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
    35. « Eric Roulot intronisé maire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
    36. M.G., « Limay : Roulot - Saint-Amaux, la fin d’une histoire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
    37. Mehdi Gherdane, « Limay : le département des Yvelines va perdre son dernier maire communiste : Le maire Éric Roulot (PCF) vient d’envoyer son courrier de démission à la préfecture des Yvelines. Il devrait être remplacé dans les prochaines semaines par son premier adjoint, Djamel Nedjar (DVG) », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dans un courrier daté du 6 juillet adressé à la préfecture des Yvelines, l’édile de la seule ville communiste des Yvelines indique son intention de démissionner, le 1er octobre, de ses fonctions de maire et de conseiller municipal ».
    38. Renaud Vilafranca, « Yvelines. Limay : le maire Éric Roulot démissionne pour passer la main à son adjoint Djamel Nedjar : Rien est officiel, mais le maire PCF de Limay (Yvelines) doit démissionner et donner le flambeau à son premier adjoint. Il en était question déjà avant son élection », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pendant la campagne des municipales en 2020, le bruit courait déjà. Il se disait qu’Éric Roulot (PCF), maire de Limay depuis avril 2010 et candidat à sa succession, allait abandonner son mandat un an après son élection. Plusieurs voix affirmaient même avec beaucoup d’assurance que Djamel Nedjar, son premier adjoint, devait prendre la relève. Interrogé à l’époque par 78actu sur le sujet, Éric Roulot bottait en touche ».
    39. Mehdi Gherdane, « Limay : avec le départ d’Éric Roulot, il n’y a plus aucun maire communiste dans les Yvelines : Djamel Nedjar (DVG) remplace Éric Roulot (PCF) à la tête de cette ville de 17 000 habitants. L’élu était le dernier maire communiste du département. Ils étaient une quinzaine il y a trente ans », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Limay (78335) », (consulté le ).
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    45. Régis Blondel, « Yvelines. Limay : le lycée Condorcet tire la sonnette d'alarme : Une vingtaine de professeurs du lycée Condorcet de Limay (Yvelines) étaient en grève ce vendredi matin. Ils réclament des moyens supplémentaires dans un contexte qui le nécessite », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    46. Mehdi Gherdane et Julie Ménard, « Ça suffit, il y en a marre ! » : dans les Yvelines, haro sur la fermeture des services publics : Une manifestation pour dénoncer la possible fermeture d’une trésorerie à Limay a rassemblé 70 personnes ce samedi matin. L’inquiétude des usagers des services publics est aussi vive ailleurs dans le département », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    47. Renaud Vilafranca, « Yvelines. Limay : des places à prendre dans la nouvelle crèche : La crèche de Limay (Yvelines), installée dans un ancien presbytère, accueillera vingt-quatre enfants », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    48. Mehdi Gherdane, « Limay : Ikea va installer un méga centre de logistique et créer 500 emplois : Le géant suédois va construire sa plate-forme essentiellement dédiée au commerce en ligne dans le port de Limay d’ici à 2026. Un investissement de 120 millions d’euros, qui permettra de livrer ses clients en Ile-de-France, en Normandie et en Bretagne », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    49. Mehdi Gherdane (avec E.D.), « Rachat de Dunlopillo par Finadorm : « Nous ne reprendrons pas l’usine de Mantes-la-Jolie » : Jean-Rémy Bergounhe, patron de Finadorm, repreneur du célèbre fabricant de matelas, confirme son intention de regrouper l’activité à Limay (Yvelines) », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    50. CĂ©line Evain, « Industrie. La rĂ©gion offre 800 000 euros au site Dunlopillo de Limay : La RĂ©gion Ile-de-France a remis un chèque de 800 000 â‚¬ Ă  l'entreprise Dunlopillo de Limay. Un vĂ©ritable coup de pouce pour l'aider Ă  dĂ©velopper sa nouvelle gamme de matelas », 78 actu,‎ 9/2/2021 mis Ă  jpour le 24/2/2021 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    51. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    52. « Église Saint-Aubin », notice no PA00087470, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Limay, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 319-322 ; Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français – ouvrage posthume – deuxième série : Limay, Gisors, Imprimerie Benard-Bardel et fils, , 170 p., p. 163-166.
    54. « Vieux pont de Limay (également sur commune de Mantes-la-Jolie) », notice no PA00087471, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Le parc du château des Célestins », notice no IA78000626, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Château des Célestins », notice no PA00087469, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Réserve Naturelle Régionale (RNR) du site géologique de Limay », Ville de Limay (consulté le ).
    58. Renaud Vilafranca, « Yvelines. Limay : l'hommage des lycéens au photographe qui a échappé à la déportation : Henri Dauman, photographe mondialement connu qui a échappé à la déportation, a assisté à un hommage rendu par des lycéens de Limay (Yvelines) », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Henri Dauman, photographe à la renommée mondiale, est revenu à Limay (Yvelines) la semaine dernière, sur les traces de son passé. Âgé de 86 ans, celui qui a immortalisé Brigitte Bardot, le couple Kennedy ou encore Elvis Presley vit à New York depuis des décennies. Alors enfant, il a été réfugié dans cette ville des Yvelines pour échapper aux rafles de juifs durant la Seconde Guerre mondiale ».
    59. Lieux de tournage cinématographique
    60. Frank-Will, Limay, œuvre reproduite en page 66 de la monographie Frank-Will par Denis Coisne, Éditions du Chêne Vert, 1986.
    61. Édouard Fosse, Histoire de Limay des origines à nos jours, 1972, p. 23.
    62. Les armoiries des communes de Seine-et-Oise, tome 1, chefs-lieux de canton - 1944, cité par Édouard Delafosse.
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