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Saint-Martin-de-Fressengeas

Saint-Martin-de-Fressengeas est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Martin-de-Fressengeas
Saint-Martin-de-Fressengeas
L'église Saint-Martin de Saint-Martin-de-Fressengeas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Michel Augeix
2020-2026
Code postal 24800
Code commune 24453
Démographie
Gentilé Saint-Martinais
Population
municipale
363 hab. (2020 en stagnation par rapport à 2014)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 40″ nord, 0° 50′ 44″ est
Altitude Min. 148 m
Max. 302 m
Superficie 20,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Thiviers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thiviers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Martin-de-Fressengeas
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Saint-Martin-de-Fressengeas
Liens
Site web www.saint-martin-de-fressengeas.fr

    Géographie

    Généralités

    La commune de Saint-Martin-de-Fressengeas est localisée dans le quart nord-est du département de la Dordogne.

    Le bourg est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest de Thiviers et neuf kilomètres au sud-est de Saint-Pardoux-la-Rivière, à l'écart des voies principales de communication.

    La commune est cependant desservie par les routes départementales 98 et 707 (l'ancienne route nationale 707 reliant Nontron à Lanouaille).

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Martin-de-Fressengeas et des communes avoisinantes.

    Saint-Martin-de-Fressengeas est limitrophe de six autres communes.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Martin-de-Fressengeas est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se composee de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Saint-Martin-de-Fressengeas.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 148 mètres et 302 mètres[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [8]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,84 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 21,58 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Martin-de-Fressengeas.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Queue d'Âne et le ruisseau de la Benché et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Queue d'Âne, ou ruisseau de la Queue d'Âne, d'une longueur totale de 18,61 km, prend sa source dans la commune de Mialet et se jette dans la Côle en rive droite à Saint-Jean-de-Côle au pont de Lavaud[16]. Elle traverse la commune du nord au sud sur plus de huit kilomètres et demi dont plus de trois et demi servent de limite territoriale en deux tronçons, faceé à Saint-Jory-de-Chalais et Saint-Jean-de-Côle.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de la Benché arrose le territoire communal au sud sur plus de deux kilomètres et demi.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 036 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[25] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[26] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 55 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 11,4 °C pour 1981-2010[30], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-de-Fressengeas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [32] - [33] - [34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thiviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,2 %), forêts (39,3 %), prairies (0,5 %)[37].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Queue d'âne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[40] - [38].

    Saint-Martin-de-Fressengeas est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[41]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[42] - [43].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-de-Fressengeas.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[44]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 75,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [46].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[38].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[47].

    Toponymie

    Le nom de la commune se réfère à saint Martin, évêque de Tours au IVe siècle, et au mot occitan fraisse signifiant « frêne »[48].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Martin de Fraissenjas[49].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu remonte au XIIe siècle, sous la forme Sant Marty de Freycenjas[48].

    Au XIIIe siècle, Saint-Martin de Fressengeas était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[50].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le simple nom de Saint Martin.

    Le , six résistants et quatre habitants du village des Merles sont massacrés par une troupe de soldats allemands et géorgiens, supplétifs de la Phalange nord-africaine[51] - [52] - [53].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Martin-de-Fressengeas est rattachée, dès 1790, au canton de Thiviers qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[5].

    Intercommunalité

    Au , Saint-Martin-de-Fressengeas intègre dès sa création la communauté de communes du Pays thibérien. Au , celle-ci est dissoute et ses communes hormis Sorges et Ligueux en Périgord rejoignent la communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[54] qui, en prend le nom de communauté de communes Périgord-Limousin[55].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[56] - [57].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1913 1919 Jean Justin Lacotte Propriétaire cultivateur
    1977 1995 Lucien Michaud Enseignant (retraité à partir de 1980)
    juin 1995[58] Jean-Robert Fargeot SE[59] Artisan
    juillet 2020[60] En cours Michel Augeix

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Martin-de-Fressengeas relève[61] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[63].

    En 2020, la commune comptait 363 habitants[Note 10], en stagnation par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9877048559481 0049809871 0861 133
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1041 0591 0801 0011 0351 0451 1021 003983
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    930981946804748705691605531
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    475428394390394375379380368
    2017 2020 - - - - - - -
    359363-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[65], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 148 personnes, soit 41,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatorze) a augmenté par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-trois établissements[66], dont neuf au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans la construction, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[67].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • La nef de l'église.
      La nef de l'église.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Les Merles, la grange où les hommes ont été fusillés le 28 avril 1944.
      Les Merles, la grange où les hommes ont été fusillés le .
    • Les Merles, plaque sur la grange en mémoire du 28 avril 1944.
      Les Merles, plaque sur la grange en mémoire du .
    • Les Merles, stèle à la mémoire des fusillés du 28 avril 1944.
      Les Merles, stèle à la mémoire des fusillés du .

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Michel Lahieyte, Les Merles, , Les Livres de l'Îlot, 2021, 202 p. (ISBN 979-10-92474-53-4)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Martin-de-Fressengeas » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Saint-Martin-de-Fressengeas » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Martin-de-Fressengeas », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Saint-Martin-de-Fressengeas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. Sandre, « la Queue d'Ane »
    17. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    22. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    23. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    24. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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