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Champagnac-de-Belair

Champagnac-de-Belair [ʃɑ̃paÉČak də bɛlɛʁ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Dordogne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine. De 1790 Ă  2015, la commune Ă©tait le chef-lieu du canton de Champagnac-de-Belair.

Champagnac-de-Belair
Champagnac-de-Belair
L'Ă©glise Saint-Christophe de Champagnac-de-Belair.
Blason de Champagnac-de-Belair
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
(siĂšge)
Maire
Mandat
GĂ©rard Lacoste
2020-2026
Code postal 24530
Code commune 24096
DĂ©mographie
Gentilé Champagnacois
Population
municipale
786 hab. (2020 en augmentation de 8,71 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 43 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 23â€Č 36″ nord, 0° 41â€Č 59″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 222 m
Superficie 18,46 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de BrantĂŽme en PĂ©rigord
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Champagnac-de-Belair

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Champagnac-de-Belair est située au nord du département de la Dordogne.

    Cinq kilomÚtres au nord-nord-est de BrantÎme et quinze kilomÚtres au sud de Nontron en distances orthodromiques, le bourg de Champagnac-de-Belair surplombe la vallée de la Dronne, sur sa rive gauche. Il est situé au croisement de la route départementale (RD) 83, axe nord-sud qui longe la vallée, et de la RD 82, qui traverse la commune d'est en ouest.

    La commune est également desservie à l'est par la RD 3 et bordée au nord-ouest par la RD 675.

    Entre Villars et Condat-sur-Trincou, le sentier de grande randonnée GR 654 passe par le bourg de Champagnac-de-Belair.

    Communes limitrophes

    Carte de Champagnac-de-Belair et des communes avoisinantes en 2015.

    Champagnac-de-Belair est limitrophe de six autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Champagnac-de-Belair est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c2b, date du Turonien infĂ©rieur Ă  moyen, composĂ©e de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques Ă  rudistes passant latĂ©ralement Ă  des calcarĂ©nites. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 734 - Nontron » et « no 735 - Thiviers » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de Champagnac-de-Belair.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 105 m[6] - [Note 1], se trouve Ă  l'extrĂȘme sud, prĂšs du lieu-dit Verneuil, lĂ  oĂč la Dronne quitte la commune pour servir de limite entre celles de BrantĂŽme en PĂ©rigord et Condat-sur-Trincou, et 222 m[6] - [Note 1] au nord-ouest, en bordure de la commune de Saint-Pancrace, prĂšs du lieu-dit la TuiliĂšre[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 2] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 18,46 km2[6] - [11] - [Note 3]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 19,23 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par la Dronne, le Trincou, le Libourny et un petit cours d'eau qui constituent un rĂ©seau hydrographique plus de 11,5 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de BussiĂšre-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — Ă  Coutras en Gironde, au lieu-dit la FourchĂ©e, face Ă  la commune de Sablons[16] - [17]. Elle traverse la commune du nord au sud sur six kilomĂštres dont 550 mĂštres en limite de Condat-sur-Trincou.

    Le Trincou, d'une longueur totale de 16,55 km, prend sa source dans la commune de Milhac-de-Nontron et se jette dans la CĂŽle en rive droite Ă  Condat-sur-Trincou[18] - [19]. Il arrose la commune Ă  l'est sur plus d'un kilomĂštre et demi.

    Autre affluent de rive droite de la Dronne, le Libourny prend sa source dans l'ouest du territoire communal qu'il baigne sur prĂšs de quatre kilomĂštres.

    • La Dronne au pont de Verneuil.
      La Dronne au pont de Verneuil.
    • La dĂ©rivation de la Dronne au moulin de Racaud.
      La dérivation de la Dronne au moulin de Racaud.
    • Le lit du Trincou presque Ă  sec au pont de la RD 3 prĂšs de Lardailler.
      Le lit du Trincou presque Ă  sec au pont de la RD 3 prĂšs de Lardailler.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Champagnac-de-Belair.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [21].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[22]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 936 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[26] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[27] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[28] et qui se trouve Ă  20 km Ă  vol d'oiseau[29] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[30]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  63 km[31], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[32], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[33], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Champagnac-de-Belair est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [35] - [36] - [37]. La commune est en outre hors attraction des villes[38] - [39].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (51,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (50,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (35,7 %), terres arables (13,1 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %), prairies (2,4 %)[40].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Champagnac-de-Belair est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[41]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[42].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dronne et le Trincou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999[43] - [41]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dronne[44] - [45].

    Champagnac-de-Belair est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[46]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[47] - [48].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champagnac-de-Belair.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[49]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[50]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[51]. 56,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [52].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[41].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Champanhac[53].

    Histoire

    Au XIIIe siĂšcle, Champagnac Ă©tait le siĂšge de l'archiprĂȘtrĂ© de Condat regroupant vingt-sept paroisses[54].

    De 1747 Ă  1749, la peste emporte 278 habitants de la paroisse, soit entre 25 et 30 % de la population[55].

    La commune s'appelle d'abord Champagnac avant de devenir Champagnac-de-Bel-Air puis prendre son nom actuel Champagnac-de-Belair[6].

    De 1891 Ă  1949, une ligne de tramways reliant PĂ©rigueux Ă  Saint-Pardoux-la-RiviĂšre desservait Champagnac-de-Belair[56]. Il en reste le minuscule bĂątiment de la gare en bord de Dronne.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de Champagnac-de-Belair est le chef-lieu du canton de Champagnac-de-Belair qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Nontron[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[57]. La commune est alors rattachée au canton de BrantÎme, renommé canton de BrantÎme en Périgord en 2020.

    Intercommunalité

    Fin 1996, Champagnac-de-Belair intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Pays de Champagnac-en-Périgord. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes Dronne et Belle.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[58] - [59].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    17 mai 1896 mai 1929 Émile Mazeau Cultivateur
    mai 1929 1944 Georges Bonnet Rad-soc Député
    octobre 1944 octobre 1953 Ferdinand Beyney[Note 10] Cultivateur
    1953 1994 Bertrand Souquet[Note 11] Conducteur de chantier puis
    agent des travaux publics de l'État
    mai 1994 décembre 2006 Michel Neveu DVD
    décembre 2006 mars 2014 Bernard Naboulet SE[60] puis DVG Retraité
    mars 2014[61] mai 2020 Jean Claude Fagete DVG Directeur d'Ă©cole
    mai 2020 En cours Gérard Lacoste Technicien supérieur de laboratoire

    Équipements et services publics

    Enseignement

    En 2012, la commune dispose d'une école maternelle et d'une école primaire. Organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), elle accueille les élÚves de deux autres communes voisines : Cantillac et Condat-sur-Trincou.

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Champagnac-de-Belair relĂšve[62] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[64].

    En 2020, la commune comptait 786 habitants[Note 12], en augmentation de 8,71 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9057847471 1011 1509599211 0301 041
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9949821 0419831 0281 0761 025995952
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    904949915829787734709688635
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    584590557606658685736738699
    2014 2019 2020 - - - - - -
    723789786------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[65].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[66], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 355 personnes, soit 48,6 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-deux) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (vingt-neuf) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  11,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 73 Ă©tablissements[67], dont trente-neuf au niveau des commerces, transports ou services, seize relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, sept dans la construction, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et quatre dans l'industrie[68].

    Entreprises

    Tous secteurs confondus, parmi les entreprises dont le siĂšge social est en Dordogne, la sociĂ©tĂ© « Dordogne logistique SAS » (entreposage et stockage non frigorifique) situĂ©e Ă  Champagnac-de-Belair se classe en 32e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 1 432 k€[69].

    CrĂ©Ă©e en 1955, la biscuiterie de Champagnac-de-Belair a fait partie du groupe LU-Danone qui l'a vendu Ă  Champador en 2006, avant d'ĂȘtre reprise par la biscuiterie Saint-Michel en 2011[70]. En mars 2022, elle emploie 300 personnes — dont 246 CDI — et prĂ©voit d'en embaucher soixante supplĂ©mentaires dans l'annĂ©e[71] ; elle produit annuellement 13 500 tonnes de produits alimentaires, principalement des madeleines, des palmiers et des fonds de tartes ou de bouchĂ©es Ă  la reine[71].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau de la Borie Saulnier (ou chĂąteau de Laborie) des XVIe et XVIIe siĂšcles, reconverti en chambres d'hĂŽtes[72]
    • Église Saint-Christophe des XIVe et XVe siĂšcles, inscrite aux monuments historiques depuis 1948[73].
    • Chapelle Notre-Dame de Bon secours, XVIIIe siĂšcle
    • Le chĂąteau de la Borie Saulnier.
      Le chĂąteau de la Borie Saulnier.
    • Les deux clochers de l'Ă©glise.
      Les deux clochers de l'Ă©glise.
    • La chapelle Notre-Dame de Bon secours.
      La chapelle Notre-Dame de Bon secours.
    • Une maison ancienne du bourg.
      Une maison ancienne du bourg.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Jules Sarlande (ou Albert Sarlande[74]) (1813 - 1888), maire d'Alger de 1858 Ă  1870[75], a achetĂ© le chĂąteau de la Borie Saulnier. Il est dĂ©cĂ©dĂ© dans son chĂąteau le 1er dĂ©cembre 1888.
    • Son fils, François Albert Sarlande (1847 - 1913), dĂ©putĂ© de la Dordogne de 1876 Ă  1881[76], est dĂ©cĂ©dĂ© dans sa propriĂ©tĂ© du chĂąteau de la Borie Saulnier le 30 aoĂ»t 1913[Note 13] - [77].
    • Georges Bonnet (1889 - 1973), homme politique, dĂ©putĂ© de la Dordogne de 1924 Ă  1940 et de 1956 Ă  1968, ministre Ă  de nombreuses reprises entre 1925 et 1940, fut maire de Champagnac-de-Belair de 1929 Ă  1944.
    • Charles Serre (1901-1953), rĂ©sistant, homme politique, est mort Ă  Champagnac-de-Belair.
    • Christian FrĂ©mont (1942-2014), nĂ© Ă  Champagnac-de-Belair, haut fonctionnaire.

    HĂ©raldique

    Armes de Champagnac-de-Belair

    Les armes de Champagnac-de-Belair se blasonnent ainsi : « De gueules Ă  trois lionceaux d'or, au chef d'azur chargĂ© de trois fleurs de lys d'argent surmontĂ©es d'un lambel de mĂȘme, soutenu d'une devise ondĂ©e aussi d'argent chargĂ©e d'une truite au naturel. »

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Bertrand Souquet, Les Ă©crevisses marchent Ă  reculons - Champagnac de Belair de 1940 Ă  1945, 1997

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Ces données (altitudes, surface) sont issues du site de l'IGN .
    2. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    3. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[24].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[25].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Décédé en fonctions.
    11. DĂ©missionnaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. Contrairement à ce qu'indique le site de l'Assemblée nationale, François Albert Sarlande n'est pas décédé en 1888 mais en 1913. Source : registre des décÚs de la commune de Champagnac-de-Belair.
    • Cartes
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    Références

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