Saint-Pancrace (Dordogne)
Saint-Pancrace est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Pancrace | |||||
Le village de Saint-Pancrace. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dronne et Belle | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Martinot 2020-2026 |
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Code postal | 24530 | ||||
Code commune | 24474 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
158 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 25âČ 41âł nord, 0° 39âČ 53âł est | ||||
Altitude | Min. 136 m Max. 233 m |
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Superficie | 6,69 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de BrantĂŽme en PĂ©rigord | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Généralités
Au nord du département de la Dordogne, la commune de Saint-Pancrace est située en bordure extérieure du parc naturel régional Périgord-Limousin (commune de La Chapelle-Montmoreau et ancienne commune de Saint-Crépin-de-Richemont). Elle est formée de deux ensembles, relies par un mince corridor long de 800 mÚtres et large de 40 à 180 mÚtres, au niveau de la route départementale (RD) 675.
Le village de Saint-Pancrace, en bordure sud de la RD 98, se situe, en distances orthodromiques, sept kilomĂštres au nord de BrantĂŽme et onze kilomĂštres au sud de Nontron.
La principale voie d'accĂšs Ă la commune s'effectue par la RD 675 qui traverse la commune au sud et forme sur trois kilomĂštres la limite du territoire communal, sur sa bordure nord-ouest.
Communes limitrophes
Saint-Pancrace est limitrophe de quatre autres communes.
GĂ©ologie
SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Pancrace est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à hußtres et à rhynchonelles, localement grÚs et sables jaunes (feuille de Terrasson). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 734 - Nontron » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].
Ăre | PĂ©riode | Ăpoque | Formations gĂ©ologiques | |||||||||||||||
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CĂ©nozoĂŻque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
HolocĂšne |
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PléistocÚne | non présent | |||||||||||||||||
NĂ©ogĂšne (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||
PaléogÚne (23.03 - 66.0) |
OligocĂšne |
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ĂocĂšne |
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PaléocÚne | non présent | |||||||||||||||||
MĂ©sozoĂŻque (66.0 - 252.17) |
CrĂ©tacĂ© (66.0 - â145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | |||||||||||||||||
Jurassique (â145.0 - 201.3) |
non présent | |||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m Ă Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă elle entre 136 mĂštres[5] en limite orientale du territoire communal, lĂ oĂč un petit affluent de la Dronne quitte la commune pour entrer sur celle de Quinsac et 233 mĂštres[5] Ă l'ouest, au lieu-dit la TuiliĂšre Ă proximitĂ© des communes de BrantĂŽme en PĂ©rigord (teritoire de l'ancienne commune de Cantillac), et Champagnac-de-Belair[6].
Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise dâouvrage de lâĂtat et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,69 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,04 km2[3].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de prÚs de 2 km de longueur totale[14] - [Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[15]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [16].
La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours dâeau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de lâeau et lâAgence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[17]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[18].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[21] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[22] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[23] et qui se trouve Ă 18 km Ă vol d'oiseau[24] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[25]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et Ă 65 km[26], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[27], Ă 11,4 °C pour 1981-2010[28], puis Ă 11,8 °C pour 1991-2020[29].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pancrace est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [30] - [31] - [32]. La commune est en outre hors attraction des villes[33] - [34].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (53,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (54,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (53,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (35,4 %), terres arables (7,1 %), prairies (3,9 %)[35].
L'Ă©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Pancrace est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[36]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[37].
Saint-Pancrace est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. LâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts dâincendie. Ă ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[38]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[39] - [40].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[41]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[42]. 84,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [43].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[36].
Toponymie
Le nom de la commune fait référence à saint Pancrace, martyrisé à Rome en l'an 304[44].
Histoire
Au XIIIe siĂšcle, Saint-Pancrace Ă©tait l'une des vingt-sept paroisses dĂ©pendant de l'archiprĂȘtrĂ© de Condat dont le siĂšge se situait Ă Champagnac[46].
La premiĂšre mention Ă©crite connue du nom du village, Sanctus Pancrasius, remonte Ă l'an 1382[44].
Au XIVe siĂšcle, Saint Pancrace est l'une des onze paroisses composant la chĂątellenie d'Agonac[47].
Le , les Allemands fusillent au total cinq personnes sur le territoire communal, en deux endroits, le long de la route dĂ©partementale 98. De plus, quatre personnes arrĂȘtĂ©es sur la commune sont fusillĂ©es Ă BrantĂŽme[48].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Pancrace a, dÚs 1790, été rattachée au canton de Champagnac qui dépendait du district de Nontron. En 1800, les districts sont supprimés et la commune est rattachée au canton de Champagnac-de-Bel-Air (nouvelle orthographe) dépendant de l'arrondissement de Nontron[5].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[49]. La commune est alors rattachée au canton de BrantÎme, renommé canton de BrantÎme en Périgord en 2020.
Intercommunalité
En 1996, Saint-Pancrace intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Pays de Champagnac-en-Périgord. Celle-ci disparaßt le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Dronne et Belle.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50] - [51].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Pancrace relĂšve[54] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de PĂ©rigueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[56].
En 2020, la commune comptait 158 habitants[Note 10], en diminution de 6,51 % par rapport Ă 2014 (Dordogne : â0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
En 2012, Saint-Pancrace est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[58] avec les communes de Quinsac et Villars au niveau des classes de primaire.
Ăconomie
Emploi
En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 81 personnes, soit 45,8 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (douze) a augmenté par rapport à 2010 (sept) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 14,8 %.
Ătablissements
Au , la commune compte dix-sept Ă©tablissements[60], dont dix au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, deux relatifs au secteur administratif, Ă l'enseignement, Ă la santĂ© ou Ă l'action sociale, et un dans la construction[61].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pancrace, reconstruite au XIXe siĂšcle
L'Ă©glise Saint-Pancrace. Le portail de l'Ă©glise. Le chĆur de l'Ă©glise. Puits devant la mairie.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Pancrace sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Saint-Pancrace sur le site de la communauté de communes Dronne et Belle
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
- La superficie publiĂ©e par lâInsee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă la surface gĂ©ographique[11] - [12]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[20].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Décédé en fonctions.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Pancrace » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Ăvolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Pancrace » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Saint-Pancrace », sur le SystĂšme dâinformation pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
- « Notice associée à la feuille no 734 - Nontron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
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- « Fiche communale de Saint-Pancrace », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
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- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 353-354.
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