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Agonac

Agonac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Agonac
Agonac
L'Ă©glise Saint-Martin d'Agonac.
Image illustrative de l’article Agonac
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Christelle Boucaud
2020-2026
Code postal 24460
Code commune 24002
DĂ©mographie
Gentilé Agonacois
Population
municipale
1 791 hab. (2020 en augmentation de 2,58 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 48 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 17â€Č 40″ nord, 0° 45â€Č 09″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 224 m
Superficie 37,22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction PĂ©rigueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trélissac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Agonac
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Agonac
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Agonac
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Agonac
Liens
Site web www.agonac.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune d'Agonac s'étend sur les deux versants de la vallée de la Beauronne, un ruisseau affluent de l'Isle.

    TraversĂ© par la Beauronne, le bourg d'Agonac est situĂ©, en distances orthodromiques, onze kilomĂštres au sud-est de BrantĂŽme et douze kilomĂštres au nord de PĂ©rigueux, au croisement des routes dĂ©partementales 3, 3E7, 69 et 106. Il est Ă©galement desservi par la ligne de chemin de fer Limoges - PĂ©rigueux. Ce bourg du PĂ©rigord blanc est situĂ© au milieu d'une rĂ©gion de collines oĂč abondent les noyers et les chĂȘnes truffiers.

    Communes limitrophes

    Carte d'Agonac et des communes avoisinantes en 2018.

    Agonac est limitrophe de six autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Agonac est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c2a, date du Turonien infĂ©rieur, composĂ©e de calcaire crayeux blanchĂątre en plaquettes ou noduleux. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites indiffĂ©renciĂ©es. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 758 - PĂ©rigueux (ouest) » et « no 759 - PĂ©rigueux (est) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et leurs notices associĂ©es[5] - [6].

    Carte géologique d'Agonac.

    Relief et paysages

    Le bourg d'Agonac vu depuis l'est.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 110 m au sud-ouest, prĂšs du hameau Bosquely, lĂ  oĂč la Beauronne quitte le territoire communal pour entrer sur celui de ChĂąteau-l'ÉvĂȘque, et 224 m au nord du bourg, Ă  l'ouest du lieu-dit Gerveries[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 37,22 km2[11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 38,11 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par la Beauronne, l'Alemps[Note 3] - [15], et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 19 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La Beauronne, d'une longueur totale de 28,16 km, prend sa source dans la commune de NĂ©grondes et se jette dans l'Isle en rive droite Ă  Marsac-sur-l'Isle[17]. En amont de cette confluence, son bras oriental marque la limite avec PĂ©rigueux. Elle traverse la commune du nord-est Ă  l'ouest sur sept kilomĂštres.

    Son affluent de rive droite l'Alemps borde briĂšvement le territoire communal au nord-est sur 170 mĂštres face Ă  Saint-Front-d'Alemps.

    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier d'Agonac.
    • La retenue de la Beauronne au centre du bourg d'Agonac.
      La retenue de la Beauronne au centre du bourg d'Agonac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 939 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[26] et qui se trouve Ă  25 km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  53 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Agonac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PĂ©rigueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (51,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (50,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46,4 %), terres arables (24,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (22,2 %), prairies (5,3 %), zones urbanisĂ©es (1,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,6 %)[38].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg d'Agonac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[39] :

    • Ă  l'AllĂ©e
    • la BarriĂšre
    • Bas Vaure
    • Beaurouchou
    • Berbessou
    • Berzac
    • au Bois
    • Borie de Domme
    • Borie des Cailloux
    • Borie Neuve
    • Borie Vieille
    • Bosquely
    • Bourbou
    • la Bourgeade
    • Bracou
    • Broudissoux
    • Buffier
    • les Cadagnes
    • les Carassonnes
    • Chaberlin
    • Chantegreil
    • Chapot
    • Chauly
    • la Cheyssas
    • le ClauzĂ©lou
    • le Cluzeau
    • la Combe de Borie
    • les Combes
    • les Combettes
    • les Communaux
    • CouyĂšs
    • Croutarias
    • Fayard
    • la Faye
    • Fontroubade
    • la ForĂȘt
    • la ForĂȘt[Note 10]
    • Galabert
    • Galingaud
    • les Gavis
    • les GenĂȘts
    • Gerveries
    • les Gondies
    • Gourjou
    • Haut Vaure
    • Haute LĂąge
    • Labesse
    • Labrousse
    • Lagrange
    • Lamoure
    • les Landes
    • Lannerie
    • Lascouleyrias
    • LĂ©ger
    • le Lyonnet
    • le Maine
    • Maison Neuve
    • Maret
    • la Martinie
    • Massenaud
    • Mirlandois
    • Montauban
    • Moyenne LĂąge
    • Neyssant
    • Palenque
    • Pancette
    • Paritou
    • Perveyrie
    • Petit Palenque
    • le Peyrat
    • Peyrimas
    • le Pigner
    • la Porcherie
    • la Porte
    • Pouliquet
    • les Pourrades
    • Puy Blanc
    • Puychassier
    • Puydegand
    • Puyjala
    • Puylauraud
    • Puypouzy
    • les RebiĂšres
    • les Rousselles
    • Ruffinie
    • Saigne-BƓuf
    • Saleuil
    • Sanet
    • les Sardenas
    • la Siguenie
    • Thouard
    • Toublanc
    • Tranche Pouge
    • Versailles
    • Veynas
    • le Vignaud
    • Virolas.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune d'Agonac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[40]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[41].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Beauronne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1999 et 2007[42] - [40]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Beauronne et de l'Alemps », couvrant 7 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Beauronne. Le dĂ©bit centennal de la Beauronne retenu pour l'Ă©laboration du PPRI est de 72 m3/s[43] - [44].

    Agonac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[45]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[46] - [47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Agonac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[49]. 75,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [50].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 1997, 2003, 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[40].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Castrum agonacum au XIIe siÚcle, Agonag en 1249, Agonhac en 1276[51].

    Toponyme se terminant en -ac, d'une origine germanique Ago(n) avec le suffixe -acum[51].

    En français comme en occitan, le nom de la commune s'Ă©crit de la mĂȘme maniĂšre[52].

    Histoire

    Aux lieux-dits "Borie-Vieille" et "Les Cadagnes", des fouilles ont attesté une occupation de la région dÚs les temps préhistoriques.

    Au Xe siĂšcle, l'Ă©vĂȘque Frotaire de Gourdon choisit une colline d'accĂšs difficile dominant la vallĂ©e pour y Ă©difier l'une des cinq forteresses qui devaient protĂ©ger la rĂ©gion contre les invasions normandes.

    Au Moyen Âge, Agonac Ă©tait une ville close protĂ©gĂ©e par des remparts et Ă  laquelle on accĂ©dait par quatre passages : la porte De Ripagay, la porte Palenchart, la porte Foscheyrencha et au nord-est, la seule encore existante, la porte Salseyron[53].

    Le village est identifié sous le nom d'Agonat sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789.

    Lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, alors que la commune compte plus de 1 400 habitants, 276 d'entre eux montent vers le front, et 56 y perdent la vie[54].

    Dans la nuit du 13 au , des orages particuliĂšrement violents accompagnĂ©s de pluies diluviennes ont entraĂźnĂ© une crue subite de la Beauronne. Une quarantaine de maisons ont Ă©tĂ© sinistrĂ©es Ă  Agonac. Ces maisons ont Ă©tĂ© construites en fond de vallĂ©e de la Beauronne Ă  partir des annĂ©es 1980, lĂ  oĂč il y avait avant des pĂątures rĂ©guliĂšrement inondĂ©es.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune d'Agonac (appelée dans un premier temps Agonat puis Agonnac) a été rattachée, dÚs 1790, au canton d'Agonat qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Agonat en 1800. La commune est alors rattachée au canton de BrantÎme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[55].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , la commune est rattachée au canton de Trélissac pour les élections départementales de mars 2015[56].

    Intercommunalité

    Le , la commune adhÚre à la communauté de communes des Villages truffiers des portes de Périgueux. Cette intercommunalité étant dissoute au , Agonac rejoint la communauté d'agglomération périgourdine le [57].

    La communauté d'agglomération périgourdine disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[58] - [59].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1870 1886 Adolphe Barbut NĂ©gociant
    1886 décembre 1886 Pierre Picot Adjoint faisant fonctions de maire
    dĂ©cembre 1886 octobre 1913 Élie Simonet PropriĂ©taire
    octobre 1913 mai 1929 Louis Roux[Note 12] Propriétaire
    mai 1929 mai 1935 Gabriel Simonnet Propriétaire
    mai 1935 1944 Gaston Thibault Propriétaire cultivateur
    octobre 1944 décembre 1951 Camille Barbut Ingénieur négociant
    décembre 1951 mars 1959 Gaston Thibault Propriétaire cultivateur
    mars 1959 mars 1977 Paul Mordiconi Notaire
    mars 1977 mars 1983 Jean Demoures
    mars 1983 mars 1989 Daniel Couder
    mars 1989 avril 2014 Jean-Claude Brouillaud SE[60] Cadre retraité
    avril 2014[61]
    (réélue en mai 2020[62])
    En cours Christelle Boucaud PS[63] - [64] Attachée parlementaire
    ConseillÚre départementale du canton de Trélissac (depuis 2015)
    Suppléante du sénateur Serge Mérillou depuis 2020

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[65].

    Jumelages

    Panneau de jumelage d'Agonac.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2018, le Conseil national des villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[66].

    Équipements et services publics

    Santé

    DĂ©but 2021, les locaux rĂ©novĂ©s de l'ancienne Ă©cole maternelle accueillent une maison de santĂ© oĂč sont installĂ©s quatre mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, un cabinet de quatre infirmiĂšres, une art-thĂ©rapeute, un kinĂ©sithĂ©rapeute, une ostĂ©opathe, une podologue et une psychologue[67].

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Agonac relĂšve[68] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants d'Agonac se nomment les Agonacois[69].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[71].

    En 2020, la commune comptait 1 791 habitants[Note 13], en augmentation de 2,58 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5161 5551 5381 5411 7391 6721 7191 7141 586
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5771 6151 6291 5901 6311 6521 5641 5601 533
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4521 4351 4041 3001 3291 2761 2781 3011 236
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 2111 1621 0271 0591 3421 4511 5531 6001 637
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 7461 7721 791------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee Ă  partir de 2006[72].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    En juillet, la Mike Bishop est une course pédestre de dix kilomÚtres, que suit une randonnée pédestre de neuf kilomÚtres (20e édition en 2022[73]).

    Manifestations culturelles ou festivités

    • Foire aux vins en aoĂ»t (34e Ă©dition en 2019)[74].

    Économie

    Emploi

    En 2017[75], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 786 personnes, soit 44,6 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (76) a augmentĂ© par rapport Ă  2012 (72) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  9,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 121 Ă©tablissements[76], dont cinquante au niveau des commerces, transports ou services, vingt relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, dix-sept dans la construction, dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et dix-sept dans l'industrie[77].

    Entreprises

    Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siĂšge social est en Dordogne, la sociĂ©tĂ© « Les ChĂȘnes verts » (EHPAD) situĂ©e Ă  Agonac se classe en 49e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 797 k€[78].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau d'Agonac, XIXe siĂšcle. FondĂ© en 980 et rebĂąti Ă  diverses Ă©poques
    • Le manoir d'Agonac, limite XVIIIe , XIXe siĂšcle
    • Le logis de l'Hospice, XVIIe siĂšcle, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • La chartreuse du Pouliquet, XIXe siĂšcle, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • Le chĂąteau d'Agonac.
      Le chĂąteau d'Agonac.
    • Le manoir d'Agonac.
      Le manoir d'Agonac.
    • Pigeonnier du logis de l'Hospice.
      Pigeonnier du logis de l'Hospice.
    • La chartreuse du Pouliquet.
      La chartreuse du Pouliquet.
    • Le chĂąteau de Gourjou.
      Le chĂąteau de Gourjou.
    • La chapelle de Gourjou.
      La chapelle de Gourjou.
    • Le chevet et le clocher de l'Ă©glise Saint-Martin.
      Le chevet et le clocher de l'Ă©glise Saint-Martin.
    • Un enfeu sur le mur extĂ©rieur sud-est de l'Ă©glise.
      Un enfeu sur le mur extérieur sud-est de l'église.
    • La chapelle Notre-Dame, XIXe siĂšcle
    • La porte Salseyron, XIVe siĂšcle, qui protĂ©geait l'entrĂ©e nord du bourg au Moyen Âge
    • Le vieux bourg
    • La chapelle Notre-Dame.
      La chapelle Notre-Dame.
    • Le clocher de la chapelle Notre-Dame.
      Le clocher de la chapelle Notre-Dame.
    • La porte Salseyron.
      La porte Salseyron.
    • Maison ancienne dans le bourg.
      Maison ancienne dans le bourg.

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Chadeuil (1947-), Ă©crivain occitan, est nĂ© Ă  Agonac.
    • Patrick Vacher (1948-), footballeur professionnel de 1968 Ă  1980, est nĂ© Ă  Agonac.
    • Ginette de Matha (1952-), diplomate de 1995 Ă  2018, ambassadrice de 2012 Ă  2018, est nĂ©e Ă  Agonac.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Sur les cartes du Géoportail, deux cours d'eau portent le nom d'Alemps ; celui en limite orientale de la commune est correct ; celui à l'ouest qui longe les lieux-dits Gourjou, Maret, la Martinie et Borie des Cailloux portait le nom de « Maret » sur le cadastre napoléonien, en limite des sections H1, G1, G2 et G3 à l'ouest et A1, A2 et A3 à l'est.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Deux lieux-dits du mĂȘme nom, l'un 4,5 km Ă  l'ouest du bourg, l'autre 2 km au sud-est du bourg.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. De 1915 à début 1919, les fonctions de maire ont été assurées par un conseiller municipal, Jean Barbut, pour cause de mobilisation simultanée du maire Louis Roux et de son adjoint Jean-Louis du Repaire.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
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    Références

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