Agonac
Agonac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Agonac | |||||
L'Ă©glise Saint-Martin d'Agonac. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Dordogne | ||||
Arrondissement | PĂ©rigueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Christelle Boucaud 2020-2026 |
||||
Code postal | 24460 | ||||
Code commune | 24002 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Agonacois | ||||
Population municipale |
1 791 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 17âČ 40âł nord, 0° 45âČ 09âł est | ||||
Altitude | Min. 110 m Max. 224 m |
||||
Superficie | 37,22 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | PĂ©rigueux (commune de la couronne) |
||||
Ălections | |||||
Départementales | Canton de Trélissac | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.agonac.fr | ||||
GĂ©ographie
Généralités
Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune d'Agonac s'étend sur les deux versants de la vallée de la Beauronne, un ruisseau affluent de l'Isle.
TraversĂ© par la Beauronne, le bourg d'Agonac est situĂ©, en distances orthodromiques, onze kilomĂštres au sud-est de BrantĂŽme et douze kilomĂštres au nord de PĂ©rigueux, au croisement des routes dĂ©partementales 3, 3E7, 69 et 106. Il est Ă©galement desservi par la ligne de chemin de fer Limoges - PĂ©rigueux. Ce bourg du PĂ©rigord blanc est situĂ© au milieu d'une rĂ©gion de collines oĂč abondent les noyers et les chĂȘnes truffiers.
Communes limitrophes
Agonac est limitrophe de six autres communes.
GĂ©ologie
SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Agonac est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2a, date du Turonien inférieur, composée de calcaire crayeux blanchùtre en plaquettes ou noduleux. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3] - [4] et leurs notices associées[5] - [6].
Ăre | PĂ©riode | Ăpoque | Formations gĂ©ologiques | ||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
CĂ©nozoĂŻque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
HolocĂšne |
| ||||||||||||||||||||||||
PléistocÚne | |||||||||||||||||||||||||||
NĂ©ogĂšne (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
PaléogÚne (23.03 - 66.0) |
OligocĂšne |
| |||||||||||||||||||||||||
ĂocĂšne | non prĂ©sent | ||||||||||||||||||||||||||
PaléocÚne | non présent | ||||||||||||||||||||||||||
MĂ©sozoĂŻque (66.0 - 252.17) |
CrĂ©tacĂ© (66.0 - â145.0) |
Supérieur |
| ||||||||||||||||||||||||
inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||||||||
Jurassique (â145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m Ă Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă elle entre 110 m au sud-ouest, prĂšs du hameau Bosquely, lĂ oĂč la Beauronne quitte le territoire communal pour entrer sur celui de ChĂąteau-l'ĂvĂȘque, et 224 m au nord du bourg, Ă l'ouest du lieu-dit Gerveries[7].
Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise dâouvrage de lâĂtat et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 37,22 km2[11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 38,11 km2[4].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Beauronne, l'Alemps[Note 3] - [15], et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[16] - [Carte 1].
La Beauronne, d'une longueur totale de 28,16 km, prend sa source dans la commune de NĂ©grondes et se jette dans l'Isle en rive droite Ă Marsac-sur-l'Isle[17]. En amont de cette confluence, son bras oriental marque la limite avec PĂ©rigueux. Elle traverse la commune du nord-est Ă l'ouest sur sept kilomĂštres.
Son affluent de rive droite l'Alemps borde briĂšvement le territoire communal au nord-est sur 170 mĂštres face Ă Saint-Front-d'Alemps.
- RĂ©seaux hydrographique et routier d'Agonac.
- La retenue de la Beauronne au centre du bourg d'Agonac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].
La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours dâeau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de lâeau et lâAgence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[26] et qui se trouve Ă 25 km Ă vol d'oiseau[27] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă 53 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă 13,3 °C pour 1991-2020[32].
Urbanisme
Typologie
Agonac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[36] - [37].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (51,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (50,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46,4 %), terres arables (24,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (22,2 %), prairies (5,3 %), zones urbanisĂ©es (1,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,6 %)[38].
L'Ă©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg d'Agonac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[39] :
- à l'Allée
- la BarriĂšre
- Bas Vaure
- Beaurouchou
- Berbessou
- Berzac
- au Bois
- Borie de Domme
- Borie des Cailloux
- Borie Neuve
- Borie Vieille
- Bosquely
- Bourbou
- la Bourgeade
- Bracou
- Broudissoux
- Buffier
- les Cadagnes
- les Carassonnes
- Chaberlin
- Chantegreil
- Chapot
- Chauly
- la Cheyssas
- le Clauzélou
- le Cluzeau
- la Combe de Borie
- les Combes
- les Combettes
- les Communaux
- CouyĂšs
- Croutarias
- Fayard
- la Faye
- Fontroubade
- la ForĂȘt
- la ForĂȘt[Note 10]
- Galabert
- Galingaud
- les Gavis
- les GenĂȘts
- Gerveries
- les Gondies
- Gourjou
- Haut Vaure
- Haute LĂąge
- Labesse
- Labrousse
- Lagrange
- Lamoure
- les Landes
- Lannerie
- Lascouleyrias
- LĂ©ger
- le Lyonnet
- le Maine
- Maison Neuve
- Maret
- la Martinie
- Massenaud
- Mirlandois
- Montauban
- Moyenne LĂąge
- Neyssant
- Palenque
- Pancette
- Paritou
- Perveyrie
- Petit Palenque
- le Peyrat
- Peyrimas
- le Pigner
- la Porcherie
- la Porte
- Pouliquet
- les Pourrades
- Puy Blanc
- Puychassier
- Puydegand
- Puyjala
- Puylauraud
- Puypouzy
- les RebiĂšres
- les Rousselles
- Ruffinie
- Saigne-BĆuf
- Saleuil
- Sanet
- les Sardenas
- la Siguenie
- Thouard
- Toublanc
- Tranche Pouge
- Versailles
- Veynas
- le Vignaud
- Virolas.
Prévention des risques
Le territoire de la commune d'Agonac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[40]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[41].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Beauronne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1999 et 2007[42] - [40]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Beauronne et de l'Alemps », couvrant 7 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Beauronne. Le dĂ©bit centennal de la Beauronne retenu pour l'Ă©laboration du PPRI est de 72 m3/s[43] - [44].
Agonac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. LâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts dâincendie. Ă ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[45]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[46] - [47].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[49]. 75,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [50].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 1997, 2003, 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[40].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Castrum agonacum au XIIe siÚcle, Agonag en 1249, Agonhac en 1276[51].
Toponyme se terminant en -ac, d'une origine germanique Ago(n) avec le suffixe -acum[51].
En français comme en occitan, le nom de la commune s'Ă©crit de la mĂȘme maniĂšre[52].
Histoire
Aux lieux-dits "Borie-Vieille" et "Les Cadagnes", des fouilles ont attesté une occupation de la région dÚs les temps préhistoriques.
Au Xe siĂšcle, l'Ă©vĂȘque Frotaire de Gourdon choisit une colline d'accĂšs difficile dominant la vallĂ©e pour y Ă©difier l'une des cinq forteresses qui devaient protĂ©ger la rĂ©gion contre les invasions normandes.
Au Moyen Ăge, Agonac Ă©tait une ville close protĂ©gĂ©e par des remparts et Ă laquelle on accĂ©dait par quatre passages : la porte De Ripagay, la porte Palenchart, la porte Foscheyrencha et au nord-est, la seule encore existante, la porte Salseyron[53].
Le village est identifié sous le nom d'Agonat sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789.
Lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, alors que la commune compte plus de 1 400 habitants, 276 d'entre eux montent vers le front, et 56 y perdent la vie[54].
Dans la nuit du 13 au , des orages particuliĂšrement violents accompagnĂ©s de pluies diluviennes ont entraĂźnĂ© une crue subite de la Beauronne. Une quarantaine de maisons ont Ă©tĂ© sinistrĂ©es Ă Agonac. Ces maisons ont Ă©tĂ© construites en fond de vallĂ©e de la Beauronne Ă partir des annĂ©es 1980, lĂ oĂč il y avait avant des pĂątures rĂ©guliĂšrement inondĂ©es.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune d'Agonac (appelée dans un premier temps Agonat puis Agonnac) a été rattachée, dÚs 1790, au canton d'Agonat qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Agonat en 1800. La commune est alors rattachée au canton de BrantÎme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[55].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , la commune est rattachée au canton de Trélissac pour les élections départementales de mars 2015[56].
Intercommunalité
Le , la commune adhÚre à la communauté de communes des Villages truffiers des portes de Périgueux. Cette intercommunalité étant dissoute au , Agonac rejoint la communauté d'agglomération périgourdine le [57].
La communauté d'agglomération périgourdine disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[58] - [59].
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[65].
Politique environnementale
Dans son palmarÚs 2018, le Conseil national des villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[66].
Ăquipements et services publics
Santé
DĂ©but 2021, les locaux rĂ©novĂ©s de l'ancienne Ă©cole maternelle accueillent une maison de santĂ© oĂč sont installĂ©s quatre mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, un cabinet de quatre infirmiĂšres, une art-thĂ©rapeute, un kinĂ©sithĂ©rapeute, une ostĂ©opathe, une podologue et une psychologue[67].
Justice
Dans le domaine judiciaire, Agonac relĂšve[68] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de PĂ©rigueux ;
- du pÎle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants d'Agonac se nomment les Agonacois[69].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[71].
En 2020, la commune comptait 1 791 habitants[Note 13], en augmentation de 2,58 % par rapport Ă 2014 (Dordogne : â0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Sports
En juillet, la Mike Bishop est une course pédestre de dix kilomÚtres, que suit une randonnée pédestre de neuf kilomÚtres (20e édition en 2022[73]).
Manifestations culturelles ou festivités
- Foire aux vins en août (34e édition en 2019)[74].
Ăconomie
Emploi
En 2017[75], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 786 personnes, soit 44,6 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (76) a augmenté par rapport à 2012 (72) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 9,6 %.
Ătablissements
Au , la commune compte 121 Ă©tablissements[76], dont cinquante au niveau des commerces, transports ou services, vingt relatifs au secteur administratif, Ă l'enseignement, Ă la santĂ© ou Ă l'action sociale, dix-sept dans la construction, dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et dix-sept dans l'industrie[77].
Entreprises
Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siĂšge social est en Dordogne, la sociĂ©tĂ© « Les ChĂȘnes verts » (EHPAD) situĂ©e Ă Agonac se classe en 49e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 797 kâŹ[78].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le chùteau d'Agonac, XIXe siÚcle. Fondé en 980 et rebùti à diverses époques
- Le manoir d'Agonac, limite XVIIIe , XIXe siĂšcle
- Le logis de l'Hospice, XVIIe siÚcle, propriété privée
- La chartreuse du Pouliquet, XIXe siÚcle, propriété privée
Le chĂąteau d'Agonac. Le manoir d'Agonac. Pigeonnier du logis de l'Hospice. La chartreuse du Pouliquet.
- Le chùteau de Gourjou et sa chapelle, propriété privée
- L'église Saint Martin[79], XIe et XIIe siÚcles et rénovée fin XIXe siÚcle, classée monument historique depuis 1900[80].
Le chùteau de Gourjou. La chapelle de Gourjou. Le chevet et le clocher de l'église Saint-Martin. Un enfeu sur le mur extérieur sud-est de l'église.
- La chapelle Notre-Dame, XIXe siĂšcle
- La porte Salseyron, XIVe siĂšcle, qui protĂ©geait l'entrĂ©e nord du bourg au Moyen Ăge
- Le vieux bourg
La chapelle Notre-Dame. Le clocher de la chapelle Notre-Dame. La porte Salseyron. Maison ancienne dans le bourg.
Personnalités liées à la commune
- Michel Chadeuil (1947-), écrivain occitan, est né à Agonac.
- Patrick Vacher (1948-), footballeur professionnel de 1968 à 1980, est né à Agonac.
- Ginette de Matha (1952-), diplomate de 1995 à 2018, ambassadrice de 2012 à 2018, est née à Agonac.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
- La superficie publiĂ©e par lâInsee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă la surface gĂ©ographique[12] - [13]
- Sur les cartes du Géoportail, deux cours d'eau portent le nom d'Alemps ; celui en limite orientale de la commune est correct ; celui à l'ouest qui longe les lieux-dits Gourjou, Maret, la Martinie et Borie des Cailloux portait le nom de « Maret » sur le cadastre napoléonien, en limite des sections H1, G1, G2 et G3 à l'ouest et A1, A2 et A3 à l'est.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Deux lieux-dits du mĂȘme nom, l'un 4,5 km Ă l'ouest du bourg, l'autre 2 km au sud-est du bourg.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- De 1915 à début 1919, les fonctions de maire ont été assurées par un conseiller municipal, Jean Barbut, pour cause de mobilisation simultanée du maire Louis Roux et de son adjoint Jean-Louis du Repaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Agonac » sur Géoportail (consulté le 15 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Ăvolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique d'Agonac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
- « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune d'Agonac », sur le SystĂšme dâinformation pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
- « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 759 - Périgueux (est) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Agonac », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Ăle-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- Recherche sur le cadastre napoléonien, Archives départementales de la Dordogne, consulté le .
- « Fiche communale d'Agonac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « la Beauronne »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Agonac et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Agonac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Agonac » sur Géoportail (consulté le 30 janvier 2021)..
- « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Agonac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
- [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de la Beauronne » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
- « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Ernest NÚgre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 741 - (ISBN 2600001336).
- Le nom occitan des communes du Périgord - Agonac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 27 septembre 2021.
- Guy Penaud, Dictionnaire des chĂąteaux du PĂ©rigord, p. 12, Ă©ditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 978-2-87901-221-6).
- Hervé Chassain, « Agonac se raconte durant la Grande Guerre », Sud Ouest édition Dordogne, 19 octobre 2018, p. 17.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral no 111720 du 28 dĂ©cembre 2011 (Recueil des actes administratifs de l'Ătat en Dordogne - dĂ©cembre 2011, p. 19) sur le site de la PrĂ©fecture de la Dordogne
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 27 août 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
- « Voici vos 557 maires », supplément à Sud Ouest édition Dordogne, 3 avril 2008, p. 5.
- Ă Agonac, Sud Ouest Ă©dition PĂ©rigueux du 8 avril 2014, p. 20c.
- « « La mĂȘme Ă©nergie » pour Christelle Boucaud », Sud Ouest Ă©dition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 19.
- H.C., « Ne nous oubliez pas ! », Sud Ouest édition Périgueux du 9 avril 2014, p. 15.
- Benoßt Martin, « Sénatoriales : Serge Mérillou détaille sa candidature », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Agonac, consultée le 27 octobre 2017.
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 janvier 2019.
- Clément Bouynet, « Une ancienne école devenue maison de santé », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 17.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « La Mike Bishop approche à grands pas », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14.
- « 34e édition de la foire aux vins », Sud Ouest édition Périgueux, 2 août 2019, p. 18.
- Dossier complet - Commune d'Agonac (24002) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le .
- « Ătablissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
- Dossier complet - Commune d'Agonac (24002) - Ătablissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le .
- « Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 39.
- Laurence Cabrero-Ravel, L'église Saint-Martin d'Agonac, p. 95-104, dans CongrÚs archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999
- « Ăglise Saint-Martin », notice no PA00082313, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture, consultĂ©e le 17 mai 2011.