Cornille (Dordogne)
Cornille est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Cornille | |||||
Le bourg de Cornille. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Dordogne | ||||
Arrondissement | PĂ©rigueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Stéphane Dobbels 2020-2026 |
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Code postal | 24750 | ||||
Code commune | 24135 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Cornillais | ||||
Population municipale |
687 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 15âČ 07âł nord, 0° 47âČ 07âł est | ||||
Altitude | Min. 134 m Max. 230 m |
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Superficie | 13,04 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | PĂ©rigueux (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Trélissac | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | mairie-cornille.fr | ||||
GĂ©ographie
La commune de Cornille est incluse dans l'aire urbaine de PĂ©rigueux[1], et fait partie du canton de Savignac-les-Ăglises.
Les usagers de la route départementale 8 qui se rendent de Périgueux à Thiviers, traversent le lieu-dit Les Piles, réparti entre deux communes : à gauche Cornille et à droite Antonne-et-Trigonant.
Le bourg, quant à lui, est situé dix kilomÚtres au nord-est de Périgueux, à l'écart de cette route principale.
Communes limitrophes
Cornille est limitrophe de cinq autres communes.
GĂ©ologie
SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Cornille est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à hußtres et à rhynchonelles, localement grÚs et sables jaunes (feuille de Terrasson). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3] - [4] et sa notice associée[5].
Ăre | PĂ©riode | Ăpoque | Formations gĂ©ologiques | ||||||||||||||||||
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CĂ©nozoĂŻque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
HolocĂšne |
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PléistocÚne | non présent | ||||||||||||||||||||
NĂ©ogĂšne (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||
PaléogÚne (23.03 - 66.0) |
OligocĂšne |
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ĂocĂšne | non prĂ©sent | ||||||||||||||||||||
PaléocÚne | non présent | ||||||||||||||||||||
MĂ©sozoĂŻque (66.0 - 252.17) |
CrĂ©tacĂ© (66.0 - â145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||
Jurassique (â145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m Ă Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă elle entre 134 m et 230 m[6] - [7].
Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise dâouvrage de lâĂtat et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,04 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,39 km2[4].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[15] - [Carte 1]. Son territoire est parsemé de quelques petits étangs.
Gestion et qualité des eaux
Bien qu'aucun cours d'eau ne baigne la commune, celle-ci est nĂ©anmoins couverte par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne » pour les eaux de ruissellement et les eaux souterraines. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [17].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[18]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[22] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[23] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[24] et qui se trouve Ă 29 km Ă vol d'oiseau[25] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[26]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă 50 km[27], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[28], Ă 13,1 °C pour 1981-2010[29], puis Ă 13,3 °C pour 1991-2020[30].
Urbanisme
Typologie
Cornille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [31] - [32] - [33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[34] - [35].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (51,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (53,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (44,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26,5 %), terres arables (23,6 %), zones urbanisĂ©es (4 %), prairies (1,8 %)[36].
L'Ă©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Cornilha[37].
Sur la planÚte Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'aprÚs la commune[38].
Histoire
Avant 1801, la commune de Cornille était rattachée au canton d'Agonac créé en 1790 et supprimé en 1801 par la loi du 8 pluviÎse an IX () portant sur la "réduction du nombre de justices de paix".
Le 12 juin 1944, treize otages sont fusillés au lieu-dit les Piles (partagé entre Antonne-et-Trigonant et Cornille) à la suite d'un accrochage entre un groupe de résistants et les Allemands[39].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Cornille a Ă©tĂ© rattachĂ©e, dĂšs 1790, au canton d'Agonat qui dĂ©pendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimĂ©s en 1795 et le canton d'Agonat en 1800. La commune est alors rattachĂ©e au canton de Savignac-les-Ăglises dĂ©pendant de l'arrondissement de PĂ©rigueux[6].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[40]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac.
Intercommunalité
Le 27 décembre 2001, la commune adhÚre dÚs sa création à la communauté de communes des Villages truffiers des portes de Périgueux. Cette intercommunalité étant dissoute au 31 décembre 2011, Cornille rejoint la communauté d'agglomération périgourdine le 1er janvier 2012[41]. Celle-ci disparaßt le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42] - [43].
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Cornille relĂšve[49] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de PĂ©rigueux ;
- du pÎle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants de Cornille se nomment les Cornillais[50].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[52].
En 2020, la commune comptait 687 habitants[Note 12], en augmentation de 2,38 % par rapport Ă 2014 (Dordogne : â0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Emploi
En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 324 personnes, soit 48,1 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (vingt-six) a augmenté par rapport à 2010 (dix-neuf) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 8,0 %.
Ătablissements
Au , la commune compte trente-deux Ă©tablissements[55], dont dix-sept au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, cinq relatifs au secteur administratif, Ă l'enseignement, Ă la santĂ© ou Ă l'action sociale, deux dans la construction, et deux dans l'industrie[56].
Tourisme
Un parcours accrobranche et un minigolf ont ouvert en avril 2018 au lieu-dit Lacombe, à proximité de la route départementale 8[57] - [58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le chĂąteau de la ForĂȘt, XVe et XVIIe siĂšcles, aujourd'hui haras
- Le pigeonnier de la Luminade, XVIIIe siĂšcle
- Un obélisque a été érigé par le comte de Barde en 1836 au nord-ouest du lieu-dit les Tavernes[59]
ChĂąteau de la ForĂȘt. Pigeonnier de la Luminade. - L'obĂ©lisque.
- L'église Saint-Eumache, XIIe siÚcle, remaniée avec chapelles du XIXe siÚcle
L'église Saint Eumache. Le porche de l'église. Vitrail représentant
saint Eumache.
Patrimoine naturel
La forĂȘt domaniale de Lanmary, zone oĂč s'Ă©panouissent nombre d'orchidĂ©es et de fougĂšres, est classĂ©e comme ZNIEFF[60]. Elle occupe une mince frange des bordures est et sud-est de la commune.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
- La superficie publiĂ©e par lâInsee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă la surface gĂ©ographique[12] - [13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[21].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Registres des délibérations communales absents entre 1935 et 1951.
- Le conseil municipal de Cornille a été dissous par décret du 19 avril 2007.
- Commission spéciale chargée de gérer la commune aprÚs la dissolution du conseil municipal. Source : Article Commission spéciale pour gérer Trélissac, Journal Sud Ouest, édition Périgueux, du 15 janvier 2009.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Cornille » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- IGN, « Ăvolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
Références
- « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Cornille » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
- « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Cornille », sur le SystĂšme dâinformation pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
- « Notice associée à la feuille no 759 - Périgueux (est) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Cornille », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Ăle-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Cornille », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
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- Antoine Balandra, « Départementales en Dordogne : le bastion de Trélissac tombera-t-il ? » sur France Bleu Périgord,13 mars 2015.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Dossier complet - Commune de Cornille (24135) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 22 septembre 2018.
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- Dossier complet - Commune de Cornille (24135) - Ătablissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 22 septembre 2018.
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- Catherine Schunck, « Dossier d'inventaire, petit patrimoine rural bùti du Périgord » [PDF], sur lapierreangulaire24.fr, (consulté le ).
- [PDF] DIREN Aquitaine - ForĂȘt domaniale de Lanmary