Accueil🇫🇷Chercher

Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert

Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
Javerlhac avec l'église et le château.
Blason de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Maire
Mandat
Jean-Pierre Porte
2020-2026
Code postal 24300
Code commune 24214
Démographie
Gentilé Javerlhacois
Population
municipale
829 hab. (2020 en diminution de 3,6 % par rapport à 2014)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 34′ 14″ nord, 0° 33′ 41″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 211 m
Superficie 29,25 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nontron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
Liens
Site web www.javerlhac-et-la-chapelle-saint-robert.fr

    De 1790 à 1801, la commune était le chef-lieu du canton de Javerlhac. Depuis 1823, elle est constituée de deux villages : La Chapelle-Saint-Robert et Javerlhac, ainsi que de plusieurs hameaux.

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Généralités

    La rivière le Bandiat traverse la commune du sud-est au nord-ouest et reçoit en rive droite son affluent la Doue, environ un kilomètre en amont du bourg de Javerlhac. Sur le terrain de la commune se trouvent des champs, des prés et beaucoup de bois où dominent chênes et châtaigniers. Le sol de la commune est calcaire, comprenant quelques petites cavités.

    À l'extrême nord-ouest du département de la Dordogne, la commune est limitrophe du département de la Charente. Elle est desservie par la route départementale 75, qui suit la vallée du Bandiat et traverse le bourg de Javerlhac, ainsi que les départementales 92 (qui passe à La Chapelle-Saint-Robert), 93 et 94.

    Communes limitrophes

    Carte de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert et des communes avoisinantes.

    Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert est limitrophe de huit autres communes dont deux dans le département de la Charente.

    Communes limitrophes de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert
    Varaignes,
    Souffrignac
    (Charente)
    Teyjat Le Bourdeix
    Mainzac
    (Charente)
    Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert Saint-Martin-le-Pin
    Hautefaye Lussas-et-Nontronneau

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de magmatiques. La formation la plus ancienne, notée γ3-4, fait partie des granodiorites de Piégut-Pluviers, composée de granite à biotite, structure équante, grain moyen à grossier, en massif (Carbonifère supérieur). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 710 - Montbron » et « no 734 - Nontron » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et leurs notices associées[4] - [5].

    Carte géologique de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 115 m et 211 m[6] - [7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 29,25 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 29,12 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Bandiat, la Doue, la Marcourive, le Merlançon et le ruisseau de Saint-Martin[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 18,5 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Le Bandiat, d'une longueur totale de 91,35 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de La Chapelle-Montbrandeix et se jette dans la Tardoire en rive gauche en Charente à Agris[16]. Il traverse la commune du sud-est au nord-ouest sur sept kilomètres et demi, dont plus de cinq kilomètres servent de limite naturelle en plusieurs tronçons, face à Lussas-et-Nontronneau, Saint-Martin-le-Pin et Varaignes.

    La Doue, d'une longueur totale de 17,45 km, prend sa source dans la commune de Piégut-Pluviers et se jette dans le Bandiat en rive droite dans la commune, au lieu-dit les Termes[17] - [18]. Elle arrose l'est de la commune sur près de quatre kilomètres et demi, dont deux marquent la limite face à Saint-Martin-le-Pin.

    Trois autres affluents de rive droite du Bandiat baignent le territoire communal :

    • la Marcourive qui borde la commune au nord sur 200 mètres face à Teyjat et Varaignes ;
    • le Merlancon à l'est sur trois kilomètres et demi dont près d'un kilomètre en limite de Teyjat ;
    • le ruisseau de Saint-Martin à l'est sur plus d'un kilomètre et demi, dont un kilomètre sert de limite naturelle avec Saint-Martin-le-Pin.
    • Le Bandiat dans le bourg de Javerlhac.
      Le Bandiat dans le bourg de Javerlhac.
    • Crue du Bndiat à Forgeneuve.
      Crue du Bndiat à Forgeneuve.
    • Crue de la Doue en amont de la RD 75.
      Crue de la Doue en amont de la RD 75.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 985 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marthon », sur la commune de Marthon, mise en service en 1991[27] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[28] - [Note 7], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 822,8 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 62 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 11,4 °C pour 1981-2010[32], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[33].

    Toponymie

    L'écriture du nom de la commune de Javerlhac n'a pas changé au cours des siècles, seule la lettre h est parfois supprimée[34].

    La-Chapelle-Saint-Robert est également mentionnée sous le nom de La Chapelle-Saint-Rabier dans un document conservé par les archives des Pyrénées-Atlantiques à Pau[34].

    En occitan, la commune porte le nom de Javerlhac e la Chapela Sent Robert[35].

    Le nom du village en français et en occitan.

    Histoire

    Javerlhac est occupé depuis l'âge du fer comme le montrent des vestiges trouvés à la fin du XIXe siècle dans la grotte des Ormes[36]. En 1264, Javerlhac est mentionnée dans les archives du Vatican, puis en 1288, dans la légende d'un sceau[34].

    À la Chapelle-Saint-Robert la vie s'est organisée autour de son église romane remarquable datant du XIe siècle. En 1330, l'évêque d'Angoulême évoque la Capella Sancti Roberti[34].

    Les deux paroisses et communes Javerlhac et La Chapelle-Saint-Robert fusionnent en 1823 sous le nouveau nom de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert.

    En 1943, le groupement 38 "Mermoz" des Chantiers de la jeunesse française, déplacé des Pyrénées vers la Dordogne, installa son infirmerie-hôpital au château de Jommelières[37].

    Le a lieu à Javerlhac un affrontement entre la Résistance et l'occupant allemand renforcé par des éléments de la Milice : une colonne de quatre-cents Allemands et miliciens cherche à rejoindre Nontron et est arrêtée par une vigoureuse réaction des résistants locaux. L'engagement dure toute la journée et l'ennemi est contraint de se retirer avec de lourdes pertes[38] - [39].

    Urbanisme

    Typologie

    Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [40] - [41] - [42].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[43] - [44].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,1 %), forêts (36 %), terres arables (17,9 %), prairies (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), zones urbanisées (1,5 %)[45].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[46]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[47].

    Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[48]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[49] - [50].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[51]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[52]. 70,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [53].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988 et 1999, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[46].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Javerlhac est le chef-lieu du canton de Javerlhac qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Nontron dépendant de l'arrondissement de Nontron[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[54]. Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert est alors rattachée électoralement au canton du Périgord vert nontronnais.

    Intercommunalité

    Fin 2002, Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord Nontronnais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la nouvelle communauté de communes du Périgord Nontronnais.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[55] - [56].

    Liste des maires

    Le bâtiment de la mairie, le bureau de poste et la salle de la culture.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1814 1814 Guillaume Tallade
    1814 1830 Fompuy-Bouleuneix
    1830 1835 Amable Douroux
    1835 1848 Fompuy-Bouleuneix
    1848 1855 Amable Duroux
    1855 1856 Auguste Masse
    1856 1871 Désiré Bordas
    1871 1874 Édouard Mousnier-Lempré
    1874 1878 Guillaume Gauthier
    1878 1882 Théophile Donzeaur
    1882 1886 Ernest Desmarais
    1886 1891 Pierre Bridet
    1891 1905 Auguste Desvard
    1905 1912 Eymard Mazerat
    1912 1919 Antoine Mousnier-Lempié
    1919 1931 Jean Borderon
    1931 1935 Firmain Dalgier
    1935 1939 Luc Borderon
    1939 1945 Jean Émile Bourrinet
    1945 ? Marc Borderon
    1971 1989 Alfred Duclaud
    1989 mars 2001 James Boulestin
    mars 2001 mars 2014 Roland Decourt SE[57] Gérant de société
    mars 2014[58]
    (réélu en juillet 2020)
    En cours Jean-Pierre Porte DVD[59]

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert relève[60] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert se nomment les Javerlhacois[61].

    Démographie de La Chapelle-Saint-Robert

    Jusqu'en 1823, les communes de Javerlhac et de La Chapelle-Saint-Robert étaient indépendantes.

    Évolution de la population
    de La Chapelle-Saint-Robert
    1793 1800 1806 1821
    250227245230
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[62])

    .

    Démographie de Javerlhac, puis de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[64].

    En 2020, la commune comptait 829 habitants[Note 11], en diminution de 3,6 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0789961 0111 0791 4541 4531 4531 5361 538
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5421 4861 5181 3511 4641 6561 5361 5351 465
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3031 3041 2931 2521 2991 2921 2521 2461 136
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 1751 1291 0711 0041 064915895897903
    2014 2019 2020 - - - - - -
    860835829------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[65].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Emploi

    En 2015[66], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 390 personnes, soit 45,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-six) a augmenté par rapport à 2010 (trente-sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 91 établissements[67], dont quarante-quatre au niveau des commerces, transports ou services, dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatorze dans la construction, dix dans l'industrie, et six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[68].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le château de Javerlhac, XVIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1974 pour ses toitures et façades[69] ; à côté se trouvent un pigeonnier et un moulin à eau pour la fabrication d'huile de noix.
    • Le manoir du Logis construit en 1882 à l'emplacement de l'ancienne maison de maître de la fin du XVe siècle.
    • Le domaine de Jommelières construit entre 1859 et 1860 à l'emplacement d'une gentilhommière et d'une forge. En 1876 un industriel ancien maire de Javerlhac, Victor Massé, ouvre un centre d'éducation surveillée pour mineurs, un « bagne pour enfants », fermé par arrêté préfectoral en 1899. Aujourd'hui on y trouve une pépinière.
    • Le château de Puymoger du XVIIe siècle[70].
    • Au bord du Bandiat, à Forge Neuve, il y a aussi une ancienne forge royale à hauts fourneaux, où étaient fabriqués des canons pour la marine. Inscrite partiellement au titre des monuments historiques depuis 1976, en 2021 un nouvel arrêté d'inscription intègre l'ensemble des locaux, canaux, cours d'eau, biefs, vannes, île, ponts du site[71]. Forge Neuve et la Forge forment le « site des Forges », inscrit depuis 1975, pour son intérêt historique et pittoresque[72]. Il s'agit d'une ancienne forge construite à partir de 1750 par Marc-René de Montalembert qui fait ériger deux hauts fourneaux afin de fournir des canons à l'arsenal de Rochefort[73]. Elle est améliorée en 1755 par le suisse Jean Maritz et en 1782, Forgeneuve devient, par décision de Louis XVI, une forge royale à canons, dont l'activité cesse en 1870[73].
    • Le château de Javerlhac.
      Le château de Javerlhac.
    • Le manoir du Logis.
      Le manoir du Logis.
    • La roue de Forgeneuve.
      La roue de Forgeneuve.

    Patrimoine religieux

    • Le clocher de l'église Saint-Étienne.
      Le clocher de l'église Saint-Étienne.
    • L'enfeu à l'intérieur de Saint-Étienne.
      L'enfeu à l'intérieur de Saint-Étienne.
    • L'église Saint-Robert.
      L'église Saint-Robert.
    • Chapiteaux à l'entrée de Saint-Robert.
      Chapiteaux à l'entrée de Saint-Robert.

    Patrimoine naturel

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[77] depuis la création de celui-ci en 1998[78], adhésion renouvelée en 2011[79].

    Les vallées du Bandiat et des parties aval de ses deux affluents, la Doue et le ruisseau de Saint-Martin, sont protégées dans leur traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I « Vallées du réseau hydrographique du Bandiat » dont la flore est constituée de près d'une centaine d'espèces de plantes, dont deux sont considérées comme déterminantes : l'aigremoine élevée, ou aigremoine odorante (Agrimonia procera) et la jacinthe des bois, ou jacinthe sauvage (Hyacinthoides non-scripta)[80] - [81].

    La grotte des Ormes, découverte en 1892 par Louis Aupy[82].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert Blason
    D’azur au mouton d’argent[84].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Odette Plazer, « Javerlhac au temps de la séparation de l'Église et de l'État », dans Chroniques no 17 du G.R.H.I.N. (groupe de Recherches Historiques du Nontronnais), 2017, p. 80-101 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le ruisseau de Varaignes, affluent de rive droite du Bandiat, n'arrose pas la commune de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert située en rive gauche à leur confluence.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 710 - Montbron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 734 - Nontron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. Sandre, « le Bandiat »
    17. « Confluence Doue-Bandiat au lieu-dit les Termes » sur Géoportail (consulté le 5 août 2022)..
    18. Sandre, « la Doue »
    19. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    21. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    22. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    23. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    24. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    25. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    26. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    27. « Station Météo-France Marthon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    28. « Orthodromie entre Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert et Marthon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    29. « Station Météo-France Marthon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    30. « Orthodromie entre Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    31. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    34. Alexis de Gourgues : La Dordogne. Dictionnaire topographique du département. Chaulnes : Res Universis, 1992. Reprise de l'édition restaurée de 1873. (ISBN 2-87760-904-9).
    35. Le nom occitan des communes du Périgord - Javerlhac e la Chapela Sent Robert sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 19 septembre 2021.
    36. C. Chevillot: Le 2e Age du Fer au Musée du Périgord : Le mobilier de la Grotte des Ormes à Javerlhac (Dordogne). BSHAP, t. 105, 1. p. 52-68, 8 fig. 1978)
    37. Francis A. Boddart, Les chantiers de la jeunesse et la Dordogne, 1940-1944 [Texte imprimé] : de la révolution nationale à la production industrielle, Périgueux, IFIE Éditions Périgord, , 342 p. (ISBN 978-2-916265-18-6), p. 204.
    38. L'affaire de Javerlhac, Résistance française.
    39. Stèles commémorant la bataille de Javerlhac du 24 juillet 1944, Résistance française.
    40. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    41. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    42. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    43. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    46. « Les risques près de chez moi - commune de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert », sur Géorisques (consulté le )
    47. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    48. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    49. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
    50. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
    51. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    52. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    53. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    54. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    55. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.
    56. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.
    57. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 17.
    58. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 19 août 2014.
    59. Résultats des élections départementales 2015, Ministère de l'Intérieur.
    60. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    61. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 26 novembre 2016.
    62. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Chapelle-Saint-Robert », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    63. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    64. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    65. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    66. Dossier complet - Commune de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert (24214) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
    67. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    68. Dossier complet - Commune de Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert (24214) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
    69. « Château de Javerlhac », notice no PA00082586, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2014.
    70. Hervé Lapouge, Châteaux du Nontronnais, dans Nontron & le Pays Nontronnais, vol.1, sous la coordination de Jacques Lagrange, Pilote 24, 1996, (ISBN 2-9509149-1-8), p. 203-211.
    71. « Forge Neuve », notice no PA00082589, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
    72. [PDF] Site des Forges sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 mai 2019.
    73. Marie Deshayes, « En équipe, ils creusent la mémoire des forges », Le Mag no 397, supplément à Sud Ouest, 9 novembre 2019, p. 20-22.
    74. « Église de la Chapelle-Saint-Robert », notice no PA00082587, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2014.
    75. Jules Mandin, Notice sur l'église de La Chapelle-Saint-Robert, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1874, p. 101-105 (lire en ligne)
    76. « Église de Javerlhac », notice no PA00082588, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2014
    77. Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 4 mai 2019.
    78. Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    79. Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    80. [PDF] Vallées du réseau hydrographique du Bandiat, INPN, consulté le 4 mai 2019.
    81. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012830, INPN, consulté le 4 mai 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
    82. Michel Hardy, « La grotte des Ormes, à Javerlhac (Dordogne) », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1893, tome 20, p. 58-64 (lire en ligne)
    83. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
    84. Gaso OLDJP La banque du blason 2
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.