Thomery
Thomery est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Ăle-de-France. En 2020, elle compte 3 419 habitants.
Thomery | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Ăle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Moret Seine et Loing | ||||
Maire Mandat |
Bruno Michel (DVD) 2020-2026 |
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Code postal | 77810 | ||||
Code commune | 77463 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Thomeryons | ||||
Population municipale |
3 419 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 922 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 24âČ 34âł nord, 2° 47âČ 04âł est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 96 m |
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Superficie | 3,71 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Champagne-sur-Seine (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montereau-Fault-Yonne | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăle-de-France
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Liens | |||||
Site web | thomery.fr | ||||
SituĂ©e dans un mĂ©andre de la Seine, entre le fleuve et la forĂȘt de Fontainebleau, Thomery est principalement connue pour la culture traditionnelle d'un raisin de table, le chasselas de Thomery, selon des techniques particuliĂšres le long de murs et un mode de conservation unique.
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Thomery est situĂ©e dans le sud du dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Ăle-de-France[1], sur la rive gauche d'un mĂ©andre de la Seine et en partie dans la forĂȘt de Fontainebleau.
Elle se situe à 21,40 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 7,68 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 19,10 km de Montereau-Fault-Yonne[4], bureau centralisateur du canton de Montereau-Fault-Yonne dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Champagne-sur-Seine[1].
Le territoire communal s'Ă©tend sur seulement 3,710 km2 (dont une infime partie de la forĂȘt de Fontainebleau relevant de la ville Ă©ponyme), surface qui en fait l'une des plus petites communes du dĂ©partement.
Communes limitrophes
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Champagne-sur-Seine (1,6 km), Vulaines-sur-Seine (2,9 km), Samoreau (3,0 km), Saint-MammĂšs (3,2 km), Veneux-les-Sablons (3,4 km), Moret-sur-Loing (4,4 km), Avon (4,5 km), HĂ©ricy (4,6 km).
GĂ©ologie et relief
L'altitude varie de 42 mĂštres Ă 96 mĂštres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă environ 54 mĂštres d'altitude (mairie)[Carte 1].
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[6] - [7].
- Carte du relief de Thomery.
Carte géologique vectorisée et harmonisée de Thomery.
Ăres | PĂ©riodes gĂ©ologiques | Ăpoques gĂ©ologiques | Nature des sols | ||||||||||||
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CĂ©nozoĂŻque | Quaternaire | HolocĂšne |
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PléistocÚne | |||||||||||||||
NéogÚne | PliocÚne | non présent. | |||||||||||||
MiocÚne | non présent. | ||||||||||||||
PaléogÚne | OligocÚne | ||||||||||||||
ĂocĂšne |
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PaléocÚne | non présent. |
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[8].
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : la Seine dont la longueur totale sur le territoire de la commune est de 3,23 km[9].
Gestion des cours d'eau
Afin dâatteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e sâarticulent Ă diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă lâĂ©chelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă lâĂ©chelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].
La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[11]. Le pilotage et lâanimation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[12].
Climat
ParamÚtres climatiques pour la commune (période 1971-2000) | |
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La commune bĂ©nĂ©ficie dâun « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte lâensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[13].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[15]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă 23 km Ă vol d'oiseau[16], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] Ă 11,6 °C pour 1991-2020[18].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[19] - [20].
La rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un espace protĂ©gĂ© prĂ©sent sur la commune. Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă dominante agricole, lâemblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă lâest. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Ăducation, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[21] - [22].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels dâintĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les Ătats Membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[23].
Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » : le « Massif de Fontainebleau »[24]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes grĂ©seuses alternent avec les vallĂ©es sĂšches. Les conditions de sols, d'humiditĂ© et d'expositions sont trĂšs variĂ©es. La forĂȘt de Fontainebleau est rĂ©putĂ©e pour sa remarquable biodiversitĂ© animale et vĂ©gĂ©tale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espĂšces de colĂ©optĂšres, 1 200 de lĂ©pidoptĂšres) ainsi qu'une soixantaine d'espĂšces vĂ©gĂ©tales protĂ©gĂ©es[25].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal de Thomery comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] - [26] - [Carte 2], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont dix-sept en Seine-et-Marne et une dans l'Essonne[27], et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [26], la « vallée de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant quinze communes du département[28].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune. Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Thomery est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [29] - [30] - [31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Champagne-sur-Seine, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[32] et 27 934 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[33] - [34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[35] - [36].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (57,10 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (57,10 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (57,10 %), forĂȘts (25,41 %), eaux continentales[Note 8] (10,07 %), prairies (7,42 %)[37].
Type dâoccupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
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Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
214,42 ha | 57,10 % | 214,42 ha | 57,10 % | 0 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes) |
27,86 ha | 7,42 % | 27,86 ha | 7,42 % | 0 ha |
ForĂȘts et milieux semi-naturels (forĂȘts, milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation) |
95,40 ha | 25,41 % | 95,40 ha | 25,41 % | 0 ha |
Surfaces en eau (eaux continentales, eaux maritimes) |
37,82 ha | 10,07 % | 37,82 ha | 10,07 % | 0 ha |
ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Ăle-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Ăle-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă 81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[38] - [39] - [Carte 3]. L'Institut met Ă©galement Ă disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune. Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă se regrouper au sein dâun Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis dâamĂ©nagement de lâespace au sein dâun SCoT, un document dâorientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă une grande Ă©chelle et Ă un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte dâĂ©tudes et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[40].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[41]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 5].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 52 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[42] dont By, ancienne commune limitrophe de Veneux-les-Sablons, les Montforts, Effondrés (source : le fichier Fantoir).
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 1 655 dont 90,9 % de maisons et 8,8 % dâappartements.
Parmi ces logements, 87 % étaient des résidences principales, 7,5 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants.
La part des mĂ©nages fiscaux propriĂ©taires de leur rĂ©sidence principale sâĂ©levait Ă 83,4 % contre 14,7 % de locataires[43], dont 0,1 % de logements HLM louĂ©s vides (logements sociaux)[Note 10] et 1,8 % logĂ©s gratuitement.
Voies de communication
La ligne de chemin de fer de Paris à Marseille traverse, d'ouest en est, l'extrémité sud du territoire de la commune.
Deux routes départementales relient Thomery aux communes voisines :
- la D 137, Ă Fontainebleau, Ă l'ouest et au sud ;
- la D 210, Ă Fontainebleau, Ă l'ouest ; Ă Champagne-sur-Seine, Ă l'est.
Transports
la gare de Thomery, située sur le territoire de Fontainebleau (à 1,7 kilomÚtre au sud-ouest du centre-ville de Thomery), est desservie par les trains de la ligne R du Transilien effectuant les liaisons : Paris - Montereau via Moret et Paris - Montargis. Le trajet depuis Paris s'effectue en 45 min environ.
Thomery est desservie par plusieurs lignes de bus du rĂ©seau Transdev Ăle-de-France[44] - [45] :
- une ligne du réseau d'autocars Transdev Vulaines[46] :
- la ligne no 209, qui relie Vernou-la-Celle-sur-Seine Ă Avon ;
- une ligne du réseau d'autocars Transdev Nemours[47] :
- la ligne no 8b, qui relie Saint-Pierre-lĂšs-Nemours Ă HĂ©ricy ;
- deux lignes du réseau d'autocars Transdev Interval[48] :
- la ligne no 206, qui relie Villecerf Ă Champagne-sur-Seine ;
- la ligne no 210, qui relie Vernou-la-Celle-sur-Seine Ă Fontainebleau.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Taumeriacum en 1220[49] ; Taumery en 1344[50] ; Taumery en la chastellenie de Moret en Gastinoiz en 1379[51] ; Taumery lez Moret en 1489[52] ; Thaumery en 1504[52] ; Thaumery prÚs Moret en Gastinois en 1554[53] ; Thaumery en Biere en 1594[54] ; Thomery en Gastinois en 1725[52] ; Thomery prÚs Fontainebleau en 1761[52].
De Talos-Maros ; talo : « terre », maros : « grande ». Thomery présente une grande surface de terre en face d'une pente trÚs raide (au hameau) l'Effondré
[55] oĂč le vignoble couvrait la moitiĂ© des surfaces cultivables[56].
Selon la tradition locale l'origine du nom de Thomery serait liĂ©e Ă la venue au VIIe siĂšcle d'un abbĂ© bourguignon de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun appelĂ© saint MĂ©dĂ©ric dit MĂ©dĂ©ricus ou Merry qui s'arrĂȘta lors de son voyage vers la basilique Saint-Denis dans une demeure du lieu et guĂ©rit des malades, accompagnĂ© de Frodulphe, moine de son abbaye. La maison aurait alors Ă©tĂ© appelĂ©e « demeure de Merry », soit Domus Merry, qui aurait progressivement dĂ©rivĂ© en Dommery, puis Tomery, et enfin Thomery[57].
Histoire
La tradition locale prĂȘte Ă Henri IV un bon mot lors de son sĂ©jour dans la zone de Champagne-sur-Seine. En voyant le coteau de Thomery il dĂ©clare : « Ici tout me rit »[58].
La ville de Thomery a subi la crue de la Seine de 1910 oĂč furent touchĂ©es toutes les parties basses de la commune voisinant le port.
Avec l'aide financiÚre du département et de la région, la commune devrait inaugurer un musée consacré au mode de culture de la vigne, dite à la Thomery[59]. Son inauguration était initialement prévue pour 2013[60]. Le projet est abandonné par le département et la région aux dépens de la municipalité en 2016[61].
Politique et administration
Depuis le , Thomery est l'une des 22 communes composant la communauté de communes Moret Seine et Loing.
Liste des maires
Ăquipements et services
Eau et assainissement
Lâorganisation de la distribution de lâeau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© dâun report de ce transfert au [66] - [67].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Thomery est assurée par le SIA de Champagne-sur-Seine Thomery pour le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [68] - [69] - [70].
Lâassainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[71]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et lâentretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive Ă Ă©chĂ©ance le 31 mars 2028[68] - [72].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [68] - [73] - [74].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible dâaggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie dâune distribution dâune eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de lâeau signĂ©, le , contient un plan dâactions afin dâassurer avec priorisation la sĂ©curisation de lâalimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental dâalimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Bocage[75].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[76]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[77].
En 2020, la commune comptait 3 419 habitants[Note 11], en diminution de 2,12 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- La fĂȘte de la Saint-Vincent, qui se dĂ©roule chaque annĂ©e le samedi le plus proche du , cĂ©rĂ©monie villageoise de dĂ©signation du nouveau bĂątonnier pour l'annĂ©e Ă venir[80]. Un bĂątonnier est dĂ©signĂ© Ă cette occasion parmi les habitants du village. Les Ă©coliers sont costumĂ©s avec des tenues de vigneron et forment un cortĂšge du domicile du bĂątonnier actuel vers l'Ă©glise Saint-Amand. AprĂšs la messe, le cortĂšge repart de l'Ă©glise vers le domicile du nouveau bĂątonnier qui reçoit tout le village pour un traditionnel vin chaud.
- La fĂȘte de la Saint-Patouillat anime chaque annĂ©e le village pendant le week-end de l'Ascension lors duquel sont organisĂ©s un vide-greniers et une fĂȘte foraine[81].
- La fĂȘte de la Saint-Jean est aussi cĂ©lĂ©brĂ©e tous les ans.
Ăconomie
La ville était le siÚge de l'entreprise A.D.R. (pour les Applications du roulement). Fondée pendant l'entre-deux-guerres, cette entreprise était spécialisée dans la micromécanique et ses applications dans les domaines des roulements mécaniques pour l'aéronautique et d'autres équipements de haute technologie. Rachetée par le leader mondial du roulement, le groupe suédois SKF en 1964, elle compte jusqu'à 700 employés dans les années 1980. En 1993, le groupe SKF céda une partie de l'entreprise à ses salariés, cette partie gardant le nom A.D.R. et continuant son activité de roulements spéciaux de haute précision (gyroscopes, broches) jusqu'à nos jours avec un effectif moyen de 100 employés[82]. La partie non cédée par SKF, avec environ 300 employés, a fermé en 2003.
La culture du chasselas de Thomery sur murs fut une activité économique importante de la région, du XVIIIe siÚcle jusqu'au milieu du XXe siÚcle pour un apogée de la production vers 1900 avec environ 800 tonnes produites. Elle est devenue de nos jours anecdotique, seulement pratiquée par quelques passionnés. Certains des murs à vigne ont en revanche été inscrits aux monuments historiques en 1993[83].
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 443 (dont 73 % imposés), représentant 3 601 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 980 euros[84].
Emploi
En 2017 , le nombre total dâemplois dans la zone Ă©tait de 472, occupant 1 565 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă 64 ans s'Ă©levait Ă 73,1 % contre un taux de chĂŽmage de 5,1 %. Les 21,8 % dâinactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 10,5 % dâĂ©tudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 6,4 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 4,9 % pour les autres inactifs[85].
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 280 dont 9 dans lâindustrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres, 28 dans la construction, 58 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration, 15 dans lâinformation et communication, 6 dans les activitĂ©s financiĂšres et d'assurance, 11 dans les activitĂ©s immobiliĂšres, 63 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 70 dans lâadministration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 20 Ă©taient relatifs aux autres activitĂ©s de services[86].
En 2019, 44 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 35 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas dâhĂŽtel et de terrain de camping[87].
Agriculture
Thomery est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e le « Pays de BiĂšre et ForĂȘt de Fontainebleau », couvrant le Pays de BiĂšre et la forĂȘt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 12] de l'agriculture sur la commune est la culture de cĂ©rĂ©ales et d'olĂ©oprotĂ©agineux (COP)[88].
Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[89]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre dâexploitations est passĂ© de 4 en 1988 Ă 1 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 16 ha en 1988 Ă 15 ha en 2010[88]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Thomery, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[88] - [Note 13] | |||
Nombre dâexploitations (u) | 4 | 1 | 1 |
Travail (UTA) | 7 | 0 | 0 |
Surface agricole utilisée (ha) | 63 | 20 | 15 |
Cultures[90] | |||
Terres labourables (ha) | 27 | s | s |
Céréales (ha) | s | s | s |
dont blé tendre (ha) | s | s | s |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | s | ||
Tournesol (ha) | 0 | ||
Colza et navette (ha) | 0 | ||
Ălevage[88] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 14]) | 35 | 2 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Amand (XIIIe siĂšcle-XVIIe siĂšcle), dĂ©diĂ©e Ă Amand de Maastricht et classĂ©e au titre des Monuments historiques[91].
- Le Musée de l'atelier Rosa Bonheur à By.
- Le port de Thomery sur la Seine, construit sous Philippe-Auguste pour le transport du grĂšs vers Paris.
- Le chùteau de la RiviÚre, édifié pour Roch le Baillif, astrologue, conseiller et premier médecin de Henri IV.
- Le chemin des Longs Sillons, ensemble unique en France de murs Ă vigne, inscrit au titre des monuments historiques[92].
- La forĂȘt de Fontainebleau.
- La maison-musée Rosa-Bonheur à By.
- Rosa Bonheur (vers 1880-90) dans son jardin de By.
Thomery dans les arts
Toutes les scĂšnes se dĂ©roulant Ă la campagne du film Conte de printemps (1990) d'Ăric Rohmer sont tournĂ©es Ă Thomery dans une maison possĂ©dant des murs Ă vigne[93].
Personnalités liées à la commune
- Rosa Bonheur (1822-1899), peintre animalier, premiĂšre femme artiste Ă recevoir la LĂ©gion d'Honneur (par dĂ©cret du de l'impĂ©ratrice EugĂ©nie), a vĂ©cu Ă Thomery Ă partir de 1859. Elle s'Ă©tait installĂ©e dans une maison du coteau de By oĂč elle amĂ©nagea son atelier et de nombreux espaces pour ses animaux.
- EugÚne Cuvelier (1837-1900), photographe français, y est mort.
- Fernand Gregh (1873-1960), poĂšte et acadĂ©micien, avait une maison, appelĂ©e Bois-Billaud, Ă By en lisiĂšre de forĂȘt oĂč il recevait ses amis artistes. Il est enterrĂ© au cimetiĂšre communal avec son Ă©pouse la poĂ©tesse Harlette Hayem.
- Alfred Fabre-Luce (1899-1983), journaliste et écrivain. Fut propriétaire du chùteau de La RiviÚre situé sur la commune de Thomery.
- Francis Gruber (1912-1948), peintre, vécut à Thomery au « Vieux Chùteau » et est enterré dans le cimetiÚre municipal[94].
- Adrienne Clostre (1921-2006), compositrice, Grand prix de Rome en 1949, est née à Thomery.
- Aymeric Chauprade (1969-?), géopolitologue et homme politique, a grandi à Thomery[95].
- Joska Muszka, célÚbre chef d'orchestre et compositeur de musique tzigane.
- Gustave Hodebert, poĂšte.
HĂ©raldique, logotype et devise
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Elles peuvent se blasonner ainsi aujourdâhui : De gueules Ă la grappe de raisin dâor tigĂ©e et feuillĂ©e de deux piĂšces en ombre au trait aussi dâor, Ă la champagne fascĂ©e ondĂ©e dâazur et dâargent de quatre piĂšces. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Thomery », p. 1015â1019
- André Girard, à Thomery de 1910 à 1934, Thomery, 1995
- Raymond Houdart, Thomery Ă travers les Ăąges, Thomery, 1992
- Alexandre F. Huet, Thomery ancien et moderne, Paris, 1892 (réédition 1987)
- Les Murs de Thomery, MĂ©moire d'architecture de VĂ©ronique Kargerman, 1980
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Thomery sur le site de la CC Moret Seine et Loing
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe dâhabitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux dâespĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Thomery » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Zones ZNIEFF de Thomery » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Thomery - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Ăle-de-France, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
- « GĂ©oportail de lâurbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
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- « Distance entre Thomery et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Thomery et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Thomery et Montereau-Fault-Yonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Thomery », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
- « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
- « Plan séisme consulté le 11 janvier 2021 ».
- Site SIGES â Seine-Normandie (SystĂšme dâinformation pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 5 mai 2020
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- « le Schéma d'aménagement et de gestion des Eaux de la nappe de Beauce », sur www.sage-beauce.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « DĂ©finition dâune normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Réseau européen Natura 2000 », MinistÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Thomery », sur Inventaire national du patrimoine naturel, Muséum national d'histoire naturelle (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR1100795 - fiche descriptive », sur Inventaire national du patrimoine naturel, Muséum national d'histoire naturelle (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Thomery », sur Inventaire national du patrimoine naturel, Muséum national d'histoire naturelle (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Massif de Fontainebleau » - fiche descriptive », sur Inventaire national du patrimoine naturel, Muséum national d'histoire naturelle (consulté le ).
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- Archives nationales, JJ 75, fol. 49 v°.
- Archives nationales, JJ 117, fol. 32.
- Archives nationales, S 1047.
- Archives nationales, ZZ1 301, p. 83.
- Archives nationales, Q1 1404, fol. 31.
- Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne, nom de lieux, page 6.
- BibliothÚque nationale, 1956, Mémoires et documents - Numéro 11 - Page 30.
- Histoire de Thomery sur le site de la commune.
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- Pascal Villebeuf, « Thomery : le projet de Maison du chasselas abandonnĂ© », Le Parisien,â (lire en ligne).
- Gibiat, Samuel, HiĂ©rarchies sociales & ennoblissement â Les commissaires des guerres de la Maison du roi au XVIIIe siĂšcle, Paris 2006, p. 568.
- Almanach national, Paris 1841, p. 592. 1845: "Dechambre, anc. maire de Thomery."
- Le Correspondant, tome 172, Paris 1874, p. 1130.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Le chasselas de Thomery en vedette dans Le Parisien du 19 janvier 2002.
- La fĂȘte de la saint Patouillat sur le site de la communautĂ© de communautĂ© de communes Moret Seine et Loing.
- ADR Thomery sur www.societe.com
- Verger dit murs à raisins ou jardins à vignes de Thomery sur la Base Mérimée du MinistÚre de la Culture.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2017», consulté le 11 janvier 2021
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chÎmage au sens du recensement en 2017», consulté le 11 janvier 2021
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consulté le 12 janvier 2021
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consulté le 12 janvier 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Thomery. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
- « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siĂšge dans la commune de Thomery. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministĂšre de lâAgriculture, de lâAgroalimentaire et de la ForĂȘt. (consultĂ© le ).
- Notice no PA00087295, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Notice no PA00125458, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Remi SalaĂŒn, LâhĂ©ritage touristique. Trajectoire dâun lieu pĂ©riurbain : la forĂȘt de Fontainebleau, thĂšse de GĂ©ographie, UniversitĂ© PanthĂ©on-Sorbonne - Paris I, 2017, p. 240.
- Francis Gruber, peintre du tourment et du déséquilibre dans Le Figaro du 15 mars 2010.
- Le Parisien, « Chauprade (FN) dĂ©fend le terroir Ă Coulommiers », Le Parisien,â (lire en ligne, consultĂ© le ).