Villecerf
Villecerf [vilsÉÊ(f)] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Ăle-de-France.
Villecerf | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Ăle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne (Melun) |
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Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Moret Seine et Loing | ||||
Maire Mandat |
François Deysson 2020-2026 |
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Code postal | 77250 | ||||
Code commune | 77501 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Villecerfois | ||||
Population municipale |
720 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 66 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 19âČ 38âł nord, 2° 50âČ 51âł est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 139 m |
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Superficie | 10,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montereau-Fault-Yonne | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăle-de-France
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Liens | |||||
Site web | villecerf.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Villecerf est Ă 6 km au sud de Moret-sur-Loing sur la rive gauche de la riviĂšre l'Orvanne.
Communes limitrophes
- Carte de la commune.
- Entrée de l'agglomération.
GĂ©ologie et relief
L'altitude de la commune varie de 60 mÚtres à 139 mÚtres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 68 mÚtres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[2].
Hydrographie
Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés :
- la riviĂšre Orvanne, longue de 38,84 km[3], affluent du Loing, ainsi que :
- le ru de la Fontaine, 1,06 km[8], et ;
- le ru des Bouillons, 3,65 km[9], affluents de l'Orvanne, ainsi que :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,12 km[11].
Climat
ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,2 °C |
La commune bĂ©nĂ©ficie dâun « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte lâensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[12].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[14]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă 33 km Ă vol d'oiseau[15], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[16] Ă 11,6 °C pour 1991-2020[17].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[18] - [19].
Deux espaces protégés sont présents dans la commune :
- la zone centrale de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă dominante agricole, lâemblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă lâest. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[20] - [21].
- la zone de transition de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă dominante agricole, lâemblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă lâest. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[20] - [22].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal de Villecerf comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2] - [23] - [Carte 1] :
- les « Coteaux de Beauregard Ă l'Ăchafaud » (16 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[24] ;
- la « Fondoire » (1,66 ha)[25],
- la « Montagne de Trin et Roche du Saut » (171,95 ha)[26] ;
et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] - [23] :
- la « vallée de l'Orvanne entre Villecerf et Flagy » (387,65 ha), couvrant 3 communes du département[27] ;
- la « vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » (1 224,01 ha), couvrant 9 communes du département[28].
- Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Villecerf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [29] - [30] - [31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32] - [33].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 60 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[34] (source : le fichier Fantoir) dont La Fondoire, Pilliers, le parc de Saint-Ange, le Clos de Trin.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (74,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (60,5% ), forĂȘts (23% ), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,7% ), zones urbanisĂ©es (2,8 %)[35].
ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Ăle-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Ăle-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă 81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[36] - [37] - [Carte 2]. L'Institut met Ă©galement Ă disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă se regrouper au sein dâun Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis dâamĂ©nagement de lâespace au sein dâun SCoT, un document dâorientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă une grande Ă©chelle et Ă un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte dâĂ©tudes et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[38].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[39]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 4].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 348 dont 98,9 % de maisons et 1,1 % d'appartements[Note 7].
Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 8,3 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 90 % contre 8,7 % de locataires et 1,3 % logés gratuitement[40].
Transports
La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :
- No 18A (Saint-Pierre-les-Nemours - Montereau-Fault-Yonne)[41] ;
- No 18C (Saint-Pierre-lĂšs-Nemours â Varennes-sur-Seine)[42] ;
- No 206 (Villecerf â Champagne-sur-Seine)[43].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villeser en 1230 ; Villaserva en 1261[44] ; Villeseur en 1287 ; Villecer et Villeceir en 1385[45] ; Villasarius ; Villercerf ; Train et Saint Angeu[46] ; Ville Cerf en 1793 ; Villecerf en 1801[47].
Le cerf est un gibier royal pour la chasse Ă courre. Les noms oĂč apparaissent le cerf sont proches des taillis domaniaux[48]. Villecerf faisait partie du GĂątinais, rattachĂ© au royaume de France en 1061, sous le rĂšgne de Philippe Ier.
Histoire
Les documents les plus anciens mis au jour aujourd'hui sont du XIe siÚcle. Aucun document direct n'a été trouvé. Villecerf faisait partie du Gùtinais, rattaché au royaume de France en 1061, sous le rÚgne de Philippe Ier.
Ă cette pĂ©riode, la paroisse de Villecerf va dĂ©pendre de l'archevĂȘchĂ© de Sens. Villecerf comprend nombre de fiefs et arriĂšre fiefs : Villecerf qui donne donc son nom Ă la paroisse, Bezelet, La Motte aux Ratheaux, Le Dy, Pilliers qui sont tenus par des familles locales, qui toutes s'Ă©teindront avant le XIVe siĂšcle, plusieurs d'entre elles Ă la Croisade et un monastĂšre Grandmontain Saint-Ătienne de Trin. La paroisse de Villecerf comprend alors plusieurs chĂąteaux et mottes fĂ©odales. Ă la suite des Ă©pidĂ©mies de peste du XIVe siĂšcle et de la disparition de ces familles tenant fief, comme d'ailleurs nombre de familles du circonvoisinage, l'archevĂȘchĂ© de Sens remodĂšlera l'emprise des paroisses. C'est ainsi que l'emprise du monastĂšre de Trin sera inscrite dans la paroisse de Villecerf, alors qu'il dĂ©pendait primitivement de la paroisse de Villemer.
Villecerf ne sera pas mentionnĂ©e dans la prisĂ©e de 1332. De cette premiĂšre pĂ©riode de son histoire, oĂč sera construit dans la fin du XIIe siĂšcle la premiĂšre Ă©glise paroissiale, il en reste des vestiges, et surtout des vestiges de dĂ©corations d'une extrĂȘme qualitĂ© : pierres sculptĂ©es, culs-delampe faits d'angelots ou de diables...
Les seigneurs de Villecerf disparus au XIIe siĂšcle, la seigneurie et ses droits seigneuriaux seront acquis par les grandes abbayes parisiennes, puis par des familles du parlement de Paris, jusqu'Ă son achat par François le Charron, chevalier, 1er baron de Saint-Ange, vicomte dâOrval, baron dâEncours, trĂ©sorier gĂ©nĂ©ral de lâextraordinaire des guerres, premier maĂźtre-dâhĂŽtel de la reine, conseiller du roi en tous ses conseils. François le Charron, dĂ©tenteur des droits de justice de la seigneurie de Villecerf, qui avaient Ă©tĂ© rĂ©tablis pour Anne de Pisseleu duchesse d'Ătampes en 1537, fera rĂ©tablir les fourches patibulaires alors Ă trois piliers en fourches Ă deux piliers, Ă la limite des deux seigneuries, celle de Saint-Ange oĂč il rĂ©sidait dans son chĂąteau de Saint-Ange et celle de Villecerf. Ces fourches patibulaires resteront en place jusqu'Ă la RĂ©volution. Elles Ă©taient placĂ©es au lieu-dit plus tard le Bois des Couardes, peut-ĂȘtre Ă cause de l'effroi qu'elles suscitaient. François Le Charron augmentera les jardins d'eaux de Saint-Ange alimentĂ©s par la riviĂšre de l'Orvanne, pour rivaliser avec ceux Ă©tablis en amont Ă Dormelles, et en aval Ă Ravannes. L'exceptionnelle plaque tombale de François Ier Le Charron mort en 1651, est dans l'Ă©glise Saint-Martin de Villecerf, oĂč malheureusement elle se trouve, faute de soins appropriĂ©s, en grand danger.
La seigneurie de Saint-Ange devenue baronnie en 1628 puis marquisat en 1652 sera démantelée en 1790 lors de la création des communes. Le chùteau et le finage de l'ancien fief de Beaumont sont alors attachés à la commune de Villecerf, tandis que les parties nord et est de la seigneurie sont rattachées au village voisin de Dormelles, avec son chùteau fort de Challeau, l'ancien siÚge des droits seigneuriaux de la seigneurie de Challeau.
Une route construite lors de la rĂ©alisation des « grands chemins de communication » sous la Restauration, en l'espĂšce celle de Montigny Ă Voulx, l'actuelle dĂ©partementale D 22, sĂ©pare le chĂąteau de Saint-Ange de son jardin nord, en passant au pied mĂȘme des murs des terrasses.
Des champs de pylÎnes électriques à trÚs haute tension sur trois unités en champ, défigurent la plaine de Villecerf, en séparant maintenant le village de Villecerf de son site de Saint-Ange sur son versant ouest, brisant l'élégance et la profondeur de la vue. Le non-respect des rÚgles d'attribution des permis de construire a laissé se créer une zone pavillonnaire ou encore d'habitat isolé, à l'intérieur du périmÚtre de protection du site classé (IRMH: Inventaire supplémentaire des Monuments historiques, classements de 1923 et 1951).
Politique et administration
Liste des maires
Ăquipements et services
Eau et assainissement
Lâorganisation de la distribution de lâeau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© dâun report de ce transfert au [50] - [51].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Villecerf est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [52] - [53] - [54].
Lâassainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et lâentretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă une entreprise privĂ©e , dont le contrat arrive Ă Ă©chĂ©ance le 31 dĂ©cembre 2025[52] - [56].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEP de la Vallée de l'Orvanne qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [52] - [57] - [58].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible dâaggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie dâune distribution dâune eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de lâeau signĂ©, le , contient un plan dâactions afin dâassurer avec priorisation la sĂ©curisation de lâalimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental dâalimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Bocage[59].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[61].
En 2020, la commune comptait 720 habitants[Note 8], en augmentation de 1,84 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 304, représentant 741 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 250 euros[63].
Emploi
En 2017 , le nombre total dâemplois dans la zone Ă©tait de 118, occupant 315 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă 64 ans s'Ă©levait Ă 67,6 % contre un taux de chĂŽmage de 6,3 %. Les 26 % dâinactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 11,7 % dâĂ©tudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 9,3 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 5 % pour les autres inactifs[64].
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 48 dont 5 dans lâindustrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres, 7 dans la construction, 10 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration,5 dans lâInformation et communication, 1 dans les activitĂ©s financiĂšres et d'assurance, 10 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 3 dans lâadministration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 7 Ă©taient relatifs aux autres activitĂ©s de services[65].
En 2019, 3 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 2 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas dâhĂŽtel et de terrain de camping[66].
- CarriĂšres, fabrication de fromage.
Agriculture
Villecerf est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e la « Bocage gĂątinais », Ă l'extrĂȘme sud du dĂ©partement[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de cĂ©rĂ©ales et d'olĂ©oprotĂ©agineux (COP)[67].
Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[68]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre dâexploitations est passĂ© de 7 en 1988 Ă 5 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 52 ha en 1988 Ă 95 ha en 2010[67]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Villecerf, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[67] - [Note 10] | |||
Nombre dâexploitations (u) | 7 | 5 | 5 |
Travail (UTA) | 9 | 5 | 5 |
Surface agricole utilisée (ha) | 367 | 452 | 473 |
Cultures[69] | |||
Terres labourables (ha) | 346 | 451 | 471 |
Céréales (ha) | 237 | 278 | 253 |
dont blé tendre (ha) | 136 | 213 | 167 |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 22 | s | s |
Tournesol (ha) | 39 | s | s |
Colza et navette (ha) | 25 | s | s |
Ălevage[67] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 29 | 2 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Martin (XIIe siĂšcle)-(XVIe siĂšcle)-(XIXe siĂšcle).
- La ferme de l'ancien prieuré grandmontains de Trin (alias Train ou Trains), Inscrite MH (1926, Bùtiments à l'entrée et à gauche de la cour)[70].
- Montagne du Trin (139 m, belvĂ©dĂšre et vaste panorama), rives du Loing, vallĂ©e de l'Orvanne, site pittoresque aux abords de la vallĂ©e du Loing, oĂč se trouvent les vestiges des anciennes routes gauloise et romaine, les restes enfouis des anciennes forteresses fĂ©odales du chĂąteau Dy, et du chĂąteau de la Motte deux des cinq fiefs de la seigneurie de Villecerf.
- Les vestiges des fondations du chĂąteau de BĂ©zelet.,
- Le chĂąteau de Saint-Ange (XVIe siĂšcle), Inscrit MH (1926, 1951, inscription par arrĂȘtĂ© du 14 avril 1926 ; Restes des motifs d'architecture et de sculpture (mur de soutĂšnement avec vases, escaliers, canal et bassin) dans le parc : inscription par arrĂȘtĂ© du 4 dĂ©cembre 1951)[71].
Personnalités liées à la commune
- Anne de Pisseleu (1508-1575), la duchesse dâĂtampes, la bĂątisseuse de Challeau-Saint-Ange Ă Villecerf.
- Anne de Boulogne, l'épouse de François Ier Le Charron, qui fait entrer Port-Royal Saint-Ange à Villecerf.
- Ennemonde Servien, l'épouse de François II le Charron, qui fait entrer la littérature et les salons parisiens à Villecerf.
- Jeanne de Richebourg, fait entrer la nouvelle maniÚre de servir son prochain, avec la fondation d'un prieuré des filles de la Charité à Villecerf, et soutient Voltaire qu'elle et son mari recueillent à Saint-Ange.
- Virginie de Rennel, marquise de Roys c'est l'entrée de Saint-Ange dans la littérature moderne au tiers du XIXe siÚcle avec Honoré de Balzac.
- RenĂ© de Roys (1898-1945) mort en dĂ©portation au camp de concentration dâEllrich[72] et ThĂ©rĂšse de Roys (1907-1984)[73] ont reçu le titre de Juste parmi les nations en 1999. Une plaque en hommage au marquis de Roys et Ă son Ă©pouse a Ă©tĂ© apposĂ©e sur la place du village en 2012[74].
- Don Denis Martin, moine bĂ©nĂ©dictin, prieur de l'abbaye bĂ©nĂ©dictine de Toumliline au Maroc qui vint s'installer au monastĂšre de Villecerf en 1968 lorsque Hassan II, roi du Maroc, a demandĂ© aux moines de quitter la montagne pour s'installer en ville. Le pĂšre Denis a rejetĂ© cette exigence et est venu Ă Villecerf avec une partie de ses moines ; les autres Ă©tant partis renforcer les effectifs des monastĂšres de BouakĂ© (CĂŽte d'Ivoire) et de Koubri (Burkina Faso ex-Haute-Volta). Le monastĂšre de Toumliline ouvert en 1952 Ă©tait un essaimage de l'abbaye d'En-Calcat prĂšs de Toulouse. Le pĂšre Denis est dĂ©cĂ©dĂ© Ă l'abbaye d'En-Calcat oĂč il a Ă©tĂ© enterrĂ©. Plusieurs moines bĂ©nĂ©dictins ont Ă©tĂ© enterrĂ©s au cimetiĂšre de Villecerf.
Voir aussi
Bibliographie
- Le Patrimoine des Communes de la Seine-et-Marne. Flohic Ăditions, tome II, Paris 2001, p. 1023-1024, (ISBN 2-84234-100-7)
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Villecerf sur le site de la CC Moret Seine et Loing
- Histoire du chĂąteau de Saint-Ange
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe dâhabitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages nâest pas toujours Ă©gale Ă 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux dâespĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
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