AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Villecerf

Villecerf [vilsɛʁ(f)] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Île-de-France.

Villecerf
Villecerf
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Moret Seine et Loing
Maire
Mandat
François Deysson
2020-2026
Code postal 77250
Code commune 77501
DĂ©mographie
Gentilé Villecerfois
Population
municipale
720 hab. (2020 en augmentation de 1,84 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 66 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 19â€Č 38″ nord, 2° 50â€Č 51″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 139 m
Superficie 10,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montereau-Fault-Yonne
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Villecerf
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Villecerf
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Villecerf
GĂ©olocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Villecerf
Liens
Site web villecerf.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Villecerf dans le département de Seine-et-Marne.

    Villecerf est Ă  km au sud de Moret-sur-Loing sur la rive gauche de la riviĂšre l'Orvanne.

    Communes limitrophes

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • EntrĂ©e de l'agglomĂ©ration.
      Entrée de l'agglomération.

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 60 mĂštres Ă  139 mĂštres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 68 mĂštres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classĂ©e en zone de sismicitĂ© 1, correspondant Ă  une sismicitĂ© trĂšs faible[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Villecerf.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés :

    • la riviĂšre Orvanne, longue de 38,84 km[3], affluent du Loing, ainsi que :
      • un bras de 0,10 km[4] ;
      • un bras[5] de 0,16 km[6] ;
      • un bras[5] de 0,73 km[7] ;
    • le ru de la Fontaine, 1,06 km[8], et ;
    • le ru des Bouillons, 3,65 km[9], affluents de l'Orvanne, ainsi que :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,12 km[11].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,7 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 757 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,4 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -5,4 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[14]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  33 km Ă  vol d'oiseau[15], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[16] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[17].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[18] - [19].

    Deux espaces protégés sont présents dans la commune :

    • la zone centrale de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[20] - [21].
    • la zone de transition de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[20] - [22].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Villecerf comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2] - [23] - [Carte 1] :

    • les « Coteaux de Beauregard Ă  l'Échafaud » (16 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[24] ;
    • la « Fondoire » (1,66 ha)[25],
    • la « Montagne de Trin et Roche du Saut » (171,95 ha)[26] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] - [23] :

    • la « vallĂ©e de l'Orvanne entre Villecerf et Flagy » (387,65 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[27] ;
    • la « vallĂ©e du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » (1 224,01 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[28].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Villecerf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [29] - [30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32] - [33].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 60 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[34] (source : le fichier Fantoir) dont La Fondoire, Pilliers, le parc de Saint-Ange, le Clos de Trin.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (74,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (60,5% ), forĂȘts (23% ), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,7% ), zones urbanisĂ©es (2,8 %)[35].

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[36] - [37] - [Carte 2]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă  la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[38].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[39]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 348 dont 98,9 % de maisons et 1,1 % d'appartements[Note 7].

    Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 8,3 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 90 % contre 8,7 % de locataires et 1,3 % logés gratuitement[40].

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villeser en 1230 ; Villaserva en 1261[44] ; Villeseur en 1287 ; Villecer et Villeceir en 1385[45] ; Villasarius ; Villercerf ; Train et Saint Angeu[46] ; Ville Cerf en 1793 ; Villecerf en 1801[47].

    Le cerf est un gibier royal pour la chasse Ă  courre. Les noms oĂč apparaissent le cerf sont proches des taillis domaniaux[48]. Villecerf faisait partie du GĂątinais, rattachĂ© au royaume de France en 1061, sous le rĂšgne de Philippe Ier.

    Histoire

    Les documents les plus anciens mis au jour aujourd'hui sont du XIe siÚcle. Aucun document direct n'a été trouvé. Villecerf faisait partie du Gùtinais, rattaché au royaume de France en 1061, sous le rÚgne de Philippe Ier.

    À cette pĂ©riode, la paroisse de Villecerf va dĂ©pendre de l'archevĂȘchĂ© de Sens. Villecerf comprend nombre de fiefs et arriĂšre fiefs : Villecerf qui donne donc son nom Ă  la paroisse, Bezelet, La Motte aux Ratheaux, Le Dy, Pilliers qui sont tenus par des familles locales, qui toutes s'Ă©teindront avant le XIVe siĂšcle, plusieurs d'entre elles Ă  la Croisade et un monastĂšre Grandmontain Saint-Étienne de Trin. La paroisse de Villecerf comprend alors plusieurs chĂąteaux et mottes fĂ©odales. À la suite des Ă©pidĂ©mies de peste du XIVe siĂšcle et de la disparition de ces familles tenant fief, comme d'ailleurs nombre de familles du circonvoisinage, l'archevĂȘchĂ© de Sens remodĂšlera l'emprise des paroisses. C'est ainsi que l'emprise du monastĂšre de Trin sera inscrite dans la paroisse de Villecerf, alors qu'il dĂ©pendait primitivement de la paroisse de Villemer.

    Villecerf ne sera pas mentionnĂ©e dans la prisĂ©e de 1332. De cette premiĂšre pĂ©riode de son histoire, oĂč sera construit dans la fin du XIIe siĂšcle la premiĂšre Ă©glise paroissiale, il en reste des vestiges, et surtout des vestiges de dĂ©corations d'une extrĂȘme qualitĂ© : pierres sculptĂ©es, culs-delampe faits d'angelots ou de diables...

    Les seigneurs de Villecerf disparus au XIIe siĂšcle, la seigneurie et ses droits seigneuriaux seront acquis par les grandes abbayes parisiennes, puis par des familles du parlement de Paris, jusqu'Ă  son achat par François le Charron, chevalier, 1er baron de Saint-Ange, vicomte d’Orval, baron d’Encours, trĂ©sorier gĂ©nĂ©ral de l’extraordinaire des guerres, premier maĂźtre-d’hĂŽtel de la reine, conseiller du roi en tous ses conseils. François le Charron, dĂ©tenteur des droits de justice de la seigneurie de Villecerf, qui avaient Ă©tĂ© rĂ©tablis pour Anne de Pisseleu duchesse d'Étampes en 1537, fera rĂ©tablir les fourches patibulaires alors Ă  trois piliers en fourches Ă  deux piliers, Ă  la limite des deux seigneuries, celle de Saint-Ange oĂč il rĂ©sidait dans son chĂąteau de Saint-Ange et celle de Villecerf. Ces fourches patibulaires resteront en place jusqu'Ă  la RĂ©volution. Elles Ă©taient placĂ©es au lieu-dit plus tard le Bois des Couardes, peut-ĂȘtre Ă  cause de l'effroi qu'elles suscitaient. François Le Charron augmentera les jardins d'eaux de Saint-Ange alimentĂ©s par la riviĂšre de l'Orvanne, pour rivaliser avec ceux Ă©tablis en amont Ă  Dormelles, et en aval Ă  Ravannes. L'exceptionnelle plaque tombale de François Ier Le Charron mort en 1651, est dans l'Ă©glise Saint-Martin de Villecerf, oĂč malheureusement elle se trouve, faute de soins appropriĂ©s, en grand danger.

    La seigneurie de Saint-Ange devenue baronnie en 1628 puis marquisat en 1652 sera démantelée en 1790 lors de la création des communes. Le chùteau et le finage de l'ancien fief de Beaumont sont alors attachés à la commune de Villecerf, tandis que les parties nord et est de la seigneurie sont rattachées au village voisin de Dormelles, avec son chùteau fort de Challeau, l'ancien siÚge des droits seigneuriaux de la seigneurie de Challeau.

    Une route construite lors de la rĂ©alisation des « grands chemins de communication » sous la Restauration, en l'espĂšce celle de Montigny Ă  Voulx, l'actuelle dĂ©partementale D 22, sĂ©pare le chĂąteau de Saint-Ange de son jardin nord, en passant au pied mĂȘme des murs des terrasses.

    Des champs de pylÎnes électriques à trÚs haute tension sur trois unités en champ, défigurent la plaine de Villecerf, en séparant maintenant le village de Villecerf de son site de Saint-Ange sur son versant ouest, brisant l'élégance et la profondeur de la vue. Le non-respect des rÚgles d'attribution des permis de construire a laissé se créer une zone pavillonnaire ou encore d'habitat isolé, à l'intérieur du périmÚtre de protection du site classé (IRMH: Inventaire supplémentaire des Monuments historiques, classements de 1923 et 1951).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Les maires successifs[46]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1947 1953 ThérÚse de Roys Marquise de Roys
    mai 1953 1962 LĂ©on Charles
    juin 1962 1965 Georges Henry
    mars 1965 1966 Pierre Cambournac
    août 1966 mars 1977 Jacques Delfortrie Médecin
    juin 1977 10 mai 1979 (décÚs) Michel Paepegaey Agriculteur
    juin 1979 2007 (décÚs) Henri Paquet Professeur
    février 2007 2014 Marie-Claude Bonnet Secrétaire
    mars 2014 En cours François Deysson[49] Conseiller pédagogique en retraite
    Président des maires ruraux de Seine-et-Marne

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [50] - [51].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Villecerf est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [52] - [53] - [54].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  une entreprise privĂ©e , dont le contrat arrive Ă  Ă©chĂ©ance le 31 dĂ©cembre 2025[52] - [56].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEP de la Vallée de l'Orvanne qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [52] - [57] - [58].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Bocage[59].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[61].

    En 2020, la commune comptait 720 habitants[Note 8], en augmentation de 1,84 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    356337336370455513506511508
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    514514503505512517520474452
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    435415411378413377401408427
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    413362511603746738801704721
    2020 - - - - - - - -
    720--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee Ă  partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 304, reprĂ©sentant 741 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 25 250 euros[63].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 118, occupant 315 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  67,6 % contre un taux de chĂŽmage de 6,3 %. Les 26 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 11,7 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 9,3 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 5 % pour les autres inactifs[64].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 48 dont 5 dans l’industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres, 7 dans la construction, 10 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration,5 dans l’Information et communication, 1 dans les activitĂ©s financiĂšres et d'assurance, 10 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 3 dans l’administration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 7 Ă©taient relatifs aux autres activitĂ©s de services[65].

    En 2019, 3 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 2 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hîtel et de terrain de camping[66].

    • CarriĂšres, fabrication de fromage.

    Agriculture

    Villecerf est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e la « Bocage gĂątinais », Ă  l'extrĂȘme sud du dĂ©partement[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de cĂ©rĂ©ales et d'olĂ©oprotĂ©agineux (COP)[67].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[68]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 7 en 1988 Ă  5 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 52 ha en 1988 Ă  95 ha en 2010[67]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Villecerf, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Villecerf entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[67] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 7 5 5
    Travail (UTA) 9 5 5
    Surface agricole utilisée (ha) 367 452 473
    Cultures[69]
    Terres labourables (ha) 346 451 471
    Céréales (ha) 237 278 253
    dont blé tendre (ha) 136 213 167
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 22 s s
    Tournesol (ha) 39 s s
    Colza et navette (ha) 25 s s
    Élevage[67]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 29 2 0

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Martin.
    La ferme de Saint-Étienne de Trin, ancien prieurĂ© Grandmontains.
    La Roche du Saut, deux blocs de grÚs équipés pour l'escalade.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin (XIIe siĂšcle)-(XVIe siĂšcle)-(XIXe siĂšcle).
    • La ferme de l'ancien prieurĂ© grandmontains de Trin (alias Train ou Trains), Logo monument historique Inscrite MH (1926, BĂątiments Ă  l'entrĂ©e et Ă  gauche de la cour)[70].
    • Montagne du Trin (139 m, belvĂ©dĂšre et vaste panorama), rives du Loing, vallĂ©e de l'Orvanne, site pittoresque aux abords de la vallĂ©e du Loing, oĂč se trouvent les vestiges des anciennes routes gauloise et romaine, les restes enfouis des anciennes forteresses fĂ©odales du chĂąteau Dy, et du chĂąteau de la Motte deux des cinq fiefs de la seigneurie de Villecerf.
    • Les vestiges des fondations du chĂąteau de BĂ©zelet.,
    • Le chĂąteau de Saint-Ange (XVIe siĂšcle), Logo monument historique Inscrit MH (1926, 1951, inscription par arrĂȘtĂ© du 14 avril 1926 ; Restes des motifs d'architecture et de sculpture (mur de soutĂšnement avec vases, escaliers, canal et bassin) dans le parc : inscription par arrĂȘtĂ© du 4 dĂ©cembre 1951)[71].

    Personnalités liées à la commune

    • Anne de Pisseleu (1508-1575), la duchesse d’Étampes, la bĂątisseuse de Challeau-Saint-Ange Ă  Villecerf.
    • Anne de Boulogne, l'Ă©pouse de François Ier Le Charron, qui fait entrer Port-Royal Saint-Ange Ă  Villecerf.
    • Ennemonde Servien, l'Ă©pouse de François II le Charron, qui fait entrer la littĂ©rature et les salons parisiens Ă  Villecerf.
    • Jeanne de Richebourg, fait entrer la nouvelle maniĂšre de servir son prochain, avec la fondation d'un prieurĂ© des filles de la CharitĂ© Ă  Villecerf, et soutient Voltaire qu'elle et son mari recueillent Ă  Saint-Ange.
    • Virginie de Rennel, marquise de Roys c'est l'entrĂ©e de Saint-Ange dans la littĂ©rature moderne au tiers du XIXe siĂšcle avec HonorĂ© de Balzac.
    • RenĂ© de Roys (1898-1945) mort en dĂ©portation au camp de concentration d’Ellrich[72] et ThĂ©rĂšse de Roys (1907-1984)[73] ont reçu le titre de Juste parmi les nations en 1999. Une plaque en hommage au marquis de Roys et Ă  son Ă©pouse a Ă©tĂ© apposĂ©e sur la place du village en 2012[74].
    • Don Denis Martin, moine bĂ©nĂ©dictin, prieur de l'abbaye bĂ©nĂ©dictine de Toumliline au Maroc qui vint s'installer au monastĂšre de Villecerf en 1968 lorsque Hassan II, roi du Maroc, a demandĂ© aux moines de quitter la montagne pour s'installer en ville. Le pĂšre Denis a rejetĂ© cette exigence et est venu Ă  Villecerf avec une partie de ses moines ; les autres Ă©tant partis renforcer les effectifs des monastĂšres de BouakĂ© (CĂŽte d'Ivoire) et de Koubri (Burkina Faso ex-Haute-Volta). Le monastĂšre de Toumliline ouvert en 1952 Ă©tait un essaimage de l'abbaye d'En-Calcat prĂšs de Toulouse. Le pĂšre Denis est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  l'abbaye d'En-Calcat oĂč il a Ă©tĂ© enterrĂ©. Plusieurs moines bĂ©nĂ©dictins ont Ă©tĂ© enterrĂ©s au cimetiĂšre de Villecerf.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le Patrimoine des Communes de la Seine-et-Marne. Flohic Éditions, tome II, Paris 2001, p. 1023-1024, (ISBN 2-84234-100-7)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    7. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF de Villecerf » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Villecerf - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    4. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Villecerf » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 10 avril 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Orvanne (F4398000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4398801) » (consulté le ).
    5. Nature en attente de mise Ă  jour.
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4398601) » (consulté le ).
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4399101) » (consulté le ).
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Fontaine (F4398800) » (consulté le ).
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Bouillons (F4398401) » (consulté le ).
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras des Bouillons (F4398501) » (consulté le ).
    11. Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 16 janvier 2019.
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    13. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Orthodromie entre Villecerf et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    19. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Réserve de biosphÚre de « Fontainebleau et Gùtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
    21. « la zone centrale de la réserve de biosphÚre « Fontainebleau et Gùtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « la zone de transition de la réserve de biosphÚre « Fontainebleau et Gùtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Villecerf », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « Coteaux de Beauregard Ă  l'Échafaud » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    25. « ZNIEFF la « Fondoire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF la « Montagne de Trin et Roche du Saut » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « vallée de l'Orvanne entre Villecerf et Flagy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF la « vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    34. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    36. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    37. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    38. « Le SCOT Seine et Loing », sur www.scot-seine-loing.fr (consulté le ).
    39. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    40. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 17 mai 2020
    41. Transdev, ligne 18A
    42. Transdev, ligne 18C
    43. Transdev, ligne 206
    44. Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne.
    45. Ernest NÚgre - 1998 - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1429.
    46. « Villecerf », sur http://www.genea77-shage.info (consulté en ).
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    48. Pierre Miquel - 2016 - Petite Histoire des noms de lieux, villages et villes de France.
    49. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
    50. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consultĂ© le ).
    51. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    52. « Commune de Villecerf - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    53. « SIDASS de Moret Seine et Loing - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    54. « SIDASS de Moret Seine et Loing - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    55. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministĂ©riel de l'assainissement non collectif (consultĂ© le ).
    56. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    57. « SIDEP de la Vallée de l'Orvanne - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    58. « SIDEP de la Vallée de l'Orvanne - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    59. « SchĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours de Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.fr, (consultĂ© le ).
    60. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    61. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    62. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    63. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 10 avril 2021.
    64. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chÎmage au sens du recensement en 2017», consultée le 10 avril 2021.
    65. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 10 avril 2021.
    66. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 10 avril 2021.
    67. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Villecerf. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    68. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    69. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siĂšge dans la commune de Villecerf. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministĂšre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la ForĂȘt. (consultĂ© le ).
    70. « Ferme de Trin », notice no PA00087320, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    71. « Chùteau de Saint-Ange ou de Challeau », notice no PA00087319, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    72. René de Roys sur le site de l'AJPN
    73. ThérÚse de Roys sur le site de l'AJPN
    74. http://museedelaresistanceenligne.org
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.