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Samoreau

Samoreau est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France, en bord de Seine.

Samoreau
Samoreau
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau
Maire
Mandat
Pascal Gouhoury
2020-2026
Code postal 77210
Code commune 77442
DĂ©mographie
Gentilé Samoréens
Population
municipale
2 441 hab. (2020 en augmentation de 4,67 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 432 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 25′ 34″ nord, 2° 45′ 18″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 147 m
Superficie 5,65 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Fontainebleau
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Fontainebleau
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web samoreau.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
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    Carte topographique
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    Localisation dans le département
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : localisation dans le département

    La commune est situĂ©e Ă  environ 6 kilomètres au nord-est de Fontainebleau[Carte 1].

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    L'altitude varie de 41 mètres Ă  147 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant Ă  environ 77 mètres d'altitude (mairie) [2].

    Hydrographie

    Le système hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    • la Seine, fleuve long de 774,76 km[3] ;
      • le ru Dondaine, 2,55 km[4], affluent de la Seine ;
        • le canal 01 du Bois des BrĂ»lis, cours d'eau naturel de 2,80 km[5], qui conflue avec le ru Dondaine.

    La longueur linĂ©aire globale des cours d'eau sur la commune est de 5,84 km[6].

    Climat

    Samoreau, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par le chemin de fer (Transilien) ; la gare est située sur la commune de Vulaines-sur-Seine. Samoreau est également reliée à la gare de Fontainebleau - Avon (ligne vers la gare de Paris - Gare de Lyon) par le réseau de bus.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7] - [8].

    Des espaces protégés sont présents dans la commune :

    • la zone de transition de la rĂ©serve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette rĂ©serve de biosphère, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂŞt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphère françaises[9] - [10].
    • la zone tampon de la rĂ©serve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (16 102 ha pour la zone tampon). Cette rĂ©serve de biosphère, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂŞt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphère françaises[9] - [11].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Samoreau comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] - [12] - [Carte 2], la « forĂŞt domaniale de Champagne » (487,55 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[13]. , et deux ZNIEFF de type 2[Note 2] - [12] :

    • les « Bois de Valence et de Champagne » (3 706,85 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[14] ;
    • la « vallĂ©e de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du dĂ©partement[15].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Samoreau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 3] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Fontainebleau, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[19] et 36 406 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22] - [23].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 55 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[24] (source : le fichier Fantoir).

    Occupation des sols

    En 2018[25], le territoire de la commune se répartit[Note 6] en 55,9 % de forêts, 29,5 % de zones urbanisées, 9,1 % d’eaux continentales[Note 7] et 5,4 % de terres arables[26] - [27].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 1 010 dont 87 % de maisons et 12,8 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 93,5 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 2,3 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 80 % contre 18,6 % de locataires[28] dont, 5,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 1,4 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Semesiolum au XIIe siècle[29] ; Samesiolum en 1211[30] ; Samesellum en 1233[31] ; Samoessel en 1244[32] ; Samoisellum vers 1250 (Pouillé)[33] ; Samoisolum en 1289[34] ; Samoissel en 1291[35] ; A. de Samoiseau en 1357[36] ; Samoeseau en 1384[37] ; Samoisiau emprès Samoys en 1384[38] ; Samoireau en 1459[39] ; Samoisseau en Brie en 1500[33] ; Sangmoreau en 1535[40] ; Samoizeau en 1549[41] ; Samoyreau en 1614[39]. Dans un acte daté du , on retrouve par ailleurs la mention de Champmoreau[42].

    L'étymologie du toponyme Samoreau est liée aux racines celtiques « sam » (tranquille) et « arau » (eau) pour désigner une zone du fleuve plus calme. Cette construction apparaît dans le nom d'autres communes comme Sambrie, Samarie ou Sammeron[43]. Selon Littré, le samoreau est également le nom d'un cépage de l'arrondissement de Sens[44], or le village a été longtemps couvert de vergers et de vignes.

    Histoire

    Samoreau est déjà occupé au temps du néolithique: de nombreux silex taillés (burins, grattoirs, perçoirs, scies…) trouvés par le Dr Lénez témoignent que des peuplades y étaient « attirées par le fleuve où elles trouvaient à la fois l'eau nécessaire à leurs besoins, des poissons dans ces eaux, du gibier sur ces rives, enfin la matière première elle-même de leurs armes et de leurs outils, le précieux silex. »[45]

    Dans l'antiquité, on parle d'un oppidum des Meldes dominant une boucle de la Seine[46].

    En 1177 l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés acquiert une partie du territoire du village.

    En 1316 le roi Philippe V intervient dans le conflit qui oppose les moines aux habitants.

    Château des Pressoirs du Roy, carte postale vers 1900.

    En 1520 François Ier achète les coteaux où il fait construire le château des Pressoirs du Roy. De 1592 à 1597, Henri IV fait des séjours aux Pressoirs du Roy en compagnie de la belle Gabrielle d’Estrées.

    En 1679 est créé le coche d’eau royal entre Paris et Valvins (village le plus proche de Samoreau, au bord de la Seine).

    De 1790 à 1796, tous les biens appartenant à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés et à la cure sont réquisitionnés et vendus.

    Le premier instituteur arrive Ă  Samoreau en 1813.

    En , une tempête ravage la région et abat la flèche de l’église. Il faut attendre 1986 pour que l’église soit restaurée et qu'elle retrouve sa flèche d'origine[47].

    La ligne de chemin de fer relie Paris Ă  Samoreau Ă  partir de 1898
    La ligne de chemin de fer relie Paris à Samoreau à partir de 1898. Ici, la gare de Vulaines–Samoreau

    De 1895 à 1897, la voie ferrée qui traverse Samoreau est construite.

    En 1898, Stéphane Mallarmé meurt dans sa maison de Valvins ; il est enterré au cimetière de Samoreau. La maison de villégiature où il vécut est aujourd'hui le Musée départemental Stéphane-Mallarmé.

    En 1898 est fondé le corps de sapeurs-pompiers.

    En 1908 la ligne de tramway Fontainebleau-Valvins est prolongée jusqu’à la gare de Vulaines-Samoreau.

    En 1908, Maurice Ravel compose « Ma Mère l’Oye » à la Grangette, maison appartenant à Cipa Godebski, fils du sculpteur Cyprien Godebski et demi-frère de Misia Natanson, près de la maison de Mallarmé.

    En 1956, la mairie achète la Grange aux Dîmes pour en assurer la sauvegarde.

    L'histoire du Pont de Valvins

    Entre Samois et Samoreau, « un gué permettait assez facilement d’y traverser la Seine. La légende des alcôves veut qu’Henri IV le passe à cheval pour rendre visite à sa chère Gabrielle aux Pressoirs du Roy. Valvins servait de port à Fontainebleau, aussi bien pour la Cour qui y arrivait de Paris en coche d’eau que pour l’exportation des pavés de grès. »[48]

    À Valvins, un bac fait le service du passage de la Seine[49]. D'après H. Stein, ce bac appartenait encore au XVIIIe siècle à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Le gouvernement révolutionnaire s'attribue la propriété des bacs et bateaux établis à poste fixe et le droit de passage est vendu aux enchères. Au début du XIXe siècle ce bac est établi juste en face de la rue du Bac actuelle.

    Entre 1811 et 1825 est construit un pont de cinq piles reliées par des arches en bois, qui supplante le bac. Jusqu'en 1849, il faut payer pour traverser le pont[49]: 1 sou par personne, âne, vache ou cochon; 2 sous par cheval ou mulet non chargés; et 3 sous s'ils sont chargés. Le dernier passeur vit jusqu'en 1833, ruiné, ne subsistant que grâce aux besognes courantes du port de Valvins[49].

    Pont de Valvins en 1910 (construit en 1811, remanié en 1866, détruit en 1940)
    Pont de Valvins en 1910 (construit en 1811, remanié en 1866, détruit en 1940). Le tramway (ici visible) l'emprunte depuis 1908.

    En 1866, d'élégantes arches métalliques viennent remplacer la structure de bois.

    Une ligne du tramway de Fontainebleau reliant le château de Fontainebleau à Samoreau par la gare de Fontainebleau-Avon passe sur le pont de 1909 à 1937.

    Après la destruction de l'ancien pont en 1944 et l'établissement d'un pont provisoire, le pont actuel est construit en 1977 en béton précontraint pour le tablier et en béton armé pour les deux piles et les culées[50].

    Une Ă©tude rapportĂ©e par le Parisien () fait Ă©tat en 2001 d'un trafic sur le pont de plus de 22 000 vĂ©hicules par jour.

    Une voie verte est construite en 2020 en bordure aval (sud) de la chaussée sur le parcours de l'Eurovéloroute 3 Scandibérique. Une voie verte passant sous le pont sur la rive gauche est également réalisée reliant la route en provenance de Samois à la gare de Fontainebleau-Avon.

    • Panneau municipal posĂ© Ă  l'entrĂ©e du nouveau pont
      Panneau municipal posé à l'entrée du nouveau pont
    • Plaque de commĂ©moration en l'honneur du GĂ©nĂ©ral Patton
      Plaque de commémoration en l'honneur du Général Patton
    • Voie verte sur le pont
      Voie verte sur le pont

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[51]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours Pascal Gouhoury UMP → LR Ancien technicien en radiologie médicale
    Président de la CA du Pays de Fontainebleau (2017 → )
    Président de la CC entre Seine et Forêt (2008 → 2016)
    Conseiller départemental depuis 2021
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    juin 1995 mars 2014 Jean-Baptiste Morla DVD[52] Président de la CC entre Seine et Forêt (2001 → 2008)
    mars 1989 juin 1995 Jacques Excoffon
    mars 1983 mars 1989 William Malfray
    mars 1965 mars 1983 André Millet
    mai 1935 mars 1965 Lucien Oriol Gauche
    mai 1929 mai 1935 Georges Compérat Cultivateur
    1927 mai 1929 Jacques Delafon[53] (1883-1950) Administrateur de la société Jacob Delafon
    1925 1927 Eugène Couillard
    (1920) 1925 LĂ©on Lavoir
    1912 (1919) Georges Compérat Cultivateur
    1904 1912 Julien Couillard
    (1901) 1904 Édouard Songeux
    (1881) (1900) Ernest Bodin
    (1879) (1881) Claude Hippolyte Lepâtre
    1865 (1875) Alfred LĂ©on Destors
    (1839) 1865 Pierre Charles Dugornay
    1834 (1837) M. de Traversay
    1828 1834 Pierre François Dugornay
    1826 1828 Edme Gervais
    1818 1826 Pierre Louis Macey
    1817 1818 Auguste Durosnel
    1816 1817 Jean-Baptiste Dufour
    1815 1816 Pierre François Dugornay
    Belbedat de Kamingant (1790)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Villes jumelées avec Samoreau
    VillePaysPĂ©riode
    Bernried am Starnberger See[54]Allemagnedepuis

    Un arbre de mai est installé à Samoreau à l'occasion de ce jumelage[55].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[57].

    En 2020, la commune comptait 2 441 habitants[Note 10], en augmentation de 4,67 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    185202192214244274276300309
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    308369361369356364416315443
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    377407435403471473564554676
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    7788871 3041 6261 8562 1572 2682 2902 317
    2015 2020 - - - - - - -
    2 3382 441-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee Ă  partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Festivités et événements

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 920 (dont 74 % imposĂ©s), reprĂ©sentant 2 307 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 27 620 euros[60].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 784, occupant 1 037 actifs rĂ©sidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,1 % contre un taux de chômage de 6,1 %.

    Les 23,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,6 % de retraités ou préretraités et 4,3 % pour les autres inactifs[61].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 164 dont 11 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres22 dans la construction, 55 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 8 dans l’information et communication, 6 dans les activités financières et d'assurance, 4 dans les activités immobilières, 31 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 16 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 11 étaient relatifs aux autres activités de services[62].

    En 2019, 27 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 22 individuelles.

    Au , la commune ne possédait aucun hôtel mais un terrain de camping disposant de 53 emplacements[63].

    Deux entreprises majeures sont situées à Samoreau:

    • le fabricant de cĂ©ramiques et spĂ©cialiste en Ă©quipement de salle de bains, Allia (56 M€ pour Geberit Services en 2017)[64].
    • la sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication et la production d'Ă©tiquettes auto-adhĂ©sives, Les Étiquettes Haas (CA : 7,5 M€ en 2018).

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Pierre.
    Grange aux Dimes.
    Château et parc de Montmélian, carte postale vers 1900.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre date du XIIe siècle, et est Logo monument historique Inscrite MH (1949) à l'inventaire des Monuments historiques[65]. Sa nef a été très probablement construite par les moines originaires de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Dans le transept se trouve un petit panneau peint représentant la Sainte Famille, classé lui-aussi monument historique. La cloche de l'église, la plus petite des deux qui existaient avant la destruction du clocher par la foudre en 1870, porte l'inscription suivante : « L'an 1500 fut faicte à Samoisseau en Brie et fut nommée Marie ». C'est l'une des plus anciennes du département[66].

    Lieux et monuments

    • La ferme du Bas-Samoreau, composĂ©e de la grange aux dĂ®mes, datĂ©e du XIIIe siècle et inscrite aux monuments historiques[67], et du pigeonnier. Ces deux bâtiments sont les seuls qui subsistent de l'ensemble formĂ© par la grande ferme qui comportait des Ă©curies, une Ă©table, une porcherie, une laiterie[68]. Logo monument historique Inscrite MH (1926)
    • Les Pressoirs du Roy. Construite par François Ier, cette demeure est tour Ă  tour gentilhommière royale, exploitation viticole, briqueterie, rĂ©sidence bourgeoise, hĂ´pital et maintenant maison d’enfants. Henri IV y sĂ©journe rĂ©gulièrement et y installe Gabrielle d'EstrĂ©es.

    Personnalités liées à la commune

    • Ignace Pleyel (1757-1831), compositeur, Ă©diteur de musique et fabricant de pianos, y vĂ©cut ses dernières annĂ©es, de 1828 Ă  1831[69].
    • Antoine Jean Auguste Durosnel (1771-1849), gĂ©nĂ©ral de division et Pair de France. Il habite la propriĂ©tĂ© du no 2, rue de l'Église (la maison sera dĂ©molie vers 1908). L'une des grilles de la propriĂ©tĂ© arbore son initiale entremĂŞlĂ©e Ă  celles de deux autres gĂ©nĂ©raux de l'Empire, Dumoulin et Caulaincourt. Conseiller municipal, Durosnel est maire pendant plus d'un an. En 1837, il achète la ferme de la grande cour.
    • StĂ©phane MallarmĂ© (1842-1898), poète français, est enterrĂ© auprès de son fils Anatole au cimetière de Samoreau.
    • Misia Sert (1872-1950), pianiste et Ă©gĂ©rie de nombreux peintres, poètes et musiciens du dĂ©but du XXe siècle, surnommĂ©e la Reine de Paris, dĂ©dicataire du Cygne et de La Valse de Maurice Ravel, est enterrĂ©e au cimetière de Samoreau aux cĂ´tĂ©s de sa nièce Mimi Godebski (1899-1949), co-dĂ©dicataire de Ma Mère l'Oye de Maurice Ravel. En 2022, l'association des Amis de Maurice Ravel prĂ©sidĂ©e par Manuel Cornejo a fait restaurer, avec le soutien de la Fondation La Marck (Fondation de Luxembourg) le monument funĂ©raire qui menaçait de s'effondrer[70].
    • Jean-Pierre Lacloche (1925-2006), Ă©crivain français, est enterrĂ© au cimetière de Samoreau.
    • GrĂ©goire Schreiber (nĂ© en 1889 Ă  Odessa, mort en 1953 Ă  Paris), artiste-peintre et aquarelliste, s'installe Ă  Samoreau en 1937 dans un wagon de chemin de fer achetĂ© Ă  l'Exposition internationale, puis dans une maison Ă  partir de 1948[71].
    • AndrĂ© Langevin (1901-1977), deuxième fils de Paul Langevin, et sa femme Luce Dubus (1899-2002) ont eu une maison Ă  Samoreau.
    • Olivier Larronde (1927-1965), poète français, est enterrĂ© au cimetière de Samoreau.
    • Bernard Baissait (1948- ), graphiste, y est nĂ©.
    • Matthias Blazek (1966- ), journaliste et historien allemand, membre de la dĂ©lĂ©gation militaire allemande en France de 1994 Ă  1999, y vĂ©cut.

    LĂ©gendes et folklore

    Un roman de Jules Claretie, Mademoiselle Cachemire, se passe à Samoreau[72]. On y trouve le début d'une chanson qui s'y réfère[72] :

    À Samoreau il y a de belles filles,
    Y en a-t-une si parfaite en beauté,
    Que Godefroid y a tiré son portrait.

    Plusieurs faits légendaires prennent Samoreau pour lieu : la roche d'Arquebise, la Dame blanche de la mare du Bois Gasseau, le trésor de la Mare au sel.

    • La Roche d'Arquebise est un rocher immergĂ© dans le fleuve qui n'Ă©tait visible qu'au moment des basses eaux. On pouvait lire alors une inscription prophĂ©tique : « Ceux qui m’ont vu ont pleurĂ© ; ceux qui me voient pleureront »[73]. Elle Ă©tait le point culminant d’une barre rocheuse immergĂ©e nommĂ©e le GuĂ© de Saint-Aubin et sur laquelle il Ă©tait possible de traverser pour rejoindre la rive opposĂ©e et l’île du mĂŞme nom. On raconte qu’un drakkar remontant la Seine se serait fracassĂ© sur la roche menaçante et que, dans les annĂ©es 1970, une pĂ©niche se serait Ă©chouĂ©e au mĂŞme endroit[74]. Les travaux de domestication de la Seine, Ă  partir du XIXe siècle, ont eu raison de la barre rocheuse et de la roche d'Arquebise[75].
    • La mare du Bois-Gasseau est une vaste dĂ©pression assĂ©chĂ©e qui se remplit au cours des intempĂ©ries dans le Bois-Gasseau, près du chemin de la Vieille-route. La mare est frĂ©quentĂ©e, dit-on, par une Dame blanche qui y lave quotidiennement ses vĂŞtements : « Ă€ l’époque oĂą l’on croyait aux revenants, on prĂ©tendait qu’une dame blanche revenait la nuit laver son linge Ă  la mare du Bois Gasseau » (Georges Guillory[74]). Ă€ moins de km de lĂ , comme par hasard, une auto-stoppeuse fantĂ´me s’est manifestĂ©e en 1984[74].
    • La mare au sel est un point d’eau en forme de cĂ´ne renversĂ© de plus de m de profondeur et aujourd’hui complètement assĂ©chĂ©. Elle se trouve dans le bois des Saints-Pères, Ă  60 m Ă  l’est du carrefour formĂ© par le chemin rural d’HĂ©ricy Ă  Champagne-sur-Seine et la DĂ©partementale 210. Elle tient peut-ĂŞtre sa dĂ©nomination du sel qu'on lançait pour conjurer le mauvais sort car le Diable lui-mĂŞme a ici maille Ă  partir. L'histoire dit que, pendant la RĂ©volution, le curĂ© aurait jetĂ© dans la mare tous les objets prĂ©cieux qui venaient de l’église Saint-Pierre de Samoreau, en particulier un grand crucifix en or pur et des statuettes des douze apĂ´tres en argent massif ! Peu après, un habitant du village voulut rĂ©cupĂ©rer le trĂ©sor. Il se mit Ă  sonder le fond de la mare Ă  l’aide d’une perche. « Tout Ă  coup, l’eau se mit Ă  bouillonner et quelque chose tira violemment sur sa perche. Il crut aussitĂ´t que c’était le Diable qui s’en Ă©tait emparĂ©e pour le faire tomber dans l’eau. De peur, il lâcha sa perche et dĂ©campa sans demander son reste. Pendant la sĂ©cheresse de 1921 la mare s’est retrouvĂ©e Ă  sec et on en profita pour la curer. Mais on ne trouva rien au fond. Le trĂ©sor avait disparu. Le Diable Ă©tait sĂ»rement parti avec. »[74]
    • Vue gĂ©nĂ©rale de Samoreau depuis la rive ouest (1910).
      Vue générale de Samoreau depuis la rive ouest (1910).
    • Vue gĂ©nĂ©rale de Samoreau (1913).
      Vue générale de Samoreau (1913).
    • La mairie de Samoreau (1917).
      La mairie de Samoreau (1917).
    • La gare de Vulaines–Samoreau (2010).
      La gare de Vulaines–Samoreau (2010).

    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Pierre Grassat et Matthias Blazek : Pompes Ă  bras et pompiers Ă  Samoreau : L'Historique des Sapeurs-Pompiers de Samoreau 1898–1982, intr. par Patrice Havard, Samoreau, 1997
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    • Les Amis de Samois-sur-Seine : Valvins, Les Cahiers Samoisiens, No. 14/1993, Samois sur Seine 1993. (ISSN 0338-120X)
    • Alain Nicol et Matthias Blazek : L'Histoire de la Grange aux DĂ®mes, Samoreau 1998
    • Étienne Pivert de Senancour et George Sand : Obermann, Paris, 1863, p. 97
    • Marie-Anne Sarda : StĂ©phane MallarmĂ© Ă  Valvins, Livre du visiteur, MusĂ©e dĂ©partemental StĂ©phane MallarmĂ©, Vulaines-sur-Seine 1995. (ISBN 2-911389-00-X)
    • RenĂ© ClĂ©ment-Bayer, Alain Nicol, CĂ©cile et Jean-Pierre Thibieroz : La MĂ©moire d'un village 1177–1987, catalogue, exposition sur l'histoire de Samoreau, Samoreau, 1987
    • ComitĂ© de jumelage Samoreau-Bernried : Bulletins nos 1-4, Samoreau 1996–1999
    • Prussia : La guerre franco-prussienne de 1870–1871: RĂ©digĂ©e par la section « des groĂźen Generalstabes », Berlin 1878, p. 60

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. Statistiques de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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