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Avon (Seine-et-Marne)

Avon est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France. En 2020, elle compte 13 545 habitants.

Avon
Avon (Seine-et-Marne)
L'hĂŽtel de ville.
Blason de Avon
Blason
Avon (Seine-et-Marne)
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Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau
Maire
Mandat
Marie-Charlotte Nouhaud (LR)
2020-2026
Code postal 77210
Code commune 77014
DĂ©mographie
Gentilé Avonnais
Population
municipale
13 545 hab. (2020 en diminution de 2,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 3 537 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 24â€Č 35″ nord, 2° 42â€Č 58″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 100 m
Superficie 3,83 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Fontainebleau
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Fontainebleau
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Avon
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Avon
Liens
Site web avon77.com

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Avon se trouve dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1].

    Elle se situe Ă  17,53 km par la route[Note 1] de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement et Ă  2,38 km de Fontainebleau[3], sous-prĂ©fecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Fontainebleau[1].

    Avon forme avec sa voisine Fontainebleau une seule agglomération[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Fontainebleau (1,7 km), Samoreau (2,8 km), Vulaines-sur-Seine (3,9 km), Thomery (4,5 km), HĂ©ricy (5,0 km), Samois-sur-Seine (5,2 km), Champagne-sur-Seine (5,8 km), Veneux-les-Sablons (6,1 km).

    Communes limitrophes d’Avon
    Samois-sur-Seine
    Fontainebleau Avon Samoreau
    Thomery

    GĂ©ologie et relief

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[5] - [6].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief d'Avon.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée d'Avon.
    Géologie de la commune d'Avon selon l'échelle des temps géologiques[5] - [6].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent.
    MiocÚne non présent.
    PaléogÚne OligocÚne
    g1AR :Argile verte, Glaises Ă  CyrĂšnes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
    g1CB :Calcaire de Brie stampien et meuliÚres plio-quaternaire indifférenciées.
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grÚs en place ou peu remanié (versant).
    Éocùne
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de ChĂąteau-Landon, Marnes de Nemours.
    e7MS :Marnes supragypseuses : Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil.
    e6-7CH-SO :Calcaire de Champigny et Calcaire de Saint-Ouen indifférenciés.
    PaléocÚne non présent.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier d'Avon.

    Le rĂ©seau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau rĂ©fĂ©rencĂ© : la Seine, fleuve long de 774,76 km[7]. Sa longueur totale sur la commune est de 1,69 km[8].

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[11].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 5,7 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 710 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,2 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  22 km Ă  vol d'oiseau[13], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[14], Ă  11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[16].

    La rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », zone centrale et zone de transition, est un espace protĂ©gĂ© crĂ©Ă© en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[17] - [18] - [19].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[20].

    Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » :le « Massif de Fontainebleau »[21]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes grĂ©seuses alternent avec les vallĂ©es sĂšches. Les conditions de sols, d'humiditĂ© et d'expositions sont trĂšs variĂ©es. La forĂȘt de Fontainebleau est rĂ©putĂ©e pour sa remarquable biodiversitĂ© animale et vĂ©gĂ©tale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espĂšces de colĂ©optĂšres, 1 200 de lĂ©pidoptĂšres) ainsi qu'une soixantaine d'espĂšces vĂ©gĂ©tales protĂ©gĂ©es[22].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal d'Avon comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] - [23], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[24] , et un ZNIEFF de type 2[Note 5] - [23], la « vallĂ©e de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du dĂ©partement[25].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Avon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [26] - [27] - [28]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Fontainebleau, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[29] et 36 406 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32] - [33].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (65,48 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (64,82 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (61,97 %), forĂȘts (31,56 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,17 %), eaux continentales[Note 8] (2,96 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,33 %)[34].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[34].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    247,31 ha 64,82 % 249,80 ha 65,48 % 2,50 ha en augmentation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    0,00 ha 0,00 % 0,00 ha 0,00 % 0 ha en stagnation
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    122,91 ha 32,22 % 120,41 ha 31,56 % −2,50 ha en diminution
    Surfaces en eau
    (eaux continentales, eaux maritimes)
    11,30 ha 2,96 % 11,30 ha 2,96 % 0 ha en stagnation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[35] - [36] - [37]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Fontainebleau et sa rĂ©gion, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) de Fontainebleau et sa rĂ©gion[38].

    La commune, en 2019, avait engagĂ© l'Ă©laboration d'un plan local d'urbanisme[39]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le gĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune d'Avon.

    La commune compte 15 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[40] dont la Butte Monceau, Valvins (partagé avec Samois-sur-Seine).

    Quartiers

    Avon est divisé en plusieurs quartiers et résidences : Bellefontaine, Changis, La Butte Montceau, la Cave Coinard, les Basses Loges, le Prieuré, les FougÚres, les Terrasses et Valvins.

    Habitat et logement

    En 2018 , le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 7 731 , alors qu'il Ă©tait de 7 425 en 2013 et de 7 255 en 2008 [I 1].

    Parmi ces logements, 86,3 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 10,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 24,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 74,6 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Avon en 2018 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) égale à celle du département (2,9 %) mais substantiellement inférieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 53,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement ( 55,2 % en 2013), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entiÚre [I 3].

    En 2008, la ville compte 822 logements sociaux (12,6 % des résidences principales), nombre réduit à 799 en 2018 (12,0 %)[I 3].

    Le logement Ă  Avon en 2018 .
    Typologie Avon[I 1] Seine-et-Marne [I 4] France entiĂšre [I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 86,3 90,3 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,9 2,9 9,7
    Logements vacants (en %) 10,8 6,8 8,2

    Voies de communication

    La ligne de chemin de fer de Paris Ă  Marseille traverse le territoire de la commune en son centre, du nord-est au sud-est.

    Plusieurs routes départementales relient Avon aux communes voisines :

    • la D 137, Ă  Samois-sur-Seine, au nord ; Ă  Fontainebleau, au sud-est ;
    • la D 137e, Ă  Fontainebleau, Ă  l'ouest et au sud ;
    • la D 138, Ă  Samois-sur-Seine, au nord ; Ă  Fontainebleau et Ă  Thomery au sud-est ;
    • la D 210, Ă  Samois-sur-Seine, au nord-est ; Ă  Fontainebleau, Ă  l'ouest.

    Transports

    La gare de Fontainebleau - Avon.

    La commune dispose d'une gare desservie par les trains de la ligne R du Transilien effectuant les liaisons : Paris - Montereau et Paris - Montargis.

    Avon est desservie par plusieurs lignes de bus du rĂ©seau Transdev Île-de-France[41] - [42] :

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Abonis Villa en 836[47] - [48], Avonh en 1177[48].

    Histoire

    Avon est mentionnée en tant que paroisse dÚs 839[49] dans une charte de Louis le Pieux.

    Formant avec Fontainebleau une agglomĂ©ration entourĂ©e par la forĂȘt, l'histoire des deux villes fut souvent liĂ©e, mais les historiens considĂ©raient Avon comme antĂ©rieur Ă  sa voisine, jusqu'en 2012 oĂč furent mis au jour sous une des places du chĂąteau un village gaulois datant d'entre trente et deux-cent-cinquante ans avant J.-C.[50].

    La gare d'Avon-Fontainebleau ouvrit en 1846, le viaduc fut inauguré par le futur Napoléon III en septembre 1849[51].

    De 1885 à 1890, un train routier à vapeur de marque américaine « Scotte »[52] circulait entre la gare et le chùteau, sans réellement donner satisfaction. Il fut remplacé de 1896 à 1953 par un tramway[53].

    En 1943 et 1944, RĂ©my Dumoncel, maire de la ville, ainsi que plusieurs habitants[54] furent arrĂȘtĂ©s par l'occupant pour des faits de rĂ©sistance active, et moururent en dĂ©portation.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Fontainebleau du département de la Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Fontainebleau de Seine-et-Marne[55]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Fontainebleau

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de Seine-et-Marne.

    Intercommunalité

    Avon était membre de la communauté de communes du pays de Fontainebleau, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalitĂ© a fusionnĂ© avec sa voisine pour former, le , la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays de Fontainebleau dont est dĂ©sormais membre la commune.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2014 en Seine-et-Marne, la liste DVD menĂ©e par Marie-Charlotte Nouhaud obtient la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s, avec 1 991 voix (40,04 %, 24 conseillers municipaux Ă©lus dont 9 communautaires), battant de 58 voix celle DVG menĂ©e par le maire sortant Jean-Pierre Le Poulain (1 933 voix, 38,87 %, 6 conseillers municipaux Ă©lus dont 2 communautaires).
    La troisiĂšme liste PS-PCF-EELV menĂ©e par Dimitri Bandini a obtenu 1 048 voix (21,07 %, 3 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin, 44,46 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[56].

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2020 en Seine-et-Marne[57], la liste LR menĂ©e par la maire sortante obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 1 953 voix (60,22 %, 27 conseillers municipaux Ă©lus dont 9 communautaires), devançant trĂšs largement celle DVG menĂ©e par Dimitri Bandini — qui bĂ©nĂ©ficiait de la fusion des listes du 1er tour menĂ©es par Yann Moreau (EELV) et Amina Bacar (DVG) —, qui a obtenu 1 290 voix, 39,77 %, 6 conseillers municipaux Ă©lus dont 2 communautaires)
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 60,71 % des électeurs se sont abstenus[58] - [59].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1792 10 ventose an II Claude Bellier
    10 ventose an II 11 prairial an VIII Pierre Fiacre Huge
    11 prairial an VIII décembre 1806 Pierre Louis Giot
    décembre 1806 septembre 1815 Nicolas Goga
    septembre 1815 mai 1819 Guyon
    mai 1819 octobre 1824 Barbarin
    octobre 1824 juin 1826 Jean SĂ©raphin Desvesgnes
    juin 1826 décembre 1831 Claude Mathurin Jourdain
    décembre 1831 septembre 1833 Etienne Hutte
    septembre 1833 mai 1837 Jean Barbarin
    mai 1837 juin 1840 Claude Mathurin Jourdain
    juin 1840 1850 Charles Morlet
    janvier 1852 mai 1871 Jean Fontenelle
    mai 1871 janvier 1878 Gustave Morlet
    janvier 1878 mai 1888 Charles Lefebvre
    mai 1888 mai 1896 Charles Meunier
    mai 1896 mai 1912 Adolphe Julien Porgeron
    mai 1912 décembre 1919 Georges Penelle
    décembre 1919 octobre 1925 Léopold Merrienne
    octobre 1925 mars 1933 Baron Christian
    d'Aleyrac Contaud de Coulange
    Propriétaire à Fontainebleau
    mars 1933 mai 1935 Xavier Leconte
    mai 1935 mai 1944 RĂ©my Dumoncel
    mai 1944 mai 1945 Charles Yaher[60] Entrepreneur de travaux publics Ă  Paris
    mai 1945 mars 1959 Georges Lucquin
    mars 1959 mars 1971 LĂ©on BĂ©ra MĂ©decin
    mars 1971 mars 1995 Pierre Pic[61] DVD Expert-comptable
    mars 1995 mars 2014 Jean-Pierre Le Poulain[62] - [63] DVD puis UMP Enseignant retraité, maire honoraire
    avril 2014 En cours
    (au 6 octobre 2021[64])
    Marie-Charlotte Nouhaud DVD puis LR[65] Énarque, administratrice de la ville de Paris
    Vce-prĂ©sidente de la CA du Pays de Fontainebleau (2017 → )
    RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026
    [66]

    Jumelages

    Villes jumelées avec Avon
    VillePays
    MelkshamRoyaume-Uni

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[67].

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [68] - [69].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Avon est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [70] - [71] - [72].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[73]. La communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays de Fontainebleau (CAPF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  une entreprise privĂ©e , dont le contrat arrive Ă  Ă©chĂ©ance le 31 dĂ©cembre 2021[70] - [74] - [75].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [70] - [76].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur BiĂšre[77].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[78] - [Note 10].

    En 2020, la commune comptait 13 545 habitants[Note 11], en diminution de 2,76 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0199519071 0021 1271 1171 2161 3651 331
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1971 3511 5231 6561 9262 1412 4752 5472 680
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7832 8693 1413 4033 7174 1134 4804 4905 408
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7 47513 55215 37714 77813 87314 03014 26114 08414 001
    2020 - - - - - - - -
    13 545--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee Ă  partir de 2006[79].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Chaque dernier dimanche d'aoĂ»t[80], il est de coutume de fĂȘter la Saint-Fiacre en hommage au patron des jardiniers. Un cortĂšge dĂ©corĂ© de fruits, de lĂ©gumes et de fleurs dĂ©file habituellement dans les rues, jusqu'Ă  la statue rue de la RĂ©publique.

    Économie

    • Industrie du verre.

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 6 430 (dont 62 % imposĂ©s), reprĂ©sentant 13 360 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 22 980 euros[81].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 3 906, occupant 5 738 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  65,7 % contre un taux de chĂŽmage de 9,7 %. Les 24,5 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 11,2 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 6,5 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 6,8 % pour les autres inactifs[82].

    Entreprises et commerces

    En 2017, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 313 dont 11 dans l’industrie, 38 dans la construction, 218 dans le commerce-transports-services divers et 46 Ă©taient relatifs au secteur administratif[83].

    Ces Ă©tablissements ont pourvu 3 204 postes salariĂ©s.

    En 2019, 178 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 143 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune disposait de 72 chambres d’hĂŽtels dans un Ă©tablissement et ne possĂ©dait aucun terrain de camping[84].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Elle constitue l'un des plus anciens édifices religieux de la région.
    C'est l'ancien hÎpital du chùteau de Fontainebleau fondé par Anne d'Autriche. Il devient, aprÚs la Révolution, un petit séminaire puis la maison des rédemptoristes. Depuis 1920, les carmes déchaux y vivent. Le bùtiment a été agrandi en 1934 pour accueillir un petit collÚge dirigé par le P. Jacques de Jésus. Ce nouveau bùtiment est devenu depuis les années 1970 un centre spirituel qui accueille chaque année des milliers de personnes.
    • Portail et porche Ă  auvent de l'Ă©glise Saint-Pierre.
      Portail et porche Ă  auvent de l'Ă©glise Saint-Pierre.
    • L'Ă©glise Saint-Paul.
      L'Ă©glise Saint-Paul.
    • Le prieurĂ© des Basses-Loges.
      Le prieuré des Basses-Loges.
    • Le manoir de Bel-Ébat.
      Le manoir de Bel-Ébat.

    Personnalités liées à la commune

    Rue PÚre-Jacques, localisée à Avon.
    Pierre tombale d'Étienne BĂ©zout dans l'Ă©glise Saint-Pierre Ă  Avon.
    • PĂšre Jacques, pĂšre Jacques de JĂ©sus (Lucien Bunel), nĂ© en 1900 Ă  Barentin, prĂšs de Rouen. OrdonnĂ© prĂȘtre en 1925, devenu carme en 1931, il est nommĂ© directeur du Petit CollĂšge d’Avon en 1934. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il entre en rĂ©sistance et le Petit CollĂšge sert Ă  cacher des rĂ©fractaires et des enfants juifs. Il est arrĂȘtĂ© en 1944, puis dĂ©portĂ© pour aboutir finalement au camp de Mauthausen. Celui-ci est libĂ©rĂ© le 5 mai 1945 mais Ă©puisĂ©, il meurt le 2 juin 1945.
      L’épisode de l’arrestation au Petit CollĂšge est le sujet du film de Louis Malle Au revoir les enfants.
      La mĂ©daille des Justes lui est dĂ©cernĂ©e par l’État d’IsraĂ«l le 9 juin 1985[64]. Un procĂšs informatif diocĂ©sain pour la canonisation du pĂšre Jacques de JĂ©sus a Ă©tĂ© ouvert le 29 avril 1997.
    • RĂ©my Dumoncel, nĂ© en 1888 Ă  Romorantin. Éditeur, il devient maire d'Avon en 1935.
      Lors de la Seconde Guerre mondiale, il entre dans la rĂ©sistance dans le rĂ©seau VĂ©lite Thermopyles. Il est arrĂȘtĂ© par la Gestapo Ă  la gare de Fontainebleau - Avon le et dĂ©portĂ© Ă  Neuengamme, oĂč il meurt le . Il est honorĂ© Ă  Yad Vashem comme un Juste parmi les nations[90] - [64].
    • Paul MathĂ©ry, secrĂ©taire de maire, hĂ©ros de la RĂ©sistance avonnaise. En accord avec le maire RĂ©my Dumoncel, il a Ă©tabli de faux papiers pour cacher les enfants juifs du Petit CollĂšge des Carmes, avec la complicitĂ© du PĂšre Jacques. ArrĂȘtĂ© sur dĂ©nonciation par la Gestapo le , il est emprisonnĂ© et torturĂ© Ă  la prison de Fontainebleau avant d'ĂȘtre dĂ©portĂ© Ă  Melk, camp annexe de Mauthausen oĂč il meurt d’épuisement Ă  37 ans. Il est le troisiĂšme Juste parmi les nations d'Avon[64] - [91]. L'Ă©cole Carnot d'Avon a Ă©tĂ© renommĂ©e Ă©cole Paul-MathĂ©ry en 2015[92] - [93].
    Une rue des Justes rappelle depuis 2015 la mémoire de ces trois hommes[64] - [94].
    • Le Bienheureux P. Marie-EugĂšne de l'Enfant-JĂ©sus (Henri Grialou) ancien novice au couvent des Carmes de 1922 Ă  1924 oĂč il revint plusieurs fois.
    • Alphonse XIII, roi d'Espagne a rĂ©sidĂ© Ă  l'HĂŽtel Savoy Ă  Avon lors de son exil en France.
    • Katherine Mansfield Ă©crivain d'origine nĂ©o-zĂ©landaise, atteinte de tuberculose, est dĂ©cĂ©dĂ©e en 1923 Ă  l’institut Gurdjieff situĂ© au prieurĂ© d'Avon. Elle est enterrĂ©e dans le cimetiĂšre de la ville.
    • RenĂ© Dommange (1888-1977), avocat, Ă©diteur de musique, compositeur, dĂ©putĂ© conservateur sous la TroisiĂšme RĂ©publique, puis soutien du marĂ©chal PĂ©tain pendant la Seconde Guerre mondiale et membre de la Milice française, mort le 27 mai 1977 Ă  Avon, propriĂ©taire du manoir de Bel-Ébat avec sa femme Lola, avocate et fĂ©ministe, qu'ils ont lĂ©guĂ©s Ă  la ville[64].
    • Georges Gurdjieff une figure cĂ©lĂšbre de l'Ă©sotĂ©risme, s'installa de 1922 Ă  1933 au prieurĂ© d'Avon pour y fonder l'institut pour le dĂ©veloppement harmonique de l'homme. Il est enterrĂ© dans le cimetiĂšre de la ville.
    • Lilian Thuram, joueur de football, champion du Monde en 1998 et d'Europe en 2000, a vĂ©cu au quartier des FougĂšres.
    • Carlos Schwabe artiste-peintre symboliste, est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Avon en 1926.
    • Étienne BĂ©zout, mathĂ©maticien, nĂ© Ă  Nemours en 1730 et mort Ă  Avon le 27 septembre 1783.
    • Le marquis Gian Rinaldo Monaldeschi, Ă©cuyer et amant de Christine de SuĂšde, assassinĂ© sur son ordre le 10 novembre 1657 et enterrĂ© Ă  Fontainebleau.
    • Auguste Durand (1830-1909), organiste et Ă©diteur de musique, propriĂ©taire du manoir de Bel-Ébat, est enterrĂ© Ă  Avon.
    • Jacques Durand (1865-1928), Ă©diteur de musique, propriĂ©taire du manoir de Bel-Ébat, est dĂ©cĂ©dĂ© et enterrĂ© Ă  Avon.
    • Jules Massenet (1842-1912), compositeur français, y a possĂ©dĂ© une maison oĂč il a sĂ©journĂ© jusqu'en 1882[95].
    • Bernard Palissy (vers 1510-1589 ou 1590), cĂ©ramiste, Ă©crivain et savant français, y entretenait une fabrique non loin du chĂąteau de Fontainebleau[96].
    • Antoine ClĂ©ricy, cĂ©ramiste, y entretenait une fabrique dans le hameau du Montceau.

    HĂ©raldique, devise et logotype

    Logo d'Avon depuis 2008.
    Avon
    Blason de Avon Blason
    De gueules aux deux clefs d'argent passées en sautoir, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Avon », p. 561–565

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    10. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Localisation de Avon, » sur Géoportail (consulté le 12 mai 2020)..
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    3. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

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    2. « Distance entre Avon et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre Avon et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Avon », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
    6. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
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    8. Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 22 septembre 2018
    9. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
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    51. Site internet "avon77.com"
    52. Site internet « antiqbrocdelatour.com » - voitures anciennes de 1800 à 1899 - qui présente quelques types de "Locomobiles"
    53. Site internet « connaissance-du-rail.com »
    54. Capitaine Louis GuĂ©neau; Paul MathĂ©ry; Lucien Canus; Aristide Roux; Étienne Chalut-Natal; Charles Ziegler; le PĂšre Jacques de JĂ©sus
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    56. RĂ©sultats officiels pour la commune Avon
    57. Faustine LĂ©o, « Avon : Marie-Charlotte Nouhaud devra battre Dimitri Bandini pour garder son siĂšge : Dimitri Bandini (SE) espĂšre que son alliance avec les Ă©cologistes et Amina Bacar lui permettra de battre la maire sortante. Il lui faudra pour cela sĂ©duire aussi les Ă©lecteurs de BĂ©atrice Rucheton (LR) qui a finalement dĂ©cidĂ© de se retirer », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « A Avon, au terme de longues tractations, le 2 e tour des Ă©lections verra donc s'affronter la maire sortante (LR) Marie-Charlotte Nouhaud et Dimitri Bandini (SE), lequel a fusionnĂ© avec les Ă©cologistes menĂ©s par Yann Moreau (9,24 %) et avec la candidate (SE) Amina Bacar (5,91 %). Tous deux sont en 5 e et 6 e positions de « RĂ©veillons Avon », nouvelle mouture ».
    58. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Résultats par commune - Seine-et-Marne (77) - Avon », sur interieur.gouv.fr, MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
    59. Yoann Vallier, « Municipales Ă  Avon. Marie-Charlotte Nouhaud rĂ©Ă©lue avec 60,22 % des voix : Face Ă  une gauche Ă©cologiste rassemblĂ©e, la maire sortante est rĂ©Ă©lue confortablement Ă  Avon », La RĂ©publique de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Deux tĂȘtes de listes candidates au premier tour, Yann Moreau (EELV) et Amina Bacar (divers gauche), avaient choisi de rallier la liste du candidat pour tenter de renverser la tendance. « Je suis contente qu’arithmĂ©tique et politique ne marchent pas ensemble. La fusion des listes contre moi n’a pas fonctionnĂ©. On a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un bel Ă©lan, et on a prouvĂ© que notre programme Ă©tait rĂ©alisable, ce qui n’était pas le cas de celui de mon concurrent » ».
    60. http://www2.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=YAHER
    61. Yoann Vallier, « L’hommage Ă  Pierre Pic : Le maire d’Avon entre 1971 et 1995 s’est Ă©teint Ă  l’ñge de 90 ans. La ville lui doit de nombreux Ă©quipements, dont la Maison dans la VallĂ©e. Ses deux successeurs tĂ©moignent », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « C’est en 1954 qu’il installe son cabinet comptable Ă  Avon, et siĂšge au conseil municipal dĂšs 1965 ».
    62. Yoann Vallier, « L'ancien maire d'Avon Jean-Pierre Le Poulain fait ses adieux Ă  la vie publique : Maire d’Avon pendant prĂšs de 20 ans, Jean-Pierre Le Poulain a annoncĂ© son retrait de la vie publique. Tout en saluant la « relĂšve » incarnĂ©e selon lui par Dimitri Bandini », La RĂ©publique de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « AprĂšs sa dĂ©faite en 2014, il avait choisi de se retirer dans le sud, restant toutefois Ă©lu d’opposition, n’hĂ©sitant pas Ă  mettre son grain de sel Ă  distance ».
    63. Yoann Vallier, « DĂ©cĂšs de Jean-Pierre Le Poulain, maire d'Avon pendant 19 an : La ville d'Avon a annoncĂ© le dĂ©cĂšs de son maire honoraire Jean-Pierre Le Poulain. Il a Ă©tĂ© Ă  la tĂȘte de la commune pendant presque 20 ans et laisse l'image d'un maire bĂątisseur », La RĂ©publique de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Ses rĂ©alisations sur Avon sont extrĂȘmement nombreuses et il laisse l’image d’un maire bĂątisseur. Il faisait Ă©galement partie des hommes politiques pionniers de l’écologie, ayant prĂ©sidĂ© la commission Agenda 21 et dĂ©veloppement durable de l’Amicale des Maires d’Ile de France. Politiquement, il Ă©tait conseiller national pour l’UMP et proche de personnalitĂ©s comme François Fillon, François Baroin ou Xavier Bertrand. ».
    64. TimothĂ©e Talbi, « « L’un des pires collabos » : Ă  Avon, une exposition dans la demeure d’un fidĂšle soutien de PĂ©tain fait polĂ©mique : A l’occasion des JournĂ©es du patrimoine, la mairie d’Avon proposait une exposition sur le couple Lola et RenĂ© Dommange dans le manoir de Bel-Ebat. Dans une commune marquĂ©e par les actes courageux de trois Justes durant l’Occupation, l’évĂšnement a suscitĂ© l’indignation d’anciens Ă©lus », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    65. Sylvain Deleuze, « Avon : la maire Ă©crit au prĂ©sident de la RĂ©publique au sujet du commissariat » AccĂšs libre, Le Parisien, (consultĂ© le ) : « La maire (LR) d'Avon »
    66. Yoann Vallier, « Les cinq premiĂšres mesures de Marie-Charlotte Nouhaud, rĂ©Ă©lue maire d'Avon : À peine rĂ©Ă©lue, la maire a annoncĂ© cinq actions qui vont prendre effet immĂ©diatement. De quoi dĂ©marrer le travail avant la rentrĂ©e avant de dĂ©rouler son programme », La RĂ©publique de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    92. Yoann Vallier, « Avon n'oubliera jamais Paul MathĂ©ry : Emouvante cĂ©rĂ©monie Ă  Avon vendredi : l'Ă©cole Avon-Centre a Ă©tĂ© renommĂ©e Paul MathĂ©ry, en hommage au secrĂ©taire de maire, hĂ©ros de la RĂ©sistance avonnaise. Retour en images », La RĂ©publique de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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