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Salagnac

Salagnac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Salagnac
Salagnac
Le bourg de Salagnac.
Blason de Salagnac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-AuvézÚre en Périgord
Maire
Mandat
Laurent Baronnet
2020-2026
Code postal 24160
Code commune 24515
DĂ©mographie
Gentilé Salagnacois
Population
municipale
724 hab. (2020 en diminution de 10,4 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 80 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 18â€Č 41″ nord, 1° 11â€Č 50″ est
Altitude Min. 176 m
Max. 354 m
Superficie 9,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-AuvézÚre
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Salagnac
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Salagnac
Liens
Site web Site officiel

    GĂ©ographie

    Généralités

    Limitrophe du dĂ©partement de la CorrĂšze et situĂ©e Ă  l'extrĂȘme nord-est du dĂ©partement de la Dordogne, la commune de Salagnac est arrosĂ©e au sud par un ruisseau sans nom, principal affluent du Dalon et qui alimente l'Ă©tang de Born[1]. La partie occidentale du territoire communal se trouve en forĂȘt domaniale de Born.

    Sur le plan géologique, le sol se compose principalement de roches métamorphiques paléozoïques, et au sud-est de grÚs et d'argile permiens[2].

    Le bourg de Salagnac, à l'intersection des routes départementales (RD) 5 et 72E3, se situe, en distances orthodromiques, sept kilomÚtres au nord-est de Hautefort et dix kilomÚtres au sud-est de Lanouaille.

    Le territoire communal est Ă©galement desservi par les RD 5E3, 5E5 et 72E2.

    Communes limitrophes

    Carte de Salagnac et des communes avoisinantes.

    Salagnac est limitrophe de quatre autres communes dont une dans le dĂ©partement de la CorrĂšze. Au sud-est, son territoire est distant d'environ 250 mĂštres de celui de la commune corrĂ©zienne de Segonzac.

    Communes limitrophes de Salagnac
    Saint-Mesmin
    GĂ©nis Salagnac Juillac
    (CorrĂšze)
    Sainte-Trie

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Salagnac est dans le gradin extrĂȘme nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formĂ©es au PalĂ©ozoĂŻque, antĂ©rieurement au CarbonifĂšre[3].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et du PalĂ©ozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e iρ1, se compose de porphyroĂŻde roses Ă  flammes de GĂ©nis : mĂ©ta-ignimbrites dĂ©rivĂ©es de rhyolites ignimbritiques et potassiques (Cambrien-Ordovicien). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles Ă  actuelles. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 760 - Juillac » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[4] - [5] et sa notice associĂ©e[6].

    Carte géologique de Salagnac.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 176 mĂštres Ă  l'extrĂȘme sud-ouest, lĂ  oĂč un affluent du Dalon quitte la commune et sert de limite entre celles de GĂ©nis et Sainte-Trie, et 354 mĂštres Ă  l'extrĂȘme nord-est, en forĂȘt de Born, en limite des communes de Saint-Mesmin et Juillac[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 9,08 km2[11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 9,34 km2[5].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par divers petits cours d'eau qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 13,5 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Le cours d'eau principal, affluent du Dalon et sous-affluent de l'AuvĂ©zĂšre, n'a pas de nom[16]. Il arrose le sud de la commune sur cinq kilomĂštres, dont un kilomĂštre et demi marque la limite territoriale en deux tronçons, face Ă  Sainte-Trie. Il forme l'Ă©tang de Born, une retenue d'environ dix-sept hectares situĂ©e en intĂ©gralitĂ© sur le territoire communal, mĂȘme si la rive sud-est fait partie de la commune de Sainte-Trie.

    • L'Ă©tang de Born.
      L'Ă©tang de Born.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Salagnac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [18].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[19]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 1 057 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[23] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[24] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[25] et qui se trouve Ă  22 km Ă  vol d'oiseau[26] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 152,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[27]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le dĂ©partement de la CorrĂšze, mise en service en 1987 et Ă  31 km[28], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,0 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Salagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [32] - [33] - [34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (47,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (46,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (40,4 %), prairies (31,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16,1 %), zones urbanisĂ©es (6,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,7 %), eaux continentales[Note 8] (2,7 %)[37].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Salagnac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[38]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[39].

    Risques naturels

    Salagnac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[40]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[41] - [42].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Salagnac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[44]. 18 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [45].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[38].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Salagnac est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[46].

    Toponymie

    La premiÚre mention écrite connue du lieu date de l'an 1219 sous la forme « Salanac »[47].

    Le nom de la commune correspond au nom d'un personnage gallo-roman Salanus auquel est ajouté le suffixe -acum indiquant le « domaine de Salanus »[47].

    En occitan, la commune porte le nom de Salanhac[48].

    Histoire

    La cité de Clairvivre vue depuis le puy de Raffaillac.
    Le bùtiment principal de la cité de Clairvivre.

    Le village de Salagnac a été donné à l'abbaye de Dalon au début du XIIIe siÚcle[47].

    Lors de la crĂ©ation des dĂ©partements français en 1790, la commune de Salagnac a d'abord briĂšvement fait partie de la CorrĂšze avant d'ĂȘtre rattachĂ©e en 1793 Ă  la Dordogne[47], avec neuf autres communes.

    AprÚs la PremiÚre Guerre mondiale, vient la nécessité de lutter activement contre le grand mal de l'époque qu'est la tuberculose et aussi d'aider à la réinsertion socio-professionnelle des soldats gazés durant le conflit.

    La Fédération nationale des blessés du poumon et chirurgicaux (FNBPC), à l'instigation de son secrétaire général Albert Delsuc, souhaite la création d'une cité sanitaire unique en son genre, devant correspondre aux critÚres de la cité-jardin, et permettant aux pensionnaires de mener une vie familiale et professionnelle tout en étant soignés. Une subvention de 60 millions de francs est votée à l'unanimité par le Parlement pour parfaire le projet.

    La « cité Clairvivre » sort de terre entre 1931 et 1933, sur les plans de l'architecte Pierre Forestier.

    C'est une petite ville totalement autonome, organisée de part et d'autre d'une avenue principale et possédant notamment : un bùtiment de 200 chambres (réservé à l'accueil des tuberculeux célibataires et des visiteurs), 175 pavillons (soit 340 logements destinés aux malades et à leur famille), un hÎpital (avec dispensaire et service social), une centrale d'épuration, un systÚme d'adduction d'eau, une centrale électrique, des commerces, des grands magasins, des écoles, une ferme et des cultures.

    La gestion de la citĂ© est confiĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© « La maison des blessĂ©s du poumon » (SMBP) dont l'administrateur Ă©tait Albert Delsuc lui-mĂȘme.

    Avec la disparition progressive des soldats gazés lors de la guerre de 1914-1918, la cité se transforme progressivement en un sanatorium classique.

    À partir de 1937, elle accueille, tout en continuant Ă  fonctionner, de nombreux rĂ©fugiĂ©s tels que des blessĂ©s de la Guerre d'Espagne.

    Puis en 1939 et 1940, les hospices civils de Strasbourg investissent les lieux, accompagnés de réfugiés alsaciens et lorrains. Ceux-ci quittent Clairvivre au début de l'année 1945[49].

    À partir de 1966, la SMBP crĂ©e un Centre d’aide par le travail (CAT) destinĂ© Ă  accueillir des personnes handicapĂ©es adultes. Celui-ci s'agrandit progressivement au dĂ©triment du sanatorium (qui ferme dĂ©finitivement ses portes en ), pour accueillir des personnes handicapĂ©es physiques de toute nature.

    À la suite d'importantes difficultĂ©s financiĂšres, la SMBP doit abandonner la gestion de Clairvivre Ă  l'Établissement public dĂ©partemental constituĂ© le .

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune de Salagnac a, dÚs 1790, fait partie du département de la CorrÚze.

    En 1793, elle est rattachĂ©e au canton de GĂ©nis qui dĂ©pend du district d'Excideuil dans le dĂ©partement de la Dordogne. En 1801, le canton de GĂ©nis est supprimĂ©, de mĂȘme que les districts, et la commune est rattachĂ©e au canton d'Excideuil dĂ©pendant de l'arrondissement de PĂ©rigueux[50].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[51]. La commune est alors rattachée au canton d'Isle-Loue-AuvézÚre.

    En 2017, Salagnac est rattachée à l'arrondissement de Nontron[52] - [53].

    Intercommunalité

    En 2006, Salagnac rejoint la communautĂ© de communes de Juillac-Loyre-AuvĂ©zĂšre, intercommunalitĂ© du dĂ©partement de la CorrĂšze. Elle la quitte le pour rejoindre la communautĂ© de communes Causses et RiviĂšres en PĂ©rigord[54]. Celle-ci est dissoute le et ses communes — hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand PĂ©rigueux — sont rattachĂ©es Ă  la communautĂ© de communes du Pays de Lanouaille qui la mĂȘme annĂ©e prend le nom de communautĂ© de communes Isle-Loue-AuvĂ©zĂšre en PĂ©rigord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[55] - [56].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? mars 1977 Robert Cornut
    mars 1977 mars 2001 Gilbert Dupuy
    mars 2001[57] mai 2020 Alain Maigret SE[58] Retraité
    mai 2020 En cours Laurent Baronnet

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Salagnac relĂšve[59] :

    Jumelages

    DĂ©mographie

    Les habitants de Salagnac se nomment les Salagnacois[61].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[63].

    En 2020, la commune comptait 724 habitants[Note 10], en diminution de 10,4 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    210218214264284304319323283
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    322329327310300326359330317
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3213032592482276681 1821 228918
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    8261 122833812785919929873808
    2019 2020 - - - - - - -
    729724-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee Ă  partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[65], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 474 personnes, soit 59,3 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (79) a presque triplĂ© par rapport Ă  2010 (27) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  16,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-six Ă©tablissements[66], dont onze au niveau des commerces, transports ou services, onze relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, un dans la construction, et un dans l'industrie[67].

    Entreprises

    Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siĂšge social est en Dordogne, la sociĂ©tĂ© « LRB montage » (travaux de montage de structures mĂ©talliques), implantĂ©e Ă  Salagnac, se classe en 34e positionquant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 476 k€[68].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin.
      L'Ă©glise Saint-Martin.
    • Son portail.
      Son portail.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le centre de rĂ©Ă©ducation professionnelle de Clairvivre.
      Le centre de rééducation professionnelle de Clairvivre.

    Patrimoine naturel

    L'Ă©tang de Born en forĂȘt domaniale de Born.

    À l'est, la forĂȘt domaniale de Born, une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 remarquable pour sa flore, se situe principalement sur les communes de Salagnac et de Saint-Mesmin[74] - [75].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Salagnac Blason
    D'azur au cerf d'or issant d'une champagne ondée d'argent chargée d'une fasce ondée d'azur [alias : riviÚre] ; au chef cousu de gueules chargé d'un pal de vair.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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