Juillac (Corrèze)
Juillac est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine. De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Juillac.
Juillac | |||||
Le bourg de Juillac. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Brive-la-Gaillarde | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bassin de Brive | ||||
Maire Mandat |
Josette Fargetas 2020-2026 |
||||
Code postal | 19350 | ||||
Code commune | 19094 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Juillacois[1] | ||||
Population municipale |
1 125 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 19′ 09″ nord, 1° 19′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 154 m Max. 410 m |
||||
Superficie | 33,14 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Brive-la-Gaillarde (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de l'Yssandonnais | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Généralités
Dans l'Ouest du département de la Corrèze, en limite du bassin de Brive et du pays d'Uzerche, la commune de Juillac s'étend sur 33,14 km2. Elle est arrosée par le Roseix et son affluent le ruisseau de la Tournerie qui, tous deux, y prennent leur source.
L'altitude minimale, 154 mètres, se trouve à l'extrême sud, là où le Roseix quitte la commune et entre sur celle de Rosiers-de-Juillac. L'altitude maximale avec 410 ou 415 mètres[Note 1] est localisée à l'extrême nord-ouest, au lieu-dit les Bichets, en limite de Saint-Cyr-les-Champagnes. Une marque sur le bâtiment de la Poste indique 300 mètres. La commune est vallonnée.
Le bourg de Juillac, à l'intersection des routes départementales (RD) 39, 71 et 901, se situe, en distances orthodromiques, 21 km au nord de Terrasson-Lavilledieu, 22 km au sud-ouest d'Uzerche et 24 km au nord-ouest de Brive-la-Gaillarde.
Le territoire communal est également desservi par les RD 4, 52, 52E, 71E1 et 114.
Sur un plan géologique, il faut se tourner vers le document suivant très instructif : http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0760N.pdf.
Communes limitrophes
Juillac est limitrophe avec huit autres communes, dont quatre dans le département de la Dordogne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 152,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Juillac est une commune rurale[Note 6] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,5 %), forêts (31,2 %), prairies (22,5 %), cultures permanentes (5,1 %), zones urbanisées (2,6 %), terres arables (1,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Juillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Roseix et . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2021[23] - [21]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Hautefage - Bassin de la Dordogne », approuvé le [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 41,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 738 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 271 sont en en aléa moyen ou fort, soit 37 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1994[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, de Marèges, de l'Aigle, du Chastang, de Neuvic d'Ussel et de Marcillac, d'Enchanet et de Hautefage, des ouvrages de classe A[Note 8] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Juillac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Toponymie
Le nom de la commune dérive d'un nom de personnage latin, Julius, suivi par le suffixe -acum[30], correspondant au « domaine de Julius ».
En occitan, la commune se nomme Julhac.
Histoire
Juillac, fief de la châtellenie vicomtale d’Ayen, semble lui échoir avant 1346 sans que l’on n’en connaisse les modalités. Une famille dite de « Julhac » est attestée dès le XIe siècle. En 1298, le vicomte de Limoges parle du burgum nostrum de Julhac près duquel Gui Morcel, chevalier de Ségur possède un repaire. On ignore qui est seigneur de Juillac avant les Pérusse. Ainsi, il n’est pas impossible que ce soit le vicomte de Limoges qui ait personnellement gratifié Ramnulphe de Pérusse de ce fief au XIVe siècle. Le château de Juillac se trouvait dans le bourg. Celui de Beaufort est peut-être une création du XVe siècle, une résidence forte établie sur une colline dominant la bourgade. En 1346, Ramnulphe, comme seigneur des Cars et de Juillac, achète des droits sur Juillac et Chabrignac à Hugues d’Ayen. En 1357 et 1359, il obtient du vicomte une rente de 50 livres et tous les droits seigneuriaux sur le bourg et la paroisse de Juillac en contrepartie de lui en prêter hommage. En 1363, il obtient le droit d’y faire tenir un marché le vendredi. En 1359, il fait un échange de maisons dans le bourg avec le chapitre Saint-Étienne. En 1440, Gautier obtient une délimitation entre les seigneuries de Juillac et d’Ayen.
Selon le Livre de raison de Jehan Raffailhac, de Badefols d'Ans (Périgord), il y a eu à Juillac en 1630 une forte épidémie de peste, mais aussi non loin à Ayen et Yssandon.
Politique et administration
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Juillac est le chef-lieu du canton de Juillac qui dépend du district d'Uzerche jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Brive, qui prend le nom d'arrondissement de Brive-la-Gaillarde en 1925[33].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[34]. La commune est alors rattachée au canton de l'Yssandonnais, dont le bureau centralisateur se trouve à Objat.
Intercommunalité
Dès 1994, Juillac intègre dès sa création la communauté de communes du Bassin de la Loyre, renommée en 2006 communauté de communes de Juillac-Loyre-Auvézère. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération du bassin de Brive.
Politique environnementale
La déchèterie la plus proche se situe sur la commune de Saint-Bonnet-la-Rivière, à quelques kilomètres au sud-est.
Population et société
Démographie
Les habitants de Juillac sont appelés les Juillacois.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2020, la commune comptait 1 125 habitants[Note 9], en diminution de 0,97 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Maternelle et école primaire. Pour les grands, un ramassage scolaire existe.
Manifestations culturelles et festivités
Depuis des années, la Saint-Mesmin est fêtée le , avec brocante et vide-greniers dans les rues du bourg. Autre temps fort au cours de l'année, chaque premier week-end du mois d'août, le bourg offre animations, fêtes et feu d'artifice tiré sur le stade.
Activités sportives
Il existe une piscine municipale accolée au camping, un stade où peut être pratiqué le rugby, un terrain de basket. L'activité sportive est soutenue par plusieurs associations loi de 1901.
Économie
Alors que la ville semble tourner au ralenti (beaucoup de façades révèlent une activité passée intense), Juillac compte cependant quelques commerces et des artisans, ainsi que des agriculteurs. Juillac compte une pharmacie, deux garages, deux stations essence à proximité. Il y a également une boulangerie, un fleuriste, un boucher traiteur, deux magasins d'électroménager, une épicerie, et un supermarché. Une zone d'activité se trouve à la sortie en direction de Pompadour.
Plus de 200 sociétés ont pour siège social Juillac.
Service public
Gendarmerie, sapeurs-pompiers, La Poste, centre médico-social, centre des finances publiques, un médecin généraliste, un kinésithérapeute. Depuis 2019, un notaire s'est installé dans le bourg.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine culturel
Juillac compte dans la Grande Rue une médiathèque fraîchement rénovée et plusieurs associations loi 1901 dont l'une vise à mettre en valeur la naturaliste Jeanne Villepreux-Power.
Toujours dans la Grande Rue, une galerie permet des expositions régulières mettant à l'honneur dans ces terres du Bas Limousin la présence d'artistes.
Patrimoine naturel
Au nord-ouest du bourg, la commune recèle sur 304 hectares une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 au cœur de la forêt de Montcheyrol, refuge de nombreuses espèces animales[38].
Il existe une variété de châtaigne appelée bourrue de Juillac. Voir pour plus d'informations la page : https://www.fruitiers.net/fiche.php?id=3371
Sur la commune, se dresse une table d'orientation au Chatenet, vers le stade.
Personnalités liées à la commune
- Patrick Boutot dit Patrick Sébastien : bien que né à Brive-la-Gaillarde en 1953, il a passé une partie de son enfance à Juillac. Une plaque rappelant ce moment de sa vie a été installée sur la façade de la maison où il vécut, près de l'église.
- Alain Penaud, ancien demi d'ouverture du XV de France est né à Juillac en 1969.
- Jean Malaval, ancien coureur cycliste, peintre, ancien Résistant né le à Chabrignac et décédé le à Tours. A vécu toute son enfance à Juillac.
- Jeanne Villepreux-Power, dite Lady Power, naturaliste française, est née à Juillac en 1794, et y est décédée en 1871, après avoir longtemps vécu en Sicile. Elle est l'inventeur(trice) des aquariums.
- Bernard Marque, mathématicien, historien et félibre, né à Juillac en 1866, mort à Juillac en 1936.
- François Gouyon, parlementaire français (1875-1966) né et décédé à Juillac.
- Adhémar Péchadre (1862-1925), né à Juillac, député français entre 1906 et 1919 dans la Marne.
- André Monteil (1915-1998), né à Juillac, professeur agrégé, ministre du gouvernement de Pierre Mendès France.
- Jean-Baptiste Chavoix, né à Juillac le et décédé à Juillac le a été député de l'Assemblée constituante pour le tiers état, sénéchaussée de Limoges.
- Michel Mallevergne (1804-1877) est un homme politique né à Juillac.
- Pierre Jean François Chaffary, né à Villemoustaussou le et décédé à Juillac le 22 août 1950, général de brigade en 1931.
- Noël Chassaignac (1758-1821), homme politique français, né et mort à Juillac.
- Max Deutsch (1892-1982), compositeur, chef d'orchestre franco-autrichien qui a été réfugié à Juillac durant la guerre.
- Germain Guibert (1897-1968), homme politique, résistant dans la région de Juillac.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Batillot, Juillac et environs, 150 pages
- Antoine-Jean Gouyon, La Vie rurale et l’amodiation des terres à Juillac en Bas-Limousin depuis le XVIIIe siècle, thèse de doctorat, 1947
- Yves Lavalade, Les noms de lieux du pays de Juillac, Corrèze [Texte imprimé] : Chabrignac, Concèze, Juillac, Lascaux, Rosiers-de-Juillac, Saint-Bonnet-la-Rivière, 2017
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Deux données contradictoires selon le Géoportail : 415 mètres sur la carte et 410 pour la boîte « Communes ».
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Le nom des habitants du 19 - Corrèze - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lubersac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Juillac et Lubersac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lubersac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Juillac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Juillac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « PPRI Hautefage - Bassin de la Dordogne », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Juillac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1989, 1re édition en 1963, (ISBN 2-85023-076-6), p. 371.
- « Les maires de Juillac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-228 du 24 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Corrèze », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Forêt de Montcheyrol sur le site de la DREAL Limousin, consulté le 6 juin 2016.