Paussac-et-Saint-Vivien
Paussac-et-Saint-Vivien est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Paussac-et-Saint-Vivien | |||||
Le village de Paussac et son église fortifiée. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | CC du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Géry Denis 2022-2026 |
||||
Code postal | 24310 | ||||
Code commune | 24319 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Paussacois-et-Vivianais | ||||
Population municipale |
478 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 20′ 54″ nord, 0° 32′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 202 m |
||||
Superficie | 22,17 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brantôme en Périgord | ||||
Législatives | 3e circonscription de la Dordogne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://lapagelocale.fr/24310-paussac-et-saint-vivien | ||||
Géographie
Description
Localisée au nord-ouest du département de la Dordogne, en Ribéracois, la commune de Paussac-et-Saint-Vivien s'étend sur 22,17 km2. Elle est arrosée par deux affluents de la Dronne, le Boulou à l'est et l'Euche au sud, ainsi que par un affluent de cette dernière, la Sandonie, à l'ouest.
Au nord-ouest et au nord, la commune est limitrophe du parc naturel régional Périgord-Limousin.
Le bourg de Paussac, traversé par la route départementale 93, est situé, en distances orthodromiques, neuf kilomètres à l'ouest de Brantôme et 19 kilomètres au nord-est de Ribérac.
La commune est également desservie au sud par les routes départementales 106 et 2, cette dernière traversant le bourg de Saint-Vivien.
Au nord-est, le sentier de grande randonnée GR 36 fait une courte incursion sur le territoire communal et passe au village de la Verrerie.
Communes limitrophes
Paussac-et-Saint-Vivien est limitrophe de six autres communes. Au sud, son territoire est distant de moins de 150 mètres de celui de Lisle.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Paussac-et-Saint-Vivien est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c1, date du Cénomanien indifférencié, composée d'argiles et marnes vertes gypsifères et pyriteuses à niveaux de lignite, sables fins à grossiers, calcaires gréseux à préalvéolines. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 734 - Nontron » et « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et leurs notices associées[4] - [5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||||||||||||||
Pléistocène |
| |||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| ||||||||||||||||||||||
Éocène | non présent | |||||||||||||||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| |||||||||||||||||||||
inférieur | non présent. | |||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 82 mètres[6] au sud, là ou l'Euche quitte le territoire communal pour un ultime parcours long d'une centaine de mètres entre les communes de Creyssac et Grand-Brassac avant de rejoindre la Dronne, et 202 mètres[6] au nord, près du lieu-dit les Landes[7].
Relief et paysages
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,17 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 22,28 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Boulou, l'Euche et la Sandonie, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[15] - [Carte 1].
Le Boulou, d'une longueur totale de 23,94 km, prend sa source dans la commune de Sceau-Saint-Angel et se jette dans la Dronne en rive droite en limite de Bourdeilles et de Creyssac[16] - [17]. Il traverse la commune du nord-est au sud-est sur près de six kilomètres et demi, dont plus de deux kilomètres servent de limite territoriale en deux tronçons, face à Brantôme en Périgord (territoire des anciennes communes de La Gonterie-Boulouneix et Saint-Julien-de-Bourdeilles) et Bourdeilles.
L'Euche, d'une longueur totale de 12,21 km, prend sa source dans la commune de Bourg-des-Maisons et se jette en rive droite de la Dronne à Grand-Brassac, face à Bourdeilles[18] - [19]. Elle arrose la commune de l'ouest au sud sur quatre kilomètres dont la moitié marquent la limite en deux tronçons, face à Saint-Just et Creyssac.
La Sandonie, d'une longueur totale de 9,76 km, prend sa source dans la commune de Mareuil en Périgord (territoire de l'ancienne commune de Léguillac-de-Cercles) et se jette dans l'Euche en rive gauche, en limite de Paussac-et-Saint-Vivien et de Saint-Just[20] - [21]. Elle traverse la commune du nord-ouest au sud-ouest sur cinq kilomètres dont un kilomètre en limite de Saint-Just.
- Le Boulou près du lieu-dit les Farges.
- L'Euche à Saint-Vivien.
- La Sandonie au lieu-dit le Moulin de l'Étang.
- Réseaux hydrographique et routier de Paussac-et-Saint-Vivien.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[24]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[25].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[28] complétée par des études régionales[29] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[30] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[31] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[32]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 55 km[33], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[34], à 13,1 °C pour 1981-2010[35], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[36].
Parc naturel régional Périgord-Limousin
Au nord et au nord-est, la commune est limitrophe de Léguillac-de-Cercles, commune intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
ZNIEFF et Natura 2000
Paussac-et-Saint-Vivien présente une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I, la vallée de la Sandonie, s'étendant sur 973 hectares partagés avec les communes voisines de Léguillac-de-Cercles et Saint-Just, la plus grande partie concernant Paussac-et-Saint-Vivien. Sur ce site se trouvent certaines espèces animales protégées : l'Œdicnème criard (Burhinus oedicnemus), le Moineau soulcie (Petronia petronia) ou la Genette commune (Genetta genetta)[37] - [38].
À l'intérieur de cette ZNIEFF, un secteur plus restreint de 612 hectares, majoritairement sur Paussac-et-Saint-Vivien, est protégé en tant que zone Natura 2000 : le « vallon de la Sandonie » où six espèces de chauves-souris ont trouvé des sites d'hivernage ou de reproduction dans des grottes calcaires[39] - [40].
Traversant le territoire communal du nord-est vers le sud-est sur environ sept kilomètres, le Boulou ainsi que sa vallée et ses coteaux forment une autre ZNIEFF de type I « Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval », présentant une importante variété faunistique sur Paussac-et-Saint-Vivien et six autres communes ou anciennes communes[41] - [42].
Trente espèces déterminantes y sont répertoriées :
- dix insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la faucille (Cupido alcetas), l'Azuré du serpolet (Phengaris arion), le Cordulégastre annelé (Cordulegaster boltonii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus), le Lepture erratique (Judolia erratica (en)), l'Onychogomphe à crochets (Onychogomphus uncatus) et le Petit mars changeant (Apatura ilia) ;
- sept mammifères : la Genette commune (Genetta genetta), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que quatre espèces de chauves-souris : Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), Noctule commune (Nyctalus noctula), Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et Vespertilion de Bechstein (Myotis bechsteinii) ;
- sept oiseaux : le Cincle plongeur (Cinclus cinclus), le Faucon pèlerin (Falco peregrinus), le Hibou moyen-duc (Asio otus), le Moineau soulcie (Petronia petronia), le Pic mar (Dendrocopos medius), le Pic noir (Dryocopus martius) et le Pigeon colombin (Columba oenas).
- les mêmes cinq amphibiens que dans la ZNIEFF amont : l'Alyte accoucheur (Alytes obstetricans), la Grenouille rousse (Rana temporaria), le Pélodyte ponctué (Pelodytes punctatus), la Rainette verte (Hyla arborea), le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- une tortue, la Cistude (Emys orbicularis).
Deux plantes rares : la Colchique d'automne (Colchicum autumnale) et la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), y sont également présentes.
De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées : cinq amphibiens, cinq reptiles, 69 oiseaux, 307 insectes ainsi que 40 plantes.
Cette ZNIEFF, tout comme la ZNIEFF « Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont »[43], fait partie d'une ZNIEFF de type II plus vaste « Vallée et coteaux du Boulou » représentant la quasi-totalité du cours du Boulou, depuis sa source jusqu'à la route départementale 106, 200 mètres avant sa confluence avec la Dronne[44] - [45].
La vallée du Boulou représente « un intérêt national » par la « richesse exceptionnelle » en espèces d'insectes — notamment en Lépidoptères et en Odonates — répertoriées dans ces trois ZNIEFF[44].
- Au sud de Tabaterie, entre Paussac-et-Saint-Vivien (à gauche) et La Gonterie-Boulouneix.
- Au lieu dit le Moulin des Guichards.
- Le Boulou au lieu dit la Forge du Boulou.
Urbanisme
Typologie
Paussac-et-Saint-Vivien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [46] - [47] - [48]. La commune est en outre hors attraction des villes[49] - [50].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,9 %), zones agricoles hétérogènes (37,9 %), prairies (6,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), terres arables (0,1 %)[51].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Paussac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[52] :
- la Blancherie
- les Boissières
- au Brandeau
- le Breuil
- Chassignoles
- les Chauses
- le Chautet
- les Cheyroux
- les Clos
- le Clos du Breuil
- le Communal
- la Croix
- la Croix Neuve
- les Farges
- la Font Loriot
- la Forêt
- la Forge
- les Fouillouses
- les Grellières
- les Guichards
- la Jaufrenie
- les Landes
- Léguillou
- le Maine d'Euche
- Maison Neuve
- les Mazeaux
- les Merlandes
- la Monerie
- le Moulin de l'Étang
- le Moulin des Guichards
- le Moulin Rompu
- le Parc
- le Petit Chautet
- Peyre Dermale
- Peygnefort
- le Pleyssat
- Prézat Bas
- Prézat Haut
- Puy de Levy
- Puy Fromage
- les Quatre Fontaines
- le Repère
- les Rilloux
- Saint-Vivien
- le Saut du Roi
- Taillefer
- la Verrerie
- le Vieux Breuil.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 335, alors qu'il était de 319 en 2013 et de 310 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 65 % étaient des résidences principales, 32,3 % des résidences secondaires et 2,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,4 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Paussac-et-Saint-Vivien en 2018 en comparaison avec celle de la Dordogne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (32,3 %) très supérieure à celle du département (14,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,6 % en 2013), contre 68,5 % pour la Dordogne et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Risques naturels et technologiques
Le territoire de la commune de Paussac-et-Saint-Vivien est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[53]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[54].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Boulou et l'Euche. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1993 et 1999[55] - [53].
Paussac-et-Saint-Vivien est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[56]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[57] - [58].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[59]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[60]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[61]. 21,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [62].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[53].
Toponymie
Le nom actuel de la commune remonte à 1830, date de la fusion des communes de Saint-Vivien et de Paussac[6]. Paussac tire son nom d'un personnage gallo-roman (qui pourrait être Paucius[63]) suivi du suffixe -acum, alors que Saint-Vivien fait référence à saint Vivien, évêque de Saintes au Ve siècle[64].
En occitan limousin[65], la commune porte le nom de Pauçac e Sent Bébian[63].
Les habitants de la commune se nomment les Paussacois-et-Vivianais[66].
Histoire
Le dolmen de Peyrelevade indique une présence humaine sur le territoire communal au Néolithique[67].
Les deux églises paroissiales ont été bâties au XIIe siècle[68] - [69]. Celle de Paussac a été fortifiée vers 1210-1215[70].
Les premières mentions écrites connues des deux cités remontent au XIIe siècle pour Paussac (Perusac) et en 1365 pour Saint-Vivien (Sanctus Bibianus)[64]. À cette époque, le prieuré de Saint-Vivien dépendait de l'abbaye de Brantôme[71].
Créées en 1790, les deux communes de Saint-Vivien et de Paussac fusionnent en 1830 sous le nom de Paussac-et-Saint-Vivien[6].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Périgueux du département dela Dordogne.
Dès 1790, la commune de Paussac a été rattachée au canton de La Tour Blanche qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Montagrier[6]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Brantôme en Périgord[72], qui portait le nom de canton de Brantôme jusqu'en 2020.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Dordogne.
Intercommunalité
Paussac-et-Saint-Vivien était membre de la communauté de communes du Val de Dronne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 en communauté de communes du Périgord Ribéracois, et dont est désormais membre la commune.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020, y compris le maire et ses adjoints[73] - [74].
Liste des maires
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Paussac-et-Saint-Vivien relève[80] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie de Saint-Vivien
Démographie de Paussac, puis de Paussac-et-Saint-Vivien
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[82]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[83].
En 2020, la commune comptait 478 habitants[Note 9], en augmentation de 8,64 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
La pierre calcaire est exploitée dans plusieurs carrières sur le territoire communal.
Emploi
En 2015[85], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 188 personnes, soit 41,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (13) a diminué par rapport à 2010 (21) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,1 %.
Établissements
Au , la commune compte 41 établissements[86], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, dix dans l'industrie, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[87].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Dolmen de Peyrelevade, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1960[67].
- Peyre d'Ermale (ou Peyre Dermale), monolithe faussement considéré comme un dolmen[88] - [89], inscrit au titre des monuments historiques depuis 1960[90].
- Manoir de Paussac, XVe ou XVIe siècle, transformé en maison ; une gargouille marque son angle ouest[91].
- Château de Peignefort (ou manoir de Peignefort), daterait du XVIe siècle, remanié au XIXe siècle[92].
- Manoir du Prezat, XVIe siècle[93].
- Pigeonnier du XVIIe siècle avec toit en lauzes[94].
- Sites d'escalade de la Forge du Boulou[95] et du Vieux Breuil[96].
- Le monument aux morts, surmonté de la statue du Poilu au repos, réalisée par Étienne Camus.
Le dolmen de Peyrelevade. La Peyre d'Ermale. Le château de Peignefort. Le pigeonnier de Paussac. Le site d'escalade du Vieux Breuil. Le monument aux morts.
Patrimoine religieux
- Église Saint-Timothée de Paussac, XIIe au XIVe siècle, classée monument historique depuis 1902[97] - [68]. Avec son clocher carré, sa chambre forte et ses traces de mâchicoulis, c'est une église fortifiée[70].
- Église Saint-Vivien, XIIe et XIIIe siècles[69] - [98].
- Presbytère Saint-Michel de Paussac, datant de 1901, de l'architecte Maxime Dannery (1858-1936)[99].
L'église Saint-Timothée. L'église Saint-Vivien. Le presbytère de Paussac.
Pour approfondir
Bibliographie
- Anatole de Rouméjoux, « Montagrier, Marouate, Saint-Vivien, Paussac, etc », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1890, tome 17, p. 387-392 (lire en ligne)
- Abbé Gabriel Chaumette, « Monuments mégalithiques et cluseaux de la région de Paussac », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1943, tome 70, no 5, p. 204-217, no 6, p. 259-262, 1944, tome 71,no 1, p. 18-23
Articles connexes
Liens externes
- Résumé statistique de Paussac-et-Saint-Vivien sur le site de l'Insee
- « Paussac-et-Saint-Vivien » sur Géoportail.
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[26].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[27].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Paussac-et-Saint-Vivien » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Paussac-et-Saint-Vivien - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Paussac-et-Saint-Vivien - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Dordogne - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Paussac-et-Saint-Vivien » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Paussac-et-Saint-Vivien », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 734 - Nontron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Paussac-et-Saint-Vivien », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Paussac-et-Saint-Vivien », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « Confluence Boulou-Dronne au sud du Moulin de Fontas » sur Géoportail (consulté le 25 août 2022)..
- Sandre, « le Boulou »
- « Confluence Euche-Dronne à l'est du Moulin de Rochereuil » sur Géoportail (consulté le 25 août 2022)..
- Sandre, « l'Euche »
- « Confluence Sandonie-Euche au Moulin de l'Étang » sur Géoportail (consulté le 25 août 2022)..
- Sandre, « la Sandonie »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Paussac-et-Saint-Vivien et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Paussac-et-Saint-Vivien et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- [PDF] Vallée de la Sandonie sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 29 novembre 2014.
- Carte de la vallée de la Sandonie sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 29 novembre 2014.
- [PDF] FR7200669 - Vallon de la Sandonie sur le site de l'INPN, consulté le 29 novembre 2014.
- Carte du vallon de la Sandonie sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 29 novembre 2014.
- [PDF] Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval, INPN, consulté le 11 février 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720020047, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont, INPN, consulté le 11 février 2021.
- [PDF] Vallée et coteaux du Boulou, INPN, consulté le 11 février 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720020051, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Paussac » sur Géoportail (consulté le 29 novembre 2014)..
- « Les risques près de chez moi - commune de Paussac-et-Saint-Vivien », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Paussac-et-Saint-Vivien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Le nom occitan des communes du Périgord - Pauçac e Sent Bébian sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 29 septembre 2021.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 257.
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
- « Dordogne > Paussac-et-Saint-Vivien (24310) », sur le site habitants.fr de David Malescourt (consulté le ).
- « Dolmen de Peyrelevade », notice no PA00082721, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- « Église paroissiale Saint-Timothée », notice no IA24000463, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- « Église paroissiale Saint-Vivien », notice no IA24000464, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 novembre 2014.
- Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, p. 26, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN 2-910137-20-1).
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 257.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 6 novembre 2020.
- Période 1881-2008 : registres de délibérations communales consultés en mairie le 30 mars 2011.
- Gilles Morin et Bernard Lachaise, « ANDRIEU Pierre : Né le 5 janvier 1901 à Paussac et Saint-Vivien (Dordogne), mort le 17 janvier 1987 à Périgueux (Dordogne) ; ingénieur TPE des Ponts-et-Chaussées ; militant et élu socialiste de la Dordogne ; maire de Paussac et Saint-Vivien (1945-1987), conseiller général de Montagrier (1945-1979) », Le Maitron en ligne, 10/10/2008 mis à jour le 25/2/2010 (consulté le ).
- « Dordogne : le décès du maire de Paussac-et-Saint-Vivien : Jean-Pierre Desvergne s’est éteint durant son troisième mandat », Sud Ouest, 16/7/2022 mis à jour le 20/7/2022 (lire en ligne, consulté le ).
- Voici vos 557 maires, éditions spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 15.
- « Dordogne : nouveau Conseil et nouveau maire à Paussac-et-Saint-Vivien : Géry Denis, qui avait assuré l’intérim après le décès de Jean-Pierre Desvergne, a été élu pour lui succéder, ce samedi 1er octobre. Des élections partielles avaient été organisées en septembre », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ) « Âgé de 56 ans et natif du village, il entame son troisième mandat au Conseil municipal. Lors de la précédente mandature, il était le premier adjoint ».
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Vivien », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Dossier complet - Commune de Paussac-et-Saint-Vivien (24319) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Paussac-et-Saint-Vivien (24319) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 décembre 2018.
- Gabriel Chaumette, consulté le 4 avril 2011.
- Le Périgord insolite, consulté le 4 avril 2011.
- « Dolmen dit Peyre d'Ermale », notice no PA00082720, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- « Manoir de Paussac », notice no IA24000467, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 30 mars 2011.
- « Manoir de Peignefort », notice no IA24000477, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 mars 2011.
- « Manoir du Prezat », notice no IA24000475, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 novembre 2014.
- « Colombier », notice no IA24000485, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 mars 2011.
- La Forge du Boulou, site d'escalade, consulté le 17 janvier 2011.
- Le Vieux Breuil, site d'escalade, consulté le 4 avril 2011.
- « Église Saint-Timothée », notice no PA00082722, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- Marquis de Fayolle, « Neuvième excursion archéologique », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1896, tome 23, p. 413-414 (lire en ligne)
- « Presbytère Saint-Michel », notice no IA24000474, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 novembre 2014.