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Lisle (Dordogne)

Lisle est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lisle
Lisle (Dordogne)
Vue générale du bourg de Lisle.
Blason de Lisle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Joël Constant
2020-2026
Code postal 24350
Code commune 24243
DĂ©mographie
Gentilé Lislois, Lisloise
Population
municipale
825 hab. (2020 en diminution de 8,44 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 46 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 16â€Č 42″ nord, 0° 32â€Č 55″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 217 m
Superficie 17,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de BrantĂŽme en PĂ©rigord
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Lisle
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Lisle
Liens
Site web www.mairie-de-lisle.eu

    GĂ©ographie

    Généralités

    Au nord-ouest du département de la Dordogne, la commune de Lisle est essentiellement située en rive gauche de la Dronne, principal affluent de l'Isle. Seule une petite zone au niveau du lieu-dit la Monnerie se trouve en rive droite.

    Le bourg de Lisle est situé, en distances orthodromiques, 12 kilomÚtres au sud-ouest de BrantÎme et 17 kilomÚtres au nord-ouest de Périgueux, au croisement des routes départementales 1 et 78.

    La commune est également desservie au nord par la route départementale 2 et au nord-ouest par la RD 2E4.

    Communes limitrophes

    Carte de Lisle et des communes avoisinantes.

    Lisle est limitrophe de cinq autres communes. À l'extrĂȘme nord, le territoire communal de Lisle est distant de moins de cent mĂštres de celui de Creyssac et d'environ 130 mĂštres de celui de Paussac-et-Saint-Vivien.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Lisle est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c2c, date du Turonien moyen Ă  supĂ©rieur, composĂ©e de calcaires cryptocristallins, calcaires grĂ©seux Ă  rudistes et marnes Ă  huĂźtres et Ă  rhynchonelles, localement grĂšs et sables jaunes (feuille de Terrasson). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 758 - PĂ©rigueux (ouest) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Lisle.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 76 m[5] au sud-ouest, lĂ  oĂč la Dronne quitte la commune pour servir de limite entre Grand-Brassac et Tocane-Saint-Apre, et 217 m[5] Ă  l'extrĂȘme sud-est, Ă  la Croix Rouge, en limite des communes de Mensignac et Bussac[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[8]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 17,97 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 18,65 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainĂ©e par la Dronne, la Donzelle et la Valade[Note 3], qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 14 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de BussiĂšre-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — Ă  Coutras en Gironde, au lieu-dit la FourchĂ©e, face Ă  la commune de Sablons[15] - [16]. Elle traverse la commune du nord-ouest Ă  l'ouest sur six kilomĂštres et demi, dont trois kilomĂštres et demi servent de limite face Ă  Grand-Brassac.

    La Donzelle, d'une longueur totale de 10,29 km, prend sa source dans la commune de La Chapelle-Gonaguet et se jette dans la Dronne en rive gauche Ă  Lisle[17]. Elle traverse la commune du nord-est au nord-ouest sur prĂšs de six kilomĂštres.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de la Valade arrose le nord-est du territoire communal sur 140 mĂštres.

    • La Dronne au pont de la RD 1.
      La Dronne au pont de la RD 1.
    • La Donzelle prĂšs de la CoufĂ©nerie.
      La Donzelle prÚs de la Coufénerie.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Lisle.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 897 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[26] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  48 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Lisle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (73,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (48,1 %), forĂȘts (24,2 %), prairies (13,6 %), terres arables (10,1 %), zones urbanisĂ©es (2,2 %), cultures permanentes (1,9 %)[38].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Lisle est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dronne, l'Euche et la Donzelle. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1993, 1998, 1999, 2009, 2018 et 2021[41] - [39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dronne[42] - [43].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lisle.

    Lisle est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[44]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[45] - [46].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. 50,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1995, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    Panneau bilingue en français et occitan.

    En occitan, la commune porte le nom de L'Esla[50].

    Histoire

    La plaque de cheminée remise à la famille de Marguerite Peyrou.

    Au XIIIe siÚcle, Lisle dépendait de l'abbaye de Chancelade. En 1309, elle est rattachée à l'autorité du roi de France, Philippe le Bel. C'est une ancienne ville close qui était entourée de remparts[51].

    En 1593, lors des guerres de Religion, la ville est assiégée par une troupe calviniste. Leur chef, le sire d'Aubeterre, est mortellement blessé d'un tir d'arquebuse par Marguerite Peyrou, entraßnant la fin du siÚge. Bien aprÚs, pour cet acte, Louis XIV fera remettre à sa famille une plaque de cheminée, datée de 1690, aujourd'hui conservée à la mairie[52].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune de Lisle a été rattachée, dÚs 1790, au canton de Lisle qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton de Lisle en 1800. La commune est alors rattachée au canton de BrantÎme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5], renommé canton de BrantÎme en Périgord en 2020.

    Intercommunalité

    Le , la commune adhÚre à la communauté de communes du Val de Dronne. Celle-ci disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[53] - [54].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1865 démission en 1870 Léonce de Labrousse de la Peyzie
    1874 LĂ©once de Labrousse de la Peyzie
    1876 LĂ©once de Labrousse de la Peyzie
    (1914 ou avant) décembre 1919 Félix Callandreau
    dĂ©cembre 1919 mai 1925 Édouard Crames
    mai 1925 février 1948 Jean Jules Cruveiller[Note 10] Radical socialiste Ingénieur agricole
    février 1948 mars 1948 Pierre Abel Biras Premier adjoint faisant fonctions de maire
    mars 1948 avril 1977 Antoine Cruveiller[Note 10] Ingénieur TPE
    juin 1977 mars 1989 Michel Lacour Boulanger-pĂątissier
    mars 1989 mars 2001 Jean-Jacques Villepontoux Agriculteur
    mars 2001 avril 2001 Pierre Casamayou[Note 10]
    juin 2001[55]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Joël Constant SE[56] Professeur

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Lisle dispose d'une Ă©cole maternelle et d'une Ă©cole primaire.

    Santé

    En 2010, deux médecins généralistes, une pharmacie et un service d'ambulances sont installés à Lisle[57].

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Lisle relĂšve[58] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[60].

    En 2020, la commune comptait 825 habitants[Note 11], en diminution de 8,44 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2219651 1081 1471 2721 2541 2171 3191 220
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3031 2021 2351 1871 2031 2221 2651 2551 186
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1321 1741 1481 0561 0401 0541 0471 0451 013
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    967990934917946909920924896
    2018 2020 - - - - - - -
    836825-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte de la Saint-Roch, sur quatre jours, autour du [62].

    Économie

    Emploi

    En 2015[63], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 365 personnes, soit 40,4 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-huit) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (trente-sept) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  13,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 87 Ă©tablissements[64], dont quarante-neuf au niveau des commerces, transports ou services, quatorze relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, treize dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et cinq dans l'industrie[65].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau-Bas.
      Le chĂąteau-Bas.
    • Le chĂąteau-Haut.
      Le chĂąteau-Haut.
    • Le manoir de la Peyzie.
      Le manoir de la Peyzie.
    Le chƓur date de la fin du XIIe siĂšcle. La nef fut remontĂ©e au XVIe siĂšcle. L'abside fut surĂ©levĂ©e pendant les guerres de religion.
    Un clocher moderne, placĂ© sur le chƓur, a remplacĂ© le clocher carrĂ© roman qui existait encore en 1879.
    Le chƓur roman est voĂ»tĂ© d'une coupole sur pendentifs. Les grands arcs brisĂ©s Ă©pousent la courbure des pendentifs et retombent sur des piles Ă  angles vifs. L'abside est voĂ»tĂ©e (rĂ©fection moderne) d'un cul de four et ornĂ©e intĂ©rieurement de sept arcs d'applique plein cintre retombant sur des colonnettes Ă  bases moulurĂ©es d'un cavet entre deux tores, et Ă  chapiteaux Ă©lancĂ©s, sculptĂ©s d'entrelacs de feuillages. On y trouve comme mobilier un panneau de bois sculptĂ© du XVIIIe siĂšcle (2m x 1,50m) figurant l'Adoration des mages entre un Ă©vĂȘque et saint Christophe[71].
    AprĂšs un premier classement du chƓur et de l'abside aux monuments historiques en 1908, l'Ă©glise est classĂ©e en intĂ©gralitĂ© depuis 2005[72] - [73]
    • Halle du XIXe siĂšcle[74]
    • Plusieurs moulins ont Ă©tĂ© Ă©tablis sur la Dronne (moulin du Pont, moulin de Jansou, moulin de Rouffelier) et sur la Donzelle (moulin de Puymorin, moulin de la Peyzie).
    • L'Ă©glise Saint-Martin.
      L'Ă©glise Saint-Martin.
    • La halle.
      La halle.
    • Le moulin de Jansou sur la Dronne.
      Le moulin de Jansou sur la Dronne.
    • Le lavoir du Bullidour.
      Le lavoir du Bullidour.

    Patrimoine naturel

    La Dronne au moulin du Pont.

    Dans sa traversée de la commune, la Dronne représente avec sa vallée une zone Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de BrantÎme à sa confluence avec l'Isle ». La riviÚre s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espÚces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[75].

    Deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 sont Ă©galement dĂ©limitĂ©es le long de la Dronne :

    • sur cinq kilomĂštres en aval du lieu-dit Lonlaygue, c'est-Ă -dire sur la plus grande partie de son trajet communal, la vallĂ©e de la Dronne est protĂ©gĂ©e pour sa faune et sa flore spĂ©cifiques liĂ©es aux zones bocagĂšres[76] - [77].
    • en amont de cette zone et sur un kilomĂštre, au nord-ouest de la commune, la vallĂ©e de la Dronne allie l'humiditĂ© Ă  une variĂ©tĂ© de sites qui alternent, au fil des mĂ©andres successifs, des endroits ombragĂ©s puis lumineux ainsi que des zones escarpĂ©es puis planes, propices Ă  l'Ă©mergence d'une flore variĂ©e qui se retrouve habituellement en milieu montagnard ou mĂ©diterranĂ©en[78] - [79].

    Personnalités liées à la commune

    • Guillaume, Marie-Joseph Baurac, nĂ© le Ă  Lisle - dĂ©cĂ©dĂ© le Ă  SaĂŻgon (Cochinchine), MĂ©decin des colonies en Indochine. Baurac est l'auteur de deux ouvrages "La Cochinchine et ses habitants", Imprimerie Commerciale Rey, Curiol et Cie Saigon, 1894.
    • Jean de Labrousse de la Peyzie, Ă©cuyer, admis aux Gardes du Corps du Roi le Ă  la compagnie de Villeroy. Chevalier de Saint Louis en 1815, dĂ©cĂ©dĂ© le au grade de Colonel.

    HĂ©raldique

    Blason de Lisle Blason
    ÉcartelĂ© : au 1er d'azur au chĂąteau donjonnĂ© de trois tours d'argent, celle du milieu plus haute, ajourĂ© et maçonnĂ© de sable, terrassĂ© de sinople et accompagnĂ© de six fleurs de lis d'or, deux en chef et deux sur chaque flanc, au 2e de gueules Ă  trois pointes flammĂ©es d'or, au 3e de gueules Ă  deux pattes de griffon d'argent rangĂ©es en pal, au 4e d'azur Ă  deux tours couvertes et girouettĂ©es d'argent, ouvertes et maçonnĂ©es de sable, jointes par un entre-mur d'argent, ouvert du champ et maçonnĂ© de sable ; Ă  la fasce d'argent, chargĂ©e de deux sources jaillissantes de six jets d'azur, brochant sur la partition ; sur le tout, de gueules Ă  la cloche d'or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • AbbĂ© Farnier, Histoire de Lisle Pages d'histoire locale, 1945, premiĂšre rĂ©Ă©dition en 1986, Éd. : Association Vivre Ă  Lisle et Éditions du Roc de Bourzac, rĂ©impression 2008, (ISBN 978-2-87624-135-0)[80]

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. Contrairement à ce qu'indique le SIGES, l'Euche, affluent de rive droite de la Dronne, n'arrose pas le territoire de Lisle situé en rive gauche, face à cette confluence.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Décédé en fonctions.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Lisle » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    2. « Carte géologique de Lisle » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Lisle », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 758 - PĂ©rigueux (ouest) de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
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    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
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    17. Sandre, « la Donzelle »
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    23. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    28. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre Lisle et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    75. Vallée de la Dronne de BrantÎme à sa confluence avec l'Isle sur le réseau Natura 2000. Consulté le 14 décembre 2009
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    79. « Carte de la ZNIEFF 2679 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?). ConsultĂ© le 14 dĂ©cembre 2009
    80. Anne-Marie Maunac, « Un livre indispensable sur l’histoire de la commune », Sud Ouest, .
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