Lisle (Dordogne)
Lisle est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Lisle | |||||
Vue générale du bourg de Lisle. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Dordogne | ||||
Arrondissement | PĂ©rigueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Joël Constant 2020-2026 |
||||
Code postal | 24350 | ||||
Code commune | 24243 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Lislois, Lisloise | ||||
Population municipale |
825 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 16âČ 42âł nord, 0° 32âČ 55âł est | ||||
Altitude | Min. 76 m Max. 217 m |
||||
Superficie | 17,97 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de BrantĂŽme en PĂ©rigord | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.mairie-de-lisle.eu | ||||
GĂ©ographie
Généralités
Au nord-ouest du département de la Dordogne, la commune de Lisle est essentiellement située en rive gauche de la Dronne, principal affluent de l'Isle. Seule une petite zone au niveau du lieu-dit la Monnerie se trouve en rive droite.
Le bourg de Lisle est situé, en distances orthodromiques, 12 kilomÚtres au sud-ouest de BrantÎme et 17 kilomÚtres au nord-ouest de Périgueux, au croisement des routes départementales 1 et 78.
La commune est également desservie au nord par la route départementale 2 et au nord-ouest par la RD 2E4.
Communes limitrophes
Lisle est limitrophe de cinq autres communes. Ă l'extrĂȘme nord, le territoire communal de Lisle est distant de moins de cent mĂštres de celui de Creyssac et d'environ 130 mĂštres de celui de Paussac-et-Saint-Vivien.
GĂ©ologie
SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Lisle est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à hußtres et à rhynchonelles, localement grÚs et sables jaunes (feuille de Terrasson). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].
Ăre | PĂ©riode | Ăpoque | Formations gĂ©ologiques | ||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
CĂ©nozoĂŻque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
HolocĂšne |
| ||||||||||||||||||
PléistocÚne |
| ||||||||||||||||||||
NĂ©ogĂšne (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||
PaléogÚne (23.03 - 66.0) |
non présent | ||||||||||||||||||||
MĂ©sozoĂŻque (66.0 - 252.17) |
CrĂ©tacĂ© (66.0 - â145.0) |
Supérieur |
| ||||||||||||||||||
inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||
Jurassique (â145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m Ă Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă elle entre 76 m[5] au sud-ouest, lĂ oĂč la Dronne quitte la commune pour servir de limite entre Grand-Brassac et Tocane-Saint-Apre, et 217 m[5] Ă l'extrĂȘme sud-est, Ă la Croix Rouge, en limite des communes de Mensignac et Bussac[6].
Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise dâouvrage de lâĂtat et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[8]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,97 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,65 km2[3].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Dronne, la Donzelle et la Valade[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[14] - [Carte 1].
La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de BussiĂšre-Galant et se jette en rive droite de l'Isle â dont elle est le principal affluent â Ă Coutras en Gironde, au lieu-dit la FourchĂ©e, face Ă la commune de Sablons[15] - [16]. Elle traverse la commune du nord-ouest Ă l'ouest sur six kilomĂštres et demi, dont trois kilomĂštres et demi servent de limite face Ă Grand-Brassac.
La Donzelle, d'une longueur totale de 10,29 km, prend sa source dans la commune de La Chapelle-Gonaguet et se jette dans la Dronne en rive gauche Ă Lisle[17]. Elle traverse la commune du nord-est au nord-ouest sur prĂšs de six kilomĂštres.
Son affluent de rive droite le ruisseau de la Valade arrose le nord-est du territoire communal sur 140 mĂštres.
- La Dronne au pont de la RD 1.
- La Donzelle prÚs de la Coufénerie.
- RĂ©seaux hydrographique et routier de Lisle.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].
La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours dâeau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de lâeau et lâAgence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[26] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[27] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă 48 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă 13,3 °C pour 1991-2020[32].
Urbanisme
Typologie
Lisle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (73,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (48,1 %), forĂȘts (24,2 %), prairies (13,6 %), terres arables (10,1 %), zones urbanisĂ©es (2,2 %), cultures permanentes (1,9 %)[38].
L'Ă©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Lisle est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dronne, l'Euche et la Donzelle. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1993, 1998, 1999, 2009, 2018 et 2021[41] - [39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dronne[42] - [43].
Lisle est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. LâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts dâincendie. Ă ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[44]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[45] - [46].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. 50,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [49].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1995, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].
Toponymie
Histoire
Au XIIIe siÚcle, Lisle dépendait de l'abbaye de Chancelade. En 1309, elle est rattachée à l'autorité du roi de France, Philippe le Bel. C'est une ancienne ville close qui était entourée de remparts[51].
En 1593, lors des guerres de Religion, la ville est assiégée par une troupe calviniste. Leur chef, le sire d'Aubeterre, est mortellement blessé d'un tir d'arquebuse par Marguerite Peyrou, entraßnant la fin du siÚge. Bien aprÚs, pour cet acte, Louis XIV fera remettre à sa famille une plaque de cheminée, datée de 1690, aujourd'hui conservée à la mairie[52].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune de Lisle a été rattachée, dÚs 1790, au canton de Lisle qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton de Lisle en 1800. La commune est alors rattachée au canton de BrantÎme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5], renommé canton de BrantÎme en Périgord en 2020.
Intercommunalité
Le , la commune adhÚre à la communauté de communes du Val de Dronne. Celle-ci disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[53] - [54].
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Enseignement
Lisle dispose d'une Ă©cole maternelle et d'une Ă©cole primaire.
Santé
En 2010, deux médecins généralistes, une pharmacie et un service d'ambulances sont installés à Lisle[57].
Justice
Dans le domaine judiciaire, Lisle relĂšve[58] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de PĂ©rigueux ;
- du pÎle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[60].
En 2020, la commune comptait 825 habitants[Note 11], en diminution de 8,44 % par rapport Ă 2014 (Dordogne : â0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- FĂȘte de la Saint-Roch, sur quatre jours, autour du [62].
Ăconomie
Emploi
En 2015[63], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 365 personnes, soit 40,4 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (quarante-huit) a augmenté par rapport à 2010 (trente-sept) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 13,3 %.
Ătablissements
Au , la commune compte 87 Ă©tablissements[64], dont quarante-neuf au niveau des commerces, transports ou services, quatorze relatifs au secteur administratif, Ă l'enseignement, Ă la santĂ© ou Ă l'action sociale, treize dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et cinq dans l'industrie[65].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- ChĂąteau-Bas, XVIe siĂšcle[66]
- Chùteau-Haut, de style Renaissance construit au XVIe siÚcle sur les vestiges d'un précédent chùteau fort remontant au XIIe siÚcle ; il est partiellement inscrit aux monuments historiques depuis 1942 pour un escalier monumental en pierre[67] - [68]
- Manoir de la Peyzie, ancienne habitation de la famille de Labrousse de la Peyzie, XIXe siĂšcle[69]
- Manoir de la Rochette, ancienne propriété de la famille des de Fourtou, XVIIIe siÚcle[70]
Le chĂąteau-Bas. Le chĂąteau-Haut. Le manoir de la Peyzie.
- Ăglise Saint-Martin (Ecclesia S. Martini de Leila ou Insula).
- Le chĆur date de la fin du XIIe siĂšcle. La nef fut remontĂ©e au XVIe siĂšcle. L'abside fut surĂ©levĂ©e pendant les guerres de religion.
- Un clocher moderne, placĂ© sur le chĆur, a remplacĂ© le clocher carrĂ© roman qui existait encore en 1879.
- Le chĆur roman est voĂ»tĂ© d'une coupole sur pendentifs. Les grands arcs brisĂ©s Ă©pousent la courbure des pendentifs et retombent sur des piles Ă angles vifs. L'abside est voĂ»tĂ©e (rĂ©fection moderne) d'un cul de four et ornĂ©e intĂ©rieurement de sept arcs d'applique plein cintre retombant sur des colonnettes Ă bases moulurĂ©es d'un cavet entre deux tores, et Ă chapiteaux Ă©lancĂ©s, sculptĂ©s d'entrelacs de feuillages. On y trouve comme mobilier un panneau de bois sculptĂ© du XVIIIe siĂšcle (2m x 1,50m) figurant l'Adoration des mages entre un Ă©vĂȘque et saint Christophe[71].
- AprĂšs un premier classement du chĆur et de l'abside aux monuments historiques en 1908, l'Ă©glise est classĂ©e en intĂ©gralitĂ© depuis 2005[72] - [73]
- Halle du XIXe siĂšcle[74]
- Plusieurs moulins ont été établis sur la Dronne (moulin du Pont, moulin de Jansou, moulin de Rouffelier) et sur la Donzelle (moulin de Puymorin, moulin de la Peyzie).
L'Ă©glise Saint-Martin. La halle. Le moulin de Jansou sur la Dronne. Le lavoir du Bullidour.
Patrimoine naturel
Dans sa traversée de la commune, la Dronne représente avec sa vallée une zone Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de BrantÎme à sa confluence avec l'Isle ». La riviÚre s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espÚces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[75].
Deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 sont Ă©galement dĂ©limitĂ©es le long de la Dronne :
- sur cinq kilomÚtres en aval du lieu-dit Lonlaygue, c'est-à -dire sur la plus grande partie de son trajet communal, la vallée de la Dronne est protégée pour sa faune et sa flore spécifiques liées aux zones bocagÚres[76] - [77].
- en amont de cette zone et sur un kilomÚtre, au nord-ouest de la commune, la vallée de la Dronne allie l'humidité à une variété de sites qui alternent, au fil des méandres successifs, des endroits ombragés puis lumineux ainsi que des zones escarpées puis planes, propices à l'émergence d'une flore variée qui se retrouve habituellement en milieu montagnard ou méditerranéen[78] - [79].
Personnalités liées à la commune
- Guillaume, Marie-Joseph Baurac, né le à Lisle - décédé le à Saïgon (Cochinchine), Médecin des colonies en Indochine. Baurac est l'auteur de deux ouvrages "La Cochinchine et ses habitants", Imprimerie Commerciale Rey, Curiol et Cie Saigon, 1894.
- Jean de Labrousse de la Peyzie, écuyer, admis aux Gardes du Corps du Roi le à la compagnie de Villeroy. Chevalier de Saint Louis en 1815, décédé le au grade de Colonel.
HĂ©raldique
Blason | ĂcartelĂ© : au 1er d'azur au chĂąteau donjonnĂ© de trois tours d'argent, celle du milieu plus haute, ajourĂ© et maçonnĂ© de sable, terrassĂ© de sinople et accompagnĂ© de six fleurs de lis d'or, deux en chef et deux sur chaque flanc, au 2e de gueules Ă trois pointes flammĂ©es d'or, au 3e de gueules Ă deux pattes de griffon d'argent rangĂ©es en pal, au 4e d'azur Ă deux tours couvertes et girouettĂ©es d'argent, ouvertes et maçonnĂ©es de sable, jointes par un entre-mur d'argent, ouvert du champ et maçonnĂ© de sable ; Ă la fasce d'argent, chargĂ©e de deux sources jaillissantes de six jets d'azur, brochant sur la partition ; sur le tout, de gueules Ă la cloche d'or. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
- La superficie publiĂ©e par lâInsee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă la surface gĂ©ographique[11] - [12]
- Contrairement à ce qu'indique le SIGES, l'Euche, affluent de rive droite de la Dronne, n'arrose pas le territoire de Lisle situé en rive gauche, face à cette confluence.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Décédé en fonctions.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Lisle » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Ăvolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Lisle » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Lisle », sur le SystĂšme dâinformation pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
- « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Lisle », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Ăle-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Lisle », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 15 août 2022)..
- Sandre, « la Dronne »
- Sandre, « la Donzelle »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lisle et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lisle et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lisle », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
- [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de la Dronne » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
- « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Le nom occitan des communes du Périgord - L'Esla sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 28 septembre 2021.
- « Bourg de Lisle », notice no IA24001140, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consulté le 14 décembre 2009
- Site de la mairie de Lisle (partie Histoire). Consulté le 25 juin 2010.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 30 octobre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 22 août 2014.
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 6.
- Bulletin municipal de Lisle, no 52 de mai 2010.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Retour en grande pompe de la FĂȘte de la Saint-Roch », Sud Ouest Ă©dition Dordogne, , p. 15.
- Dossier complet - Commune de Lisle (24243) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2018.
- « Ătablissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
- Dossier complet - Commune de Lisle (24243) - Ătablissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 28 novembre 2018.
- « Manoir dit Chùteau-Bas », notice no IA24001142, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consulté le 14 décembre 2009
- « Chùteau », notice no PA00082619, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consulté le 14 décembre 2009
- « Chùteau fort dit Chùteau-Haut », notice no IA24001141, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consulté le 14 décembre 2009
- « Manoir de la Peyzie », notice no IA24001151, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consulté le 14 décembre 2009
- « Manoir », notice no IA24001150, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consulté le 14 décembre 2009
- Sources : archives départementales de la Dordogne
- « Ăglise Saint-Martin », notice no PA00082620, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture. ConsultĂ© le 14 dĂ©cembre 2009
- « Ăglise paroissiale Saint-Martin », notice no IA24001075, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture. ConsultĂ© le 14 dĂ©cembre 2009
- « Halle », notice no IA24001143, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consulté le 14 décembre 2009
- Vallée de la Dronne de BrantÎme à sa confluence avec l'Isle sur le réseau Natura 2000. Consulté le 14 décembre 2009
- [PDF] « DIREN Aquitaine - Zone bocagĂšre de la vallĂ©e de la Dronne de l'embouchure Ă Ăpeluche »(Archive.org âą Wikiwix âą Archive.is âą Google âą Que faire ?). ConsultĂ© 14 dĂ©cembre 2009
- « Carte de la ZNIEFF 2678 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?). Consulté le 14 décembre 2009
- [PDF] « DIREN Aquitaine - Vallée de la Dronne de Lisle à BrantÎme »(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?). Consulté le 14 décembre 2009
- « Carte de la ZNIEFF 2679 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?). Consulté le 14 décembre 2009
- Anne-Marie Maunac, « Un livre indispensable sur lâhistoire de la commune », Sud Ouest, .