AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

La Chapelle-Gonaguet

La Chapelle-Gonaguet est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

La Chapelle-Gonaguet
La Chapelle-Gonaguet
Le bourg de La Chapelle-Gonaguet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Franck-Moissat
2020-2026
Code postal 24350
Code commune 24108
DĂ©mographie
Gentilé Chapelois
Population
municipale
1 076 hab. (2020 en augmentation de 0,28 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 56 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 13â€Č 53″ nord, 0° 36â€Č 50″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 233 ou 235 m
Superficie 19,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction PĂ©rigueux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Astier
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Chapelle-Gonaguet
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Chapelle-Gonaguet
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
La Chapelle-Gonaguet
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
La Chapelle-Gonaguet
Liens
Site web lachapellegonaguet.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    Au centre du département de la Dordogne et incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune de La Chapelle-Gonaguet, est située en Périgord central, sur les hauteurs en rive droite de l'Isle.

    Le bourg de La Chapelle-Gonaguet, traversé par la route départementale 1, se situe, en distances orthodromiques, dix kilomÚtres au nord-ouest de Périgueux et douze kilomÚtres au nord-est de Saint-Astier.

    La commune est desservie par la route départementale 710 au sud-ouest et bordée au nord-est par la route départementale 2.

    Des tronçons des sentiers de grande randonnée GR 36 GR 646 et GR 654 traversent le sud du territoire communal.

    Communes limitrophes

    Carte de La Chapelle-Gonaguet et des communes avoisinantes.

    La Chapelle-Gonaguet est limitrophe de cinq autres communes. À l'extrĂȘme nord, le lieu-dit le Poteau des Quatre Communes pourrait laisser supposer que La Chapelle-Gonaguet est aussi limitrophe de Biras, mais il s'en faut d'environ 80 mĂštres. Au nord-ouest, le territoire de Lisle est distant de 350 mĂštres.

    Communes limitrophes de La Chapelle-Gonaguet
    Bussac ChĂąteau-l'ÉvĂȘque
    Mensignac La Chapelle-Gonaguet
    Annesse-et-Beaulieu Chancelade

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. La Chapelle-Gonaguet est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c3(2), date du Coniacien indiffĂ©renciĂ©, composĂ©e de calcaires grĂ©seux, sables et marnes Ă  la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires Ă  huitres au sommet. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 758 - PĂ©rigueux (ouest) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et sa notice associĂ©e[5].

    Carte géologique de La Chapelle-Gonaguet.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 95 m[6] Ă  l'extrĂȘme sud du territoire communal, en limite des communes d'Annesse-et-Beaulieu et Chancelade, au lieu-dit les Sept Chevaux, et 233[6] ou 235 m[7] au nord du bourg, au niveau du cimetiĂšre[8].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [9]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[10]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 19,07 km2[6] - [12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 19,71 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de la Chapelle-Gonaguet.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainĂ©e par la Donzelle, le Got, et deux petits cours d'eau qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 5,5 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La Donzelle, d'une longueur totale de 10,29 km, prend sa source dans le nord de la commune et se jette dans la Dronne en rive gauche Ă  Lisle[17]. Quelques dizaines de mĂštres aprĂšs sa source, elle entre sur Bussac.

    Le Got, affluent de rive droite de l'Isle, prend sa source au prieuré de Merlande, dans le nord-est de la commune et l'arrose sur trois kilomÚtres et demi dont un kilomÚtre et demi sert de limite face à Chancelade.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 984 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[26] et qui se trouve Ă  20 km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  43 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Gonaguet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [33] - [34] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PĂ©rigueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (61,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (61,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (60,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,6 %), terres arables (13,9 %), zones urbanisĂ©es (3,2 %), prairies (1,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,3 %)[38].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    • Abbaye de Merlande
    • Blanchou
    • Bricoulet
    • Envaure
    • Frateau
    • Fuselier
    • Kourlouze
    • la Baucherie
    • la Fromentie
    • la Galoche
    • la Jarthe
    • Lansinade
    • le Lac des Farges
    • le Lac PĂ©zal
    • le Pavillon
    • le Puy de Merlande
    • le SĂ©zalard
    • le Verna
    • les Basses VĂ©rinas
    • les Boiges
    • les Boigettes
    • les Brunies
    • les Cafourches
    • les Cailloux
    • les ChapeliĂšres
    • les Chaumes
    • les Cubelets
    • les ForĂȘts
    • les GenĂȘts
    • les Granges
    • les Granges de Merlande
    • les Hautes VĂ©rinas
    • les Jalajoux
    • les Jarthes
    • les Landes
    • les Places
    • les Plateries
    • les Reyssoux
    • les Rivailles
    • les Servanties
    • Maisonneuve
    • Malledent
    • Migaine
    • Patraud
    • Pelleport
    • Pierredure
    • PorchĂšre
    • Puy Auriol
    • Tevaine

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de La Chapelle-Gonaguet est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    La Chapelle-Gonaguet est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[41]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[42] - [43].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-Gonaguet.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[44]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[45]. 93,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [46].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1999, 2007 et 2018, par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 2003, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La Chapela de Gonaguet[47].

    Histoire

    La premiÚre mention du nom de La Chapelle-Gonaguet remonte à la fin du XIIe siÚcle : avec en 1199, Capela d'Agonaguet qui signifie « Chapelle du Petit Agonac », puis Eculesia d'Agonaguet et Gonaguetam en 1380[48].

    Au XVIIIe siÚcle, elle est identifiée comme La Chapelle Gounaguet sur la carte de Cassini[49] représentant la France entre 1756 et 1789.

    En 1809, la partie Merlande de l'ancienne commune de Merlande-et-Andrivaux fusionne avec La Chapelle-Gonaguet.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de La Chapelle-Gonaguet a été rattachée, dÚs 1790, au canton de Lisle qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, la commune est alors rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. En 1829, à la suite du transfert de son chef-lieu, le canton prend le nom de canton de Saint-Astier[6].

    Intercommunalité

    Le , la commune adhÚre à la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[50] - [51].

    Liste des maires

    Maires depuis 1947
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1947 1959 Julien Vigier
    1959 1971 Louis Desmoulin
    mars 1971 avril 1993 Raoul Rousseau[Note 10] RPR MĂ©decin
    Député (1958-1962)
    1993 mars 2008 Jean-Yves Guidoux DVD
    mars 2008[52] février 2019 Alain Le Pape[Note 11] PS[53] Cadre bancaire
    février 2019[54]
    (réélu en mai 2020[55])
    En cours Franck Moissat DVD[56] Conseiller financier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Au lieu-dit Lansinade, une dĂ©charge a recueilli les ordures de PĂ©rigueux de 1971 Ă  1996, entassĂ©es sur une Ă©paisseur d'une quinzaine de mĂštres[57]. FermĂ©e aprĂšs saturation, puis recouverte d'une couche d'argile et replantĂ©e d'arbres, elle est devenue une friche naturelle[57], propriĂ©tĂ© de la ville de PĂ©rigueux, sur laquelle ont Ă©tĂ© implantĂ©s 34 500 panneaux solaires. Mise en service en , cette centrale solaire photovoltaĂŻque devrait permettre une production annuelle de 14 700 MWh, correspondant Ă  la consommation hors chauffage de 3 900 foyers[58].

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, La Chapelle-Gonaguet relĂšve[59] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de La Chapelle-Gonaguet se nomment les Chapelois[60].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[62].

    En 2020, la commune comptait 1 076 habitants[Note 12], en augmentation de 0,28 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    449506471651689677651637647
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    623580558577598575559553523
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    506524483449428408399367372
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3483073314217038631 0041 0241 077
    2017 2020 - - - - - - -
    1 0691 076-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[63].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Les recensements de 1793, 1800 et 1806 n'intĂšgrent pas la partie Merlande de l'ancienne commune de Merlande-et-Andrivaux qui fusionnera avec la Chapelle-Gonaguet en 1809.

    Économie

    Emploi

    En 2015[64], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 503 personnes, soit 50,8 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-sept) a diminuĂ© par rapport Ă  2010 (cinquante-neuf) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  9,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 72 Ă©tablissements[65], dont trente-cinq au niveau des commerces, transports ou services, seize dans la construction, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, six dans l'industrie, et cinq relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[66].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • La nef.
      La nef.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • PrieurĂ© de Merlande : l'arriĂšre fortifiĂ©.
      Prieuré de Merlande : l'arriÚre fortifié.
    • PrieurĂ© de Merlande : le cĂŽtĂ©.
      Prieuré de Merlande : le cÎté.
    • La tour et le logis du prieur.
      La tour et le logis du prieur.
    • L'entrĂ©e.
      L'entrée.
    • L'intĂ©rieur du prieurĂ©
    • La nef, le chƓur et, au fond, le sanctuaire.
      La nef, le chƓur et, au fond, le sanctuaire.
    • Le sanctuaire.
      Le sanctuaire.
    • TravĂ©e de chapiteaux.
      Travée de chapiteaux.
    • Quelques chapiteaux autour du sanctuaire
    Le chĂąteau des Brunies.
    La chartreuse des Landes.
    • ChĂąteau des Brunies, XVIIe siĂšcle, XVIIIe siĂšcle, propriĂ©tĂ© privĂ©e
    • Chartreuse des Landes, XVIIe siĂšcle, propriĂ©tĂ© privĂ©e

    Patrimoine naturel

    Le territoire communal présente quatre zones protégées.

    PartagĂ©e avec les communes de Chancelade et ChĂąteau-l'ÉvĂȘque, la forĂȘt de chĂȘnes de Feytaud, occupe environ 270 hectares dans le nord-est du territoire communal. Elle est protĂ©gĂ©e en tant que zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II[73] - [74].

    Elle héberge deux espÚces de rapaces protégées sur le territoire national[75] : la Buse variable (Buteo buteo) et la Bondrée apivore (Pernis apivorus). Au niveau de sa flore, deux espÚces de plantes y sont considérées comme déterminantes : l'Aubépine à deux styles (Crataegus laevigata), et le Groseillier à grappes (Ribes rubrum).

    Au sud-ouest, sur une mince bande de 200 Ă  300 mĂštres de large pour deux kilomĂštres de long comprise entre la commune de LĂ©guillac-de-l'Auche et la route dĂ©partementale 710, la forĂȘt de la Faye est une autre ZNIEFF de type II qui prĂ©sente un massif composĂ© principalement de chĂȘnes pĂ©donculĂ©s[76] - [77].

    Deux autres correspondent Ă  des sites de superficies restreintes :

    • le site classĂ© de Merlande s'Ă©tend sur 100 hectares autour du PrieurĂ© de Merlande[78] - [79] ;
    • sur trois hectares, le site du bourg est inscrit[80] - [81].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Décédé en fonctions.
    11. AprÚs cinq démissions de conseillers municipaux, des élections sont organisées en février 2019. AprÚs celles-ci, Alain Le Pape démissionne. Source : Hervé Chassain, « Le maire reste en place jusqu'aux élections », Sud Ouest édition Périgueux, 8 décembre 2018, p. 22.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de la Chapelle-Gonaguet » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de La Chapelle-Gonaguet » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    4. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de La Chapelle-Gonaguet », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    5. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 758 - PĂ©rigueux (ouest) de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    7. « 235 » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022)..
    8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Chapelle-Gonaguet », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de la Chapelle-Gonaguet », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. Sandre, « la Donzelle »
    18. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    26. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    27. « Orthodromie entre La Chapelle-Gonaguet et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre La Chapelle-Gonaguet et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    39. « Les risques prÚs de chez moi - commune de La Chapelle-Gonaguet », sur Géorisques (consulté le )
    40. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    41. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    42. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
    43. « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
    44. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    45. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    46. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    47. Le nom occitan des communes du Périgord - La Chapela de Gonaguet sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    48. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,p. 102, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
    49. « La Chapelle Gounaguet » sur Géoportail (consulté le 2 décembre 2010)..
    50. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.
    51. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
    52. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 16 août 2014.
    53. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 19.
    54. « Franck Moissat élu maire de La Chapelle-Gonaguet », Sud Ouest édition Dordogne, 16 février 2019, p. 13.
    55. « Franck Moissat rempile », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 17.
    56. https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-24-17-4.pdf
    57. Hervé Chassain, « Une ferme solaire à la place de l'ancienne décharge ? », Sud Ouest édition Périgueux, 24 février 2015, p. 17.
    58. Clément Bouynet, « De l'électricité produite sur l"ancienne décharge » ?, Sud Ouest édition Dordogne, 23 février 2021, p. 15.
    59. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
    60. Fiche commune La Chapelle-Gonaguet, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
    61. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    62. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    63. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    64. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Gonaguet (24108) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
    65. « Établissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
    66. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Gonaguet (24108) - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 12 septembre 2018.
    67. « Élise Saint-Michel », notice no PA24000098, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture, consultĂ©e le 5 dĂ©cembre 2020.
    68. {{|Base Palissy|PM24001104|porte de sacristie}}, consultée le 6 décembre 2020.
    69. {{|Base Palissy|PM24001102|meuble de sacristie}}, consultée le 6 décembre 2020.
    70. {{|Base Palissy|PM24000141|retable, tabernacle (tabernacle à ailes et dais d'exposition, retable architecturé), du maßtre-autel}}, consultée le 6 décembre 2020.
    71. {{|Base Palissy|PM24000483|4 tableaux d'autel : Christ en croix entre la Vierge et saint Jean, sainte Barbe, sainte Elisabeth de Hongrie (?), saint Michel (?)), du maßtre-autel}}, consultée le 6 décembre 2020.
    72. « Prieuré de Merlande », notice no PA00082483, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le 2 décembre 2010.
    73. [PDF] ForĂȘt de Feytaud, INPN, consultĂ© le 4 fĂ©vrier 2020.
    74. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012867, INPN, consulté le 4 février 2020. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complÚtement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    75. ArrĂȘtĂ© du 29 octobre 2009 fixant la liste des oiseaux protĂ©gĂ©s sur l'ensemble du territoire et les modalitĂ©s de leur protection, LĂ©gifrance, consultĂ© le 4 fĂ©vrier 2020.
    76. « ForĂȘt de la Faye sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?) ConsultĂ© le 24 septembre 2009
    77. « Carte de la ZNIEFF 27000000 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?). ConsultĂ© le 24 septembre 2009
    78. Merlande sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 24 septembre 2009
    79. Carte du site classé 0000529 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 24 septembre 2009
    80. Bourg de La Chapelle-Gonaguet sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 24 septembre 2009
    81. Carte du site inscrit 0000090 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 24 septembre 2009
    82. Guy Penaud, Dictionnaire des chĂąteaux du PĂ©rigord, Ă©ditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 56.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.