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HĂ©lette

Hélette est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

HĂ©lette
HĂ©lette
La mairie d’HĂ©lette.
Blason de HĂ©lette
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Philippe Etchepare
2020-2026
Code postal 64640
Code commune 64259
DĂ©mographie
Gentilé Heletar
Population
municipale
747 hab. (2020 en augmentation de 2,75 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 32 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 18â€Č 33″ nord, 1° 14â€Č 35″ ouest
Altitude Min. 177 m
Max. 842 m
Superficie 23,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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HĂ©lette
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HĂ©lette
Liens
Site web http://www.helette.fr/

    Le gentilé est Heletar[1] - [2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Hélette se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe Ă  120 km par la route[Note 1] de Pau[4], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  38 km de Bayonne[5], sous-prĂ©fecture, et Ă  23 km de Saint-Palais[6], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Hasparren[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Saint-Esteben (4,4 km), Saint-Martin-d'Arberoue (5,6 km), Mendionde (5,6 km), Irissarry (5,7 km), Armendarits (5,8 km), Iholdy (5,9 km), Macaye (6,6 km), Bonloc (6,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, HĂ©lette fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variĂ©e en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement gĂ©ographique[9]. Depuis 1999, l'AcadĂ©mie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10] - [11]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.

    Communes limitrophes d’HĂ©lette[12]
    Ayherre Saint-Esteben
    Mendionde HĂ©lette Armendarits
    (sur 100 m)
    Macaye,
    OssĂšs
    Irissarry Iholdy

    Au sud-ouest, les territoires de Macaye et OssĂšs sont limitrophes par un quinquepoint.

    GĂ©ologie

    D’aprĂšs les analyses du BRGM[13], le sous-sol d’HĂ©lette montre deux catĂ©gories de sous-sol. Au sud-est d’une ligne menant d’OyhanartĂ©a Ă  Peilloborda, se trouve un lourd argileux, alors qu’au nord-ouest de cette mĂȘme ligne, le sol est plus lĂ©ger voire tourbeux. Ces mĂȘmes Ă©tudes montrent que le cĂŽtĂ© est de la commune est truffĂ© de cavitĂ©s (dolines). Les eaux souterraines du gouffre qui s’y trouve donnent naissance Ă  l’ArbĂ©roue

    La colline dite Moane (ou « du Moine ») est le rĂ©sultat d’un charriage[13].

    Paysages et relief

    L'accĂšs principal du mont BaĂŻgura se fait Ă  partir d'HĂ©lette.

    Le Mendikao culmine Ă  391 mĂštres[12]. Paul Raymond[14] mentionne l'Iguelherry, montagne qui s’étend sur HĂ©lette et Mendionde.

    Hydrographie

    La commune, situĂ©e dans le bassin versant de l’Adour, est traversĂ©e[15] par la Joyeuse, affluent de l'Adour, et par un tributaire de celle-ci, le ruisseau de Garralda, accompagnĂ© de son affluent, le LarhanĂ©ko ura.

    Le ruisseau ArbĂ©roue, affluent du Lihoury, prend sa source sur la commune, tout comme l’Aran.

    Enfin, le ruisseau de Gatharry, un affluent du Lakako erreka, qui rejoint plus loin la Nive, passe Ă©galement sur les terres d'HĂ©lette.

    Paul Raymond mentionne en 1863[14], le ruisseau ErraĂŻty, affluent de l’AnchartĂ©.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 419 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[19] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[20] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Labastide-Clair », sur la commune de La Bastide-Clairence, mise en service en 1986[21] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[22] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 411,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[23]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  30 km[24], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[25], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[26], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[27].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Trois sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[29] - [Carte 1] :

    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants Ă  accueillir l'ensemble des espĂšces de poissons migrateurs du territoire français, exceptĂ© l'Esturgeon europĂ©en[30] ;
    • le « massif du Baygoura », d'une superficie de 3 297 ha, un massif montagneux Ă  landes et pelouses exploitĂ© par le pastoralisme[31] ;
    • « la Joyeuse (cours d'eau) », d'une superficie de 1 444 ha, un rĂ©seau hydrographique des coteaux basques[32].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[33] - [Carte 2] : les « mont Baigura et crĂȘte d'Haltzamendi » (616,19 ha), couvrant 6 communes du dĂ©partement[34] et deux ZNIEFF de type 2[Note 9] - [33] - [Carte 3] :

    • les « landes de l'Arberoue » (3 685,26 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[35] ;
    • le « massif du Baigura » (4 200,57 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[36].

    Le pottok

    Le pottok, petit cheval qui court en semi-libertĂ© dans les collines avoisinant la commune, semble avoir hĂ©ritĂ© d’un caractĂšre entĂȘtĂ©, pugnace et robuste. Il Ă©tait autrefois utilisĂ© pour les travaux des champs. Depuis trois cents ans, tous les , le jour de la Sainte-Catherine, la localitĂ© lui consacre une des plus grandes foires du pays. Aujourd'hui, ce rassemblement compte beaucoup de chevaux d'autres races. Alors, pour faire Ă  nouveau faire connaĂźtre les qualitĂ©s de ce poney et Ă©viter que la lignĂ©e ne s'Ă©teigne, certains Ă©leveurs refusent les croisements. Afin de sĂ©duire les poneys clubs, ils ont mĂȘme dĂ©cidĂ© de ne prĂ©senter que des pottoks ĂągĂ©s de deux ans et demi, dĂ©jĂ  prĂȘts pour le dressage[37].

    Urbanisme

    Typologie

    Hélette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [38] - [39] - [40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[41] - [42].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (83 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (42 %), prairies (41,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10,9 %), forĂȘts (4,1 %), terres arables (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (0,6 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    Morphologie urbaine

    Contrairement Ă  de nombreux villages basques, HĂ©lette ne prĂ©sente pas le triptyque Ă©glise-fronton-place, l’église se trouvant initialement Ă  l’écart du bourg. Cette situation semble rĂ©sulter[1] de la position du village sur l’antique voie romaine, entre Bayonne et Pampelune, sur la portion menant de Mendionde Ă  Saint-Jean-Pied-de-Port, qui devint une voie secondaire du chemin de Compostelle, reliant Bayonne Ă  Saint-Michel et Saint-Jean-Pied-de-Port. L’église, elle, fut construite au Moyen Âge, prĂšs de la maison forte qui gardait le pont de Garatzubieta, adossĂ©e Ă  la colline d’Espila.

    Lieux-dits et hameaux

    Sept quartiers composent la commune de HĂ©lette[44] :

    • Igelherri ;
    • Hosgaitzela ;
    • Garreta et Habiaga ;
    • Zuharitz ;
    • Xistela ;
    • Baigura ;
    • la Place.

    Quelques lieudits d'aprĂšs les cartes IGN :

    Voies de communication et transports

    La commune est accessible par les routes départementales 22, 119, 151 et 245.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'HĂ©lette est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[45]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[46].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'ArbĂ©roue et l'Aran. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[47] - [45].

    HĂ©lette est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[48]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[49] - [50].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[51]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[52].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Hélette.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[53]. 30,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 12] - [54].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme HĂ©lette apparaĂźt sous les formes helieta (1249[55]), heleta (1249[55] et 1280[56]), Helete (1302[14], chapitre de Bayonne[57]), elete (1350[55]), helete (1366[56] et 1413[56]), Eleta (1513[14], titres de Pampelune[58]) et Beata Maria de Helette (1757[14], collations du diocĂšse de Bayonne[59]).

    Étymologie

    Ce toponyme désignerait selon Jean-Baptiste Orpustan « le lieu des troupeaux », du basque el(h)i, « troupeau » et eta, « lieu »[56].

    Autres toponymes

    Aguerre est un ancien fief vassal du royaume de Navarre[14].

    Antxarteta est un hameau notĂ© AinciarthĂ©ta par le dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque de 1863[14], peut-ĂȘtre l'AĂŻntchartĂ©a actuel.

    La chapelle Saint-Vincent est mentionnée dans le cartulaire de Bayonne[60] au XIIe siÚcle[14] (Sanctus-Vincentius).

    Le toponyme Garreta apparaßt sous la forme Garréta (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[14]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Heleta[2].

    Histoire

    Deux documents datant de 1355 et 1356[1] mentionnent les dix-sept maisons d’HĂ©lette. On y trouve trois maisons nobles, ou infançonnes[Note 13] (Aguerria, Garra - Garragaztelu et Santamaria), les autres appartenant Ă  des « laboureurs libres » (Aintziatia, Aintziburia, Amezpila, Baraxartia, Bidartia - aujourd’hui disparue - Bizkaya, Borteiria, Egue - peut-ĂȘtre les actuelles Heguaberria ou Heguagaraia - errekartia, Etxeberria, Garratea, Irigoienia et Larretegia).

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De sable à deux lions rampants d'argent rangés en fasce[61].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[62]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1792 Arnaud Daguerre
    1792 1809 Jean Inçaurgarat
    1809 1809 Pierre Sainte-Marie
    1809 1813 Bernard Daguerre
    1813 1815 Jean-Pierre Durrels
    1815 1817 Pierre Larre
    1817 1825 Pierre Durrels
    1825 1828 Jean-Baptiste Fagalde
    1828 1848 Jean Inçaurgarat
    1848 1859 Minjonnet
    1859 1860 Jacques Garra
    1860 1869 Alphonse Durrels
    1869 1871 Franchisteguy
    1871 1884 Acheritogaray
    1884 1886 Durrels
    1886 1904 Jean-Pierre Minjonnet
    1904 1919 Louis Franchisteguy
    1919 1946 Pierre Sallaberry
    1946 1947 Michel Minjonnet
    1947 1977 Louis Ainciboure
    1977 2008 Marie-Andrée Arbelbide REG[63]
    2008 En cours Philippe Etchepare
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    HĂ©lette appartient Ă  quatre structures intercommunales :

    • la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays Basque ;
    • le SIVU Baigura ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour l'amĂ©nagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[65].

    En 2020, la commune comptait 747 habitants[Note 14], en augmentation de 2,75 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1031 0611 1251 1151 1821 2831 2221 2601 290
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1931 1591 0741 0131 0231 0471 0911 017983
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    871865870813803769762725684
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    672660624573588619680686703
    2015 2020 - - - - - - -
    714747-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[66] puis Insee Ă  partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose de deux écoles : l'école élémentaire publique et l'école primaire privée Notre-Dame[68]. L'école élémentaire publique propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[69].

    Économie

    Un XVIIIe siĂšcle prospĂšre

    La prospĂ©ritĂ© Ă©conomique d’HĂ©lette se manifeste au travers de nombreux documents dĂšs le XVIIIe siĂšcle. DĂšs 1748, le village demande aux États de Navarre l’autorisation d’organiser des marchĂ©s et des foires pĂ©riodiques. Il obtient en 1750, de la cour de Versailles la crĂ©ation de marchĂ©s bimensuels et de foires les et [Note 15]. La foire de la Sainte-Catherine () rassemble des chevaux et des mulets, celle d’aoĂ»t des moutons uniquement. En 1869, l’autorisation de prolonger d'une journĂ©e la foire de novembre sera accordĂ©e. La foire aux ovins sera remplacĂ©e, Ă  partir du , par la foire de printemps, consacrĂ©e aux chevaux, aux bƓufs et aux moutons[1] - [70].

    La crĂ©ation d’une boucherie date de 1751[1]. La prospĂ©ritĂ© des marchĂ©s est telle qu’en 1804, on compte quatre-vingt-sept Ă©tals.

    Cette prospĂ©ritĂ© traduit celle du village, portĂ©e Ă©galement par l’explosion de la construction. Les documents notariaux de l’époque, les dĂ©libĂ©rations communales conservĂ©es depuis 1784 et les registres de baptĂȘmes, mariages et dĂ©cĂšs[1] attestent, pour une population d’un millier d’ñmes, de l’établissement Ă  HĂ©lette durant les 100 annĂ©es de ce siĂšcle d’or de :

    • 51 maçons ;
    • 46 charpentiers ;
    • 43 cordonniers ;
    • 40 forgerons ;
    • 40 tisserands ;
    • 27 couturiĂšres ;
    • 21 meuniers ;
    • 20 commerçants ;
    • 17 aubergistes ;
    • 17 corroyeurs ;
    • 9 bouchers ;
    • 9 huiliers ;
    • 7 armuriers ;
    • 4 quincaillers ;
    • 3 muletiers ;
    • 3 voituriers ;
    • 3 cordiers ;
    • 2 chocolatiers[71] - [Note 16] et
    • 1 argentier

    Les XIXe et XXe siÚcles, siÚcles de progrÚs matériel et de mutations profondes

    DĂšs 1838, puis en 1872 Ă  nouveau (HĂ©lette Ă©tant « important par ses foires, ses marchĂ©s et industries, telles que la charronnerie, l’espargaterie[72] et la chocolaterie »), le conseil municipal rĂ©clame un bureau de poste. L’agence postale ne fut crĂ©Ă©e qu’en 1946, mais dĂšs 1923, le tĂ©lĂ©phone et un service de tĂ©lĂ©grammes sont installĂ©s[1].

    À la fin du XIXe siĂšcle[73], on comptait huit moulins Ă  eau, utilisĂ©s pour moudre le grain[74]. On comptait alors 159 exploitations agricoles, dont 105 exploitĂ©es par des mĂ©tayers[73]

    En 1923, Jean Lacroix, ayant reconverti en usine hydraulique, le moulin à eau Eihera, fournit un courant suffisant pour alimenter vingt-huit lampes[75]. En 1930, la société hydro-électrique des Basses-Pyrénées remplace Eihera dans ses fonctions et quatre ans plus tard, toute la commune est desservie.

    L’adduction d’eau potable, organisĂ©e par un syndicat local, date de 1926.

    Une premiĂšre voiture fait son apparition Ă  HĂ©lette en 1924, suivie par une seconde en 1927. Le premier tracteur date, quant Ă  lui, de 1952[1].

    Le recensement agricole de 1988 montre la conversion de l’agriculture heletare vers le pastoralisme. Entre 1892 et 1988, la superficie des prairies naturelles a Ă©tĂ© multipliĂ©e par cinq, le nombre de bovins et des ovins par trois et celui des porcins par six[76], au dĂ©triment des surfaces cultivĂ©es (froment et maĂŻs[77]). Cette tendance s’est accentuĂ©e durant la seconde moitiĂ© eu XXe siĂšcle.

    La chaux

    À la fin du XIXe siĂšcle, prĂšs de 1 000 quintaux annuels Ă©taient utilisĂ©s Ă  HĂ©lette[78]. Le calcaire provenait de la colline du Moine. L’activitĂ© de production de chaux s’est Ă©teinte dans les annĂ©es 50 (fours de Garra et d'Amezpila-UhaldegaraĂŻa).

    Le sable

    Le sous-sol de l’est de la commune renferme une roche friable et granuleuse, dont certains gisements (Garra, Larria, Oyhamburia et Harretxia) produisirent un sable Ă  granulomĂ©trie hĂ©tĂ©rogĂšne, qu'il fallait tamiser et pulvĂ©riser. LĂ , encore, l’activitĂ© des sabliĂšres cessa dans les annĂ©es 1950, Ă  la suite de la gĂ©nĂ©ralisation du transport par route du sable de mer.

    Le kaolin

    Une activitĂ© d’extraction vit le jour sur le flanc nord du mont BaĂŻgura Ă  partir de 1927[1]. Elle dura jusqu’à la fin des annĂ©es 70.

    De nos jours

    La fromagerie Agour Gasnategia Ă  HĂ©lette.

    Une coopĂ©rative (SCOP Agian) produit des fromages de brebis et l’entreprise fromagĂšre Agour Gasnategia est prĂ©sente sur HĂ©lette. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Les éditions Jean Curutchet installées sur la commune, ont été liquidées par décision de justice en 2002[79].

    Culture locale et patrimoine

    • L'Ă©glise Sainte-Marie.
      L'Ă©glise Sainte-Marie.
    • Petit fronton place libre adossĂ© Ă  l'Ă©glise Sainte-Marie.
      Petit fronton place libre adossé à l'église Sainte-Marie.
    • Partie de pelote au fronton place libre.
      Partie de pelote au fronton place libre.
    • Chapelle Saint-Vincent.
      Chapelle Saint-Vincent.
    • Vue sur HĂ©lette Ă  partir de la chapelle Saint-Vincent.
      Vue sur HĂ©lette Ă  partir de la chapelle Saint-Vincent.

    Philippe Veyrin relÚve le dicton[80] local : Heletarrak, saindu mokhorrak (« gens d'Hélette, saints renfrognés »).

    C'est à Hélette que le groupe de rock français d'origine basque Sustraia a joué en public pour la premiÚre fois, le .

    HĂ©lette accueille, depuis l'Ă©dition 2009, le festival Euskal Herria Zuzenean.

    En 1983, l'Euskal Antzerki Taldeen Biltzarrea - EATB, Union des troupes de thĂ©Ăątre basque - crĂ©e un centre d'archives Ă  la mairie d’HĂ©lette. En 2007, les archives rejoignent les locaux de l'Institut culturel basque Ă  Ustaritz.

    Patrimoine protohistorique

    L'époque protohistorique a laissé comme trace :

    • le harrespil d’Erregelu (865 m) ;
    • le tumulus de Garralda (470 m) ;
    • le gaztelu zahar, place forte protohistorique, qui se dresse entre HĂ©lette et Mendionde sur le Zihorri (267 m).

    Patrimoine civil

    Les maisons de maßtre Bitirenea[81] et Santa Maria[82] datent du début du XVIIe siÚcle

    Des maisons anciennes[83], principalement du XVIIIe siÚcle, sont répertoriées par les monuments historiques ;

    Porte bouteille.
    Porte bouteille et linteau sculpté.
    Porte sculptée.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise Sainte-Marie[84] d'HĂ©lette, comme celles de l'ancien diocĂšse de Bayonne, possĂšde trois Ă©tages de galeries de bois (la construction de ces galeries fut dĂ©cidĂ©e par l'Ă©vĂȘque de Bayonne, afin accueillir plus de fidĂšles). Celles-ci datent de 1695. Traditionnellement, les hommes y prenaient place tandis que les femmes s'installaient en bas. Le chƓur est richement dĂ©corĂ© dans l'esprit baroque. L’église est un bĂątiment rectangulaire orientĂ© nord-ouest/sud-est et est illuminĂ©e par huit grandes baies (quatre de chaque cĂŽtĂ© de la nef). Le clocher actuel fut Ă©rigĂ© en 1885, remplaçant un clocher-mur. L'indication Domus mea Domus orationis 1695 (« Ma maison est une maison de priĂšre ») placĂ©e sur le linteau de la porte d’entrĂ©e, indique la date de la premiĂšre rĂ©fection[1].

    La sacristie et l’ancienne Ă©cole, Ă  l’instar du nouveau clocher, sont accolĂ©es Ă  l’église.

    L'église recÚle une statue de saint Jacques le Majeur[85], classée par le ministÚre de la Culture. La statue en bois doré représente saint Jacques portant les attributs du pÚlerin : bourdon, calebasse et coquille Saint-Jacques.

    La chapelle de Bixintxo (Saint-Vincent) date du XIIe siĂšcle. Elle est situĂ©e Ă  deux kilomĂštres Ă  l’ouest d’HĂ©lette, en direction de Louhossoa. Bixintxo, diacre de Huesca fut martyrisĂ© le Ă  Saragosse. DĂ©truite Ă  plusieurs reprises, la chapelle fut restaurĂ©e en profondeur en 1933 par l’abbĂ© Athor, curĂ© de la paroisse de 1928 Ă  1958. Une source, dite miraculeuse, coule Ă  proximitĂ©, sur les pentes du BaĂŻgura et faisait l’objet d'un pĂšlerinage les 1er septembre.

    La commune est située sur la voie de la Nive, variante du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle suivie par les pÚlerins qui, de Bayonne, recherchaient à regagner le Camino Navarrais avant sa traversée des Pyrénées, à Saint-Jean-Pied-de-Port.

    À HĂ©lette, Ă  l'occasion de la FĂȘte-Dieu, les jeunes gens, revĂȘtus de tenues militaires du XIXe siĂšcle, exĂ©cutent dans l'Ă©glise une vĂ©ritable parade, pour rappeler que la rĂ©gion ne s'estima jamais infĂ©odĂ©e Ă  NapolĂ©on.

    Le cimetiĂšre entoure l’église sur trois cĂŽtĂ©s et recĂšle des stĂšles discoĂŻdales. En 1923[1], une quarantaine de stĂšles Ă©taient visibles, dont une datant de 1600, la plupart du XVIIe siĂšcle :

    Équipements

    Enseignement

    La commune dispose de deux écoles primaires, l'une publique[86], l'autre privée (école Notre-Dame).

    Personnalités liées à la commune

    Blasonnement

    « D’or Ă  deux lions d’argent rampant, posĂ©s l’un derriĂšre l’autre »[1]. Ce blasonnement a Ă©tĂ© adoptĂ© partiellement par la suite par la commune d’HĂ©lette.

    Personnalités et faits remarquables

    Le fait que Guiche Arnau de Santa-Maria était présent en 1390[1] au couronnement du roi Charles III de Navarre dans la cathédrale de Pampelune indique que la famille jouissait au XIVe siÚcle des privilÚges de la noblesse.

    La famille Aguerria Santa-Maria siĂ©geait aux États de Navarre[1]. Deux membres de la famille furent nommĂ©s gouverneurs (corregidores) de Burgos[1]. Un Santa-Maria, impliquĂ© dans la conspiration de Chalais, fut exĂ©cutĂ© en 1626, sur ordre de Louis XIII. Son appartenance Ă  la famille d’HĂ©lette est, toutefois, sujette Ă  caution[1]. En 1632, un Santa-Maria est restĂ© cĂ©lĂšbre pour avoir transportĂ© sur son dos Henri II de Montmorency, blessĂ© et fait prisonnier Ă  la bataille de Castelnaudary. Son appartenance Ă  la famille d’HĂ©lette est, toutefois, Ă©galement sujette Ă  caution[1].

    Jean de Santa-Maria est curĂ© d’HĂ©lette en 1792 lorsque la constitution civile du clergĂ© est promulguĂ©e dans la commune. RĂ©fractaire, il doit quitter la commune et s’exile Ă  Elizondo, capitale de la vallĂ©e du Baztan. Ses biens sont saisis et vendus en enchĂšre publique en 1793 et 1794[1].

    La maison Aguerria

    Blasonnement
    « D’argent au loup passant de gueules, Ă  la bordure dentelĂ©e d’azur »[1].
    Personnalités et faits remarquables
    • Les membres de la famille Aguerria, tout comme les Santa-Maria, siĂ©geaient aux États de Navarre[1]. L’érection de la maison en baronnie date du XVIIe siĂšcle.
    • À la RĂ©volution, la maison Aguerria fut mise en vente (1790)[1].

    Les maisons Garra-Gaztellu et Garra

    Les deux maisons, Garra-Gaztellu et Garra, sont difficilement dissociables. La premiĂšre jouissait d’une place honorifique dans l’église d’HĂ©lette, ainsi que d’une chapelle dans sa propriĂ©tĂ©, dont les restes sont encore aujourd’hui visibles[1].

    Blasonnement

    « D’argent au loup passant de sable, allumĂ© et lampassĂ© de gueules »[1].

    Personnalités et faits remarquables

    Le linteau de la maison Garra porte l’inscription « Pedro de Garra 1123 »[1].

    Arnaud de Garra est notaire Ă  Saint-Jean-Pied-de-Port en 1356, puis bayle d’Amikuze, Mixe et Ostibarre deux ans plus tard[1]. Juan Garra est Ă©cuyer et bayle de Labastide-Clairence en 1362[1]. Un descendant de Juan de Garra, installĂ© au XVIe siĂšcle Ă  Úcar, devient Ă©vĂȘque de Gazteiz[1].

    Jacques (Santiago) de Garra de SalagoĂŻty, est membre de l’AcadĂ©mie de marine au XVIIIe siĂšcle[87]. AprĂšs des Ă©tudes au sĂ©minaire de Larressore, il est successivement vicaire gĂ©nĂ©ral de Dax, professeur au lycĂ©e Saint-IrĂ©nĂ©e de Lyon, puis Ă  Toulouse, et enfin titulaire de la chaire d’hydrographie Ă  l’école de marine de Bayonne Ă  partir de 1776. Il crĂ©era cette mĂȘme chaire Ă  Montpellier et Ă  Saint-Jean-de-Luz. Il est l'auteur d'un ouvrage intitulĂ© Élemens de la science du Navigateur prĂ©sentĂ© en 1780 Ă  l'AcadĂ©mie des sciences[88].

    Fernando Eleta Almarån (1921-2011), descendant de Juan de Garra ci-dessus cité, est ministre des Finances et du Budget, puis en 1964, ministre des Affaires étrangÚres du Panama[89] - [1].

    NĂ©es au XIVe siĂšcle

    NĂ©es au XVIIe siĂšcle

    • Pierre de Larraldea, ermite de la Madeleine d’Orisson (Sancta-Maria-Magdalena d'Arisson mentionnĂ©e en 1686 dans les collations du diocĂšse de Bayonne[59]), il en devient prieur le .

    NĂ©es au XVIIIe siĂšcle

    • Jacques de SalagoĂŻty, citĂ© ci-dessus.

    NĂ©es au XIXe siĂšcle

    • Michel Elizanburu, de la congrĂ©gation des FrĂšres de Jean-Baptiste de La Salle, directeur du collĂšge d’Hasparren et auteur des ouvrages Frantziako Hiru Errrepubliken Historia (« Histoire des trois RĂ©publiques de France »), Framazonak (« les Francs-maçons »), Lehenagoko Eskualdunak Zer Ziren (regard nostalgique sur une famille idĂ©ale du Pays basque), Joanes Batista Dohatsu aren bizia (vie de saint Jean-Baptiste) et Sakelako liburuxtza (livre de dĂ©votion).
    • Aguirre, professeur au collĂšge d’Hasparren, auteur d’un manuel trilingue basque-espagnol-français.

    NĂ©es au XXe siĂšcle

    • Étienne Sallaberry, nĂ© en 1903 Ă  HĂ©lette dans la maison Garra et mort en 1981, chanoine et professeur de philosophie au sĂ©minaire d’Ustaritz, il est dĂ©portĂ© durant la Seconde Guerre mondiale. C’est un europĂ©en convaincu, auteur de Ene sinestea (« Ma croyance »), d’une autobiographie et de Beñat adiskidea, agur ! (« Salut, l’ami Beñat »).
    • Xipri Arbelbide-Mendiburu, nĂ© le 17 dĂ©cembre 1934, dĂ©signĂ© membre correspondant d'Euskaltzaindia, l'acadĂ©mie de la langue basque, le 24 juillet 1987, membre honoraire depuis le 30 mai 2014.
    • Michel Etcheverry, nĂ© en 1948 Ă  HĂ©lette, ancien joueur professionnel de pelote basque, est un chanteur populaire basque français.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[18].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[28].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    13. La diffĂ©rence entre maisons nobles ou infançonnes se caractĂ©rise par le degrĂ© plus que par la nature. Les maisons nobles, dites de gentilshommes ou de chevaliers, se devaient d’ĂȘtre prĂȘtes en permanence Ă  entrer en campagne, dans la cavalerie. Les infançons, en revanche, commandaient des troupes Ă  pied, leurs soldats furent appelĂ©s « infants », et leur troupe « infanterie »
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    15. « La dite communautĂ© est une des plus considĂ©rables de la contrĂ©e et se trouve tellement Ă©loignĂ©e de toutes les villes et lieux oĂč il se tient des foires et marchĂ©s et que ses habitants ne pouvaient en profiter pour vendre l’excĂ©dent de leurs denrĂ©es et se procurer celles dont ils manquent pour leur subsistance ; que la situation est favorable au commerce, HĂ©lette se trouvant sur la grande route d’Espagne et Ă©tant entourĂ© de quantitĂ©s de villages
 permettons d’établir sur la place publique un marchĂ© tous les 15 jours le samedi ainsi que deux foires chaque annĂ©e, dont l’une se tiendra le 16 aoĂ»t et l’autre le 25 novembre
 Nous vous mandons de raire registrer, lire, publier et afficher la prĂ©sente partout oĂč besoin sera
 DonnĂ© Ă  Versailles le 4e jour de septembre, l’an de grĂące 1750 et de notre rĂšgne de trente sixiĂšme ».
    16. Les Maßtres chocolatiers recensés par Sauveur Arbelbide, Xipri Arbelbide, J. et V. Bortheirie, Jean Curutchet et Jean-Pierre Etcheverry, Heleta, Hélette, Jean Curutchet, sont Jean Fagalde, installé à Hélette en 1792, venant de Mendionde ; son fils Jean Falgade ; César Sébastien Grandjean, de Gréciette ; Martin Curutchet de Cambo ; Pierre Labat de Baïgorry
    • Cartes
    1. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'HĂ©lette », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
    2. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Hélette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Hélette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    4. Stephan Georg, « Distance entre Hélette et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
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    12. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    13. Recherches BRGM citĂ©es par l’ouvrage de Sauveur Arbelbide, Xipri Arbelbide, J. et V. Bortheirie, Jean Curutchet et Jean-Pierre Etcheverry, Heleta, HĂ©lette, Jean Curutchet, .
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    72. EnquĂȘte agricole de 1892
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    80. « La maison Bitirenea », notice no IA64000762, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    81. « La maison Santa Maria », notice no IA64000761, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    82. « Les maisons anciennes d'Hélette », notice no IA64000821, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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    85. Site de l'Ă©cole primaire publique
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    88. Fernando Eleta sur Panama news

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Sauveur Arbelbide, Xipri Arbelbide, J. et V. Bortheirie, Jean Curutchet et Jean-Pierre Etcheverry, Heleta, HĂ©lette, Jean Curutchet,

    Article connexe

    Liens externes

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