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Ayherre

Ayherre [ajɛʁ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Ayherre
Ayherre
Le chĂąteau de Belzunce.
Blason ville fr Ayherre (Pyrénées-Atlantiques)
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Arnaud Gastambide
2020-2026
Code postal 64240
Code commune 64086
DĂ©mographie
Gentilé Aihertar
Population
municipale
1 120 hab. (2020 en augmentation de 9,8 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 41 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 23â€Č 35″ nord, 1° 15â€Č 11″ ouest
Altitude Min. 20 m
Max. 465 m
Superficie 27,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Ayherre
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Ayherre
Liens
Site web ayherre.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Ayherre se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  106 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  29 km de Bayonne[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  26 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Hasparren[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bonloc (2,8 km), Hasparren (4,2 km), La Bastide-Clairence (4,2 km), Isturits (4,9 km), Mendionde (6,8 km), Saint-Martin-d'Arberoue (7,0 km), Saint-Esteben (7,0 km), Macaye (8,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Ayherre fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variĂ©e en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement gĂ©ographique[7]. Depuis 1999, l'AcadĂ©mie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8] - [9]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.

    Hydrographie

    La commune, situĂ©e dans le bassin versant de l’Adour, est traversĂ©e[11] par la Joyeuse et son affluent, le Garraldako erreka, ainsi que par le ruisseau ArbĂ©roue.

    Selon Paul Raymond, L'AhounbiscardĂ©guy est un ruisseau qui prend sa source sur la commune et qui rejoint la Joyeuse prĂšs de La Bastide-Clairence[12]. Il mentionne Ă©galement le Luku (ou Lucu) et l’Uhartia, autres tributaires de la Joyeuse, ainsi que le Berho, un affluent de l’ArbĂ©roue.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 440 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[16] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[17] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Labastide-Clair », sur la commune de La Bastide-Clairence, mise en service en 1986[18] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[19] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 411,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[20]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  24 km[21], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[23], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[24].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26] - [Carte 1] :

    • « la Joyeuse (cours d'eau) », d'une superficie de 1 444 ha, un rĂ©seau hydrographique des coteaux basques[27] ;
    • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 8] sont recensées sur la commune[29] - [Carte 2] :

    • les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[30] ;
    • les « landes de l'Arberoue » (3 685,26 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Ayherre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [32] - [33] - [34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (69,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (53,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (18,9 %), prairies (15,7 %), forĂȘts (11,8 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Lieux-dits et hameaux

    Sept quartiers composent la commune d'Ayherre[38] :

    • Menta de Hardoia, Zokoa et Apahiri, ;
    • Eglise de Zokoa et d'Ahunzbizkardegi ;
    • Erketa ;
    • Uras Haindea ;
    • Apahiri ;
    • Hergaitz ;
    • Bildarraitz.

    Quelques lieudits d'aprĂšs les cartes IGN :

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 10, 14, 251, 314 et 510[10].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Ayherre est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[41]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[42].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'ArbĂ©roue et l'Aran. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[43] - [41].

    Ayherre est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[44]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[45] - [46].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[47]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[48].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ayherre.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[49]. 76,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [50].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Ayherre apparaĂźt sous les formes sancti petri de ilarre (1236[40]), San Per de Aiherre (1321[12], titres de la Camara de Comptos[51]), ayherra (1344[40]), ayheRe (1350[40]), Ajarra (1513[12], titres de Pampelune[52]), Ahyerie (1754[12], collations du diocĂšse de Bayonne[53]) et Aiherre (1793 ou an II[54]).

    Étymologie

    Selon Jean-Baptiste Orpustan[40], le toponyme provient du basque aiherr (« versant, penchant »), donnant donc « lieu en pente ».

    Autres toponymes

    L'Ahounbiscardéguy est un hydronyme désignant un ruisseau prenant sa source sur la commune et qui rejoint la Joyeuse prÚs de La Bastide-Clairence. Il est mentionné sous la graphie Ahunbiscardéguy en 1863[12], « lieu du dos de la chÚvre ».

    Apairi est un ancien hameau d’Ayherre mentionnĂ© en 1863[12] sous la graphie Apahiri.

    Aphara est une ancienne ferme de la commune, citée par le dictionnaire topographique de 1863[12] et attestée sous la forme Apara en 1621[12] (Martin Biscay[55]).

    Le toponyme Bildarraitz mentionnĂ© par Jean-Baptiste Orpustan[40] apparaĂźt sous les graphies beldarais (1249[40]), bildarays (1350[40]), bildarraiz (1413[40]), Bildariz (1513[12], titres de Pampelune[52]) et BildarraĂŻts (1863[12]). Il s’agissait au Moyen Âge d'un Ă©cart indĂ©pendant, sans Ă©glise, ayant son propre conseil, ainsi qu’une demi-douzaine de maisons ayant Ă©tĂ© anoblies en 1435[40]. Le toponyme pourrait ĂȘtre la rĂ©sultante de bil- « ensemble » ou « lieu de forme arrondie » et de araitz « prunellier, Ă©pineux », voire « Ă©glantier »[40].

    Le chùteau de Belzunce est un ancien fief relevant du royaume de Navarre appartenant à la famille de Belzunce. Il en est fait mention sous les graphies Belçunze et Belzunce (1384[12] pour les deux formes, collection Duchesne volume CXV[56]), Velçunce et Balzunze (1621[12] pour les deux formes, Martin Biscay[55]) et Belsunce (1863[12], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

    Berhoa est un hydronyme qui dĂ©signe un ruisseau, signalĂ© sous la graphie Berho en 1863[12], qui arrose Ayherre et se jette dans l’ArbĂ©roue.

    Chapitalborda désigne une ferme, déjà mentionnée en 1621[12] (Chapitel, Martin Biscay[55]) et 1863[12] (Chapital).

    Etchebarnia est une ferme d’Ayherre, ancien fief vassal du royaume de Navarre, crĂ©Ă© en 1435[12] (Echabarne dans les titres de Pampelune[52] Ă  cette mĂȘme date), tout comme la ferme EtchebĂ©hĂšre[12] (Echevehere dans les titres de Pampelune[52] en 1435, autre fief relevant du royaume de Navarre).

    Le hameau Esquéta est mentionné par le dictionnaire de 1863[12].

    Hergaitz désignait un lieu de pÚlerinage (la croix d'Ergaïts) en 1863[12].

    Le toponyme LondaĂŻtz apparaĂźt[12] sous la forme Londayz (1621[12], Martin Biscay[55]).

    Lukua est un hydronyme désignant le ruisseau Luku, également orthographié Lucu en 1863[12], affluent de la Joyeuse.

    Mendigorria est une ferme mentionnée en 1621[12] (Mendigorria, Martin Biscay[55]) et 1863[12] (Mendigorry). Ce fief était vassal du royaume de Navarre.

    La Place Ă©tait un hameau d’Ayherre citĂ© en 1863[12].

    L'Uhartea (cité en 1863[12]) est un hydronyme désignant un tributaire de la Joyeuse.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Aiherra[57].

    Histoire

    Le 18 mars 1450[58], le Labourd revint Ă  la couronne française, aprĂšs la signature du traitĂ© de paix au chĂąteau de Belzunce Ă  Ayherre, marquant la fin de l'influence anglaise dans la rĂ©gion. Ce jour-lĂ , les reprĂ©sentants du Labourd firent leur soumission, et moyennant le paiement de 2 000 Ă©cus d'or, garanti par la rĂ©tention de dix otages, ils purent conserver leurs privilĂšges.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2014 Jean-Paul Basterretche DVD[59]
    2011 En cours
    (au mai 2020)
    Arnaud Gastambide EH Bai[60] - [61]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune participe Ă  cinq structures intercommunales[62] :

    • la communautĂ© de communes du pays d'Hasparren « Hazparneko lurraldea » ;
    • le syndicat AEP de l'Arberoue ;
    • le syndicat d’assainissement Adour-Ursuia ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour la rĂ©alisation d'une maison de retraite dans la vallĂ©e de l'Arberoue ;

    Population et société

    DĂ©mographie

    Le nom des habitants est Aihertar[63] - [57].

    La dĂ©claration de biens de 1749[64] dĂ©nombre 162 feux Ă  Ayherre (130 feux du tiers Ă©tat, un curĂ©, deux membres de la noblesse (Arcangues et Belsunce) et 29 non propriĂ©taires). L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[66].

    En 2020, la commune comptait 1 120 habitants[Note 12], en augmentation de 9,8 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4101 5021 5001 4541 5131 5221 6071 7311 671
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6191 5071 5051 5081 4901 3921 2441 1571 153
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1931 1611 1271 0289519521 027969854
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    842810765812791841955952987
    2015 2020 - - - - - - -
    1 0341 120-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee Ă  partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose de deux écoles : l'école élémentaire publique et l'école primaire privée Immaculée-Conception[68]. Ces deux écoles proposent un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[69].

    La commune dispose de deux écoles primaires, l'école du bourg et l'école privée de l'Immaculée-Conception[70].

    Manifestations culturelles et festivités

    À l'origine, les fĂȘtes patronales Herriko pestak Ă©taient cĂ©lĂ©brĂ©es en l'honneur de saint Pierre, patron du village (29 juin). En 2017 elles ont eu lieu du 16 au 19 juin.

    Économie

    Le groupe Lauak.

    L'activité de la commune est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    La société Lauak Aerostructures France (industries de l'aéronautique et de l'espace) est installée dans la zone artisanale d'Ayherre.

    Le moulin d'Uhagun sur l'Aran, datant du XIXe siÚcle, a été transformé en centrale hydroélectrique.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    Atalburu de la maison LondaĂŻtz.

    Trois fortifications protohistoriques[39] (l'Abarratea, 342 mĂštres, un gaztelu zahar Ă  trois gradins), qui s’étendent Ă©galement sur la commune d’Isturitz, tĂ©moignent de l’occupation ancienne de la zone. Elles sont inscrites aux monuments historiques depuis 1984.

    Le chñteau de Belzunce[71] date des XIIIe, XIVe et XVIe siùcles. Il fait l’objet d’une inscription aux monuments historiques depuis 1992.

    Patrimoine religieux

    L’église paroissiale Saint-Pierre[72] date de la fin du Moyen Âge.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    ÉcartelĂ© aux 1 et 4 de gueules Ă  deux vaches passantes d'or rangĂ©es en pal, accornĂ©es, colletĂ©es et clarinĂ©es d'azur ; au 2 d'argent Ă  un chĂȘne arrachĂ© au naturel ; au 3 d'azur Ă  l'hydre d'argent Ă  trois tĂȘtes[73].
    Commentaires : Adopté en 2001 d'aprÚs les armes des seigneurs de Belzunce Ayerre[74].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[15].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[25].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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