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Saint-Esteben

Saint-Esteben est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Esteben
Saint-Esteben
L'Ă©glise de Saint-Esteben.
Blason de Saint-Esteben
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
RĂ©gine Larranda
2020-2026
Code postal 64640
Code commune 64476
DĂ©mographie
Gentilé Donoztiritar
Population
municipale
421 hab. (2020 en diminution de 7,47 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 31 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 20â€Č 22″ nord, 1° 12â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 118 m
Max. 465 m
Superficie 13,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Esteben
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Saint-Esteben

    Le gentilé est Donoztiritar[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Saint-Esteben se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  119 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  37 km de Bayonne[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  20 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Hasparren[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Saint-Martin-d'Arberoue (1,2 km), Isturits (3,1 km), HĂ©lette (4,4 km), Armendarits (5,0 km), MĂ©harin (5,2 km), Bonloc (5,8 km), Iholdy (6,7 km), Ayherre (7,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Esteben fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variĂ©e en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement gĂ©ographique[8]. Depuis 1999, l'AcadĂ©mie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9] - [10]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire. Au sud, le territoire d'Iholdy n'est distant que d'une centaine de mĂštres[11].

    Communes limitrophes de Saint-Esteben[11]
    Ayherre Isturits
    Saint-Esteben Saint-Martin-d'Arberoue
    HĂ©lette Armendarits

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Esteben.

    La commune est drainĂ©e par l'ArbĂ©roue, Garraldako erreka, un bras de l'ArbĂ©roue, un bras de l'ArbĂ©roue, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 14 km de longueur totale[12] - [Carte 1].

    L'ArbĂ©roue, d'une longueur totale de 27,3 km, prend sa source dans la commune d'HĂ©lette et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihoury Ă  OrĂšgue, aprĂšs avoir traversĂ© 8 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 454 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[17] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[18] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Labastide-Clair », sur la commune de La Bastide-Clairence, mise en service en 1986[19] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[20] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 411,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[21]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  30 km[22], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[23], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[24], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[25].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28] - [Carte 2].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[29] - [Carte 3] : les « grottes d'Oxocelhaya et d'Isturitz » (204,6 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 9] - [29] - [Carte 4] : les « landes de l'Arberoue » (3 685,26 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Esteben est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [32] - [33] - [34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,8 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (71,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (41,4 %), prairies (32,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (21,1 %), forĂȘts (4 %), terres arables (0,6 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    Quatre quartiers composent la commune de Saint-Esteben[38] :

    • Herbeherea ;
    • Hergainea ;
    • Oihertxeta ;
    • Olheta 43° 19â€Č 47″ N, 1° 12â€Č 59″ O.

    Voies de communication et transports

    Saint-Esteben est desservie par les routes départementales D 14, D 151 et D 251.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Esteben est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'ArbĂ©roue. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[41] - [39].

    Saint-Esteben est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[42]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[43] - [44].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[45]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Esteben.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[47]. 77,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [48].

    Toponymie

    Son nom basque est Donoztiri[1] (contraction de Don-Esteben hiri[49] ou Donestiri ; littéralement « Ville de Saint Esteben »).

    Le toponyme Saint-Esteben est documenté[50] sous les formes :

    • San-Estevan de Arberoa (1321, titres de la Camara de Comptos[51]),
    • Sant-Esteban (1513, titres de Pampelune[52]) et
    • Saint-Esteve d'Arberoue (1703, visites du diocĂšse de Bayonne[53]).

    Le toponyme Sorhaburu 'limite des champs' apparaĂźt[50] sous la forme Soraburu (1621, Martin Biscay[54]).

    Histoire

    Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Garralde[55].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'or à l'arbre de sinople sommé d'une pie au naturel[56].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1989 1995 Louis Mendivil
    1995 2014 Christian Durruty
    2014 En cours RĂ©gine Larranda
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Saint-Esteben fait partie de sept structures intercommunales[57] :

    • la communautĂ© de communes du pays d'Hasparren Hazparneko Lurraldea ;
    • le SIVU Ikas Bide ;
    • le syndicat AEP de l'Arberoue ;
    • le syndicat d'assainissement Adour - Ursuia ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour la rĂ©alisation d'une maison de retraite dans la vallĂ©e de l'Arberoue ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque.

    La commune accueille le siĂšge du SIVU Ikas Bide.

    Population et société

    maison rurale

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[59].

    En 2020, la commune comptait 421 habitants[Note 12], en diminution de 7,47 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    700702763694678656740795712
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    678630629612561548560567552
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    571582578515494478444441434
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    457454439420391359390451416
    2020 - - - - - - - -
    421--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee Ă  partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique[61]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[62].

    Économie

    L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    Croix de chemin.

    La croix de chemin[63] située sur le bord de la route départementale D 14 date du XVIIe siÚcle.

    L'Ă©glise Saint-Étienne[64] date du XVIIe siĂšcle.

    Galerie

    Ancienne mairie.
    Le mur Ă  gauche Sanoki.
    DĂ©tail du fronton de place libre.

    Équipements

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique, et fonctionne en RPI (Regroupement Pédagogique Intercommunal) avec l'école maternelle publique de Saint Martin d'Arbéroue.

    Personnalités liées à la commune

    • AndrĂ© Joseph Grassi : compositeur, chef d'orchestre, arrangeur musical et parolier français nĂ© en 1911 Ă  Paris, et mort en 1972 Ă  Clichy-la-Garenne. Sa mĂšre, Jeanne Errobidart, Ă©tait nĂ©e Ă  Saint-Esteben Ă  la maison Ahuntzaenea en 1880.
    • Émile Jean Baptiste dit Rudy Hirigoyen : chanteur lyrique nĂ© en 1919 Ă  Mendionde et dĂ©cĂ©dĂ© en 2000 Ă  Lyon. Sa grand-mĂšre paternelle, Jeanne Soubelet, Ă©tait nĂ©e Ă  Saint-Esteben en 1867, Ă  la maison Jaramendi.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[16].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[26].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saint-Esteben » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Esteben », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Esteben », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Esteben », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Saint-Esteben », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Saint-Esteben », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Carte IGN sous GĂ©oportail
    12. « Fiche communale de Saint-Esteben », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Sandre, « l'Arbéroue ».
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    17. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Labastide-Clair - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Saint-Esteben et La Bastide-Clairence », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Labastide-Clair - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Saint-Esteben et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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