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Irissarry

Irissarry est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Irissarry
Irissarry
Vue du centre d'Irissarry.
Blason de Irissarry
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Xavier Lacoste
2020-2026
Code postal 64780
Code commune 64273
Démographie
Gentilé Irisartar
Population
municipale
921 hab. (2020 en augmentation de 6,97 % par rapport à 2014)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 15′ 29″ nord, 1° 13′ 57″ ouest
Altitude Min. 149 m
Max. 839 m
Superficie 26,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Irissarry
Géolocalisation sur la carte : France
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Irissarry
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Irissarry
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Irissarry

    Le gentilé est Irisartar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Irissarry se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 125 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 46 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 24 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Suhescun (3,8 km), Ossès (4,5 km), Iholdy (5,1 km), Hélette (5,7 km), Saint-Martin-d'Arrossa (6,8 km), Armendarits (6,9 km), Jaxu (7,4 km), Ainhice-Mongelos (8,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Irissarry fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9] - [10]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.

    Communes limitrophes d’Irissarry[11]
    Mendionde,
    Macaye
    Hélette
    Ossès Irissarry Iholdy
    Jaxu Suhescun

    Au nord-ouest, les communes de Macaye et Mendionde sont limitrophes par un quinquepoint.

    Quartiers

    • Plaza 43° 15′ 27″ N, 1° 13′ 54″ O
    • Zelai 43° 15′ 43″ N, 1° 13′ 29″ O
    • Basaeta 43° 16′ 30″ N, 1° 13′ 00″ O
    • Xerraxarre 43° 15′ 56″ N, 1° 14′ 01″ O
    • Pagozune 43° 16′ 15″ N, 1° 14′ 57″ O
    • Baigura 43° 17′ 08″ N, 1° 16′ 01″ O
    • Itzalgi 43° 14′ 57″ N, 1° 14′ 23″ O
    • Oihan Handi 43° 13′ 46″ N, 1° 13′ 36″ O
    • Erdoitze 43° 15′ 16″ N, 1° 13′ 00″ O

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier d'Irissarry.

    La commune est drainée par le Lakako erreka, l’Elhurréko erreka, le ruisseau de Gatharry, le Larhanéko Ura, le ruisseau d'Oyhanhandia, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 42 km de longueur totale[12] - [Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 413 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[18] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[19] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 34 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[22], à 14,3 °C pour 1981-2010[23], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[24].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26] - [Carte 2] :

    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[27] ;
    • le « massif du Baygoura », d'une superficie de 3 297 ha, un massif montagneux à landes et pelouses exploité par le pastoralisme[28] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[29] - [Carte 3] : les « mont Baigura et crête d'Haltzamendi » (616,19 ha), couvrant 6 communes du département[30] et deux ZNIEFF de type 2[Note 9] - [29] - [Carte 4] :

    • les « landes de Larla-Jarra et d'Orzaize-Izpura » (4 429,5 ha), couvrant 10 communes du département[31] ;
    • le « massif du Baigura » (4 200,57 ha), couvrant 7 communes du département[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Irissarry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,9 %), prairies (34,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,8 %), forêts (7,4 %), zones urbanisées (1,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[38].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits

    • Kurutxeta ;
    • Sarri Mendi ;
    • Urrutiko aldea ;
    • Bidegaina ;
    • Gazteluberria ;
    • Gaztelu Zaharreko aldea ;
    • Iturraldea ;
    • Zaldunbidea.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales D 8 et D 22.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Irissarry est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment leLakako erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009, 2014 et 2021[41] - [39].

    Irissarry est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[42]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[43] - [44].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Irissarry.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 85,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11] - [46].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Irissarry est documenté[47] sous les formes Hospital et oratorium de Irixuri (1186, cartulaire de Bayonne, feuillet 32[48]), Irissarri (1352, collection Duchesne volume CXIV, feuillet 186[49]), Ospital de Sent Johan de Irisarri (1518, chapitre de Bayonne[50]) et Yrisarri (1621, Biscay[51]).

    Étymologie

    Irissarry signifie 'domaine dans les fourrés'[52] ou 'domaine défriché'[53] (iri = 'domaine' et sarri = 'broussailles', d'après Jean-Baptiste Orpustan).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Irisarri[1].

    Histoire

    Les Hospitaliers

    La naissance d'Irissarry ainsi que la construction de la commanderie Ospitalea et de son oratoire datent du XIIe siècle, vers l'an 1150. l’Ospitalea était une commanderie-hôpital de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[54].

    En 1350, Irissarry comptait 23 maisons. Toutes, sauf deux, appartenaient et dépendaient de la commanderie où le seigneur faisait office d'administrateur et de souverain.

    En 1607, le commandeur d'Irissarry, Martin de Larrea entreprit la reconstruction d’Ospitalea (hôpital) et en fit à l'époque le plus beau bâtiment de Navarre. L'oratoire fut ensuite construit et devint l'église Saint-Jean-Baptiste actuelle dont une partie a la particularité d'être pavée de dalles funéraires. L'église a été profondément transformée en 1860.

    Héraldique

    Blason de Irissarry Blason
    D’azur à la bande accompagnée en chef d’un croissant renversé et en pointe de trois étoiles ordonnées en orle, tous d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1971 1995 Armand Aguerre
    1995 2001 Bertrand Elissalde
    2001 2008 Jean-Pierre Indaburu
    2008 En cours Xavier Lacoste
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Irissarry appartient à six structures intercommunales[55] :

    Irissarry accueille le siège du SIVU Baigura.

    Population et société

    Démographie

    La déclaration des biens de 1749[56] dénombre 64 feux à Irrissarry.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[58].

    En 2020, la commune comptait 921 habitants[Note 12], en augmentation de 6,97 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0501 0421 0561 1151 1791 2281 1921 3591 322
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2101 2231 1801 1421 2391 2501 2781 1711 120
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1231 0771 1231 0351 004964957947903
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    827749761756751728814826857
    2017 2020 - - - - - - -
    886921-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose de deux écoles : l'école primaire privée Saint-Joseph et l'école primaire publique[61]. Cette dernière propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[62].

    Économie

    L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    D'après Philippe Veyrin[63], Irissarry a été longtemps célèbre pour ses foires annuelles de moutons.

    Culture locale et patrimoine

    Un pottok dans les prairies autour de la commune.
    • Un pottok dans les prairies autour de la commune.
      Un pottok dans les prairies autour de la commune.
    • Le fronton (datant de 1875) devant l'église Saint-Jean-Baptiste.
      Le fronton (datant de 1875) devant l'église Saint-Jean-Baptiste.
    • Irissarry, la mairie.
      Irissarry, la mairie.
    • Maison de Basse-Navarre.

    Patrimoine civil

    • Un gaztelu zahar se dresse au lieu-dit Gazteluzaharrea sur un contrefort du Baïgura ;
    • la commanderie Ospitalea[64] date du XIIe siècle. Elle a été transformée en centre d'éducation au patrimoine ;
    • la ferme Bidegaïna[65] date du XVIIe siècle, comme
    • la ferme Zaldunbidea[66] ou
    • la maison de maître Gazteluberria[67] ;
    • la ferme Iturraldea[68] date du XVIIIe siècle ;
    • d'autres fermes[69] datant des XVIIe et XVIIIe siècles sont inscrites aux monuments historiques.
    Commanderie Ospitalea inscrite aux monuments historiques.
    Atalburu au nom des époux.
    Linteau sculpté.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Jean-Baptiste[70] date des XVe et XVIIe siècles. Elle recèle du mobilier inventorié par le ministère de la Culture[71] ; les vitraux représentent la vie de saint Jean Baptiste ;
    • Une croix[72] de carrefour, à l'angle nord-ouest de la maison Ospitalea, est inscrite aux monuments historiques ;
    • La commune est située sur la voie de la Nive, est une variante du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle suivie par les pèlerins qui, de Bayonne, recherchaient à regagner le Camino Navarres avant sa traversée des Pyrénées, à Saint-Jean-Pied-de-Port.
    Croix de carrefour devant la maison Ospitalea.
    L'église Saint-Jean-Baptiste.
    Chœur de l'église avec retable.
    Intérieur de l'église Saint-Jean-Baptiste avec sa galerie
    Vitrail saint Jean-Baptiste décapité.
    Vitrail : baptême du Christ par saint Jean-Baptiste.
    Vitrail : la présentation de saint Jean-Baptiste.
    Orgue de l'église

    Équipements

    L'ancienne école bilingue.
    Éducation

    Un projet de création d'un d'éducation du patrimoine est piloté par l'Institut culturel basque. En 2002, la commanderie Ospitalea, rachetée par le département des Pyrénées-Atlantiques, a ouvert ce centre qui accueille de nombreux groupes scolaires ou autres.

    La commune dispose de deux écoles primaires.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Irissarry » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Irissarry », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Irissarry », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Irissarry », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune d'Irissarry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Irissarry et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Irissarry et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Irissarry et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches d'Irissarry », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Carte IGN sous Géoportail
    12. « Fiche communale d'Irissarry », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    15. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    17. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Irouleguy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Irissarry et Irouléguy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station Météo-France Irouleguy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    21. « Orthodromie entre Irissarry et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
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