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Festival international du film de Marrakech

Le Festival international du film de Marrakech (FIFM) ( Marrakech International Film Festival, Ű§Ù„Ù…Ù‡Ű±ŰŹŰ§Ù† Ű§Ù„ŰŻÙˆÙ„ÙŠ للفيلم ŰšÙ…Ű±Ű§ÙƒŰŽ), fondĂ© en 2001, est la principale manifestation consacrĂ©e au 7e art au Maroc.

Festival de Marrakech
Image illustrative de l’article Festival international du film de Marrakech
logo du Festival

Date de création 2001[1]
Prix principal Étoile d'or
Président Prince Moulay Rachid
Durée 9 jours
Direction générale Daniel Toscan du Plantier (2001-2002)
MĂ©lita Toscan du Plantier (2003- 2016)
Direction artistique RĂ©mi Bonhomme [2]
Lieu Marrakech
SiĂšge social Rabat
Site web

Histoire

Création (2001)

Le festival est crĂ©Ă© en 2001 Ă  l’initiative de Mohammed VI[3]. Ce festival se veut alors autant une plate-forme prestigieuse entiĂšrement consacrĂ©e au 7e art et Ă  ses talents, qu'un pont interculturel entre les nations. C’est en ce sens que s’impose rapidement le choix de la ville de Marrakech. Et est Ă©galement car la mĂ©tropole bĂ©nĂ©ficie des infrastructures nĂ©cessaires Ă  l’accueil d’un nouvel Ă©vĂ©nement Ă  dimension internationale. Le producteur français Daniel Toscan du Plantier va associer sa vision Ă  celle des partenaires marocains, en acceptant de mener l’équipe des responsables de la mise en chantier, dans diffĂ©rents lieux Ă  travers la ville, d’une premiĂšre Ă©dition du « Festival de Marrakech ». Figurent parmi les objectifs prioritaires de cette nouvelle manifestation : la mise en valeur d’Ɠuvres cinĂ©matographiques de qualitĂ© – contribuant ainsi Ă  l’évolution artistique du cinĂ©ma mondial –, le dĂ©veloppement de l’industrie du film au Maroc et la promotion de l’image du Maroc Ă  travers le monde.

Fondation du FIFM (2002-2003)

Pour la deuxiĂšme Ă©dition du festival, le Roi dĂ©cide de crĂ©er une organisation Ă  but non lucratif reconnue d’utilitĂ© publique – la Fondation du festival international du film de Marrakech –, prĂ©sidĂ©e par le Prince Moulay Rachid. Elle doit donner un cadre institutionnel Ă  l’évĂ©nement et d’en professionnaliser l’organisation et la gestion. La fondation devient alors l’unique dĂ©tentrice des droits patrimoniaux rĂ©sultant de l’exploitation du festival international du film de Marrakech. Sous la supervision de la fondation et de son vice-prĂ©sident dĂ©lĂ©guĂ© – AndrĂ© Azoulay, conseiller du Roi –, le prĂ©sident du festival Daniel Toscan du Plantier assure la co-organisation de son Ă©dition annuelle, et dirige son Ă©quipe au sein de la sociĂ©tĂ© Georges Cravenne Conseil (GCC) jusqu’à son dĂ©cĂšs prĂ©maturĂ© en fĂ©vrier 2003. Pour la 3e Ă©dition du festival, la veuve du prĂ©sident, MĂ©lita Toscan du Plantier, directrice des relations extĂ©rieures et du protocole des deux premiĂšres Ă©ditions, est nommĂ©e directrice du festival international du film de Marrakech[4].

Changements dans la gouvernance du festival (2004)

La fondation modifie ses statuts et revoit l’organisation de l’institution : elle installe Ă  Marrakech des bureaux permanents pour le festival ; elle Ă©lit deux nouveaux vice-prĂ©sidents dĂ©lĂ©guĂ©s – Nour-Eddine SaĂŻl, directeur gĂ©nĂ©ral du Centre cinĂ©matographique marocain, et Faïçal LaraĂŻchi, prĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral de la SNRT. En 2004, la co-organisation du festival est confiĂ©e Ă  l’agence Ă©vĂ©nementielle Le Public SystĂšme CinĂ©ma (Hopscotch Groupe), reprĂ©sentĂ©e par son prĂ©sident Lionel Chouchan et son directeur gĂ©nĂ©ral Bruno Barde. Ce mĂȘme schĂ©ma de co-organisation conjointe Fondation/Le Public SystĂšme CinĂ©ma assure jusqu’à aujourd’hui la mise en place et la tenue de chacune des Ă©ditions du festival.

2005 – 2010

Au fil de ses Ă©ditions, le festival de Marrakech Ă©tablit son identitĂ© : un cĂ©rĂ©monial fastueux, le charme et l'accueil marocains, un public enthousiaste et une programmation ouverte sur le cinĂ©ma mondial. Ses jurys sont composĂ©s de personnalitĂ©s notables du cinĂ©ma international. Sa plus haute rĂ©compense – l’Étoile d’or – est remise Ă  l’issue du festival au meilleur long mĂ©trage de sa compĂ©tition. Des hommages sont rendus chaque annĂ©e Ă  une cinĂ©matographie Ă©trangĂšre . Le festival se caractĂ©rise Ă©galement par une dĂ©marche en direction des malvoyants et non-voyants grĂące Ă  l'audiodescription proposĂ©e Ă  partir de 2008 pour la prĂ©sentation de films marocains et Ă©trangers.

2010 – 2015

GrĂące Ă  son organisation et sa programmation, le festival de Marrakech acquiert une reconnaissance internationale effective, et devient l'un des deux principaux festivals du continent avec le Fespaco de Ouagadougou. Cependant il n'est pas accrĂ©ditĂ© par la fĂ©dĂ©ration internationale des associations des producteurs de films. Il exerce Ă©galement une action de formation au travers notamment de son partenariat avec l’atelier mĂ©diterranĂ©en d’écriture Meditalents et diverses conventions signĂ©es avec certaines instances europĂ©ennes (MEDIA, Euromed). Il promeut enfin le court mĂ©trage auprĂšs du public local par le biais de la compĂ©tition CinĂ©coles : prĂ©sentation du travail d'une vingtaine d’écoles et d’instituts de formation du royaume au cinĂ©ma et aux mĂ©tiers des arts visuels.

2016

Le , Disney prĂ©sente le film Vaiana : La LĂ©gende du bout du monde avec pour la premiĂšre fois un doublage en Arabe au lieu du français Ă  destination des pays du Maghreb durant le festival de Marrakech[5]. Cette premiĂšre dĂ©montre que la volontĂ© du studio amĂ©ricain de prendre en compte la rĂ©alitĂ© du marchĂ© cinĂ©matographique africain oĂč l'arabe est la principale langue parlĂ©e de plusieurs pays[5].

Lors de cette édition, aucun film marocain n'est présenté, ce qui déclenche une vive polémique[6].

2017

En juin 2017 Mélita Toscan du Plantier annonce qu'elle quitte son poste de directrice générale du Festival. Le festival est alors annulé en décembre 2017, et reporté en 2018[7] - [8] - [9].

2018

Melita Toscan du plantier revient en tant que conseillÚre du président de la Fondation du FIFM[10].

Pour la 17e édition Robert De Niro et Martin Scorsese ainsi que Robin Wright, l'acteur Guillermo del Toro et la réalisatrice française AgnÚs Varda sont présents pendant le festival[11].

Contrairement Ă  l'Ă©dition 2016, sur les 14 films cette fois-ci sept films marocains sont prĂ©sentĂ©s dont le dernier film "La guĂ©risseuse" du rĂ©alisateur Mohamed Zineddaine [12]. Le film autrichien "Joy” de Sudabeh Mortezai remporte l’Étoile d’Or de cette 17Ăšme Ă©dition, Nidhal Saadi part avec le prix d’interprĂ©tation masculine pour son rĂŽle dans le film “Regarde-moi” rĂ©alisĂ© par le Tunisien Nejib Belkadhi et l’actrice allemande Aenne Schwarzle remporte pour sa part, le prix de l’interprĂ©tation fĂ©minine pour son intĂ©pretation dans le film “All is good” d'Eva Trobisch[13].

2019

Le jury de l'Ă©dition 2019 est prĂ©sidĂ© par l'Ecossaise Tilda Swinton. Il y a Ă©galement dans ce jury : l’actrice franco-italienne Chiara Mastroianni ou encore le rĂ©alisateur brĂ©silien Kleber Mendonça Filho[14]. Un hommage est rendu Ă  Bertrand Tavernier, cinĂ©aste français[15].

Éditions 2020 et 2021

Elles sont annulées pour cause de pandémie de Covid-19[16] - [17].

L'organisation du Festival

Ce festival, qui se dĂ©roule chaque annĂ©e sur plusieurs jours dans le courant de l’automne, rassemble de nombreuses personnalitĂ©s du cinĂ©ma de renommĂ©e internationale [18], et a vu Ă  la prĂ©sidence de son jury des personnes telles que Francis Ford Coppola, Martin Scorsese, Roman Polanski ou encore Emir Kusturica.

Le jury du festival regroupe des cinéastes, des comédiens, mais aussi des écrivains et personnalités des arts et des lettres, et s'attache à récompenser les meilleurs longs métrages, avec 6 grands prix.

Le festival s'articule autour de plusieurs manifestations : la compétition officielle, la présentation d'une sélection de films hors compétition, les hommages rendus à des personnalités et à un cinéma du monde, la compétition des films Cinécoles, les Masterclass, les projections populaires sur la place Jemaa el-Fna et les projections en audio-description (initiative unique au Maroc).

Le festival est sous le haut patronage de sa Majesté Mohammed VI et présidé par Son Altesse Royale le prince Moulay Rachid.

Le conseil d’administration se compose de[19] :

  • Faïçal LaraĂŻchi : vice-prĂ©sident dĂ©lĂ©guĂ© de la Fondation
  • Fadwa Megzari : secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de la fondation
  • MĂ©lita Toscan Du Plantier : ConseillĂšre du PrĂ©sident de la Fondation
  • Remi Bonhomme : Directeur Artistique
  • Azeddine Benmoussa : conseiller financier du prĂ©sident
  • Naoufal Bensouda : trĂ©sorier gĂ©nĂ©ral de la fondation

Le Festival en chiffres

Édition 2015[20]

Projections de films
  • 84 films reprĂ©sentant 25 pays
  • 15 longs-mĂ©trages en compĂ©tition
  • 9 films Hors CompĂ©tition
  • 7 films « Coup de CƓur »
  • 10 films CinĂ©coles
  • 6 films en audio-description dont 1 marocain
  • 31 films en hommage au cinĂ©ma canadien
Public
  • 20 000 entrĂ©es
  • 12 000 pass publics
  • 50 000 spectateurs Ă  la Place JemĂąa El Fna
  • 20 000 invitĂ©s aux cĂ©rĂ©monies et soirĂ©es officielles
MĂ©dias
  • 318 reprĂ©sentants de la presse nationale et 64 reprĂ©sentants de la presse panarabe
  • 180 mĂ©dias internationaux reprĂ©sentant 17 pays
  • 2492 articles dans la presse Ă©crite et Ă©lectronique nationale
  • 71 articles dans la presse panarabe.

Structuration

Trophées décernés

Pour les films en compétition, le Jury décerne les prix suivants:

  • Étoile d'Or - Grand Prix
  • Prix d'interprĂ©tation masculine
  • Prix d'interprĂ©tation fĂ©minine
  • Prix du Jury pour la meilleure mise en scĂšne
  • Prix CinĂ©coles
  • Prix du Jury

Masterclasses

Des grandes personnalités du monde du cinéma [21] sont invitées chaque année depuis 2005 pour venir partager leurs expériences, transmettre leur conception du 7e art, apporter des conseils et échanger avec des disciples (étudiant et professionnels) [22]

Les Masterclasses sont devenues un moment fort du festival [21] et sont animées par des grands noms du cinéma, comme le réalisateur Park Chan-wook ou encore le cinéaste iranien Abbas Kiarostami[23].

Cinéma en audiodescription

Depuis 2008, le Festival de Marrakech a intégré dans sa programmation le cinéma pour non et malvoyants[24]. Chaque année, une audience de personnes non et malvoyantes vient assister à la projection de films adaptés en audiodescription[25]. Le Programme des films en audio-description est offert en braille et en trois langues, avec la participation de l'OAPAM (Organisation Alaouite pour la Protection des Aveugles au Maroc).

Cette expérience est une premiÚre en Afrique et dans le monde arabe[26].

RĂ©sidence d'Ă©criture [27]

Un sĂ©minaire d’écriture de scĂ©narios au profit de cinĂ©astes marocains est organisĂ© depuis 2015, sur une initiative conjointe de la Fondation du Festival International du Film de Marrakech et du Centre CinĂ©matographique Marocain[28]. La RĂ©sidence d’Écriture rĂ©unit des participant(e)s marocain(e)s, rĂ©alisateurs et rĂ©alisateur/scĂ©naristes[29], avec des tuteurs Ă©trangers de renom ayant la pratique des ateliers d’écriture et souhaitant partager leur expĂ©rience. Cet Ă©vĂ©nement s’adresse Ă  des porteurs de projet bĂ©nĂ©ficiant du Fonds d'Aide Ă  la Production CinĂ©matographique Nationale.

Chaque scĂ©nario est Ă©tudiĂ© par quatre tuteurs avec lesquels le participant a eu quatre sessions de travail individuelles, Ă  raison d’une session par jour. Le sĂ©minaire est clĂŽturĂ© par l’établissement des feuilles de route et par une rĂ©union de synthĂšse et de feedback sur le dĂ©roulement des ateliers.

Hommages rendus à la cinématographie mondiale (depuis 2004)

Positionnement

Le Festival revendique un positionnement d'ouverture sur le monde, de tolérance et de rencontres interculturelles autour du cinéma[30] - [18].

NĂ©anmoins, le site d'informations MĂ©dias 24 considĂšre le festival, lors de son Ă©dition 2014, comme concentrĂ© essentiellement sur la prĂ©sence de stars avec un positionnement cinĂ©matographique mal dĂ©fini[31]. Les magazines français Studio magazine, PremiĂšre et Les Inrockuptibles n'y envoient plus leurs journalistes, estimant que l'Ă©vĂ©nement est plus fait pour attirer la presse people que la presse cinĂ©ma[31]. Toujours selon Media 24, le prix qu'il dĂ©cerne, L'Étoile d'or, n'a que peu de notoriĂ©tĂ© et n'influe pas sur la carriĂšre de ceux qui le reçoivent[31]. Enfin, le festival souffre aussi de l'absence d'un marchĂ© du film qui permettrait Ă  des producteurs de vendre leurs films Ă  l'international[31].

Éditions

Sauf mentions contraires, les informations ci-dessous proviennent de la section Archives du site officiel du festival.

Galerie

Jury international

Jury Cinécole

Notes et références

  1. « Festival international du film de Marrakech », sur www.ccm.ma (consulté le ).
  2. « Le ComitĂ© d’organisation », sur festivalmarrakech.info (consultĂ© le ).
  3. « À quoi sert le Festival de Marrakech ? – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consultĂ© le ).
  4. « Mélita Toscan Du Plantier, directrice du Festival international du film de Marrakech », sur VH Magazine, (consulté le ).
  5. (en) Elsa Keslassy, « Disney Touts French-Speaking African Market With ‘Moana’ », sur Variety, (consultĂ© le ).
  6. « Voici les 14 films en compétition officielle au FIFM », sur Al HuffPost Maghreb, (consulté le ).
  7. « Le Festival du film de Marrakech 2017 annulé », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  8. « Marrakech : le prochain festival international du film est annulé », sur FIGARO, (consulté le ).
  9. « Pas de Festival du film de Marrakech en 2017 », sur Telquel.ma (consulté le ).
  10. Madame Figaro, « Melita Toscan du Plantier : "Je veux faire du Festival du film de Marrakech un lieu de rencontres" », sur Madame Figaro, (consulté le ).
  11. « FIFM: Les cĂ©lĂ©britĂ©s attendues Ă  Marrakech pour illuminer le tapis rouge du festival », Al HuffPost Maghreb,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  12. « FIFM: AprÚs plus de 10 ans d'absence, Mohamed Zineddaine présente "La guérisseuse" à Marrakech », sur Al HuffPost Maghreb, (consulté le ).
  13. « Festival du film de Marrakech: Le film autrichien "Joy" remporte l'Étoile d'Or », sur Al HuffPost Maghreb, (consultĂ© le ).
  14. « Voici le jury de la 18e édition du Festival international du film de Marrakech », sur Al HuffPost Maghreb, (consulté le ).
  15. Atlasinfo, « Le Festival de Marrakech rend un hommage vibrant au cinéaste cinéphile Bertrand Tavernier », sur Atlasinfo.fr: l'essentiel de l'actualité de la France et du Maghreb (consulté le ).
  16. « Covid-19: annulation de la 19e édition du Festival international du film de Marrakech. Les Ateliers de l'Atlas sont organisés en virtuel. », sur Medias24, (consulté le ).
  17. AFP, « Maroc: le festival du film de Marrakech reporté de nouveau », sur Orange Actualités, (consulté le ).
  18. « Festival International du Film de Marrakech INFO | Le Public SystÚme Cinéma », sur www.lepublicsystemecinema.fr (consulté le ).
  19. « Progressif », sur Festival International du Film de Marrakech (consulté le ).
  20. « FIFM : chiffre de l'édition 2015 » (consulté le ).
  21. « Le casting des Masterclass du Festival international du film de Marrakech », sur Al Huffington Post (consulté le ).
  22. « Le Festival du film de Marrakech dévoile ses Masterclass | Quid.ma - Actus & Analyses », sur Quid.ma - Actus & Analyses, (consulté le ).
  23. « Le cinéaste Kiarostami donnera une masterclass au festival de Marrakech », sur Telquel.ma, (consulté le ).
  24. yann, « FIFM: le cinéma en audio-description pour les non et malvoyants à l'honneur », sur H24info, (consulté le ).
  25. « 12Úme édition du Festival international du film de Marrakech : Le cinéma en audiodescription, une des spécificités du FIFM », sur Maghress (consulté le ).
  26. La Nouvelle Tribune, « Festival de Marrakech: Un cinéma en audio-description pour les non et malvoyants - La Nouvelle Tribune », sur Festival de Marrakech: Un cinéma en audio-description pour les non et malvoyants - La Nouvelle Tribune (consulté le ).
  27. Abdelwahab El Meziane, « RĂ©sidence d’écriture de scĂ©nario cinĂ©matographique Ă  Ifrane », sur www.mincom.gov.ma (consultĂ© le ).
  28. « SĂ©minaire d’écriture du scĂ©nario au profit de cinĂ©astes marocains Ă  l'initiative du CCM et de la Fondation du FIFM », sur www.menara.ma, mis en ligne le 25 mai 2015 (consultĂ© le ).
  29. « Et si les cinéastes marocains laissaient l'écriture des scénarios... aux scénaristes? », sur Al Huffington Post (consulté le ).
  30. « Mélita Toscan du Plantier: "C'est magnifique de voir 36 nationalités échanger sur la culture en terre musulmane" », sur Al Huffington Post (consulté le ).
  31. Hamza Mekouar et Samir El Ouardighi, « À quoi sert le festival de Marrakech ? », MĂ©dias 24,‎ (lire en ligne).
  32. « Ouverture du 1er festival international du film de Marrakech », sur panapress.com (consulté le ).
  33. Julien Antinoff, « Un dixiÚme anniversaire trÚs people ! », mis en ligne le 23 novembre 2012 (consulté le ).
  34. « Festival de Marrakech 2014 : Mélanie Laurent juré, Viggo Mortensen honoré », sur Allocine.fr, mis en ligne le 18 novembre 2014 (consulté le ).
  35. PalmarÚs 2014, sur allocine.fr, consulté le 10 octobre 2015
  36. HuffPost Maroc, « Festival international du film de Marrakech (FIFM): Béla Tarr président du jury », sur Huffpostmaghreb.com, mis en ligne le 19 octobre 2016 (consulté le ).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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