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Culture du Burkina Faso

La culture du Burkina Faso, pays composĂ© de plus de 60 groupes et sous groupes ethniques d'Afrique de l'Ouest, dĂ©signe d'abord les pratiques culturelles observables de ses 21 000 000 d'habitants (environ, en 2022)[1] (contre 4 284 000 en 1950) .

La grande mosquée dans le centre historique de Bobo-Dioulasso, inscrit sur la liste indicative du Patrimoine mondial.

Langues et peuples

Langues

La langue officielle du Burkina Faso est le français, et en 2018 la langue globale de communication.

Les trois principales (des soixante langues) nationales sont le mooré (mossi), le fulfudé ou peul et le dioula. La plupart des gens sont multilingues.

Peuples

La mosaĂŻque des groupes ethniques au Burkina Faso est impressionnante :

Traditions

Religion(s)

Symboles

Folklore et Mythologie

Pratiques

FĂȘtes

Vie sociale

Groupes humains

Famille

Noms

Société

Éducation

Droit

État

Arts de la table

Une assiette de lakh
Fabrication de biĂšre artisanale

Cuisine(s)

Boisson(s)

Santé

Activités physiques

  • AthlĂ©tisme, basket-ball, cyclisme, football, handball, rugby...

Sports

Arts martiaux

MĂ©dias

En 2009, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontiÚres situe le Burkina Faso au 57e rang sur 175 pays[21]. Des « problÚmes sensibles » y ont été observés[22].

En 2016, le pays est classĂ© au 42e rang sur 180 pays[23]. Le pays est en progression constante au cours des derniĂšres annĂ©es et donne un rare exemple de pluralisme mĂ©diatique en Afrique. On observe que le coup d’État militaire de 2015 n’a pas eu d'incidence majeure sur la libertĂ© d’information[24].

  • MĂ©dias du Burkina Faso (en), MĂ©dias au Burkina Faso
  • TĂ©lĂ©communications au Burkina Faso
  • Journalistes burkinabĂ©
  • Institut des mĂ©dias, dans l'UniversitĂ© Polytechnique Nazi Boni (Bobo Dioulasso) : en 2017-2018, 411 enseignants (dont 200 vacataires) et environ 15 000 Ă©tudiants.

Les éventuelles subventions vont aux médias francophones, pas aux médias en langues nationales.

Presse Ă©crite

  • Presse Ă©crite au Burkina Faso : environ 70 journaux en français en 2016, et 15 en langues locales (moorĂ©, dioula, fulfuldĂ©...)
  • Et depuis au moins 125 ans, des bulletins d'information communautaires confessionnels en langues nationales

Radio

Télévision

Internet

Littérature

Sites

Quelques écrivains burkinabés

Maßtre Frédéric Titinga Pacéré au musée de Manéga
  • Joseph Ki-Zerbo (1922 - 2006), grand intellectuel et opposant burkinabĂš, a largement contribuĂ© Ă  l'Ă©mergence d'Ă©tudes historiques africaines. Premier africain agrĂ©gĂ© d'Histoire Ă  la Sorbonne, le professeur enseigna dans plusieurs universitĂ©s africaines. Il a Ă©tĂ© le directeur scientifique des deux volumes de l'Histoire gĂ©nĂ©rale de l'Afrique, publiĂ© par l'Unesco. Depuis leur publication, ces ouvrages, les premiers volumes d'histoire coordonnĂ©s par un Africain, sont devenus la rĂ©fĂ©rence des Ă©tudiants africains en histoire. Contraint Ă  l’exil par le pouvoir rĂ©volutionnaire du capitaine Thomas Sankara, il vĂ©cut longtemps Ă  Dakar. De retour au Faso en 1992, il militera contre l'impunitĂ© de l'assassinat du journaliste Norbert Zongo. Il reste une figure des IndĂ©pendances, et de la vie intellectuelle.
  • Titinga FrĂ©dĂ©ric PacĂ©rĂ© (1943 -...), nĂ© Ă  ManĂ©ga, auteur d'une cinquantaine d'ouvrages sur la littĂ©rature, la culture, le droit, la sociologie et l'art. Il est Ă©galement le fondateur du musĂ©e de ManĂ©ga.
  • Jean-Pierre GuinganĂ© (1947-2011)[35] - [36], Le Fou (1987)
  • Zarra Guiro (1957 -...)
  • Monique Ilboudo (1959-)[37], juriste et femme politique, a remportĂ© le Grand Prix de l'Imprimerie Nationale du Meilleur Roman 1992 pour Le Mal de Peau, publiĂ© en France par les Ă©ditions Le serpent Ă  plumes, Paris, . C'est la premiĂšre romanciĂšre burkinabĂš.
  • Sophie Heidi Kam[38] (1968 -...), poĂ©tesse et dramaturge contemporaine. Deux fois laurĂ©ate du Grand Prix National des arts et des lettres Ă  la Semaine Nationale de la Culture (SNC) respectivement en 2000 avec Sanglots et symphonies et en 2004, avec QuĂȘtes, elle s'essaye aussi au thĂ©Ăątre, dans le cadre du groupe "du Cercle", coordonnĂ© par Faustin KEOUA LETURMY, lectures de textes dramaturgiques au CCF Georges MĂ©liĂšs de Ouagadougou.
  • Sarah Bouyain (1968 -...)
  • Honorine Mare (1972 -...)
  • Faustin Keoua Leturmy (1972-)[39], comĂ©dien, danseur et Ă©crivain d'origine congolaise mais vivant Ă  Ouagadougou, et participant Ă  cette jeune gĂ©nĂ©ration d'auteurs africains
  • GaĂ«l KonĂ© (1976 -...)
  • Abdoulaye Diallo (1980-)[40]
  • Suzy Henique NikiĂ©ma (1983 -...)
  • Aristide Tarnagda (1984-)[41] -...), auteur prodige de thĂ©Ăątre contemporain : Alors, tue-moi, De l’amour au cimetiĂšre (crĂ©Ă© aux rĂ©crĂ©atrales 2006), Les Larmes du ciel d'aoĂ»t, Exils 4, piĂšce de thĂ©Ăątre et chorĂ©graphie, mise en scĂšne de Eva Doumbia...
  • Jacques Guingane (?)

Artisanats

Fabricant de calebasses.

Les savoir-faire liĂ©s Ă  l’artisanat traditionnel relĂšvent (pour partie) du patrimoine culturel immatĂ©riel de l'humanitĂ©. Mais une grande partie des techniques artisanales ont rĂ©gressĂ©, ou disparu, dĂšs le dĂ©but de la colonisation, et plus encore avec la globalisation, sans qu'elles aient Ă©tĂ© suffisamment recensĂ©es et documentĂ©es.

Arts graphiques

Textiles

Cuir

Travail du cuir Ă  Ouagadougou.

Papier

Bois

Vannerie

Artisan du fer.

MĂ©tal

Poterie, céramique, faïence

Jouets en argile confectionnés par un enfant.

Verrerie d'art

Joaillerie, bijouterie, orfĂšvrerie

Espace

Artisanat d'art

  • Arts du Burkina Faso (en)

Tous les deux ans, les annĂ©es paires, la capitale du Burkina Faso se transforme en vitrine de l’artisanat africain. En 2006, le salon avait attirĂ© trois milliers d’exposants venus de toute l’Afrique, des professionnels ou des collectionneurs dĂ©barquĂ©s des cinq continents, et 500 000 visiteurs amateurs au total. C’est dire l’attraction qu’exerce l’artisanat africain, dont on peut apprĂ©cier ici la richesse et la diversitĂ©.

Le salon de Ouagadougou se veut la vitrine du savoir-faire des artisans burkinabĂ©, mais aussi de toute l’Afrique. Exposition folklorique Ă  ses dĂ©buts elle est devenue la vitrine de l'art africain par excellence. Le SIAO a beaucoup Ă©voluĂ© et s’adresse en prioritĂ© aux professionnels, aux exportateurs, voire aux collectionneurs qui viendront passer commande dans ce gigantesque marchĂ© artisanal. En parallĂšle, il permet aux artisans venus des quatre coins du continent de se rencontrer, d’échanger leurs techniques de fabrication ou d’en trouver de nouvelles, plus efficaces.

Calao sénoufo du Burkina Faso

Le SIAO est le plus grand salon africain oĂč sont exposĂ©s divers objets d'art, de culture et divers reprĂ©sentant l'art africain. MalgrĂ© plusieurs tentatives d'appropriation de l'Ă©vĂšnement par certains pays, ce salon reste le plus important de par le nombre de visites, d'exposants, de mĂ©dias etc.

Le Salon international de l'artisanat de Ouagadougou est un cadre de promotion des produits de l'artisanat africain. Il est né d'une initiative commune de l'Office National du Commerce Extérieur (ONAC) et de la Chambre de Commerce d'Industrie et d'Artisanat visant à mettre en exergue un secteur jadis délaissé : celui de l'artisanat. Cette initiative répond avant tout au souci de réduire le déficit croissant de la balance commerciale des pays africains face à une détérioration des prix de certaines matiÚres premiÚres exportées ou exportables.

Les produits et secteurs d'activité représentés sont : la sculpture sur bronze et sur bois, la maroquinerie, la vannerie, la peinture, le textile-confection, la broderie, la bijouterie, les instruments de musique africains, les objets de décoration, la ferronnerie, le tissage, le batik, la poterie-céramique, l'armurerie, le mobilier, l'artisanat de récupération l'art de la calebasse, l'artisanat de services, l'artisanat de production.

Historique du SIAO

Le SIAO est parti d'une exposition-vente de l'artisanat burkinabĂ© organisĂ©e en novembre 1984 sous l'appellation "ARTISANAT 84" qui a mis en compĂ©tition les artisans de toutes les provinces du Burkina Faso et des produits de qualitĂ© variĂ©s. Il a permis de constater que les burkinabĂ©s sont de grands consommateurs de produits de l'artisanat tant utilitaire que dĂ©coratif. Mais il a Ă©tĂ© surtout l'occasion de mesurer l'intĂ©rĂȘt de nos invitĂ©s europĂ©ens et amĂ©ricains face Ă  la variĂ©tĂ© et Ă  la beautĂ© des Ɠuvres prĂ©sentĂ©es.

Au lendemain de cette manifestation, les deux institutions (ONAC et Chambre de Commerce) ont formulé une recommandation tendant à faire de cette manifestation un marché africain de l'artisanat, un forum d'échange entre les artisans de plusieurs pays africains et des acheteurs professionnels d'origines diverses.

La premiĂšre Ă©dition du SIAO s'est tenue du 20 au .

Depuis la manifestation a connu un engouement de plus en plus croissant de la part des artisans africains que des professionnels du monde entier qui trouvent en celle-ci des opportunités de contact, de ventes, d'achat et d'affaires.

Objectif du SIAO

Le SIAO a pour missions, de :

  • CrĂ©er un cadre de promotion et d'Ă©change pour les produits de l'artisanat africain en vue de faciliter leur accĂšs aux marchĂ©s internationaux ;
  • Susciter et organiser la rĂ©flexion et la concertation sur les problĂšmes de dĂ©veloppement de l'artisanat des pays africains ;
  • Favoriser la diffusion et l'essor de l'artisanat africain en tant que moyen d'expression et de culture ;
  • Contribuer Ă  la formation et l'encadrement des artisans en vue de leur promotion personnelle.

Arts visuels

Dessin

Art du tatouage.

Art Contemporain

  • Siriki Ky
  • Henri Abraham Univers
  • Christophe Sawadogo
  • D Leopold Segueda

Peinture

  • Benjamin Ouedraogo[49], Harouna Ouedraogo, Zaccharia Ouedraogo[50]
  • Barry Souleymane[51]
  • Philippe Sawadogo[52]

Sculpture

La Biennale internationale de sculpture de Ouagadougou (BISO), créée en 2019[53] - [54], tient sa deuxiÚme édition en 2021, offrant une vitrine à de trÚs nombreux sculpteurs d'Afrique de l'Ouest[55] - [56].

Parmi les sculpteurs burkinabés :

  • Ky Siriki, maĂźtre du bois, du mĂ©tal et du bronze

Architecture

  • CatĂ©gorie:Architecture au Burkina Faso
  • Habitat traditionnel[57] - [58] - [59] - [60]
  • Architecture coloniale
  • Architecture contemporaine

Photographie

Graphisme

Philippe Sawadogo est un Directeur Artistique et communication visuelle et graphiste multimĂ©dia. Il a entre autres crĂ©e le logo de la Chambre de Commerce et d'industrie du Burkina Faso[61] et menĂ© en 2015 la Direction artistique de la communication visuelle des 10 ans en musique de Alif Naaba[62] et du Festival de slam Plu-Oui-Demo[63]. Il est Ă©galement second laurĂ©at d'un concours de logotype pour la confection d'un pagne illustrant l'amitiĂ© entre les femmes du Burkina Faso et des États-Unis en 2008.

Arts du spectacle

Musique(s)

Musiciens burkinabĂš

Danse

Danseurs lors de la cérémonie Nakoobo du Naaba Zomb Wobgo à Andemtenga

IrÚne Tassembedo est l'une des initiatrices de la danse contemporaine burkinabÚ, créatrice du Ballet National du Burkina Faso. Alassane Congo, lui aussi, reste encore une référence.

À leur suite, Souleymane Badolo de la compagnie Kongoba Teria, Salia Sanou et Seydou Boro de la compagnie Salia nĂŻ Seydou ont dĂ©veloppĂ© la danse contemporaine. La compagnie Salia nĂŻ Seydou a crĂ©Ă© le festival Dialogues de Corps, festival de danse africaine de Ouagadougou et en 2006, le premier Centre de DĂ©veloppement ChorĂ©graphique en Afrique : La TermitiĂšre Ă  Ouagadougou.

Grùce à ces évÚnements, les jeunes générations (le danseur Bouxon, Compagnie Auguste-Bienvenue, Compagnie Tené, Compagnie Tché Tché...) tournent à l'étranger et perpétuent une création typiquement contemporaine, se nourrissant de la danse traditionnelle de leurs régions.

  • Danses traditionnelles par culture : dagara, gourmantche, lobi, mosse, kassena[66] - [67]...
  • Autres troupes : BadĂ©ma
  • Festivals
    • Danse, l'Afrique danse, depuis 2007
  • Danseurs burkinabĂ©s
  • ChorĂ©graphes burkinabĂ©s

Théùtre

Les RĂ©crĂ©atrales, manifestation bisannuelle, constituent un Ă©vĂšnement thĂ©Ăątral culturel majeur du Burkina Faso, avec le Festival International de ThĂ©Ăątre et de DĂ©veloppement (FITD). LancĂ©es en 2002 Ă  Ouagadougou par Étienne Minoungou, comĂ©dien, conteur, metteur en scĂšne, dramaturge et entrepreneur culturel, elles constituent un projet ambitieux de rĂ©sidences d'Ă©criture et de crĂ©ations thĂ©Ăątrales panafricaines, rĂ©unissant une centaine d'artistes de plusieurs pays durant deux Ă  trois mois. Ces rĂ©sidences tentent d'explorer une nouvelle approche de la crĂ©ation dramatique en Afrique, en privilĂ©giant un travail conjoint du texte et de la mise en scĂšne.

Cinéma

Une salle de cinéma au Burkina Faso (Le Sanyon à Bobo-Dioulasso)

Le cinéma africain est particuliÚrement vivant au Burkina Faso. Né d'une volonté politique, dÚs l'indépendance de la Haute-Volta en 1960, de développer un cinéma national dégagé de la domination coloniale, il débute par la création d'une cellule cinéma au sein du MinistÚre de l'Information. Celle-ci réalise surtout des documentaires de vulgarisation visant les populations rurales.

En 1970, le gouvernement nationalise la distribution et l’exploitation des films et crĂ©e un Ă©tablissement public, la Sonavoci (SociĂ©tĂ© Nationale VoltaĂŻque du CinĂ©ma, aujourd'hui dissoute), dont les bĂ©nĂ©fices alimentent la promotion de l'industrie cinĂ©matographique.

En 1969 le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou FESPACO est créé à l'initiative de cinéphiles. Devenu biennal, il est l'une des grandes manifestations culturelles de Ouagadougou.

Le Festival panafricain du cinĂ©ma et de la tĂ©lĂ©vision de Ouagadougou a acquis une renommĂ©e internationale. Ses fondateurs n’en espĂ©raient pas tant : ils voulaient initialement juste faire connaĂźtre le cinĂ©ma africain aux Africains.

Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou FESPACO est le plus grand festival africain de cinéma (on dit du festival qu'il est le Festival de Cannes de l'Afrique).

En 1979 est crĂ©Ă© un complexe de studios de production et de tournage, financĂ© par des capitaux privĂ©s avec une aide de l'État.

Les thÚmes du cinéma burkinabé ont évolué peu à peu de la production de films documentaires ou exotiques vers un regard critique sur la société (néo-colonialisme, condition des femmes, corruption etc.)

Le succÚs du cinéma burkinabé ne doit cependant pas masquer les difficultés, financiÚres, commerciales ou juridiques, auxquelles il reste confronté.

Idrissa Ouedraogo est un des plus grands réalisateurs burkinabés.

En savoir plus sur les Réalisateurs burkinabé, Réalisatrices burkinabé

Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation

Le Festival International de Théùtre et de Marionnettes de Ouagadougou (Fitmo) créé en 1989 est un festival biennal[69].

Autres : vidéo, numérique

Tourisme

Patrimoine

Le programme MĂ©moire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international MĂ©moire du monde (au 15/01/2016).

Musées et autres institutions

Liste du Patrimoine mondial

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12/01/2016) : Liste du patrimoine mondial au Burkina Faso.

Liste reprĂ©sentative du patrimoine culturel immatĂ©riel de l’humanitĂ©

Le programme Patrimoine culturel immatĂ©riel (UNESCO, 2003) a inscrit dans sa liste reprĂ©sentative du patrimoine culturel immatĂ©riel de l’humanitĂ© (au 15/01/2016) :

  • 2012 : Les pratiques et expressions culturelles liĂ©es au balafon des communautĂ©s SĂ©noufo du Mali, du Burkina Faso et de CĂŽte d’Ivoire[70].

Annexes

Bibliographie

  • Nature, art et culture au Burkina Faso, Les AmitiĂ©s franco-burkinabĂš, L'Harmattan, Paris, 2009, 169 p. (ISBN 978-2-296-07637-2)
  • Pierre-Joseph Laurent, Les pentecĂŽtistes du Burkina Faso : mariage, pouvoir et guĂ©rison, Karthala, IRD, Paris, 2009, 442 p. (ISBN 978-2-8111-0271-5)
  • Florent Mazzoleni, Burkina Faso. Musiques modernes voltaĂŻques, Le Castor Astral, Bordeaux, 2011, 150 p. (ISBN 9782859208769)
  • Jean-Bernard OuĂ©draogo, Arts photographiques en Afrique : technique et esthĂ©tique dans la photographie de studio au Burkina Faso, L'Harmattan, Paris, 2002, 329 p. (ISBN 9782747543774)
  • Salaka Sanou, La littĂ©rature burkinabĂš : l'histoire, les hommes, les Ɠuvres, PULIM, Limoges, 2000, 220 p. (ISBN 2-8428-7190-1)
  • Alain-Joseph Sissao (dir.), Émergence de la littĂ©rature d'enfance et de jeunesse au Burkina Faso : Ă©tat des lieux, dynamique et avenir, L'Harmattan, Paris, 2009, 219 p. (ISBN 978-2-296-10018-3)

Filmographie

  • Des feuilles aux cauris : une initiation fĂ©minine au Burkina Faso, film documentaire de Bernard Nantet et Jeanne Bisilliat, Cerimes, Vanves, 2000?, 47 min (DVD)
  • Traces, empreintes de femmes, film documentaire de Kati LĂ©na Ndiaye, MĂ©diathĂšque des Trois Mondes, Paris, 2005, 52 min (DVD)
  • Le royaume qui chante, film documentaire de Patrick KersalĂ©, Éditions musicales Lugdivine, Lyon, 2005, 76 min (DVD)
  • Les maĂźtres du nyama : la confrĂ©rie des chasseurs sĂ©noufo, film documentaire de Patrick KersalĂ©, Éditions musicales Lugdivine, Lyon, 2006, 80 min (DVD)
  • Tambours et djembĂ©s du Burkina Faso, film documentaire de Patrick KersalĂ©, Sunset France, Boulogne, 2005, 69 min (DVD)
  • La danseuse d'Ă©bĂšne : IrĂšne TassembĂ©do, film documentaire de Seydou Boro, CNC, Paris, 2007, 54 min (DVD)
  • Les enfants musiciens du Burkina Faso, film documentaire de Patrick KersalĂ©, Éd. musicales Lugdivine, Lyon, 2008, 26 min (DVD)

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. « WDI - Home », sur datatopics.worldbank.org (consulté le )
  2. « Contes », sur abcburkina.net (consulté le ).
  3. « Contes africains > deux contes du Burkina Faso », sur MAS Burkina, association solidaire pour les enfants du Burkina Faso (consulté le ).
  4. « Légende du Burkina Faso », sur burkina-faso.ca (consulté le ).
  5. « princemossi.org/12.html »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
  6. « Contes et légendes du Burkina Faso : Pourquoi les hommes dominent les animaux », sur lefaso.net (consulté le ).
  7. Jean Ziegler, La Victoire des vaincus. Oppression et résistance culturelle, , 256 p. (ISBN 978-2-02-119027-4, lire en ligne), p. 176.
  8. « Afrique : mythes, traditions et croyances ... et développement - L'Actualité du Burkina Faso 24h/24 », sur L'Actualité du Burkina Faso 24h/24, (consulté le ).
  9. Pierre-Joseph Laurent, Les pentecÎtistes du Burkina Faso : mariage, pouvoir et guérison, , 442 p. (ISBN 978-2-8111-0271-5, lire en ligne), p. 37.
  10. https://www.jstor.org/stable/25841847?seq=1#page_scan_tab_contents
  11. http://librairienumeriqueafricaine.com/livrel/mythe-lhistoire-formation-lempire-segou
  12. « Burkina Faso : Thomas Sankara, un mythe bien vivant – Jeune Afrique », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  13. Le Moal, Guy, « Introduction Ă  une Ă©tude du sacrifice chez les Bobo de Haute-Volta », sur revues.org, SystĂšmes de pensĂ©e en Afrique noire, École pratique des hautes Ă©tudes. Sciences humaines, (ISSN 0294-7080, consultĂ© le ), p. 99–126.
  14. http://www.rodakar.iom.int/oimsenegal/sites/default/files/etude_sur_la_diaspora_burkinabe_fr.pdf
  15. https://www.cairn.info/revue-politique-africaine-2003-2-page-113.htm
  16. (ja) « æł•äșșăƒ»äŒæ„­çł»ă‚”ă‚€ăƒˆăŸăšă‚ », sur burkinadiaspora.org (consultĂ© le ).
  17. « Immigration au Burkina : Au cƓur d’un rĂ©seau de trafic de visa », sur lefaso.net (consultĂ© le ).
  18. http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/tend/BFA/fr/SM.POP.NETM.html
  19. http://audealaculture.fr/sites/default/files/Archives/les_chefs_au_burkina_faso.pdf.pdf
  20. http://www.burkinafaso-cotedazur.fr/cuisine-recettes-salees
  21. Reporters sans frontiĂšres : Classement mondial 2009
  22. Reporters sans frontiĂšres
  23. Reporters sans frontiÚres : Les données du classement de la liberté de la presse 2016
  24. Reporters sans frontiĂšres : Burkina Faso
  25. « Liste de blog sur le Burkina Faso - La BF-Liste francophone », sur burkina-faso.ca (consulté le ).
  26. (en) « Twitter », sur Twitter (consulté le ).
  27. http://fasoblog.net/
  28. « Connectez-vous ou inscrivez-vous pour voir le contenu », sur Facebook (consulté le ).
  29. « La République du Grin », sur La République du Grin (consulté le ).
  30. « Burkina Faso », sur uwa.edu.au (consulté le ).
  31. Sissao, Alain, « Sanou, Salaka. â€“ La littĂ©rature burkinabĂš : l’histoire, les hommes,... », sur revues.org, Cahiers d’études africaines, Éditions de l’École des hautes Ă©tudes en sciences sociales, (ISBN 978-2-7132-1810-1, ISSN 0008-0055, consultĂ© le ), p. 685–690.
  32. Adamou L. KANTAGBA, « La littérature burkinabÚ écrite d'expression française, 50 ans aprÚs les indépendances », sur blog.com, Le blog de Adamou L. KANTAGBA, (consulté le ).
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  36. https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2011/02/02/jean-pierre-guingane-auteur-et-metteur-en-scene-burkinabe_1474032_3382.html
  37. http://aflit.arts.uwa.edu.au/IlboudoMonique.html
  38. http://www.sanfinna.com/ARCHIVES/Archives472/tribunedelafemme.htm
  39. http://www.curiosites.net/spectacles/poule-poilue.htm
  40. « Abdoulaye Diallo - Biographie, publications (livres, articles) », sur harmattan.fr (consulté le ).
  41. http://www.lesfrancophonies.com/maison-des-auteurs/tarnagda-aristide
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  50. http://www.latelierdafrique.odexpo.com/pro_page.asp?page=15134&lg=
  51. http://lefaso.net/spip.php?article30320
  52. (en) « Burkinacultures | Philippe Sawadogo », sur www.burkinacultures.net (consulté le )
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  54. Jane Roussel, « Sculpture contemporaine : Ouagadougou fait sa biennale et pose un acte de rĂ©sistance », Le Point,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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  56. Sylvie Rantrua, « Burkina Faso : la sculpture contemporaine s’expose Ă  Ouagadougou », Le Point,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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  63. « IdentitĂ© visuelle du Festival de Slam PLU-OUI-DEMO 2e Ă©dition », Philippe Sawadogo,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
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