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Trésor humain vivant

Les Trésors humains vivants sont des personnes qui possèdent à un haut niveau les connaissances et les savoir-faire nécessaires pour interpréter ou recréer des éléments spécifiques du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Elles sont désignées par leur pays et reconnues par l'UNESCO[1].

Présentation

Ce type de distinction a commencé au Japon dans les années 1950 avec la notion de « trésor national vivant du Japon », puis dans d'autres pays[1] - [2] - [3] :

  • Afrique
    • Nigeria
    • Sénégal
  • Océanie
    • Nouvelle-Zélande, Te Waka Toi awards (en)
    • Australie, National Aboriginal & Torres Strait Islander Art Award (en)
  • Amérique
    • USA, National Heritage Fellowship (en)
    • Chili[9]

Autres appellations

Bien que le Canada n'ait pas ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003[10], le Conseil québécois du patrimoine vivant a mis en œuvre le programme de Maîtres de traditions vivantes en 2020[11].

Notes et références

  1. UNESCO, « Favoriser la transmission du PCI : les Trésors humains vivants », sur www.unesco.org (consulté le ).
  2. http://www.iiac.cnrs.fr/IMG/pdf/article_THV_MCC.pdf
  3. https://ich.unesco.org/doc/src/00031-FR.pdf
  4. Maître d’art selon l'UNESCO
  5. Site officiel des Maîtres d'Art
  6. https://www.senat.fr/rap/r07-440/r07-4401.pdf
  7. « Phnom Penh », sur UNESCO, (consulté le ).
  8. « Trésors nationaux vivants », sur gov.tw, Ministry of Foreign Affairs, Republic of China (Taiwan), (consulté le ).
  9. Adrian Clar, « Six nouveaux Trésors humains vivants recensés au Chili par... », sur excepcion.com, Chile Excepcion, (consulté le ).
  10. Collectif d'auteurs, « Loi sur le patrimoine culturel - Le patrimoine immatériel enfin reconnu », Le Devoir, (lire en ligne)
  11. Conseil québécois du patrimoine vivant, « Maîtres de traditions vivantes », sur maitresdetraditions.ca (consulté le )

Voir aussi

Lien externe

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