AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Carsac-Aillac

Carsac-Aillac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Carsac-Aillac
Carsac-Aillac
L'Ă©glise Saint-Caprais de Carsac.
Blason de Carsac-Aillac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fénelon (nouvelle)
Maire
Mandat
Patrick Bonnefon
2020-2026
Code postal 24200
Code commune 24082
DĂ©mographie
Population
municipale
1 530 hab. (2020 en diminution de 3,04 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 88 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 50â€Č 27″ nord, 1° 16â€Č 37″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 269 m
Superficie 17,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Terrasson-Lavilledieu
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Carsac-Aillac
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Carsac-Aillac
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Carsac-Aillac
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Carsac-Aillac
Liens
Site web carsac-aillac.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    Comprise dans l'aire urbaine de Sarlat-la-CanĂ©da, la commune de Carsac-Aillac est implantĂ©e au confluent de la Dordogne et de l'ÉnĂ©a Ă  10 kilomĂštres au sud-est de Sarlat-la-CanĂ©da.

    Communes limitrophes

    Carte de Carsac-Aillac et des communes avoisinantes.

    Carsac-Aillac est limitrophe de sept autres communes. À l'est, son territoire est distant d'une cinquantaine de mùtres de celui de Sainte-Mondane.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Carsac-Aillac est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c3b-c, date du Coniacien moyen Ă  supĂ©rieur, composĂ©e de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes Ă  bryozoaires et gastĂ©ropodes, Ă  niveaux grĂ©seux (formation des Eyzies). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 808 - Sarlat-la-CanĂ©da » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Carsac-Aillac.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 60 m et 269 m[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[8]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 17,31 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 17,23 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, l'ÉnĂ©a, le ruisseau de Farge, le ruisseau d'Eyrand et par un petit cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 15 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[15] - [16]. Elle arrose le sud de la commune sur environ six kilomĂštres dont cinq kilomĂštres et demi servent de limite territoriale face Ă  Veyrignac, GrolĂ©jac et Domme en deux tronçons.

    L'ÉnĂ©a, d'une longueur totale de 16,01 km, prend sa source dans la commune de Proissans et se jette dans la Dordogne en rive droite Ă  Carsac-Aillac, face Ă  la commune de Domme[17] - [18]. Il traverse la commune du nord Ă  l'ouest sur plus de cinq kilomĂštres, dont 600 mĂštres en limite de Saint-Vincent-le-Paluel.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de Farge arrose l'ouest du territoire communal sur plus d'un kilomĂštre et demi.

    Autre affluent de rive droite de la Dordogne, le ruisseau d'Eyrand baigne trĂšs marginalement la commune Ă  l'est.

    • La Dordogne Ă  Carsac-Aillac.
      La Dordogne Ă  Carsac-Aillac.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Carsac-Aillac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [20].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[21]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 897 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[25] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[26] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-CanĂ©da, mise en service en 1995[27] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[28] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 854,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[29]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  14 km[30], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[31], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[32], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[33].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Carsac-Aillac[34] - [35]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[36].

    La zone Coteaux calcaires de la vallĂ©e de la Dordogne, qui s'Ă©tend au total sur 3 686 hectares et est partagĂ©e avec vingt-quatre autres communes, fait Ă©galement partie du rĂ©seau Natura 2000[37] - [38]. Deux espĂšces de chauves-souris inscrites Ă  l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union europĂ©enne y ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es[37] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'Ă©tend sur environ trois kilomĂštres carrĂ©s et correspond aux coteaux situĂ©s au nord de la route dĂ©partementale 703, en cinq sites sĂ©parĂ©s, notamment au nord d'Aillac, ainsi que le long de l'ÉnĂ©a et de la Dordogne.

    ZNIEFF

    Carsac-Aillac fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[39] - [40], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[41].

    Urbanisme

    Typologie

    Carsac-Aillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [42] - [43] - [44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-CanĂ©da, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[45] - [46].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (48,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (48,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (48,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,1 %), zones urbanisĂ©es (6,8 %), terres arables (5,6 %), eaux continentales[Note 9] (3,1 %), prairies (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1 %)[47].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Carsac-Aillac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[48]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[49].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le ruisseau d'ÉnĂ©a. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1996, 1999, 2001, 2008 et 2021[50] - [48]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne amont » approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[51] - [52].

    Carsac-Aillac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[53]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[54] - [55].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Carsac-Aillac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[56]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[57]. 11 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [58].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 11] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[60].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Carsac e Alhac[61].

    Sur la planÚte Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'aprÚs Carsac[62].

    Histoire

    Préhistoire

    Les grottes du Pech-de-l'Azé sont un gisement archéologique remontant au Moustérien de tradition acheuléenne (MTA) de type B[63]. Il a livré un fossile de crùne de jeune enfant de cette période[64].

    C'est un site de référence pour le Paléolithique moyen régional.

    Autre site prĂ©historique, le gisement du Pech de la BoissiĂšre, situĂ© Ă  l'est de la Borderie, Ă  droite de la route qui mĂšne de Carsac Ă  Sarlat, a Ă©tĂ© classĂ© au titre des monuments historiques le [65]. Ce site archĂ©ologique a dĂ©voilĂ© un gisement datant du PalĂ©olithique supĂ©rieur (de 45 000 Ă  12 000 ans av. J.-C.)[66].

    Antiquité

    Si quelques traces d'occupation de l'ùge du fer (pierres polies, tessons de céramiques) ont été retrouvées sur l'éperon du roc de Saint-Augustin, c'est surtout la période gallo-romaine qui a laissé les témoignages les plus importants.

    Le site de Saint-Rome a rĂ©vĂ©lĂ© une forte prĂ©sence humaine datant de la fin du Ier siĂšcle av. J.-C. jusqu'au 4e siĂšcle avec notamment deux bĂątiments de 150 m2. Un espace funĂ©raire du haut Moyen Âge situĂ© dans ces ruines a rĂ©vĂ©lĂ© onze sĂ©pultures datĂ©es du milieu du 7e siĂšcle Ă  la fin du 10e[67].

    XXe siĂšcle

    En juin 1944, la commune subit la rĂ©pression du 4e rĂ©giment SS « Der FĂŒhrer », appartenant Ă  la division Das Reich, en route vers la Normandie[68].

    En 1961, les communes de Carsac-de-Carlux et Aillac fusionnent sous le nom de Carsac-Aillac.

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[69] - [70].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 2001 Jean Artus
    mars 2001[71]
    (réélu en mai 2020[72])
    En cours Patrick Bonnefon DVG[73] Architecte
    Président de la CC du Pays de Fénelon (depuis 2014)

    Au 1er janvier 2011, la commune quitte la communauté de communes du Périgord noir pour rejoindre la communauté de communes du Carluxais Terre de Fénelon[74]. Cette derniÚre disparaßt le 31 décembre 2013 et laisse la place à la communauté de communes du Pays de Fénelon au 1er janvier 2014.

    Jumelages

    Panneau de jumelage de Carsac-Aillac.

    Drapeau de la France Artolsheim (France) (Bas-Rhin)

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Carsac-Aillac relĂšve[75] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Jusqu'en 1960, les communes de Carsac-de-Carlux et d'Aillac étaient indépendantes.

    DĂ©mographie de Carsac, puis Carsac-de-Carlux, puis Carsac-Aillac

    La commune a d'abord porté le nom de Carsac, puis Carsac-de-Carlux, avant de fusionner avec Aillac et prendre le nom de Carsac-Aillac en 1961.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[76]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[77].

    En 2020, la commune comptait 1 530 habitants[Note 12], en diminution de 3,04 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8802887019039719991 0531 1511 123
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1211 1267758017651 076868801811
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    727667660603576570582587645
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7957707829501 2191 2171 4101 4601 479
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 5781 5291 530------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[78].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[79], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 692 personnes, soit 43,5 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (79) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (71) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  11,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 168 Ă©tablissements[80], dont 104 au niveau des commerces, transports ou services, dix-neuf dans l'industrie, dix-sept dans la construction, dix-sept relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche[81].

    Entreprises

    Parmi les entreprises dont le siÚge social est en Dordogne, deux sociétés situées à Carsac-Aillac se classent parmi les cinquante premiÚres du secteur industriel quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[82] :

    • la sociĂ©tĂ© Suturex et Renodex (fabrication de matĂ©riel mĂ©dico-chirurgical et dentaire), se classe 18e avec 17 072 k€ ;
    • les « Établissements Bouscasse froid climatisation cuisine » (installation de machines et Ă©quipements mĂ©caniques), 45e avec 4 866 k€.

    Tous secteurs confondus, trois entreprises de Carsac-Aillac figurent parmi les cinquante premiĂšres de la Dordogne, quant au chiffre d'affaires Ă  l'exportation[83] :

    • Suturex et Renodex avec 16 310 k€ ;
    • la sociĂ©tĂ© De Lama SA (fabrication de textiles), 41e avec 1 039 k€ ;
    • Gudel Sumer (fabrication d'engrenages et d'organes mĂ©caniques de transmission), 43e avec 995 k€.

    Suturex, implantée sur la ZAE Sarlat-Carsac et dépendant du groupe allemand B. Braun, emploie 170 personnes ; elle est une des principales entreprises mondiales dans le domaine des aiguilles chirurgicales, avec une production annuelle de cent millions d'aiguilles[84].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Gisement prĂ©historique du Pech de la BoissiĂšre, du PalĂ©olithique supĂ©rieur, classĂ© monument historique en 1927[85]
    • Grottes du Pech-de-l'AzĂ©, gisement prĂ©historique du PalĂ©olithique moyen, classĂ© en 1927[86]
    • ChĂąteau d'Aillac
    • ChĂąteau de Lascours, XVe et XVIe siĂšcles, inscrit en 1973[87]
    • ChĂąteau de l'Hermier (ou manoir de l'Hermier)
    • Manoir de La Gazaille, XVe siĂšcle, inscrit en 1956[88]
    • Cabane en pierre sĂšche de Peyremole, XVe siĂšcle, inscrite en 1991[89]
    • Jardins d'eau de Carsac : deux hectares d'eau et de plantes aquatiques, visite de mai Ă  septembre[90].
    • Remplaçant une passerelle mĂ©tallique Ă  une seule voie Ă©difiĂ©e en 1845, le pont suspendu en bĂ©ton armĂ© permet Ă  la route dĂ©partementale 704 de franchir la Dordogne en reliant GrolĂ©jac Ă  Carsac-Aillac[91] ; c'est un pont de trois travĂ©es (42 m - 70 m - 42 m) conçu par Albert Caquot et construit par l'entreprise Vandewalle, en 1932[92]. AppelĂ© localement le « pont Blanc », il fait l'objet de modifications de structure avec consolidation des piles fin 2022 puis destruction et reconstruction du tablier en 2023-2024[91]. Les travaux vont nĂ©cessiter sa fermeture en pour une mise en service en [93]. Sa chaussĂ©e va passer de 4,85 mĂštres de large Ă  six mĂštres et les trottoirs de 0,94 mĂštre seront Ă©largis Ă  une dimension comprise entre 1,40 mĂštre et 3,35 mĂštres, avec crĂ©ation de « balcons » au niveau des piles[93].
    • Le chĂąteau de Lascours.
      Le chĂąteau de Lascours.
    • Le manoir de la Gazaille.
      Le manoir de la Gazaille.
    • La cabane de Peyremole.
      La cabane de Peyremole.
    • Le pont de GrolĂ©jac.
      Le pont de Groléjac.

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Caprais de Carsac
    • Vue cĂŽtĂ© portail.
      Vue cÎté portail.
    • Sa nef.
      Sa nef.
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption, et statue
    • Vue cĂŽtĂ© chƓur.
      Vue cĂŽtĂ© chƓur.
    • Son clocher-mur.
    • Notre-Dame-des-Champs
      Notre-Dame-des-Champs

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Carsac-Aillac Blason
    ÉcartelĂ© au 1) et au 4) de gueules Ă  la croix clĂ©chĂ©e, vidĂ©e et pommetĂ©e de douze piĂšces d’or, au 2) de gueules au lion d’or, au 3) de gueules au coq hardi d’argent[97].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[59].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Carsac-Aillac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Carsac-Aillac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Carsac-Aillac », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 808 - Sarlat-la-CanĂ©da de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Carsac-Aillac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    14. « Fiche communale de Carsac-Aillac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    15. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'AmbÚs » sur Géoportail (consulté le 25 juillet 2022)..
    16. Sandre, « la Dordogne »
    17. « Confluence ÉnĂ©a-Dordogne dans le cingle (le mĂ©andre) de Montfort » sur GĂ©oportail (consultĂ© le 25 juillet 2022)..
    18. Sandre, « le ruisseau d'Enéa »
    19. « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    21. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    22. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    23. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    24. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    25. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    26. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    27. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    28. « Orthodromie entre Carsac-Aillac et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    29. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    30. « Orthodromie entre Carsac-Aillac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    31. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    34. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    35. Carte du site « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    36. EspÚces, INPN, consulté le .
    37. [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    38. Carte du site FR7200664, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    39. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    40. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    41. EspÚces, INPN, consulté le .
    42. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    43. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    44. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    45. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    46. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    47. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    48. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Carsac-Aillac », sur Géorisques (consulté le )
    49. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    50. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    51. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
    52. [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de la Dordogne amont » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le )
    53. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    54. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
    55. « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
    56. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    57. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    58. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    59. Article R214-112 du code de l’environnement
    60. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    61. Le nom occitan des communes du Périgord - Carsac e Alhac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    62. (en) Catherine O'Connell-Cooper, Sols 3037-3039: Mars – a Two-Rover Kind of Planet!, NASA Science, Mars Exploration Program, , consultĂ© le .
    63. (2002) Marie Soressi, Le Moustérien de tradition acheuléenne du Sud-Ouest de la France - Discussion sur la signification du faciÚs à partir de l'étude comparée de quatre sites : Pech-de-l'Azé I, Le Moustier, La Rochette et la Grotte XVI, Université de Bordeaux I, ThÚse de doctorat, , 345 p. (lire en ligne [PDF]), p. 10.
    64. (2000) Bruno Maureille et Marie Soressi, « A propos de la position chronostratigraphique de l'enfant du Pech-de-l'AzĂ© I (commune de Carsac, Dordogne) : la rĂ©surrection du fantĂŽme », PalĂ©o, no 12,‎ , p. 339-352 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    65. « Gisement préhistorique du Pech de la BoissiÚre », notice no PA00082437, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consultée le .
    66. Anne Bécheau, Carsac-Aillac, histoire & chroniques, Carsac-Aillac, Au Fil de l'Art, , 315 p. (ISBN 978-2-9570153-0-6), p. 23 Aux temps préhistoriques
    67. Ibid Anne BĂ©cheau, ModĂšle:P.26.
    68. Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN 978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC 417826733, BNF 39169074), p 43
    69. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.
    70. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 25 octobre 2020.
    71. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 15 août 2014.
    72. « Patrick Bonnefon briguera la présidence de l'intercommunalité », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
    73. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 6.
    74. Recueil des actes administratifs de la Dordogne - DĂ©cembre 2010 - ArrĂȘtĂ© n° 10/197 (pages 27-28), consultĂ© le 7 janvier 2011
    75. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
    76. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    77. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    78. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    79. Dossier complet - Commune de Carsac-Aillac (24082) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 août 2018.
    80. « Établissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
    81. Dossier complet - Commune de Carsac-Aillac (24082) - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 26 aoĂ»t 2018.
    82. « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
    83. « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
    84. Franck Delage, « Suturex, petites aiguilles et grandes ambitions », Sud Ouest édition Périgueux, 9 octobre 2015, p. 25.
    85. « Gisement préhistorique du Pech de la BoissiÚre », notice no PA00082437, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 13 septembre 2010.
    86. « Gisement préhistorique du Pech de l'Azé », notice no PA00082436, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 13 mai 2020.
    87. « Chùteau de Lascours », notice no PA00082433, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 13 septembre 2010.
    88. « Manoir de la Gazaille », notice no PA00082438, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 13 septembre 2010.
    89. « Cabane en pierre sÚche de Peyremole », notice no PA00083088, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 13 septembre 2010.
    90. Sandrine MercÚdre, « Moment d'évasion aux Jardins d'eau », Sud Ouest édition Dordogne, 27 mai 2019, p. 27.
    91. Léna Badin, « Les travaux sur le pont ont commencé », Sud Ouest édition Dordogne, 19 novembre 2022, p. 24e.
    92. Bernard Marrey, Les ponts modernes. 20e siĂšcle, p. 73, Picard Ă©diteur, Paris, 1995 (ISBN 2-7084-0484-9).
    93. Franck Delage, « Le pont de GrolĂ©jac va ĂȘtre fermĂ© pendant onze mois », Sud Ouest Ă©dition Dordogne, , p. 20c.
    94. Dorothée Jacoub, Carsac de Carlux, pp. 314-334, dans CongrÚs archéologique de France. 137e session. Périgord Noir. 1979, Société Française d'Archéologie, Paris, 1982
    95. « Église Saint-Caprais de Carsac », notice no PA00082435, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture. ConsultĂ©e le 13 septembre 2010.
    96. « Église Notre-Dame de l'Assomption d'Aillac », notice no PA00082434, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture. ConsultĂ©e le 13 septembre 2010.
    97. OLDJP la banque du blason 2 consultée le 21 janvier 2013.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.