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Souppes-sur-Loing

Souppes-sur-Loing est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

Souppes-sur-Loing
Souppes-sur-Loing
La mairie.
Blason de Souppes-sur-Loing
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Gùtinais-Val de Loing
Maire
Mandat
Pierre Babut
2020-2026
Code postal 77460
Code commune 77458
DĂ©mographie
Gentilé Sulpiciens
Population
municipale
5 253 hab. (2020 en diminution de 3,61 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 190 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 11â€Č 02″ nord, 2° 44â€Č 10″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 130 m
Superficie 27,63 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Souppes-sur-Loing
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nemours
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Souppes-sur-Loing
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Souppes-sur-Loing
Liens
Site web souppes.fr

    En 2020, elle compte 5 253 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de Souppes-sur-Loing dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Souppes-sur-Loing se trouve au sud-est du dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1], entre Nemours, au nord, et Montargis au sud, Ă  la limite du dĂ©partement du Loiret (rĂ©gion Centre-Val de Loire).

    Elle se situe Ă  48,48 km par la route[Note 1] de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  31,97 km de Fontainebleau[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  10,81 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dĂ©pend la commune depuis 2015. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Souppes-sur-Loing[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de Souppes-sur-Loing.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : La Madeleine-sur-Loing (3,2 km), ChĂąteau-Landon (4,6 km), Poligny (4,7 km), Dordives (5,0 km), Bagneaux-sur-Loing (5,8 km), Bougligny (5,9 km), Chenou (6,0 km), Chaintreaux (6,5 km).

    GĂ©ologie et relief

    Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord-est de la région naturelle du Gùtinais.

    L'altitude varie de 62 mĂštres Ă  130 mĂštres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 71 mĂštres d'altitude (mairie)[6].

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire) et du Crétacé supérieur[7] - [8].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de Souppes-sur-Loing.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de Souppes-sur-Loing.
    Géologie de la commune de Souppes-sur-Loing selon l'échelle des temps géologiques[7] - [8].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Fx :Alluvions anciennes (moyenne terrasse de 10-20 m) : sables et graviers .
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent
    MiocÚne non présent.
    PaléogÚne OligocÚne
    g1CE :Calcaire d'Étampes, meuliùres, marnes, calcaires du Gñtinais.
    g1GF :GrÚs de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables Stampiens dunaires).
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grÚs en place ou peu remanié (versant).
    Éocùne
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de ChĂąteau-Landon, marnes de Nemours.
    e4AP :Argile plastique sables et grĂšs.
    e4PP :Poudingue à chailles conglomérat à silex, formation de Pers-en-Gùtinais (Loiret).
    PaléocÚne non présent.
    Mésozoïque Crétacé Supérieur
    C5Cr-BE :Craie blanche Ă  silex Ă  Belemnitida.
    inférieur non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[9].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Souppes-sur-Loing.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatorze cours d'eau référencés :

    • la riviĂšre le Loing, longue de 142,7 km[10], affluent en rive gauche de la Seine, ainsi que :
      • un bras de 0,02 km[11] ;
      • un bras de 0,07 km[12] ;
      • un bras de 0,09 km[13] ;
      • un bras de 0,11 km[14] ;
      • un bras de 0,15 km[15] ;
      • un bras de 0,21 km[16] ;
      • un bras de 0,46 km[17] ;
        • le ru de Morion, 1,34 km[18], qui conflue avec un bras du Loing ;
      • un bras de 0,50 km[19] ;
      • le canal 01 de Cercanceaux, de 2,55 km[20], et ;
      • le canal 01 de la Ferme de LestumiĂšre, de 1,00 km[21], et ;
      • le canal 01 du Manoir de Beau Moulin, 1,40 km[22], qui confluent avec le Loing ;
    • le canal du Loing, long de 47,8 km[23].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 13,79 km[24].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[25].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[26]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[27].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,8 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 699 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 2,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,9 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[28].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[29]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[28]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[30]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  46 km Ă  vol d'oiseau[31], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[32] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[33].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[34] - [35].

    Deux espaces protégés sont présents dans la commune :

    • la zone centrale de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[36] - [37].
    • la zone de transition de la rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[36] - [38].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[39].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[40] - [Carte 1] :

    • les « RiviĂšres du Loing et du Lunain », d'une superficie de 400 ha, deux vallĂ©es de qualitĂ© remarquable pour la rĂ©gion Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiĂ©es dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de RiviĂšre et la BouviĂšre[41] - [42].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Souppes-sur-Loing comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] - [43] - [Carte 2] :

    • le « Coteau de Bellevue » (0,75 ha)[44] ;
    • l'« Ile de Pont de Souppes et berges du Loing » (28,56 ha)[45] ;
    • les « Marais de Cercanceaux et plan d'eau de Varennes » (100,02 ha)[46] ;
    • le « Marais de la Madeleine » (22,49 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[47] ;
    • les « Marais de Souppes-sur-Loing » (8,87 ha)[48] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [43], la « vallĂ©e du Loing entre Nemours et Dordives » (1 059,63 ha), couvrant 7 communes dont 1 dans le Loiret et 6 en Seine-et-Marne[49].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Souppes-sur-Loing est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [50] - [51] - [52]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Souppes-sur-Loing, une agglomĂ©ration inter-rĂ©gionale regroupant 2 communes[53] et 8 703 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[54] - [55].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[56] - [57].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (59,64% % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (65,27 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,94 %), forĂȘts (17,84 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,69 %), zones urbanisĂ©es (8,93 %), mines, dĂ©charges et chantiers (6,63 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,61 %), eaux continentales[Note 8] (1,92 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,44 %)[58].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[58].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    357,32 ha 12,97 % 567,85 ha 20,60 % 210,54 ha en augmentation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    1 798,82 ha 65,27 % 1 643,58 ha 59,64 % −155,24 ha en diminution
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    547,21 ha 19,85 % 491,65 ha 17,84 % −55,55 ha en diminution
    Surfaces en eau
    (eaux continentales, eaux maritimes)
    52,67 ha 1,91 % 52,93 ha 1,92 % 0,26 ha en augmentation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[59] - [60] - [Carte 3]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours GĂątinais, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-GĂątinais[61].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[62]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de Souppes-sur-Loing.

    La commune compte 223 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[63] dont le Coudray, le Boulay, Fonteneilles, Grand Ceriseaux, Petit Ceriseaux, les Grés de Saint-Martin, Cercanceaux, les Varennes, Bésigny (source : le fichier Fantoir).

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 2 572 dont 67,9 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 31,6 % d'appartements[Note 10].

    Parmi ces logements, 84,7 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 12,9 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 59,2 % contre 39 % de locataires[64] dont, 19,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 11] et, 1,8 % logés gratuitement.

    Voies de communication

    La ligne de chemin de fer de Moret - Veneux-les-Sablons Ă  Lyon-Perrache traverse du nord-ouest au sud-est le territoire de la commune.

    L'autoroute A77 traverse, du nord au sud, la partie est du territoire de la commune. L'échangeur no 17, situé au sud-est de la commune, est accessible par les routes départementales D 30 et D 377.

    Plusieurs routes départementales relient Souppes-sur-Loing aux communes voisines :

    • la D 30, Ă  Chaintreaux, Ă  l'est ;
    • la D 40, Ă  la Madeleine-sur-Loing, au nord-ouest ; Ă  ChĂąteau-Landon, au sud-ouest ;
    • la D 52E, Ă  Bouligny, Ă  l'ouest ;
    • la D 120, Ă  Chaintreaux, Ă  l'est ;
    • la D 136, Ă  Chaintreaux, au nord-est ;
    • la D 207A, Ă  Bageaux-sur-Loing au nord ; Ă  ChĂąteau-Landon, au sud-ouest ;
    • la D 377, Ă  Dordives, au sud ;
    • la D 607 (ancienne route nationale 7), Ă  Bagneaux-sur-Loing, au nord ; Ă  Dordives, au sud-est.

    La riviĂšre le Loing et le canal du Loing traversent la commune du sud au nord.

    Transports

    Le bĂątiment voyageurs de la gare de Souppes - ChĂąteau-Landon.

    La gare de Souppes - Chùteau-Landon, située sur le territoire la commune de Souppes-sur-Loing, est desservie par les trains de la ligne R du réseau Transilien qui effectuent les liaisons Paris - Montargis.

    Souppes-sur-Loing est desservie par plusieurs lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[65] - [66] - [67] :

    • la ligne 11A, qui relie Souppes-sur-Loing Ă  Nemours ;
    • la ligne 11B, qui relie ChĂąteau-Landon Ă  Nemours ;
    • la ligne 11C, qui relie Souppes-sur-Loing Ă  Nemours ;
    • la ligne 11D, qui relie Bransles Ă  Souppes-sur-Loing ;
    • la ligne 12A, qui relie ChĂąteau-Landon Ă  Nemours ;
    • la ligne 12B, qui relie Mondreville Ă  Saint-Pierre-lĂšs-Nemours ;
    • la ligne 14A, qui relie ChĂąteau-Landon Ă  Souppes-sur-Loing ;
    • la ligne 14B, qui relie la gare de Souppes-sur-Loing au Coudray ;
    • la ligne 17B, qui relie Souppes-sur-Loing Ă  HĂ©ricy ;
    • la ligne 18B, qui relie ChĂąteau-Landon Ă  Montereau-Fault-Yonne ;
    • la ligne 34, qui relie ChĂąteau-Landon Ă  Melun.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Supae vers 1090[68] ; Villa mea Supis en 1199[69] ; Soupas en 1242[70] ; Parochia de Sopis en 1259[70] ; Sopas en 1313[71] ; Soppes en 1458[70] ; Souppes en 1793[72] ; Soupes en 1801[72].

    Le nom de Souppes-sur-Loing a été substitué à celui de Souppes par décret du .

    Toponyme issu du mot pluriel du bas latin, d'origine germanique suppae qui signifie « sol détrempé »[73], soupe au sens de « marécage »[74]. « Le Loing y entretient de nombreux marécages de la consistance d'une soupe »[75]. En effet, le Loing divaguait fréquemment hors de son lit, formant des marécages que les moines de l'abbaye de Cercanceaux se sont employés à assainir.

    Histoire

    De la préhistoire à l'an mil

    La vallĂ©e du Loing fut l'un des aboutissements de la civilisation danubienne au NĂ©olithique. Plus de trente polissoirs sur les communes de Nemours, Poligny, La Madeleine-sur-Loing, ChĂąteau-Landon et Souppes sont prĂ©sents aujourd'hui, tĂ©moins de cette premiĂšre vie sĂ©dentaire. Huit de ces polissoirs sont classĂ©s Monuments Historiques sur les villes de Souppes et Bagneaux-sur-Loing. Tous les silex taillĂ©s trouvĂ©s sur les plateaux alentour montrent que le peuplement est encore plus ancien. La prĂ©sence d'un site d'Ă©poque gauloise et de plusieurs sites de villas gallo-romaines connus sur le territoire de la commune montrent la continuitĂ© de l’occupation.

    De l'an 1000 Ă  la RĂ©volution

    La tour achetĂ©e en 1312 par le chapitre de la Sainte-Chapelle du Palais Royal de Paris transformĂ©e en maison d’habitation Ă  la veille de la RĂ©volution, est au centre de la ville. Les Ă©crits qui la mentionnent, comme l’examen de sa construction, la datent de l’époque gallo-romaine.

    Le rĂ©cit de Tournai, doit ĂȘtre lu entre lĂ©gende et histoire. L’écrit au XIIe siĂšcle par HĂ©riman, abbĂ© de Saint-Martin de Tournai appartient bien Ă  l’histoire. Au IXe siĂšcle, un chevalier de Souppes serait allĂ© combattre les Normands sur l'Escaut, mais aujourd'hui les faits sont considĂ©rĂ©s comme des lĂ©gendes[76].

    Les vestiges architecturaux anciens sont rares dans la ville mais d'autant plus prĂ©cieux. Les petits chapiteaux et leurs tailloirs qui se trouvent au pied du pignon ouest de l'Ă©glise sont datĂ©s du XIe siĂšcle. OrnĂ©s de sculptures archaĂŻques, ce sont ceux du portail de la primitive Ă©glise Sainte-Marie-de-Souppes qui date de 1090. En 1130, Henri, archevĂȘque de Sens, confirme Ă  l'AbbĂ© Ernaud, abbĂ© de l'abbaye Saint-Florentin de Bonneval prĂšs de Chartres, la possession de l'Ă©glise de Souppes. Un prieurĂ© bĂ©nĂ©dictin est fondĂ© par Bonneval et est Ă©tabli autour de Sainte-Marie-de-Souppes. Plus tardivement et jusqu’à la RĂ©volution, il prendra le nom de prieurĂ© Saint-Clair et Saint-LĂ©ger. Le portail de Sainte-Marie-de-Souppes devient l'entrĂ©e du prieurĂ©. C'est en prolongation de celui-ci que l'Ă©glise actuelle, beau gothique naissant, classĂ©e Monument historique, est construite Ă  la fin du XIIe siĂšcle.

    En septembre 1250, Gilon, archevĂȘque de Sens, considĂ©rant que l'Ă©glise de Souppes Ă©tait trop vaste, ordonne d'en dĂ©molir une partie du cĂŽtĂ© du prieurĂ©. C'est ce qui explique la reconstruction et le style pur XIIIe siĂšcle du pignon ouest avec ses deux fenĂȘtres divisĂ©es par un meneau formant deux lancettes surmontĂ©es d'une rose Ă  quatre redents, Ă  profils simplement chanfreinĂ©s. À l'intĂ©rieur de cette Ă©glise classĂ©e des XIIe et XIIIe siĂšcles, un trĂšs beau retable en bois du XVIe siĂšcle lui aussi classĂ© et en provenance vraisemblable de l'ancienne abbaye cistercienne Sainte-Marie de Cercanceaux. En effet, Ă  la fin du XIIe siĂšcle, quelques moines cisterciens venant de la Cour Dieu en forĂȘt d'OrlĂ©ans vont venir fonder dans la vallĂ©e l'abbaye Sainte-Marie de Cercanceaux qui s'Ă©teindra Ă  la RĂ©volution. C'est aujourd'hui une propriĂ©tĂ© privĂ©e.

    En ce mĂȘme XIIe siĂšcle, aux autres extrĂ©mitĂ©s de la commune actuelle s'Ă©tablissent la Seigneurie du Boulay et la Seigneurie de Beaumoulin. Une autre Ă©glise est construite au Boulay au XIIIe siĂšcle donnant naissance Ă  un second prieurĂ©. Cette Ă©glise en ruines Ă©tait dĂ©diĂ©e Ă  Notre-Dame du Boulay, puis Ă  Saint Fiacre, patron des jardiniers. La Seigneurie du Boulay sera Ă©levĂ©e au rang de Marquisat au XVIIIe siĂšcle, en relĂšveront Souppes, Poligny, Obsonville et autres lieux.

    La pĂ©riode du Moyen Âge est jalonnĂ©e au hasard des textes par les noms de ceux qui sont liĂ©s au domaine : Thibaud de Souppes, Aubry de Souppes, Jean de Souppes, Galeran de Souppes. Le pont et plusieurs moulins sont rĂ©guliĂšrement citĂ©s dans les textes.

    Avec l'achĂšvement en 1642 du canal de Briare qui arrive Ă  Montargis, la deuxiĂšme moitiĂ© du XVIIIe siĂšcle a Ă©tĂ© la grande Ă©poque de la navigation sur la riviĂšre. En effet, jusqu'au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle, c'est sur la riviĂšre de Loing, elle-mĂȘme, que s'effectue l'importante navigation qui, remontant de la Loire par les canaux de Briare et d'OrlĂ©ans, conduit le ravitaillement Ă  Paris. Mais cette navigation Ă©tait si dangereuse qu'elle Ă©tait un art. En 1666, durant la traversĂ©e de la Prairie de Souppes, les Ăźles tremblaient sous les pas des chevaux montants tellement le passage est bourbeux et difficile comme le disent les textes. Il faudra en venir Ă  la construction du canal du Loing. Il sera terminĂ© sous le rĂšgne de Louis XV en 1724 achevant la grande Ɠuvre de la jonction Loire-Seine commencĂ©e en 1604 par Henri IV. Pour sa traversĂ©e dans Souppes, c'est le « RĂ©giment Royale Marine » qui travaille au percement du canal. Les militaires campent Ă  Souppes avec leurs familles comme le montrent les actes d'Ă©tat civil de la paroisse. Sur le port de Souppes vont ĂȘtre taillĂ©es puis expĂ©diĂ©es les tonnes de pierre nĂ©cessaires au dĂ©veloppement de Paris, entre autres par Haussmann au XIXe siĂšcle.

    De la RĂ©volution au XXe siĂšcle

    Aux États gĂ©nĂ©raux de mai 1789, c'est le curĂ© de Souppes, Anne Alexandre Marie Thibault qui est Ă©lu par le bailliage de Nemours pour reprĂ©senter le clergĂ©. Actif partisan et acteur de la rĂ©union des trois ordres, il est occupĂ© au contrĂŽle des pouvoirs. Quoi qu'il n'ait pas participĂ© au Serment lui-mĂȘme, David le reprĂ©sente sur son tableau du Serment du jeu de paume Ă  titre symbolique. Le , il est le premier maire Ă©lu de Souppes. Le premier maire figure donc sur ce tableau.

    La RĂ©volution se passe sans trop de heurts pour les vies humaines grĂące au second maire Ă©lu, Thomas Chantrier, et aux Ă©lus qui l’entourent. MalgrĂ© tout, l'Ă©glise de Souppes est occupĂ©e comme grenier Ă  foin de 1793 Ă  1795. Celle du Boulay qui avait Ă©tĂ© reconstruite au XVIIIe est dĂ©saffectĂ©e et dĂ©pouillĂ©e. Celle de Sainte-Marie de Cercanceaux sera dĂ©molie aprĂšs 1791, date oĂč elle est vendue comme bien national. La paroisse du Boulay est rattachĂ©e Ă  Souppes en 1794[72].

    La culture du chanvre Ă©tait importante Ă  Souppes. Le , par crainte d'une Ă©pidĂ©mie de cholĂ©ra, on interdit Ă  60 Ă  80 habitants de Souppes de faire rouir le chanvre dans la riviĂšre et pourtant « c'Ă©tait Ă  l'Ă©coulement sans cesse renouvelĂ© de l'eau que les chanvres de Souppes devaient leur supĂ©rioritĂ© sur tous les autres et que vouloir les forcer Ă  rouir dans les endroits moins exposĂ©s au cours rapide de l'eau, c'Ă©tait porter atteinte Ă  la qualitĂ© des chanvres. »

    Souppes va s'ouvrir Ă  l'Ăšre industrielle dĂšs 1773 avec l'Ă©tablissement d'une manufacture d'acier : atelier de forgeage qui utilise la force motrice de la riviĂšre. Tous les ateliers ont disparu, seul se voit encore le bief qui, partant de la riviĂšre, conduit aux vannes qui rĂ©glaient la chute d’eau activant les deux martinets.

    À l’abbaye, c’est une papeterie qui va utiliser les bĂątiments annexes et la grange aux dĂźmes qui va se dĂ©velopper dĂšs 1791. Une sucrerie va ĂȘtre construite en 1873, entreprise toujours existante.

    CarriĂšre de la Grosse Roche.
    Point de vue aménagé à la carriÚre du Boulay.

    L'exploitation de la pierre qui existe depuis des siĂšcles va trouver son apogĂ©e au XIXe siĂšcle. Les deux flancs de la vallĂ©e sont exploitĂ©s. La premiĂšre carriĂšre, prĂ©cise situĂ©e dans la rĂ©gion, est celle de l'Endurcy : elle est exploitĂ©e pour la construction du canal et on la trouve sur les cartes de lattrĂ© de 1750. Le banc de pierre formĂ© au Ludien, il y a quelque 35 millions d'annĂ©es, traverse la vallĂ©e d'est en ouest et toutes les communes de cette partie du GĂątinais l'ont pour sous-sol. Plusieurs des grandes Ɠuvres de pierre de Paris viennent de celui-ci : l'Arc de Triomphe vient d'une carriĂšre de ChĂąteau-Landon, la statue de sainte GeneviĂšve et le pont de la Tournelle de Souppes, mais la grande Ɠuvre commune est la basilique du SacrĂ©-CƓur de Montmartre : Joseph Combe, maĂźtre carrier de Souppes reçoit la commande de l’extraction et de l’acheminement de la pierre, il fera travailler tous les carriers de la rĂ©gion dĂšs la fin du XIXe siĂšcle. On travaillera Ă  cette Ɠuvre jusqu’au milieu du XXe siĂšcle. Le photographe Louis-Émile Durandelle qui va assurer le reportage photographique de la construction du SacrĂ©-cƓur mandatĂ© par les hommes du VƓu National viendra Ă  Souppes pour y photographier les carriĂšres. C'est ainsi que dans la collection de la BibliothĂšque Historique de la ville de Paris et dans la collection privĂ©e de la famille Combe figurent les carriĂšres de Souppes et l'Ă©pure qui Ă©tait sur le bord du canal. La mission photographique de Durandelle Ă  Souppes s'est faite en 1885.

    Ces carriers et ces tailleurs de pierre ont dĂ©veloppĂ© toute une vie sociale. DĂšs 1865 est fondĂ©e Ă  Souppes, « la SociĂ©tĂ© de Secours Mutuels de l'Ascension ». L'Ascension Ă©tait et est encore aujourd'hui la fĂȘte des tailleurs de pierre. Deux sites d’exploitation sont toujours en activitĂ© sur le territoire de la commune.

    L'ancien cimetiÚre est déplacé en 1843. Il rassemble les fondateurs de la ville : les Frot, les Morisseau, les Roux conduits par les Thibault, les Chantrier, les Chaussy, les Ouvré ou les Combe.

    Époque contemporaine

    L'Ă©cole et la fontaine, place de l'Ă©glise.
    • La place de Souppes est composĂ©e d'une fontaine et d'une Ă©cole inaugurĂ©e en 1906. Le , le syndicat des ouvriers du bĂątiment de Souppes, de ChĂąteau-Landon et de la rĂ©gion du GĂątinais est crĂ©Ă© sur la place. Dans l'Ă©cole le jour de l’Ascension, un dĂ©filĂ© et l'inauguration de la Bourse du Travail eut lieu.
    • : comme dans beaucoup de communes de la rĂ©gion, des inondations sans prĂ©cĂ©dent se sont abattues, rĂ©pandant partout l'angoisse, l'Ă©pouvante, la ruine et aussi la mort.
    • En 1942, le rĂ©seau de RĂ©sistance de Souppes va entrer en contact avec celui qui existe dĂ©jĂ  Ă  Montargis. Cette liaison faite, Souppes va coordonner tout le Sud Seine-et-Marne. En 1944, le Pont de Souppes, au long passĂ© stratĂ©gique, dĂ©fendu par la RĂ©sistance, ne sera ni minĂ©, ni dĂ©truit. Il permettra le passage de la 3e armĂ©e amĂ©ricaine qui fonçait sur Sens.
    • : une mini-tornade dĂ©vaste le parc animalier.
    • : une mini-tornade dĂ©vaste une partie de la commune dont le parc animalier, plusieurs routes ont Ă©tĂ© coupĂ©es pendant 2 Ă  3 heures.
    • : une crue majeure du Loing et de ses affluents, inonde une grande partie de la ville, battant ainsi le record de la crue de 1910.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1937 1940 Claude-FĂ©lix Garrain 
 

    1940 1943 Gaston Frot 
 

    1943 1947 Louis Lecoq 
 

    1947 1959 Lucien Ray-Cala 
 

    mars 1959 juin 1995 Victor Prudhomme SFIO puis
    PS puis DVG
    Vétérinaire
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de ChĂąteau-Landon (1964 → 1982)
    juin 1995 mars 2008 Jean-Claude Thébault PS Professeur de collÚge
    mars 2008 En cours
    (au 27 mai 2020)
    Pierre Babut[77] DVG puis SE Professeur de collĂšge, ancien 1er adjoint
    Vice-prĂ©sident de la CC GĂątinais-Val de Loing (2015 → 2020)
    RĂ©Ă©lu en 2014 et 2020

    Jumelages

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [78] - [79].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Souppes-sur-Loing gĂšre le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dĂ©pollution) en rĂ©gie directe, c’est-Ă -dire avec ses propres personnels[80].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[81]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[80] - [82].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [80] - [83].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur Bocage[84].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Sulpiciens[85].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[86]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[87].

    En 2020, la commune comptait 5 253 habitants[Note 12], en diminution de 3,61 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0301 0521 0031 0891 3641 4531 5231 6921 714
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8021 8492 1252 2212 4832 8923 0993 4233 351
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 3623 3643 3022 8792 9102 9542 9693 0393 176
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 6124 4374 3514 3264 8515 3485 5315 4945 397
    2020 - - - - - - - -
    5 253--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[72] puis Insee Ă  partir de 2006[88].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • Écoles maternelles le Boulay, Carnot.
    • Écoles Ă©lĂ©mentaires le Boulay, le Centre.
    • CollĂšge Émile-Chevallier (de la 6e Ă  la 3e).

    Manifestations culturelles et festivités

    • La bourse aux jouets, la brocante, le marchĂ© des collectionneurs.
    • La fĂȘte foraine, le week-end de la PentecĂŽte.
    • Le duathlon de Souppes, le 1er novembre (environ 23 km de vĂ©lo et km de course Ă  pied).
    • Le marchĂ© de NoĂ«l, chaque annĂ©e sur la place de l'Église.
    • Championnat dĂ©partemental de tir aux armes anciennes samedi .

    Sports

    • VĂ©lo Club Sulpicien, tennis de table, club de karatĂ©, basket, pĂ©tanque, tennis, badminton.
    • Base de loisirs avec une plage de sable.
    • Le Loing est trĂšs facile et trĂšs agrĂ©able Ă  descendre en canoĂ« ou kayak.
    • Terrain de football, gymnase, bowling.
    • Stand de tir longue distance (Association des Carabiniers de Souppes-sur-Loing, Route du Coudray).

    Économie

    • Zone industrielle « Val du Loing », 178 commerçants et artisans.
    • CarriĂšres de granulats et de pierres.
    • Sucrerie-distillerie (depuis 1873).

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 2 135 (dont 46 % imposĂ©s), reprĂ©sentant 5 343 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 19 140 euros[89].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 1 200, occupant 1 938 actifs rĂ©sidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à 57,7 % contre un taux de chÎmage de 14,9 %.

    Les 27,4 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 9,9 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 6,9 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 10,7 % pour les autres inactifs[90].

    Entreprises et commerces

    En 2017, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 120 dont 4 dans l'agriculture-sylviculture-pĂȘche, 12 dans l’industrie, 10 dans la construction, 77 dans le commerce-transports-services divers et 17 Ă©taient relatifs au secteur administratif[91].

    Ces Ă©tablissements ont pourvu 1 013 postes salariĂ©s.

    En 2019, 53 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 41 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne possédait aucun hÎtel mais un terrain de camping disposant de 49 emplacements[92].

    Agriculture

    Souppes-sur-Loing est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e la « Bocage gĂątinais », Ă  l'extrĂȘme sud du dĂ©partement[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 13] de l'agriculture sur la commune est la culture de cĂ©rĂ©ales et d'olĂ©oprotĂ©agineux (COP)[93].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[94]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 15 en 1988 Ă  12 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 91 ha en 1988 Ă  122 ha en 2010[93]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Souppes-sur-Loing, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Souppes-sur-Loing entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[93] - [Note 14]
    Nombre d’exploitations (u) 15 16 12
    Travail (UTA) 26 23 14
    Surface agricole utilisĂ©e (ha) 1 362 1 489 1 466
    Cultures[95]
    Terres labourables (ha) 1 354 1 465 1 464
    CĂ©rĂ©ales (ha) 1 005 1 003 1 014
    dont blé tendre (ha) 581 645 570
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 130 s 42
    Tournesol (ha) 111 43 50
    Colza et navette (ha) 36 90 127
    Élevage[93]
    Cheptel (UGBTA[Note 15]) 33 29 15

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Clair-Saint-LĂ©ger.
    Le canal du Loing et la sucrerie.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Mythes, légendes et anecdotes

    Le village de Souppes a été choisi par l'écrivain Michel Houellebecq comme décor de certaines scÚnes de son roman La Carte et le Territoire (2010). C'est en effet à Souppes (que Houellebecq situe maladroitement dans le Loiret), que l'auteur met en scÚne son propre assassinat[100].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Souppes-sur-Loing », p. 222–225
    • Bulletins d'histoire locale de Souppes-sur Loing numĂ©ros 1 Ă  11 (1986 -1996)
    • Bulletins d'Art et d'Histoire de la vallĂ©e du Loing numĂ©ros 1 Ă  15 (1998-2012)
    • Souppes-sur-Loing, principal centre de la RĂ©sistance dans le Sud Seine et Marnais

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    10. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    11. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    15. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Souppes-sur-Loing » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Souppes-sur-Loing » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Souppes-sur-Loing - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    5. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    Références

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