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Chaintreaux

Chaintreaux est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Chaintreaux
Chaintreaux
Blason de Chaintreaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Gâtinais-Val de Loing
Maire
Mandat
Alexis Kerlo
2020-2026
Code postal 77460
Code commune 77071
DĂ©mographie
Gentilé Chanterelliens
Population
municipale
842 hab. (2020 en diminution de 8,18 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 35 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 12′ 01″ nord, 2° 49′ 14″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 133 m
Superficie 23,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Chaintreaux
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Chaintreaux

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Chaintreaux dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune est situĂ©e Ă  environ 5,3 km par la route, au nord-ouest d'Égreville et Ă  km Ă  l'est de Souppes-sur-Loing[1] - [Note 1]. Elle est limitrophe avec le dĂ©partement du Loiret.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 88 mètres Ă  133 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 123 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classĂ©e en zone de sismicitĂ© 1, correspondant Ă  une sismicitĂ© très faible[3].

    Hydrographie

    La commune n’est traversée par aucun cours d'eau[4].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 729 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂŞtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  46 km Ă  vol d'oiseau[6], oĂą la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[7] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[8].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[9] - [10] - [11].

    Urbanisme

    Typologie

    Chaintreaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [12] - [13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15] - [16].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 152 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[17] dont :

    • Lepuy, Fraville, la Brosse, Sonville, Lagerville, Chancery, Chamault, Pesiottes, la Malosse, FloĂ©, Hautefeuille, la Rue Chaude, la Grillonnerie, la Grande Borde.
    • Le lieu-dit la Petite Borde a Ă©tĂ© supprimĂ© lors du remembrement de 2004, il se situait au sud-ouest de la Grande Borde. Il ne subsiste que quelques murs, vestige d'une ancienne ferme.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,9% ), forêts (14,6% ), zones urbanisées (2,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[18].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[19] - [20] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[21].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[22]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 425 dont 99,3 % de maisons et 0,5 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 80,9 % étaient des résidences principales, 11,5 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 90,7 % contre 8,1 % de locataires et 1,2 % logés gratuitement[23] -[Note 6].

    Voies de communication

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Chaintreaux.

    La commune dispose de 30 kilomètres de voirie communale et est traversĂ©e par l’autoroute A6 (aire de repos de Sonville et de FloĂ©e) et le dĂ©part de l’autoroute A77[24].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars No 10 (Bransles – Saint-Pierre-les-Nemours) du réseau de cars Transdev[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Chanterella en 1189[26] ; Parrochia de Chanterello en 1227[27] ; Chantriaus juxta Ferrerias en 1239[28] ; Cheyntriaus en 1244[29] ; Chintriaus vers 1250[30] ; Cheintriaus en 1253[31] ; Chaintraus en 1265[32] ; E. de Chiemtrellis en 1295[33] ; Chintreaulx en 1491[34] ; Chentaulx en 1522[35] ; Chantereaulx en 1575[36] ; Chinteraulx en 1599[37] - [30].

    Chaintreaux pourrait tirer son nom du terme chaintre signifiant « limite », cette commune se trouvant en limite des seigneuries de Dordives, Mez le Maréchal, Loiret, du Boulay, de Néronville et de Villebéon[24].

    Histoire

    La commune regroupe les anciennes paroisses de Chaintreaux et de Lagerville, cette dernière ayant été absorbée en 1842[38].

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 mars 2014 Pierre Boyer Agriculteur
    mars 2014 mars 2020 Marie-Claude Souque Professeur
    mars 2020 En cours Alexis Kerlo

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39] - [40].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Chaintreaux ne dispose pas d'assainissement collectif[41] - [42].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. Le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le [41] - [44].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [41] - [45] - [46].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].

    En 2020, la commune comptait 842 habitants[Note 7], en diminution de 8,18 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5926245995857187879771 0371 101
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1341 1291 1241 1171 1001 0781 0791 1041 063
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 007973919765774770731685693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    671576573576674783853854902
    2015 2020 - - - - - - -
    918842-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'Ă©cole communale.

    La commune dispose d'une Ă©cole communale (1 classe maternelle et 3 classes primaires)[24].

    Associations

    Association Sportive (tennis de table, gymnastique, atelier musique théâtre), club du troisième âge, association Astronomique, association des Anciens Combattants, société de Chasse[24] Nature et Vie Sud 77.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 343, reprĂ©sentant 882 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 24 460 euros[50].

    Emploi

    En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 111, occupant 400 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  72,6 % contre un taux de chĂ´mage de 6,6 %. Les 20,8 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 8 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 7,2 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 5,6 % pour les autres inactifs[51].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 53 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 8 dans la construction, 12 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 4 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 10 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 3 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 13 étaient relatifs aux autres activités de services[52].

    En 2020, 7 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 5 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[53].

    Agriculture

    L’agriculture représente l’activité principale avec une vingtaine d’exploitations de polyculture. Les céréales produites sont le blé, l’orge, le colza et sont collectées par la Coopérative TBG aux silos de Chaintreaux, les betteraves sucrières sont traitées à la sucrerie de Souppes[24].

    Chaintreaux est dans la petite région agricole dénommée la « Bocage gâtinais », à l'extrême sud du département[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[54].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂŞte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[55]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂą le nombre d’exploitations est passĂ© de 32 en 1988 Ă  17 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 83 ha en 1988 Ă  130 ha en 2010[54]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Chaintreaux, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Chaintreaux entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[54] - [Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 32 25 17
    Travail (UTA) 61 38 23
    Surface agricole utilisĂ©e (ha) 2 641 2 946 2 206
    Cultures[56]
    Terres labourables (ha) 2 640 2 945 2 206
    CĂ©rĂ©ales (ha) 1 838 1 969 1 446
    dont blé tendre (ha) 1160 1334 776
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 142 86 s
    Tournesol (ha) 277 16 25
    Colza et navette (ha) 140 361 516
    Élevage[54]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 203 427 448

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Lieux et monuments

    HĂ©raldique

    Blason de Chaintreaux Blason
    Parti: au 1er d'argent à la croix ancrée de gueules, au 2e à trois lions léopardés d'argent, couronnés d'or, l'un au-dessus de l'autre; le tout sommé d'un chef d'azur chargé d'un huchet d'or accosté de deux fleurs de lys du même.
    DĂ©tails

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Chaintreaux sur le site de la CC Gâtinais-val de Loing

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Chaintreaux - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. fr.distance.to, consulté le 11 octobre 2021
    2. « Chaintreaux » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. « Plan séisme consulté le 11 octobre 2021 ».
    4. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 29 juin 2018
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    6. « Orthodromie entre Chaintreaux et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Liste des espaces protégés sur la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    19. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    20. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    21. « Le SCOT Nemours Gâtinais - Historique de l'élaboration », sur smep-nemours-gatinais.fr (consulté le ).
    22. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    23. Statistiques officielles de l'Insee.
    24. « Chaintreaux sur le site de la CC Gâtinais-val de Loing » (consulté en ).
    25. Transdev, ligne 10
    26. Annales Gâtinais, XIII, 1895, p. 365.
    27. Richemond, Nemours, I, p. lxx.
    28. Histor. France, XXII, 607.
    29. Bibl. nat., ms. Latin 13892, n° 34.
    30. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 84.
    31. Archives nationales, S 5170.
    32. Archives nationales, S 5169.
    33. de Charmasse, Cart. évêché d'Autun, 1880, p. 340.
    34. Archives nationales, S 5171a.
    35. Archives chât. Paley ; Pap. Catel.
    36. Arr.-ban Nemours.
    37. Archives nationales, P 10, n° 147.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    40. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    41. « Commune de Chaintreaux - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    42. « Fonctionnement des services d'assainissement collectif de Seine-et-Marne - carte arrêtée en février 2020 », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    43. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
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