Bransles
Bransles (prononcĂ© en français : [bÊÉÌl] ) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Ăle-de-France.
Bransles | |||||
La mairie et le monument aux morts. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Ăle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Gùtinais-Val de Loing | ||||
Maire Mandat |
Laurent Castellan 2020-2026 |
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Code postal | 77620 | ||||
Code commune | 77050 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Bransledais | ||||
Population municipale |
528 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 09âČ 10âł nord, 2° 50âČ 07âł est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 120 m |
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Superficie | 13,85 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Nemours | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăle-de-France
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GĂ©ographie
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[1]. L'altitude varie de 77 mÚtres à 120 mÚtres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 110 mÚtres d'altitude (mairie)[2].
Hydrographie
Le réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,72 km[12].
Climat
ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,9 °C |
La commune bĂ©nĂ©ficie dâun « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte lâensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[13].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă 51 km Ă vol d'oiseau[14], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[15] Ă 11,6 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal de Bransles comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] - [17], le « Coteau du Betz au bois de Verdeau » (18,23 ha), couvrant 2 communes dont 1 dans le Loiret et 1 en Seine-et-Marne[18].
Urbanisme
Typologie
Bransles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [19] - [20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22] - [23].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 101 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[24] dont Pintois, Pont levé, Brandard, Rochemort, la chÚvre, la Vallée du charme, Moulin de Madame, les Grandes Bordes, les Petites Bordes, Mignonville, la Brosse, Barbigny.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (79,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (67,2% ), forĂȘts (18,7% ), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,3% ), zones urbanisĂ©es (1,9 %)[25].
ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Ăle-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Ăle-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă 81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[26] - [27] - [Carte 2]. L'Institut met Ă©galement Ă disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă se regrouper au sein dâun Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis dâamĂ©nagement de lâespace au sein dâun SCoT, un document dâorientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă une grande Ă©chelle et Ă un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours GĂątinais, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat mixte dâĂ©tudes et de programmation (SMEP) Nemours-GĂątinais[28].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[29]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le gĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 4].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 297 dont 95,6 % de maisons et 3,7 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 72,1 % étaient des résidences principales, 10,9 % des résidences secondaires et 17 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 82,5 % contre 17 % de locataires et 0,5 % logés gratuitement[30].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Branla vers 1110 et 1211[33] ; Branlia en 1143[34] ; G. de Branlis en 1185[35] ; Branlae en 1189[36] ; Branlia en 1212[34] ; Branslie vers 1350[34] ; Bransles en 1720[34].
Histoire
Ce village fut jadis une petite ville environnée de murailles et de fossés, à laquelle les rois de France donnÚrent plusieurs privilÚges, entre autres le droit d'avoir deux foires tous les ans, le 1er septembre et le 3 mai. Ces foires se tenaient chacune pendant deux jours. On vendait surtout une grande quantité de bestiaux. La ville ruinée vers la fin du XIIIe siÚcle dans les guerres avec les Anglais. L'on trouvait encore, au début du XIXe siÚcle, dans les champs environnants des ossements humains, des fers de chevaux et des débris d'armures qui annoncent l'importance des affaires qui eurent lieu sous la place.
Au commencement du XVIe siĂšcle la seigneurie de Bransles appartenait Ă Aimond d'Ăgreville, dernier du nom. En 1555, Anne de Pisseleu, duchesse d'Ătampes comparut Ă la rĂ©daction de la coutume de Sens pour sa chĂątellenie de Bransles.
L'Ă©glise paroissiale eut primitivement pour patron saint MĂ©en. Reconstruite Ă l'Ă©poque de la renaissance, elle fut dĂ©diĂ©e Ă saint Louis. Un prieurĂ© de bĂ©nĂ©dictins, sous l'invocation de saint Loup, Ă©tait annexĂ© Ă cette paroisse. Une charte d'Henri, archevĂȘque de Sens, de l'an 1123 donna l'Ă©glise et le prieurĂ© Ă l'abbaye de Saint-Pierre de FerriĂšres, en ordonnant que les dĂźmes et les oblats fussent partagĂ©s entre cette abbaye, les religieuses de Sainte-Rose et le curĂ© du lieu[37].
Le matin du 28 juin 1944, de retour d'une mission de destruction de moyens de communication, composée de 103 bombardiers, un avion Lancaster du Squadron 106 de la Royal Air Force fut abattu sur le territoire de Bransles. Les sept aviateurs gisent dans le cimetiÚre.
Politique et administration
Ăquipements et services
Eau et assainissement
Lâorganisation de la distribution de lâeau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© dâun report de ce transfert au [38] - [39].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Bransles ne dispose pas d'assainissement collectif[40] - [41].
Lâassainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[42]. Le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et lâentretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă la SAUR, dont le contrat arrive Ă Ă©chĂ©ance le 31 dĂ©cembre 2021[40] - [43].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [40] - [44] - [45].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants sont appelés les Bransledais[46].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[48].
En 2020, la commune comptait 528 habitants[Note 7], en diminution de 3,12 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Bransles dispose dâune Ă©cole Ă©lĂ©mentaire âGilbert Verrinâ, situĂ©e 8 rue du GuĂ©. Cet Ă©tablissement public, inscrit sous le code UAI (UnitĂ© administrative immatriculĂ©e ) : 0 772 129 W, comprend 59 Ă©lĂšves (chiffre du MinistĂšre de l'Ăducation nationale)[51]. Il ne dispose pas dâun restaurant scolaire.
La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Bransles est en zone C.
Ăconomie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 229, représentant 583 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 770 euros[52].
Emploi
En 2017 , le nombre total dâemplois dans la zone Ă©tait de 71, occupant 222 actifs rĂ©sidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à 63,3 % contre un taux de chÎmage de 9,4 %.
Les 27,3 % dâinactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 11,1 % dâĂ©tudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 8,4 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 7,7 % pour les autres inactifs[53].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 50 dont 6 dans l'agriculture-sylviculture-pĂȘche, 1 dans lâindustrie, 7 dans la construction, 32 dans le commerce-transports-services divers et 4 Ă©taient relatifs au secteur administratif[54].
Ces établissements ont pourvu 20 postes salariés.
Agriculture
Bransles est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e la « Bocage gĂątinais », Ă l'extrĂȘme sud du dĂ©partement[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de cĂ©rĂ©ales et d'olĂ©oprotĂ©agineux (COP)[55].
Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[56]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre dâexploitations est passĂ© de 14 en 1988 Ă 3 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 72 ha en 1988 Ă 79 ha en 2010[55]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Bransles, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension Ă©conomique[55] - [Note 9] | |||
Nombre dâexploitations (u) | 14 | 7 | 3 |
Travail (UTA) | 25 | 10 | 3 |
Surface agricole utilisée (ha) | 1 007 | 703 | 237 |
Cultures[57] | |||
Terres labourables (ha) | 974 | 701 | s |
Céréales (ha) | 688 | 459 | s |
dont blé tendre (ha) | 472 | 331 | s |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 95 | 30 | |
Tournesol (ha) | 88 | s | |
Colza et navette (ha) | 107 | 108 | s |
Ălevage[55] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 10]) | 240 | 16 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'Ă©glise Saint-Loup (dĂ©diĂ©e Ă l'Ă©vĂȘque de Sens) est une Ă©glise datĂ©e du XIIe siĂšcle ; elle a Ă©tĂ© remaniĂ©e au XVe siĂšcle.
L'Ă©glise actuelle fut construite au XVIe siĂšcle sur l'emplacement d'une Ă©glise plus ancienne (48° 09âČ 09âł N, 2° 50âČ 07âł E). En juin 1940 des bombardements l'endommagĂšrent sĂ©rieusement. Les vitraux et une partie du mobilier furent dĂ©truits. Elle est inscrite Ă l'Inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques en date du 26 mars 1926. Elle possĂšde une nef principale, flanquĂ©e au nord d'un bas-cĂŽtĂ© sur toute sa longueur qui se termine par une chapelle dĂ©diĂ©e Ă la MĂšre salvatrice tandis qu'au sud il n'est que partiel et contient une chapelle dĂ©diĂ©e Ă saint Loup.
Personnalités liées à la commune
- Marcel Reine, dont la famille est originaire de la commune.
- Anne de Pisseleu, favorite de François Ier, devient dame de Bransles en 1536 (sa famille garde le fief jusquâĂ la RĂ©volution)[58].
- Les Rousseau, fondeurs de cloches, sây installent et se transmettent leur secret de fabrication jusquâen 1759[58].
- Ăč Manus OâRourke, prĂȘtre irlandais en exil, Ă©crit des poĂšmes sur Bransles entre 1722 et 1750[58].
- Samuel Dupont de Nemours rĂ©dige le cahier de dolĂ©ances de Bransles en 1789, avant de sâexiler aux Ătats-Unis[58].
- Sept aviateurs anglais ont été abattus au-dessus de la commune le 28 juin 1944 et y sont enterrés[58].
- Jean Norton Cru, combattant 1914-1918, enseignant, écrivain, historien, né en 1879 à Labatie-d'Andaure (ArdÚche) est mort à Bransles en 1949.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe dâhabitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages nâest pas toujours Ă©gale Ă 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux dâespĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Bransles » sur Géoportail (consulté le 16 décembre 2019)..
- « Bransles - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
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- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- « Bransles » sur Géoportail. Carte IGN classique.
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- Nature en attente de mise Ă jour.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Betz (F4295551) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Betz (F4295401) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Betz (F4295601) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Betz (F4295101) » (consulté le ).
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