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Saint-Vincent-de-Cosse

Saint-Vincent-de-Cosse est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Vincent-de-Cosse
Saint-Vincent-de-Cosse
L'Ă©glise Saint-Vincent.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Sarlat-Périgord noir
Maire
Mandat
Antoine Devigne
2022-2026
Code postal 24220
Code commune 24510
DĂ©mographie
Gentilé Vinecossois
Population
municipale
369 hab. (2020 en augmentation de 4,53 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 51 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 50â€Č 28″ nord, 1° 07â€Č 08″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 265 m
Superficie 7,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sarlat-la-Canéda
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Vincent-de-Cosse
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Saint-Vincent-de-Cosse

    S'Ă©tendant sur une superficie de 7,19 km2, la commune reprĂ©sente la partie la plus naturellement prĂ©servĂ©e de la communautĂ© de communes Sarlat-PĂ©rigord noir, organisĂ©e autour du pĂŽle urbain de Sarlat-la-CanĂ©da. Le village est situĂ© au cƓur du PĂ©rigord noir, proche des sites de Lascaux et des Eyzies, ainsi qu'Ă  proximitĂ© de Beynac dont dĂ©pendait le village au Moyen Âge. Le village est Ă©galement situĂ© non loin de La Roque-Gageac, ainsi que des chĂąteaux des Milandes, de Castelnaud et de Fayrac, sur la rive opposĂ©e de la Dordogne.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Au sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Saint-Vincent-de-Cosse est bordée au sud par la Dordogne.

    Au nord de la route départementale 703, le bourg de Saint-Vincent-de-Cosse se situe, en distances orthodromiques, sept kilomÚtres au sud-est de Saint-Cyprien et dix kilomÚtres au sud-ouest de Sarlat-la-Canéda.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Vincent-de-Cosse et des communes avoisinantes en 2016 avant la création de la commune nouvelle de Castels et Bézenac.

    Saint-Vincent-de-Cosse est limitrophe de quatre autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 280 mĂštres de celui de Veyrines-de-Domme.

    Communes limitrophes de Saint-Vincent-de-Cosse
    Castels et BĂ©zenac Beynac-et-Cazenac
    Saint-Vincent-de-Cosse
    Allas-les-Mines Castelnaud-la-Chapelle

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Vincent-de-Cosse est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque, de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c2b, date du Turonien infĂ©rieur Ă  moyen, composĂ©e de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques Ă  rudistes passant latĂ©ralement Ă  des calcarĂ©nites. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles Ă  actuelles. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 808 - Sarlat-la-CanĂ©da » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Saint-Vincent-de-Cosse.

    Relief et paysages

    La plaine de Saint-Vincent-de-Cosse, au niveau du secteur du Port d'Envaux.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie entre 59 mĂštres[5] prĂšs du lieu-dit Coustaty, lĂ  oĂč la Dordogne quitte le territoire communal en limites d'Allas-les-Mines et de BĂ©zenac, et 265 mĂštres[5] au nord-ouest, en limite de BĂ©zenac, prĂšs de Malegat[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    Le sol de la commune est fertile, pierreux, calcaire et argilo-calcaire. Il comporte deux zones principales : au nord, des coteaux calcaires datant du Jurassique, et au sud la plaine alluviale de la Dordogne avec des sables, argiles ou graviers holocĂšnes[10].

    La tradition paysanne et agricole occupe une place importante dans cette plaine de riches cultures et d'alluvions : blé, vigne, prairies naturelles, genévriers, friches, champs de maïs, de blé, de seigle et de froment, champignons dont des truffes, pommiers, cerisiers, pruniers, noyers, etc. et une multitude d'animaux : bovins, ovins, porcs, ùnes, chevaux.

    La plupart des terres sont surĂ©levĂ©es, Ă  l'abri des crues. Dans la partie haute du bourg se trouvent des bois touffus de chĂȘnaies et de chĂątaigneraies, des cyprĂšs isolĂ©s et des amandiers.

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 7,19 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 7,3 km2[3].

    Voies de communication et transports

    Longeant la Dordogne, la plus importante voie de communication est la route départementale 703, qui relie Bretenoux, dans le Lot et Port-de-Couze, à Lalinde.

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dordogne, le Béringot, le ruisseau du Brudou et un petit cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16] - [17]. Elle borde la commune au sud sur cinq kilomĂštres, face Ă  Beynac-et-Cazenac, Castelnaud-la-Chapelle et Allas-les-Mines.

    Deux affluents de rive droite de la Dordogne arrosent le territoire communal Ă  l'est : le BĂ©ringot sur plus d'un kilomĂštre et demi et le ruisseau du Brudou sur environ 700 mĂštres dont 300 en limite de Beynac-et-Cazenac.

    Au centre du bourg siÚge la source d'Ayguevive et sa fontaine, autrefois nommée « la Doux ».

    • La Dordogne au niveau de Port d'Envaux ; la rive en face est situĂ©e sur la commune de Castelnaud-la-Chapelle.
      La Dordogne au niveau de Port d'Envaux ; la rive en face est située sur la commune de Castelnaud-la-Chapelle.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Vincent-de-Cosse.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 940 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-CanĂ©da, mise en service en 1995[26] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 854,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  24 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[32].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Vincent-de-Cosse[33] - [34]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[35].

    La zone Coteaux calcaires de la vallĂ©e de la Dordogne, qui s'Ă©tend au total sur 3 686 hectares et est partagĂ©e avec vingt-quatre autres communes, fait Ă©galement partie du rĂ©seau Natura 2000[36] - [37]. Deux espĂšces de chauves-souris inscrites Ă  l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union europĂ©enne y ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es[36] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur un peu plus de deux kilomÚtres carrés et correspond aux coteaux situés au nord de la route départementale 703, en trois sites séparés.

    ZNIEFF

    Saint-Vincent-de-Cosse fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[38] - [39], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[40].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Vincent-de-Cosse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [41] - [42] - [43].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-CanĂ©da, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[44] - [45].

    Saint-Vincent-de-Cosse s'est dotée d'une carte communale en 2006. Un projet de plan local d'urbanisme est à l'étude depuis .

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (62,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (32,5 %), terres arables (30,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19 %), cultures permanentes (9,1 %), eaux continentales[Note 10] (4,8 %), zones urbanisĂ©es (3,6 %)[46].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Morphologie urbaine

    Outre le bourg de Saint-Vincent-de-Cosse proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[47] :

    • Beyssac
    • Birat
    • la Blanquie
    • Bord
    • la BoulmĂšne
    • le Brudou
    • le Buy
    • la Cayre
    • la Chapelle
    • Coustaty
    • la Gare
    • Garnazet
    • Gaussen
    • les GraviĂšres
    • Larrit
    • Lasfargues
    • Malegat
    • MoliĂšres
    • Monrecours
    • les Nauves
    • Panassou
    • le Pech
    • Port d'Envaux
    • Ravaillac
    • Roche
    • Roudet
    • le Sorbier
    • le Tiradou
    • la Vieille Église.

    La commune est la moins urbanisée de la communauté de communes Sarlat-Périgord noir ; en 2012, sa densité d'occupation, 50 habitants par kilomÚtre carré, est faible.

    Placé sous le patronage de saint Vincent, patron de la vigne, l'enjeu du village est en 2015 de multiplier les hectares de ceps de vignes qui déclinent depuis le XIXe siÚcle (de 110 ha en 1832 à 27 ha en 1964).

    Logement

    En 2015, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 260, soit cinq de plus qu'en 1999[I 1].

    Parmi ces logements, 64,2 % étaient des résidences principales, 28,0 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,2 % des appartements[I 2].

    La proportion des résidences principales propriétés de leurs occupants était de 80,5 %, en hausse par rapport à 2010 (77,4 %)[I 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Vincent-de-Cosse est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[48]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[49].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1997 et 1999[50] - [48]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne amont » approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[51] - [52].

    Saint-Vincent-de-Cosse est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[53]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[54] - [55].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Vincent-de-Cosse.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[56]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[57]. 36,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [58].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 12] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[60].

    Toponymie

    Le nom de la commune fait rĂ©fĂ©rence Ă  saint Vincent, diacre espagnol martyrisĂ© en l'an 304[61], saint patron des vignerons. La seconde partie du nom « Cosse » dĂ©rive de l'occitan cĂČs latinisĂ© en cossa et signifiant « hauteur »[61], le lieu Ă©tant situĂ© au pied du coteau en rive droite de la Dordogne.

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Montagne-Regénérée[5].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Vincenç de CĂČssa[62].

    Histoire

    Le territoire communal a été occupé à l'époque gallo-romaine, comme le montrent les fouilles effectuées au lieu-dit Coustaty[61]. La premiÚre mention écrite connue du lieu, datant de l'an 1365 sous la forme latine Sanctus Vincentius de Cossa, se réfÚre à l'église édifiée à l'époque romane[61]. Plus récent, le chùteau de Panassou, en limite de Bézenac, date de la Renaissance[61].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de Saint-Vincent-de-Cosse est rattachée au canton de Saint-Cyprien qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (qui devient en 1965 l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda)[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[63]. La commune est alors rattachée au canton de Sarlat-la-Canéda.

    Intercommunalité

    Depuis 1997, la commune a adhéré à la communauté de communes du Périgord noir. Au , cette derniÚre fusionne avec la communauté de communes du Sarladais. La nouvelle intercommunalité prend le nom de communauté de communes Sarlat-Périgord noir.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[64] - [65].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1959 Christian GĂ©rard Marquay
    mars 2001[66] mai 2022[67] Jean-Marie Chaumel[Note 13] UMP[68] Commercial
    mai 2022 septembre 2022 Antoine Devigne Premier adjoint faisant fonctions de maire
    septembre 2022[69] En cours Antoine Devigne Directeur d'exploitation

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Vincent-de-Cosse relĂšve[70] :

    DĂ©mographie

    Les habitants de Saint-Vincent-de-Cosse se nomment les Vinecossois[71].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[73].

    En 2020, la commune comptait 369 habitants[Note 14], en augmentation de 4,53 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    491414445517526603604610541
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    583581588586572597611585541
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    513503488438428417432404391
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    360319278314302351371357363
    2020 - - - - - - - -
    369--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[74].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 23 311 €, ce qui plaçait Saint-Vincent-de-Cosse au 27 446e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 mĂ©nages en mĂ©tropole[75].

    Emploi

    En 2015[76], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 152 personnes, soit 42,5 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (21) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (17) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  13,6 %.

    Établissements et entreprises

    Au , la commune compte cinquante Ă©tablissements[77], dont trente-huit au niveau des commerces, transports ou services, quatre relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, deux dans la construction, et deux dans l'industrie[78].

    En 2017, trois entreprises ont été créées à Saint-Vincent-de-Cosse[I 4].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et objets historiques

    La commune compte deux édifices répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[79] - et aucun objet n'y figure[80] :

    • l'Ă©glise Saint-Vincent-le-Salvadou (Ă©galement appelĂ©e « la Vieille Église »), datĂ©e du XIIe siĂšcle, est inscrite en totalitĂ© depuis le 12 dĂ©cembre 2013[81] ;
    • le chĂąteau de Panassou de style Renaissance[82], construit aux XVe et XVIe siĂšcles, est inscrit depuis le 6 dĂ©cembre 1948[83] ; il est principalement accessible depuis le bourg de BĂ©zenac.

    Autres lieux et monuments

    Une église plus récente, également dédiée à saint Vincent, a été édifiée dans le bourg au XIXe siÚcle[84].

    Entre le bourg et la RD 703, le chùteau de Monrecour (ou de Monrecours) est une vaste demeure de style néo-Renaissance[85], transformée en hÎtel[86].

    La chartreuse d'Aiguevive (ou de Lagilardie)[87] - [88] a été bùtie à cÎté du chùteau d'Aiguevive, construit à l'époque médiévale[89].

    Parmi les autres édifices de la commune figurent notablement le pigeonnier de Garnazet, la cabane en pierre sÚche du Brudou, l'ancienne école (aujourd'hui fermée) bùtie en 1864 et la mairie construite en 1880.

    Par ailleurs, les proches chĂąteaux de Beynac et des Milandes sont visibles depuis le territoire communal.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Panorama Ă  partir du centre du village vers le chĂąteau d'Ayguevive, en contrebas de la colline.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, l'Antinol et l'Embalay, affluents de rive gauche de la Dordogne, n'arrosent pas la commune de Saint-Vincent-de-Cosse située entiÚrement en rive droite.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[59].
    13. DĂ©missionnaire.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Insee

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    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
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    Autres sources

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