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Musée national des Beaux-Arts d'Alger

musée en Algérie

Le musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger, est l’un des plus grands musĂ©es d’art d'Afrique. Ouvert au public depuis le , il est situĂ© dans le quartier du Hamma, du cĂŽtĂ© du jardin d'essai du Hamma.

Musée national des Beaux-Arts d'Alger
Image dans Infobox.
Le musée des Beaux-Arts à Alger vu depuis le jardin d'essai du Hamma.
Informations générales
Ouverture
Surface
4 200 m2
Site web
Collections
Collections
Nombre d'objets
8 000 en exposition
dont 1 500 au cabinet des estampes et 800 sculptures
Localisation
Pays
Commune
Adresse
178, Place Dar Essalem Hamma – Belouizdad - Alger
Coordonnées

Le musĂ©e avec ses 8 000 Ɠuvres regroupe des Ɠuvres peintes, des dessins, gravures et estampes anciennes, des sculptures, du mobilier ancien et d’art dĂ©coratif, de la cĂ©ramique, de la verrerie, ainsi qu'une collection de numismatique. Parmi les Ɠuvres exposĂ©es, figurent des peintures de maĂźtres hollandais et français comme Brugghen, Van Uyttenbroeck, Van Goyen, Monet, Matisse, Delacroix, HonorĂ© Daumier, Renoir, Gauguin et Pissarro. Mais aussi les artistes algĂ©riens emblĂ©matiques, comme Baya, YellĂšs et Racim. Le musĂ©e abrite des sculptures de Rodin, de Bourdelle et de Belmondo.

Histoire du musée

Les débuts

Le musĂ©e des Beaux-Arts d'Alger est nĂ© de la volontĂ© des politiques Ă  la fin du XIXe siĂšcle, Ă  l'Ă©poque de l'AlgĂ©rie française. À l'origine c'est dans les locaux dĂ©labrĂ©s de la SociĂ©tĂ© des beaux-arts fondĂ©e par Hippolyte Lazerges en 1875 que la municipalitĂ© d'Alger conservait ses Ɠuvres d'art. Ce n'est qu'en 1897 qu'elle se dote d'un vrai musĂ©e, consacrĂ© aux collections antiques et musulmanes, mĂȘme si celui-ci est amĂ©nagĂ© dans les bĂątiments d'une Ă©cole normale. En 1908, un ancien casernement de l'armĂ©e situĂ© Ă  l'emplacement actuel de l'HĂŽtel Safir est consacrĂ© Ă  l'art. Il a Ă©tĂ© inaugurĂ© le et cette crĂ©ation Ă©tait rĂ©clamĂ©e depuis longtemps car la salle des Beaux-Arts qui servait de musĂ©e Ă©tait trĂšs mal disposĂ©e et ne pouvait suffire Ă  contenir les Ɠuvres acquises par la municipalitĂ©[1]. Ce nouveau musĂ©e municipal est dirigĂ© jusqu'en 1910 par Charles de Galland, mais il est vĂ©tuste et peu fonctionnel. La qualitĂ© du musĂ©e n’était pas suffisante, si bien que les voyageurs et l’AlgĂ©rois dĂ©daignent et ignorent le musĂ©e dit « municipal » qui se trouve dans un local dĂ©favorable, vĂ©tuste, peu accessible, encore plus mal entourĂ© que mal Ă©clairĂ©[2]. Ainsi, le musĂ©e municipal d’Alger ferme ses portes aprĂšs vingt ans de fonctionnement entre 1908 et 1928. Un musĂ©e national des Beaux-Arts reprend son fonds en l’enrichissant de nouvelles acquisitions.

La naissance du musée des Beaux-Arts

La villa Abd-el-Tif, lieu de résidence des artistes.

Avec l'ouverture de la « villa Abd-el-Tif », un vĂ©ritable besoin dans ce domaine se fait sentir et le projet est confiĂ© Ă  un architecte peu connu, Paul Guion. Le site est choisi, au Hamma, en face du Jardin d'essai et non loin de la villa Abd-el-Tif, sur la colline aux sangliers. Paul Guion opte pour un monumentalisme symĂ©trique et rectiligne dont les Ă©lĂ©ments architectoniques puisĂ©s dans l'art mĂ©diterranĂ©en vont trouver Ă©cho dans l'admirable mobilier conçu et dessinĂ© par Louis Fernez, professeur Ă  l'École nationale des beaux-arts d'Alger et dont certaines piĂšces sont commandĂ©es Ă  l'ensemblier Francis Jourdain. CommencĂ©s en 1928, les travaux Ă©taient rapidement achevĂ©s, grĂące Ă  des crĂ©dits libĂ©ralement consentis. Quant Ă  l'architecture du musĂ©e, elle a Ă©tĂ© bien admirĂ©e par son emplacement idĂ©al et son style associant « les donnĂ©es passĂ©es et actuelles ». Ce style architectural propre symbolise la construction de l’image d’un pays jeune et moderne, mais aussi soucieux de ses traditions. L’immense taille du nouveau musĂ©e est digne notre considĂ©ration : trente-cinq salles de peintures, une galerie de sculptures, une galerie de moulages, une bibliothĂšque et un cabinet d’estampes. Le bĂątiment est divisĂ© en trois Ă©tages : au rez-de-chaussĂ©e se trouve la salle des moulages, au premier la salle de sculpture moderne et Ă  l’étage supĂ©rieur, les galeries de peinture. Le musĂ©e des Beaux-Arts d'Alger, inaugurĂ© le , ne sera ouvert au public qu'en . C'Ă©tait le centenaire de l'AlgĂ©rie qui promut ce projet du musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger. FĂȘtant ses colonies, cĂ©lĂ©brant ses victoires de la Grande Guerre, la France de la IIIe RĂ©publique ne peut ignorer le premier centenaire de sa prĂ©sence en AlgĂ©rie. PrĂ©parĂ©e dĂšs 1923 sous l’égide du gouverneur, le gĂ©nĂ©ral Steeg, une magnifique prĂ©lude Ă  l’Exposition de Vincennes est mise au point par une loi de 1928 qui crĂ©e un Conseil supĂ©rieur et un Commissariat gĂ©nĂ©ral du Centenaire. Il s’agissait de montrer ce que la France avait rĂ©alisĂ© en AlgĂ©rie depuis son installation, les rĂ©sultats obtenus, les progrĂšs accomplis. Un budget primitivement Ă©tabli Ă  134 millions est ramenĂ© Ă  82 millions et en mĂ©tropole, toutes les bonnes volontĂ©s s’attellent Ă  rĂ©pandre la bonne parole de l’AlgĂ©rie française[3]. Parmi ces activitĂ©s festives, les projets musĂ©aux Ă©taient promus le plus considĂ©rablement ; Ă  cĂŽtĂ© des grands monuments commĂ©moratifs sont Ă©galement inaugurĂ©s le musĂ©e des Beaux-Arts, le musĂ©e du Bardo, le MusĂ©e forestier et le musĂ©e Franchet d’EspĂ©rey Ă  Alger (musĂ©e historique de l’ArmĂ©e et FĂȘtes militaires, installĂ© dans les locaux militaires de la Casbah, non loin des premiers remparts d’Alger)[4]. À la diffĂ©rence des autres musĂ©es inaugurĂ©s rĂ©cemment, les structures et le statut du musĂ©e des Beaux-Arts sont rĂ©visĂ©s avec de nouvelles missions.

Acquisitions et donations

Depuis que ce musĂ©e est devenu national, il s’est considĂ©rablement enrichi. Les crĂ©dits qui lui ont Ă©tĂ© octroyĂ©s Ă  la faveur de la cĂ©lĂ©bration du Centenaire de l’AlgĂ©rie, ont permis de nombreux et important achats. En envoyant les anciennes collections du MusĂ©e municipal Ă  Constantine pour l'inauguration de son musĂ©e des Beaux-Arts, les collections pour le nouveau musĂ©e national d'Alger ont commencĂ© Ă  ĂȘtre constituĂ©es dĂšs 1927; c'est l'historien de l'art Jean Alazard, alors doyen de la facultĂ© de Lettres d'Alger qui fut chargĂ© de cette mission. Sur la proposition d'Alazard, une commission spĂ©ciale prĂ©sidĂ©e par Paul LĂ©on et dont les principaux membres Ă©taient MouillĂ©, sous-directeur des Beaux-Arts, Jean Guiffrey et Paul Jamot, conservateurs du Louvre, Raymond KƓchlin, prĂ©sident du Conseil des musĂ©es nationaux, Charles Masson et Robert Rey, conservateurs du Luxembourg a dĂ©cidĂ© l'achat dĂ©finitif. Fait unique dans l'histoire du musĂ©e, les crĂ©dits allouĂ©s pour l'Exposition du Centenaire vont permettre l'entrĂ©e de 498 Ɠuvres en deux annĂ©es: acquisitions Ă©clectiques qui font une large place Ă  la sculpture contemporaine et aux grands noms de l'histoire de l'art.

TrĂšs vite, le musĂ©e des Beaux-Arts connaĂźt un grand rayonnement, accru par des dons et des achats sagaces. On peut voir de quels soins et de quelles compĂ©tences tous ces achats furent entourĂ©s. Ils consistent en chefs-d’Ɠuvre des grands orientalistes comme Alexandre-Gabriel Decamps, EugĂšne Delacroix, EugĂšne Fromentin, ThĂ©odore ChassĂ©riau et des plus cĂ©lĂšbres reprĂ©sentants de l’art moderne : Gustave Courbet, ThĂ©odore Rousseau, Camille Pissarro, Edgar Degas, EugĂšne Boudin, Auguste Renoir, Alfred Sisley, Armand Guillaumin et des artistes encore plus contemporains tels qu'Albert Marquet, Suzanne Valadon, Maurice Denis ou encore Henri Matisse. Les catalogues du musĂ©e du dĂ©but dĂ©montrent l'apogĂ©e de l'art français de l'Ă©poque et ils reflĂštent l’objectif de cette institution de diffuser de l’art et de la culture français. Le fait qu'il y existait la section historique constituĂ©e de beaux dĂ©pĂŽts du musĂ©e de Versailles fait la preuve du caractĂšre didactique et patriotique du musĂ©e.

Pour cet amĂ©nagement de la collection, on ne peut pas nĂ©gliger les rĂŽles des collectionneurs locaux. Avec les acquisitions nouvelles par l’achat, le musĂ©e a aussi reçu de nombreux dons. On relĂšve parmi les donateurs d’anciens mĂ©cĂšnes comme Marius de Buzon ou Jean DĂ©sirĂ© Bascoules, de grands colons comme Lucien Borgeaud, des chevaliers d’industrie comme le peintre Louis Billiard ou un amateur comme Laurent Schiaffino[5]. Parmi eux, le cĂ©lĂšbre FrĂ©dĂ©ric Lung dut sa renommĂ©e non seulement Ă  l’intĂ©rĂȘt qu’il porta trĂšs tĂŽt aux peintres de la villa Abd el-Tif mais aussi Ă  la riche collection d’Ɠuvres modernes et impressionnistes qu’il constitua. Sa veuve lĂ©guera quelques piĂšces au musĂ©e des Beaux-Arts d’Alger, notamment le plĂątre d’atelier de Charles Despiau, L’Homme prĂȘt Ă  l’action. Tous les anciens pensionnaires de la villa Abd-el-Tif Ă©taient largement reprĂ©sentĂ©s soit groupĂ©s dans des salles spĂ©ciales, soit rĂ©partis dans les galeries. Ces reprĂ©sentations permirent aux visiteurs de suivre ainsi l’évolution des principaux artistes originaires d’Alger ou installĂ©s depuis longtemps Ă  cette ville[6]. De 1930 Ă  1960, trois grandes pĂ©riodes d'acquisition vont doter le musĂ©e d'un fond inestimable. Quelques « locaux » feront Ă©galement leur entrĂ©e au musĂ©e Ă  cette pĂ©riode-là : Azouaou Mammeri, Mohammed Racim, Mohamed Temmam, Bachir YellĂšs (1949), Abdelhalim Hemche.

Dans cette Alger europĂ©anisĂ©e, le musĂ©e des Beaux-Arts fonctionnait comme une institution oĂč les personnes cultivĂ©es ne se sentaient point dĂ©paysĂ©es, mais son ambiance soumise aux particularismes locaux, permettait aussi de se dĂ©tacher de la mĂ©tropole. Le musĂ©e Ă©tait beaucoup plus admirĂ© de l’élite qu’il n’était frĂ©quentĂ© par la foule[7]. Contrairement aux grands musĂ©es de la mĂ©tropole qui servaient aussi de champ pĂ©dagogique pour les Ă©lĂšves des Beaux-Arts, les Ă©lĂšves de l’École des beaux-arts d'Alger se rendaient moins souvent dans les salles de peinture et de sculpture du musĂ©e. Cette carence Ă©tait sans doute due Ă  l’éloignement du musĂ©e du centre de la ville[8], mais elle explique Ă©galement que ce musĂ©e n'avait peut-ĂȘtre pas les mĂȘmes objectifs que ceux des musĂ©es de la mĂ©tropole.

Le musée des beaux arts à l'indépendance de l'Algérie

Le musĂ©e ayant Ă©tĂ© plastiquĂ© par l'OAS Ă  la veille de l'indĂ©pendance, quelque trois cents de ses Ɠuvres sont transfĂ©rĂ©es en Ă  Paris et dĂ©posĂ©es au musĂ©e du Louvre. Jean de Maisonseul, nommĂ© en conservateur du musĂ©e (qui devient musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger) au titre de la coopĂ©ration, Ă  la demande du ministĂšre algĂ©rien de l'Éducation nationale, en assure la rĂ©ouverture en et mĂšne de longues nĂ©gociations qui aboutissent en Ă  la restitution des 157 peintures et 136 dessins - « bien que dĂšs le dĂ©but AndrĂ© Malraux, alors ministre de la Culture, ait reconnu que ces Ɠuvres appartenaient Ă  l'AlgĂ©rie », prĂ©cisera-t-il. Maisonseul, conservateur jusqu'en 1970, entreprend simultanĂ©ment par sa politique d'acquisition de remĂ©dier Ă  la pauvretĂ© du fonds d'art algĂ©rien, introduisant notamment au musĂ©e des Ɠuvres de Baya, Benanteur, Guermaz, Khadda, Martinez et Bettina Heinen-Ayech[9]. Un important ensemble d'Ɠuvres d'art contemporain offertes par les États lors de l'accession de l'AlgĂ©rie Ă  l'indĂ©pendance va s'y ajouter.

Collections de peintures

Art européen

XIVe, XVe et XVIe siĂšcles sont reprĂ©sentĂ©s par des Ɠuvres oĂč se manifestent deux grands courants: l'Ă©cole italienne et l'Ă©cole du nord, hollandaise et flamande. Les XVIIe et XVIIIe siĂšcles sont reprĂ©sentĂ©s par les Ă©coles française, italienne et hollandaise. Les XIXe et XXe siĂšcles sont exclusivement français. Voici quelques Ɠuvres parmi les plus reprĂ©sentatives.

Art allemand

Liste non exhaustive

Art suisse

Liste non exhaustive

Art espagnol

Liste non exhaustive

Art néerlandais

Liste non exhaustive

Art flamand

Liste non exhaustive

Art italien

Liste non exhaustive

Art français

Liste non exhaustive

  • XVe siĂšcle :
    • Triptyque de l'École d'Amiens, Le Christ chez Marie-Madeleine.
  • XVIe siĂšcle :
  • École d'Alger :
    • Alfred Chataud (1833-1908), Mauresque Ă  la cruche
    • Armand Assus (1892-1977), Rue du ChĂȘne, Le Couloir bleu, Le Port de Rotterdam, Le NarguilĂ©, IntĂ©rieur, crayon : portrait du peintre HacĂšne Benaboura
    • Étienne Dinet (1861-1929) Petites filles jouant et dansant, DĂ©part Ă  la Mecque, Vieilles Femmes , Raoucha, L’embuscade, L’aveugle
    • Émile Claro (1897-1977), Rue de la Casbah d'Alger - et la plus importante collection au monde (quasi intĂ©grale) des primĂ©s de la Villa Abd-el-Tif
    • Jean-AimĂ©-Roger Durand, (1914-2001), Les Hangars, Paysage de Guyotville, Paysage La Bridja, Paysage de Delly-Ibrahim, Quartier perdu
    • Joseph SintĂšs (1829-1913) (nombreux dessins gouaches et aquarelles), Le Port d'Alger
    • Louis BĂ©nisti (1903-1995), La FĂȘte orientale, Le Port d'Alger, Paysage du Sahel, Buste de RenĂ©-Jean Clot
    • Maurice Bouviolle (1893-1971) Femmes juives de GhardaĂŻa, Mauresques d'Alger
    • Oscar Spielmann (1902-1975), Mauresque riant

Autres artistes

Liste non exhaustive


Art contemporain

Liste non exhaustive

Orage d'été en Algérie, 1974, par Bettina Heinen-Ayech.

Art algérien

Liste non exhaustive

Collection de sculptures

Quelques-unes des 800 sculptures conservées au musée.

Liste non exhaustive

Cabinet d'estampes

Les richesses du cabinet d'estampes avoisinent les 1500 Ɠuvres. Sont conservĂ©s des dessins, gravures, sanguines, aquarelles, esquisses, lithographies, enluminures, miniatures et calligraphies.

Dessins

Liste non exhaustive

Gravures

Liste non exhaustive

Sanguines

Liste non exhaustive

Aquarelles et Esquisses

Liste non exhaustive

Lithographies

Liste non exhaustive

Enluminures et miniatures

Liste non exhaustive

Calligraphies

Liste non exhaustive

Autres collections

  • CĂ©ramique
  • Arts dĂ©coratifs
  • Mobilier

Conservateurs du musée

Notes et références

  1. Afrique du Nord illustrĂ©e, 1908, 9 mai, p. 5: « Le MusĂ©e municipal d’Alger ».
  2. Afrique du Nord illustrĂ©e, 1926, 12 juin, p. 8, Jean Alazard: « L’art et les artistes ».
  3. HODEIR Catherine et Jean-Michel Pierre, L’Exposition coloniale : 1931, Bruxelles, Complexe, 1991, p. 29.
  4. Ibid., p. 33.
  5. Eveline Caduc, « Une capitale culturelle » in Planche Jean-Louis et Jordi Jean-Jacques (éd.), Alger 1860-1939: le modÚle ambigu du triomphe colonial, Paris, édition Autrement, 1999, p. 82.
  6. L’Écho d’Alger, 1930, 26 mai, p. 2 : « Au musĂ©e national des Beaux-Arts ».
  7. Afrique du Nord illustrée, 1935, 20 avril, p. 3-5, Robert Randau : « Les récents enrichissements du musée national des Beaux-Arts ».
  8. Afrique du Nord illustrée, 1935, 20 avril, p. 3-5, Robert Randau: « Les récents enrichissements du musée national des Beaux-Arts ».
  9. Ali Elhadj-Tahar/Hans Karl Pesch: Bettina Heinen-Ayech. U-Form Verlag,Solingen 1982
  10. http://www.aps.dz/culture/90940-musee-des-beaux-arts-une-viree-a-travers-600-ans-d-art-universel
  11. Petite huile offerte par Rochegrosse, dans Marion Vidal-Bué L'Algérianiste, juin 2009, n°126
  12. http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/103886
  13. Documentation et archives du musée Rodin, 2001
  14. https://www.aps.dz/culture/121089-musee-des-beaux-arts-restauration-de-moulages-du-debut-xxe-siecle

Annexes

Bibliographie

  • Jean Alazard, « Le musĂ©e des Beaux-Arts d'Alger », Bulletin des musĂ©es de France, no 2e annĂ©e N° 9,‎
  • Jean Alazard, Catalogue des peintures et sculptures exposĂ©es dans les galeries du musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger, Paris, Librairie Henri Laurens,
  • Max-Pol Fouchet et Jean Alazard, Catalogue des dessins, gravures, moulages etc. et supplĂ©ment au catalogue des peintures et sculptures du musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger, Librairie Henri Laurens, Paris, 1939
  • Jean de Maisonseul, Guide du musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger (sans mention du nom de l'auteur), Alger, ministĂšre de l'Éducation nationale, 1970, p. 19 Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • MusĂ©es d'AlgĂ©rie, l'art populaire et contemporain, Collection Art et Culture, ministĂšre de l'Information et la Culture, SNED, Alger, 1973
  • Dalila Mahammed Orfali, Chefs-d'Ɠuvre du musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger, musĂ©e national des Beaux-Arts d'Alger, Alger,
  • Iconographie de la ville d'Alger, ministĂšre de la Communication & musĂ©e national des Beaux-Arts, Alger, 2001
  • Marion Vidal-BuĂ©, L'AlgĂ©rie des peintres, 1830–1960, Éditions Paris-MĂ©diterranĂ©e, Paris, et Edif 2000, Alger, 2002
  • Lila Fatima Khouchane, MusĂ©e National des Beaux-arts, un joyau architectural et musĂ©al, Colorset, 2015

Articles connexes

Liens externes