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Camille Pissarro

Jacob Abraham Camille Pissarro, dit Camille Pissarro, né le à Charlotte-Amélie, sur l'île de Saint-Thomas, dans les Antilles danoises aujourd'hui Îles Vierges des États-Unis , et mort le à Paris, est un peintre impressionniste puis néo-impressionniste franco-danois.

Camille Pissarro
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Jacob Abraham Camille Pissarro
Nationalité
Activité
Formation
Maîtres
Élève
Lieux de travail
Mouvement
Influencé par
Famille
Pissarro (d)
Père
Frédéric-Abraham-Gabriel Pissarro (d)
Mère
Rachel Pissarro (d)
Fratrie
Alfred Pissarro (d)
Conjoint
Julie Vellay (d) (à partir de )
Enfants
Parentèle
Claude Bonin-Pissarro (petit-fils)
signature de Camille Pissarro
Signature
Vue de la sépulture.

Connu comme l'un des « pères de l'impressionnisme », il peint la vie rurale française, en particulier des paysages et des scènes représentant des paysans travaillant dans les champs, mais il est célèbre aussi pour ses scènes de Montmartre, et ses scènes autour du Louvre et des Tuileries, où il descend. À Paris, il a entre autres pour élèves Paul Cézanne, Paul Gauguin, Jean Peské et Henri-Martin Lamotte.

Pissarro est aussi un théoricien de l'anarchie, fréquentant assidûment les peintres de la Nouvelle-Athènes qui appartiennent au mouvement libertaire. Il partage cette position avec Paul Gauguin, avec lequel il aura par la suite des relations tendues[1].

Pissarro est un grand peintre, dont certaines toiles, injustement jugées comme mièvres, n'ont pas la place qu'elles méritent, sans doute en raison de leur sujet, moins spectaculaire que ceux choisis par d'autres impressionnistes[2] (La Meule, Pontoise, La Route d'Ennery). En 1896, le peintre déclare : « Nous ne demandons pas mieux que d'être classiques, mais en le trouvant par notre propre sensation, oh ! que c'est différent[3] ! »

Il est père du peintre Lucien Pissarro.

Sa vie, son œuvre

Camille Pissarro et sa femme Julie Vellay à Pontoise en 1877[4].
Pierre-Auguste Renoir, Le Cabaret de la Mère Antony (1866), Stockholm, Nationalmuseum. Alfred Sisley et Jules Le Cœur sont en arrière-plan, Camille Pissarro de dos, devant un numéro de L'Événement[5] - [6].

Camille Pissarro naît le sur l'île Saint-Thomas aux Antilles, alors possession danoise, où ses parents possédaient une entreprise florissante de quincaillerie dans le port de Charlotte-Amélie, ce qui lui confère la nationalité danoise, qu'il gardera toute sa vie[7].

Son père Frédéric-Abraham-Gabriel Pissarro ( - Paris, ), juif d'origine portugaise né à Bordeaux, fils de Joseph Gabriel Pissarro (Bordeaux, - Gironde, ), et de sa femme Anna Félicité Petit, est de nationalité française[Note 1].

Sa mère est une créole des Antilles danoises du nom de Rachel Thétis Manzano-Pomie, également juive[8]. Le mariage de ses parents a été refusé par la Synagogue, car ils étaient neveu et tante par alliance. Le mariage a été accepté sept ans plus tard, en 1833[9].

En 1842, à douze ans, Camille part étudier en France à Passy, à la pension Savary dont le directeur l'encourage à cultiver ses dons pour le dessin[10], puis retourne en 1847 dans son île natale où son père l'initie au négoce[11] et où il reste cinq ans à travailler dans le commerce familial. En 1852, désireux de « rompre le câble qui l'attache à la vie bourgeoise »[12], il part pour Caracas, au Venezuela, avec un ami, Fritz Melbye, artiste danois qui marque profondément son destin. Il y demeure jusqu'en 1854 à peindre et dessiner, puis rentre à Saint-Thomas pendant un an dans l'entreprise familiale.

C'est en 1855 que Camille Pissarro renonce définitivement au commerce. En , année de l'Exposition universelle, il arrive à Paris pour y étudier et s'installe dans sa famille, chaussée de la Muette, à Passy[11]. Il ne retournera jamais aux Amériques.

À Paris, il rencontre Camille Corot, avec qui il étudie, découvre Eugène Delacroix, Gustave Courbet, Dominique Ingres et Charles-François Daubigny. Il fréquente quelques ateliers de l'École des beaux-arts de Paris, où l'enseignement reste académique et « ingriste », mais il est surtout attiré par Jean-François Millet pour ses thèmes de la vie rurale, par Gustave Courbet pour son renoncement au pathos et au pittoresque, et par la liberté et la poésie des toiles de Corot[13]. Il travaille alors dans l'atelier d'Anton Melbye et peint sur le motif à Montmorency.

Entre 1859 et 1861, il fréquente diverses académies, dont celle du père Suisse, où il rencontre Claude Monet, Ludovic Piette, Armand Guillaumin et Paul Cézanne[14], qu'il encourage.

En 1860 Julie Vellay, fille de viticulteurs de Bourgogne, entre comme domestique chez les Pissarro. Elle deviendra la compagne de Camille[14] mais il ne l'épousera que plusieurs années plus tard, à Londres[15]. Le père de Camille, scandalisé par cette mésalliance, lui coupe les vivres.

En 1863, Cézanne et Émile Zola visitent son atelier à La Varenne. Ses toiles étant refusées au Salon officiel, il doit se contenter de participer au Salon des refusés de 1863. Exposant aux Salons de 1864 et 1865, il s'y présente comme l'« élève d'Anton Melbye et de Corot »[16]. En 1865, il séjourne à La Roche-Guyon.

Pontoise, Louveciennes et Londres

Camille Pissarro vit à Pontoise de 1866 à 1869 de manière épisodique, et y compose un grand nombre de peintures, dessins et gravures. Selon Christophe Duvivier[17], le choix de Pontoise s'expliquait par le fait qu'aucun autre peintre n'y ayant encore associé son nom, Camille pouvait donc éviter d'apparaître comme le disciple d'un autre paysagiste. À cette époque, il a trente-six ans et affirme la maturité de son art. Il s'est brouillé avec Corot et ne se présente plus comme son élève[18]. En outre, la ville est proche de Paris par le chemin de fer, les paysages fluviaux, ruraux et urbains y sont variés. Enfin, le docteur Gachet, ami de Pissarro, s'était installé à Auvers-sur-Oise, non loin de Pontoise, quelques mois plus tôt[18]. Sa situation financière est difficile. Il peint des enseignes pour faire vivre sa famille.

Un carrefour à l’Hermitage Pontoise, 1876 (Musée d'art moderne André Malraux - MuMa)
Un carrefour à l’Hermitage Pontoise (1876), Le Havre, musée d'art moderne André-Malraux.

En 1869, il s'installe avec sa compagne et leur première fille à Louveciennes. A l'automne 1870, lors de la guerre avec les Prussiens, il doit fuir avec sa famille et abandonner son atelier devant l'avance des troupes prussiennes. Il se réfugie chez Ludovic Piette à Montfoucault dans la Mayenne et s'exile à Londres, où il retrouve Daubigny et Monet, et fait la connaissance du marchand Paul Durand-Ruel.

De retour à Louveciennes au printemps 1871, il découvre que son atelier a été pillé et qu'il ne lui reste plus qu'une quarantaine de toiles sur près de mille cinq cents. Il peint une seconde série de toiles à Louveciennes, les plus nombreuses à nous être parvenues, jusqu'à la fin du printemps 1872. C'est à Louveciennes, et à Londres en partie, qu'il acquiert et perfectionne son style impressionniste[19].

Printemps, pruniers en fleurs, Pontoise (1877), Paris, musée d'Orsay.

Il s'installe à nouveau à Pontoise en 1872 et y reste jusqu'en 1882. Pissarro et sa famille reviennent plusieurs fois chez Piette à Montfoucault, jusqu'à la mort de ce dernier.

Pissarro et Daubigny

Entre 1866, date du premier séjour de Pissarro, et 1878, date de la mort de Daubigny, les deux hommes se côtoient sur les bords de l'Oise[20], Daubigny s'étant installé à Auvers-sur-Oise dès 1861. Aîné de Pissarro de treize ans, Daubigny, « le peintre merveilleux et véridique des bords de la Seine et de l'Oise » selon Zola[21], fait alors figure de maître des bords de l'Oise. Mais Pissarro évite soigneusement d'apparaître comme l'un de ses disciples : il ne se rend que rarement à Auvers et se distingue de son aîné en évitant de prendre pour thème de ses peintures les bords de l'Oise, qu'affectionne Daubigny[22]. Néanmoins, ainsi que le souligne Christophe Duvivier, il s'intéresse à Daubigny tout comme celui-ci suit de près le travail de Pissarro et Monet, qu'il présente à Durand-Ruel à Londres en 1870[22].

Pissarro et Cézanne

Pissarro et Cézanne collaborent entre 1872 et 1881. Pissarro encourage Cézanne à peindre en plein air, et les deux artistes travaillent souvent côte à côte et sur les mêmes motifs[23] à l'Hermitage, à Valhermeil. En 1874, Pissaro participe à la Première exposition des peintres impressionnistes chez Nadar à Paris.

Pissarro et Gauguin

Camille Pissarro, Kewgreens, (1892) musée des beaux-arts de Lyon

En 1879, Gauguin, qui lui a acheté des toiles, vient travailler avec lui à Pontoise. Il collabore avec Degas dans le domaine de la gravure et pendant l'été 1881, Cézanne, Gauguin, Guillaumin, sont à Pontoise à ses côtés. Il participe à toutes les expositions impressionnistes et devient peu à peu un patriarche du mouvement, mais dans une grande fraîcheur d'esprit et avec un constant renouvellement.

En décembre 1882, il s'installe à Osny dans les faubourgs de Pontoise, ne pouvant plus trouver à louer une maison qui lui convienne pour un prix raisonnable. Cette période de Pontoise correspond au grand moment de l'histoire de l'impressionnisme. C'est là que Pissarro peint la plupart des tableaux qui figureront aux sept premières expositions des impressionnistes. C'est aussi là que travailleront Paul Gauguin, Paul Cézanne, Victor Vignon[24]. Pissarro est chaudement recommandé à Ambroise Vollard par le Docteur Georges Viau, un collectionneur qui soutient tous les impressionnistes, et qui lui a acheté un tableau. Mais les tableaux impressionnistes n'atteignent encore que des prix médiocres. Le peintre passe beaucoup de temps à démarcher auprès des collectionneurs d'art, des marchands, et d'Eugène Murer, le peintre-pâtissier-restaurateur-collectionneur d'art, dont il peint un portrait : Murer au fournil[25].

Éragny-sur-Epte

Autoportrait (1898), non localisé.

En 1884, Pissarro quitte Osny pour Éragny-sur-Epte dans l'Oise. C'est grâce à un prêt de Claude Monet qu'il peut y acquérir une maison[26] où il passe ses dernières années, jusqu'à son décès à Paris en novembre 1903. « Oui [écrit-il à son fils Lucien le 1er mars 1884], nous sommes décidés pour Éragny-sur-Epte ; la maison est superbe et pas chère : mille francs, avec jardin et prés. C'est à deux heures de Paris, j'ai trouvé le pays autrement beau que Compiègne ; cependant il pleuvait encore ce jour-là à verse, mais voilà le printemps qui commence, les prairies sont vertes, les silhouettes fines, mais Gisors est superbe, nous n'avions rien vu ! »[27].

Il y peint de nombreuses toiles, dont plusieurs sur le thème des pommiers en fleurs (la propriété s'appelle « La Pommeraie »), du noyer[28], de son jardin potager, de la vue de son atelier, spécialement construit au milieu de son jardin. Il y invite les plus grands peintres de l'époque, parmi lesquels Claude Monet, le parrain de son dernier fils, Cézanne, Van Gogh, Gauguin. En 1885, il rencontre Georges Seurat, avec qui il se lie d'amitié[Note 2] et s'enthousiasme pour sa technique du pointillisme, qu'il applique à son tour, d'une manière moins formelle, avant de retrouver une liberté d'expression plus proche de son tempérament lyrique et généreux.

Il effectue un séjour à Londres en 1892 où il loue un appartement à Kew en compagnie de Maximilien Luce.

Camille Pissarro meurt à Paris au 1 boulevard Morland le de sepsis[29]. Il repose, avec sa famille, à Paris au cimetière du Père-Lachaise (division 7)[30].

La dernière rétrospective internationale consacrée à Pissarro a eu lieu en Australie en 2006. La version anglaise du film L'Ami Pissarro (seul documentaire consacré à la vie et à l'œuvre du peintre) y a été présentée[31].

Famille

Félix Pissarro portant un béret rouge (1881) National Gallery, Londres.

Le grand-père paternel de Frédéric, Pierre Rodrigues Álvares Pissarro ou Jacob Gabriel Pissarro, a quitté Bragance au Portugal, en 1769 pour fuir l'Inquisition[8]. Ses ancêtres sont des marranes, c'est-à-dire des juifs sépharades contraints de se convertir au catholicisme, quatre siècles plus tôt, mais continuant à pratiquer le judaïsme en secret.

Quant à lui, Camille Pissarro, bien que circoncis et dument enregistré à la synagogue de Saint-Thomas,il se déclare proudhonnien et athée libre-penseur[32].

Dans une lettre adressée à Octave Mirbeau en février 1892, Pissarro mentionne un cousin, l'écrivain Jules Cardoze, originaire de La Guadeloupe ; ce dernier fait en 1861 son portrait au crayon[33] - [34].

Son épouse Julie Vellay (Grancey-sur-Ource, - Eragny-sur-Epte, ) est fille d'un viticulteur bourguignon[35]. Gouvernante chez les parents de Camille, elle entre en ménage avec lui en 1860 et lui sert d'abord de modèle. Ils se marient civilement à Croydon en Angleterre en 1871, alors que Julie Pissarro portait leur quatrième enfant. Le couple a eu en tout huit enfants.

Plusieurs descendants de Camille Pissarro ont choisi de suivre l'exemple de leur aïeul et de devenir peintres à leur tour. Parmi ses enfants tout d'abord :

Puis, parmi ses petits-enfants :

Enfin, parmi ses arrière-petits-enfants :

  • Lélia Pissarro (de) (née en 1963), fille de Hugues Claude ;
  • Frédéric Bonin-Pissarro (né en 1964), fils de Claude Bonin-Pissarro. Il a une sœur, Lila Bonin-Pissarro (née en 1972).

L'anarchiste

Dans les années 1880, il se lie avec Paul Signac, Georges Seurat, Maximilien Luce. Il découvre les idées anarchistes comme bon nombre de néo-impressionnistes et fait la connaissance de Émile Pouget, de Louise Michel et de Jean Grave, à qui il apporte un soutien financier, aidant également les familles d'anarchistes emprisonnés ou en exil. Après l'assassinat de Sadi Carnot par Caserio en , il est recherché par la police comme d'autres anarchistes non-violents. Il se réfugie en Belgique tout comme Élisée Reclus qu'il rencontre alors[36]. De retour en France, il contribue au journal Les Temps nouveaux[37] et s'engage contre l'antisémitisme lors de l'affaire Dreyfus[38].

En 1889, quand il compose sa série sur les Turpitudes sociales, le souvenir de la répression de la Commune de Paris n'est pas éteint. On discute Proudhon et Bakounine, la notion de « République sociale » agite ardemment les esprits, la question sociale et la réflexion politique hantent tout le pays : portées, entre autres, mais vigoureusement, par les mouvements anarchistes qui sont nombreux, vibrants, et très divisés, en particulier sur la pertinence de la reprise individuelle et du socialisme parlementaire[39].

Pissarro est plus un anarchiste d'idée que d'action. Même s'il participe, en 1899, au Club de l'art social aux côtés d'Auguste Rodin, il est un partisan de l'art pour l'art : « Y a-t-il un art anarchiste ? Oui ? Décidément, ils ne comprennent pas. Tous les arts sont anarchistes - quand c’est beau et bien ! Voilà ce que j’en pense » écrit-il dans Les Temps nouveaux en [40]. Il n'est pas favorable à l'art à tendance sociale et contrairement à ce qu'écrit Kropotkine dans La conquête du pain, il ne pense pas qu'il soit nécessaire d'être paysan pour rendre dans un tableau la poésie des champs[41]. Il veut faire partager à ses semblables les émotions les plus vives. Une belle œuvre d'art est un défi au goût bourgeois. Pissarro est un optimiste qui voit un avenir anarchiste proche où les gens, débarrassés des idées religieuses et capitalistes, pourront apprécier son art[42].

Expositions

Les ports de commerce font une entrée triomphale dans la peinture moderne en avril 1874 lors de la première exposition impressionniste qui s'est tenue au 35 Boulevard des Capucines à Paris[43] avec l’œuvre de Monet peinte au Havre. Mais c’est Camille Pissarro qui donnera toute sa dimension à ce thème[44], grâce à une série de tableaux, réalisée de 1883 à 1903, dans les ports de Rouen[45], Dieppe[46] et du Havre[47].

Camille Pissarro est le seul peintre impressionniste qui a participé aux huit expositions du groupe entre 1874 et 1886[48].

La galerie Stern Pissarro Gallery, à Londres, est la seule galerie dédiée à Camille Pissarro et des quatre générations descendantes, parcourant ainsi 150 ans de peintures, dessins, pastels et de techniques d'impressions[49].

Hommages

Expositions récentes

Galerie

Quelques-unes de ses œuvres :

Quelques œuvres

Natures mortes dans l'œuvre de Pissarro
Pontoise dans l'œuvre de Pissarro
Femme nue de dos dans un intérieur (1895).
  • La Diligence, Route d'Ennery, 1877, huile sur toile, 46 × 55 cm, Musée d'Orsay, Paris[82]
  • Coin de jardin à l'Hermitage, Pontoise, 1877, huile sur toile, 55 × 46 cm, musée d'Orsay, Paris[83].
  • La Côte des Bœufs, 1877, National Gallery, Londres[84]
  • Chemin sous bois, en été, 1877, huile sur toile, 81 × 66 cm, musée d'Orsay, Paris[85]
  • L'Hermitage en été, Pontoise, 1877, huile sur toile, 57 × 91 cm, Helly Nahmad gallery, New York[86]
  • Paysage avec un homme piochant, 1877, Collection privée[87]
  • La Sente du Chou, Pontoise, 1878, huile sur toile, 57 × 92 cm, musée de la Chartreuse, Douai[88].
  • Jardin à Pontoise, 1878, huile sur toile, collection particulière
  • La Récolte des choux, 1878–79, Gouache sur soie, 16 × 52 cm, Metropolitan Museum, New York[89]
  • Paysage sous-bois à l'Hermitage, 1879, eau-forte et aquatinte, Bibliothèque nationale de France, Paris.
  • La Garenne à Pontoise. Effet de neige, 1879, Art Institute of Chicago[90].
  • La Crête du Chou, Pontoise, 1879, Wildenstein & Co, New York
  • L'Orée du Bois près de l'Hermitage, Pontoise, 1879, huile sur toile, 125 × 163 cm, Cleveland Museum[91]
  • La récolte, Pontoise, 1880, collection particulière.
  • Paysage à Chaponval, 1880, huile sur toile, 54,5 × 65 cm, musée d'Orsay, Paris[92].
  • Le Marché aux pommes de terre, boulevard des Fossés à Pontoise, 1882, gouache, collection particulière.
  • Inondation à Pontoise, 1882, collection particulière.
  • Quai du Pothuis, bords de l'Oise, 1882, musée d'art moderne André-Malraux, Le Havre[93].
  • Marché à la volaille, Pontoise, 1882, détrempe et pastel, collection particulière, États-Unis.
  • Gisors, quartier neuf, 1885, huile sur toile, 60 × 74 cm, Collection particulière[94]
  • Le Marché aux cochons, foire Saint-Martin, Pontoise, 1886, plume et encre, Cabinet des dessins, musée du Louvre, Paris[95].
  • Le Marché de Pontoise, 1886, plume et encre, Metropolitan Museum of Art, New York[96].
  • Le Marché aux grains à Pontoise, 1893, collection particulière.
  • Le Marché de Gisors (Le Marché de Pontoise), 1895, Nelson-Atkins Museum of Art, Kansas City[97].
  • Pommier sous le soleil, Pré sous le soleil, musée Faure, Aix-les-Bains.
Montfoucault (Mayenne) dans l'œuvre de Pissarro
Paris
L'Avenue de l'Opéra, (1898), Musée des beaux-arts de Reims.
Bougival
  • Barrage sur la Seine à Bougival, 1871, huile sur toile, 33 × 46 cm, collection particulière.
Louveciennes
La Promenade à âne à La Roche-Guyon (1865).
Le Port-Marly
Éragny-sur-Epte
  • La Servante assise dans le jardin d'Eragny, 1884, huile sur toile, 60 × 73 cm, Collection privée, vente 2015[134]
  • Vue de Bazincourt, 1884, huile sur toile, 54 × 65 cm, Collection privée[135]
  • Femme dans un clos, soleil de printemps dans le pré à Éragny, 1887, huile sur toile, 54,5 × 65 cm, musée d'Orsay, Paris[136].
  • Étude de pommiers à Éragny, 1892, pastel sur toile.
  • Soleil levant à Éragny, 1894, musée d'Art moderne André-Malraux, Le Havre[137].
  • Effet de neige à Éragny, 1894, huile sur toile, 73,5 × 92 cm, musée d'Orsay, Paris[138].
  • Soleil du matin, automne, 1897, huile sur toile, 54,5 × 65 cm, musée d'Orsay, Paris[139].
  • Paysage à Éragny, 1897, huile sur toile, 60 × 73,5 cm, musée d'Orsay, Paris[140].
  • La gardeuse de vaches, Saint Charles, Egarny [sic], 81,5 × 65 cm, Museo Municipal de Bellas Arte Juan B. Castagnino (es), Rosario[141].
  • Le Jardin au printemps à Eragny, 1894, huile sur toile, 54 × 65 cm, Collection privée[142]
  • Femme dans un verger, matinée d'automne, jardin d'Eragny, 1897, huile sur toile, 55 × 66 cm, Musée d'Orsay, Paris[143]
  • Matin, printemps, temps gris, Eragny, 1900, huile sur toile, 65 × 81 cm, Collection privée[144]
  • Le Lavoir de Bazincourt, 1900, huile sur toile, 65 × 81 cm, Musée d'Orsay, Paris[145]
  • Fenaison à Éragny, 1901, huile sur toile, 53,9 × 64,7 cm, Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa[146].
Rouen
Le Havre
La conversation (c. 1881), Musée national de l'art occidental.
Autres lieux
Autres

Notes et références

Notes

  1. Pissarro descend d'une famille originaire de Bragance au Portugal, près de la frontière entre l'Espagne et le Portugal. Sa mère est une créole des Antilles danoises du nom de Rachel Thétis Manzano-Pomie. Ses ancêtres sont des marranes, c'est-à-dire des juifs sépharades contraints de se convertir au catholicisme. Cette double appartenance religieuse encore présente chez son père le conduira à se déclarer athée (il épousera civilement sa femme catholique) et même libre penseur. Après avoir eu des idées conservatrices, il deviendra dans les années 1880 un fervent adepte de l'anarchisme libertaire prôné par Pierre-Joseph Proudhon. Cf. Joachim Pissarro, Camille Pissarro, Hermé, , p. 13.
  2. Georges Seurat insistera auprès de sa propre mère pour qu'elle achète une toile à Camille Pissarro, lui apportant ainsi quelques revenus bienvenus.
  3. Ce tableau a été volé par les nazis. La restitution en a été demandée sans succès.
  4. Ce tableau a appartenu à Raoul Meyer (président du Groupe Galeries Lafayette de 1944 à 1970) qui en a été dépossédé par les nazis. La restitution en a été demandée dès les années 1950 sans succès. Sa fille Léone Meyer le récupérera en 2016

Références

  1. Monneret T.I, p. 665
  2. Connaissance des arts, Volumes 634 à 636, Société française de promotion artistique, Société d'études et de publications économiques, 2006, p. 73 : « Pissarro est un grand peintre, trop souvent jugé comme mièvre et qui n'est pas à sa place. La faute sans doute à ses sujets, moins spectaculaires que ceux de ses collègues. »
  3. Monneret T.I, p. 668
  4. « Dossier Pissarro », sur lemondedesarts.com (consulté le ).
  5. Victoria Charles et Klaus Carl, L'Impressionnisme, Parkstone International, 2012, (ISBN 1780427786 et 9781780427782), p. 104
  6. Note de Julie Delmas, in Courbet et l'impressionnisme, catalogue d'exposition, Ornans, Musée Courbet, 2016, p. 25.
  7. Notice du musée d'Orsay
  8. [www5.tau.ac.il/arts/departments/images/stories/.../01rachum.pdf]
  9. Rewald 1989, p. 10
  10. Duvivier et al. 2003, p. 107
  11. Rewald 1989, p. 11
  12. Rewald 1989, p. 12
  13. Duvivier et al. 2003, p. 108
  14. Rewald 1989, p. 20
  15. Rewald 1989, p. 16
  16. Duvivier et al. 2003, p. 54
  17. Duvivier et al. 2003, p. 55
  18. Anthony Lacoudre, Ici est né l'impressionnisme : guide de randonnées en Yvelines, préface Claude Bonin-Pissarro, Éditions du Valhermeil, 2003, (ISBN 2913328415 et 9782913328419), p. 70-72
  19. Duvivier et al. 2003, p. 56
  20. Émile Zola, La République en marche (1875-1876), Volume 7 de Œuvres complètes, p. 663
  21. Duvivier et al. 2003, p. 58
  22. Duvivier et al. 2003, p. 85
  23. Monneret T.I, p. 657
  24. Monneret T.I, p. 661
  25. Monneret T.I, p. 666
  26. Lettre à Lucien, Paris, 1er mars 1884. Correspondance de Camille Pissarro, Éditions du Valhermeil, 2003, tome 1, p. 291.
  27. Tombé lors de la tempête de 1999.
  28. Janet M. Torpy, « Snowscape With Cows at Montfoucault », JAMA, vol. 307, no 5, , p. 435–435 (ISSN 0098-7484, DOI 10.1001/jama.2011.2028, lire en ligne, consulté le ).
  29. Camille Pissarro, sur le site tombes-sépultures, consulté le 2 mars 2014.
  30. http://archives.artgallery.nsw.gov.au/pissarro_doco notice du film sur Art Gallery of New South Wales.
  31. Joachim Pissarro, Camille Pissarro, Hermé, , p. 13.
  32. Notice n° 54, catalogue de ventes De Baecque, 11 juin 2016.
  33. « Lettre de Pissarro à Octave Mirbeau », 12 février 1892, in: La Revue de l'art, janvier 1930, p. 224 — sur Gallica.
  34. « ChallengeAZ - Julie Vellay (épouse de Pissarro) » (consulté le )
  35. (en) Robert Justin Goldstein, Political Repression in 19th Century Europe, Routledge, 2013, (ISBN 1135026696 et 9781135026691), p. 258
  36. Sylvie Gonzales, Bertrand Tillier, Des cheminées dans la plaine : Cent ans d'industrie à Saint-Denis, 1830-1930, Créaphis, 1998, texte intégral.
  37. L'Éphéméride anarchiste : notice biographique.
  38. Évelyne Pieiller, « Les “turpitudes” de Pissarro », in Le Monde diplomatique, février 2010, texte intégral.
  39. Bertrand Tillier, La Commune de Paris, révolution sans image ? - Politique et représentations dans la France républicaine, 1871-1914, Éditions Champ Vallon, 2004, page 471.
  40. Nathalia Brodskaya, Camille Pissarro, Parkstone International, 2011, extrait en ligne.
  41. Felip Équy, Centre International de Recherches sur l'Anarchisme (Marseille) : notice biographique.
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Annexes

Bibliographie

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Filmographie

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  • Sylvain Palfroy, L'ami Pissarro. Le premier impressionniste, 58 min, 2003 (notice de l'auteur).

Articles connexes

Liens externes

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