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Osny

Osny [oni] est une commune du Val-d'Oise, région Île-de-France, située sur la Viosne et un autre bras de celle-ci nommé la Couleuvre. Ses habitants se nomment les Osnyssois et Osnyssoises. Malgré son urbanisation récente relativement rapide, il existe encore aujourd'hui de très vastes champs sur le territoire de la commune.

Osny
Osny
Le château d'Osny.
Blason de Osny
Blason
Osny
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CA de Cergy-Pontoise
Maire
Mandat
Jean-Michel Levesque (LR)
2020-2026
Code postal 95520
Code commune 95476
DĂ©mographie
Gentilé Onyssois, Onyssoises
Population
municipale
17 111 hab. (2020 en augmentation de 0,12 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 367 hab./km2
Population
agglomération
16 537 hab. (2013)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 04′ 00″ nord, 2° 04′ 00″ est
Altitude 30 m
Min. 27 m
Max. 102 m
Superficie 12,52 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂ´le principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Cergy-1
LĂ©gislatives 10e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Osny
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Osny
Liens
Site web http://www.osny.fr

    Village du Vexin français, la commune a connu une importante poussée démographique à partir des années 1970 consécutive à son incorporation dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise. Lieu de séjour des peintres impressionnistes et post-impressionnistes Camille Pissarro, Paul Gauguin et surtout Georges William Thornley, elle conserve un patrimoine historique assez remarquable.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Osny est une ville du Vexin français EntourĂ©e de Pontoise Ă  l'est, Cergy au sud, Puiseux-Pontoise et Boissy-l'Aillerie Ă  l'ouest, GĂ©nicourt et Ennery au nord, Osny compte près de 16 000 habitants concentrĂ©s surtout autour du vieux village (rue Aristide-Briand, ancienne route de Paris Ă  Rouen) et du parc d'activitĂ© des Beaux-Soleils.

    Avec sa superficie totale de 12,52 km2, Osny possède le territoire le plus Ă©tendu de l'agglomĂ©ration de Cergy-Pontoise ; cela lui permet de conserver une activitĂ© agricole encore importante malgrĂ© son urbanisation rapide.

    Communes limitrophes

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Climat

    Osny comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. Il se différencie du climat de Paris intra-muros par un écart de température de quelques degrés, particulièrement notable au lever du jour, et qui a tendance à s'accentuer au fil des années. Cet écart, de 2° en moyenne mais qui peut atteindre 8° par une nuit claire et un vent faible, s'explique par la densité urbaine qui augmente la température au cœur de l'agglomération. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière)[3].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - AĂ©roport de Roissy, France[4]

    Urbanisme

    Typologie

    Osny est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11] - [12].

    Morphologie urbaine

    Le vieux village, la gare, les quartiers de la Ravinière, du Vauvarois et du Val de Viosne (ex-Moulinard) (cités) qui doivent leurs noms à d'anciens termes locaux constituent l'essentiel des lotissements de la commune au sud.

    Le nord est composé de quartiers pavillonnaires, de terres agricoles et de zones boisées (la moitié du territoire).

    À la suite du développement de la RD 915 et du viaduc de la Viosne pour Pontoise, il existe en outre sur le nord du territoire communal deux importantes zones commerciales (l'Oseraie et la Croix Saint-Siméon) ainsi qu'un pôle médical majeur centré sur la clinique Sainte-Marie dont le déménagement depuis Pontoise a été réalisé en .

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 6 598, alors qu'il Ă©tait de 5 802 en 2014 et de 5 550 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 93,7 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 4,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 60,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 38,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Osny en 2019 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) supérieure à celle du département (1,3 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71 % en 2014), contre 55,9 % pour le Val-d'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement Ă  Osny en 2019.
    Typologie Osny[I 1] Val-d'Oise[I 4] France entière[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 93,7 92,6 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,5 1,3 9,7
    Logements vacants (en %) 4,8 6 8,2

    RĂ©seau routier

    Chemin d'Immarmont, au nord de la commune, vers GĂ©nicourt.

    Les voies routières les plus importantes en trafic qui traversent la commune sont l'autoroute A15 au sud, à deux fois deux voies, et la route départementale 915, au nord, également à deux fois deux voies. Osny est par ailleurs traversée par la ligne de chemin de fer Paris Saint-Lazare - Pontoise - Gisors, au trafic assez modéré.

    Ces différentes infrastructures terrestres ont un impact assez élevé en termes de pollution sonore selon la réglementation[13]. Les principales voies routières du centre-ville au trafic peu soutenu sont classées en catégorie 4 ou 5, de niveau modéré. La voie ferrée est classée en catégorie 4. En revanche, la D 915 est classée en catégorie 2 (élevée) et l'autoroute A15 est classée en catégorie 1, le plus élevé[14]. Cependant ces infrastructures se situent pour l'essentiel à distance des zones habitées.

    Transports en commun

    Toponymie

    Attestée sous les formes Oeny en 1099[15], Ooniacus[16], Ooniacum en 1249[17]. On voit successivement apparaître du XIIe au XIXe siècles : Oony, Ony,Oni, Aulsny et Osny[18].

    Il s'agit d'un type toponymique gaulois ou gallo-roman en -(i)acum, suffixe locatif à l'origine, ayant plus tardivement désigné la propriété[15].

    Le premier élément Osn- est obscur, en tout cas, le s graphique apparu tardivement sert à marquer la fermeture et l'allongement de la voyelle o (on prononce d'ailleurs « ôni »). L'existence de cette voyelle redoublée dans les plus anciennes formes, doit résulter de l'amuïssement d'une consonne intervocalique difficile à déterminer.

    Ernest Nègre propose l'anthroponyme germanique Audenus[15], répertorié par Marie-Thérèse Morlet[19], mais il se base sur la seule forme Oeny de 1099. La présence de noms de personnes germaniques dans les formations en -(i)acum est par ailleurs avérée dans le Nord de la Gaule.

    Histoire

    Préhistoire

    Les plus anciennes traces d'habitation à Osny se situent surtout sur les terres d'Immarmont, où des bifaces ont été retrouvés proches les uns des autres, validant la thèse d'une implantation préhistorique. Des poteries ainsi que des mégalithes montrent quant à eux la sédentarisation des hommes préhistoriques à Osny.

    Antiquité

    Sous la domination romaine, Osny bénéficie de sa position sur une voie de passage important, la chaussée Jules César, qui traversait le sud-est du village. La présence romaine favorise la culture de la vigne en exploitant les coteaux orientés vers le sud et vers l'est.

    Moyen Ă‚ge

    Au début du IXe siècle, une partie de la seigneurie d'Osny est léguée aux abbayes de Saint-Denis, Saint-Martin de Pontoise et Chelles. Le premier seigneur d'Osny à céder une terre est Guérin Lasne. Raoul Vasleth, seigneur d'Osny et de Génicourt, fait également un don, au diocèse de Rouen. Les seigneurs d'Osny se montrent généreux envers l'Église, ainsi qu'à l'égard d'autres organismes à but non lucratif dont la léproserie Saint-Lazare de Pontoise. Barthélémy d'Osny ainsi que son épouse Aude sont d'ailleurs cités comme bienfaiteurs de cet établissement.

    Plusieurs familles se succédent par la suite à Osny, souvent connues à la cour du roi de France. On peut ainsi citer les Rouvray Saint-Simon, mais surtout les Le Sueur. Cette famille, en quelques années, devient l'une des plus riches de la région.

    Temps modernes

    À partir de 1500, maître Jacques Le Sueur commence une série d'acquisitions à Osny. Guillaume I, seigneur d'Osny, est conseiller du Roi et Maître Ordinaire de la Chambre.

    En 1630, Nicolas Le Sueur, époux de Marie Sublet, cousine du secrétaire d'État de Louis XIII, devient maître du domaine. Il est conseiller du roi en son Conseil d'État.

    François Sublet de Noyers devient seigneur d'Osny en se mariant à Isabeau Le Sueur, fille de Guillaume Le Sueur et Marie du Bouchet. À la mort de son fils en 1673, le domaine revient à Louis Le Sueur. En 1678, le maréchal de Chamilly devient seigneur d'Osny à la suite de plusieurs acquisitions sur les héritiers Le Sueur.

    En 1728, la paroisse d'Osny compte 71 feux (soit environ 280 habitants). Le revenu de cette terre se compose de 3 fermes : l'une dans le bas d'Osny, une autre à l'entrée de l'avenue vis à vis du château et la dernière à Immarmont.

    Après plusieurs ventes successives à la suite de la mort de ce dernier, en 1715, la seigneurie d'Osny échoit finalement à Antoine de Nicolay en 1719, puis à Jean Aymar, son fils, en 1731. et à Aymar Jean de Nicolaï, marquis de Goussainville, fils de celui-ci, mort le 21 mars 1785. Le 21 septembre 1785, ses enfants vendent la seigneurie d'Osny à Jean Baptiste de Picot et son gendre, Charles Malo de Lameth. Ce dernier, seigneur d'Osny entreprend la construction du château actuel en 1787.

    Révolution française et Empire

    Charles Malo de Lameth, devenu maire du village, meurt en 1832. Son gendre, Scipion de Nicolay, lui succède cette année là comme propriétaire du château d'Osny, et le lègue à son fils, Cypien de Nicolay.

    Après l'abdication de Fontainebleau, Osny est occupée, du au , par un escadron de lanciers de garde impériale russe. Le village est de nouveau occupé après Waterloo entre juillet et .

    Époque contemporaine

    Paul Gauguin (1848 - 1903), Rue du village, Osny, 1883.
    La rue Aristide-Briand aujourd'hui.

    Au XIXe siècle, Osny est un petit village comptant une centaine de maisons.

    En 1860, construction de la voie de chemin de fer de Paris à Dieppe et d'une halte désenclave la commune.

    À partir de 1860, le confort de ces maisons s'améliore nettement : la surface habitable des logements augmenta et les cours extérieures deviennent plus vastes. Les vieux bâtiments en ruine sont remplacés par des constructions neuves. Les matériaux de construction connaissent aussi une amélioration. L'activité agricole dominante est celle des céréales.

    L'ouverture de la gare en 1866 contribue à augmenter considérablement la population du village, qui passe ainsi de 495 habitants en 1836 à 677 habitants cette année-là. En effet, sa proximité avec Pontoise et Paris constitue un sérieux atout pour le développement du village, qui peçoit déjà un revenu important du fait de la présence dans la commune de moulins à blé actionnés par moteur hydraulique et utilisés par les habitants des villes de Sartrouville, Houilles, Maisons-Laffitte et L'Isle-Adam. Mais progressivement, ces moulins sont vendus par leurs propriétaires avant d'être reconvertis. Osny suivait ainsi son développement industriel, en produisant notamment des tissus de coton et des sangles ou encore en effectuant la taille de l'acier et le polissage des tonneaux.

    Lors du siège de Paris, durant la guerre franco-allemande de 1870 Osny est occupée par les troupes allemandes.

    Le un orage causa de gros dégâts à Neuville, et dévaste Jouy-le-Moutier, Vauréal, Boisemont, Courdimanche, Osny, Cergy, Puiseux, et Pontoise.

    Durant la Première Guerre mondiale, Osny est touchée par des réquisitions, qui consistent en des versements de fourrage, de vivres, de bois et de combustibles. Après la guerre, la ville reçoit le Maréchal Joffre.

    La Seconde Guerre mondiale voit l'occupation allemande d'Osny peu après l'armistice du 22 juin 1940. Madame de Grouchy, propriétaire du château d'Osny, dépose alors plainte pour pillage de la demeure. Pendant cette guerre, la ville connait deux bombardements (l'un sur le quartier de la Groue et l'autre Immarmont) ; les dégâts matériels sont importants. La Résistance à Osny est représentée par l'abbé Léonard, curé de la ville. Ce dernier n'hésite pas à critiquer publiquement l'occupant, alors que certains officiers ennemis assistaient à l'office. La ville est libérée le .

    Depuis les annĂ©es 1930, le nombre d'habitants Ă  Osny n'a cessĂ© de croĂ®tre, atteignant plus de 16 000 habitants en 2006. Ceci est dĂ» en particulier Ă  l'essor impressionnant de la ville ces dernières dĂ©cennies oĂą bon nombre d'entreprises et d'activitĂ©s se sont installĂ©es sur le territoire de la commune, notamment dans la zone industrielle des Beaux Soleils ainsi que le centre commercial de l'Oseraie, mais aussi en centre-ville, qui a vu de nombreux petits commerces apparaĂ®tre.

    Création du canton d'Osny, par la division du canton de Pontoise, en 1976, qui est supprimé en 1985 après la création du canton de l'Hautil.

    Le château de Grouchy est acquis par la municipalité qui y installe sa mairie.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Osny se trouve dans l'arrondissement de Pontoise. Historiquement membre du canton de Cergy-Nord, elle a été rattachée au canton de Cergy-1 dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France

    La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[20] - [21]. Une maison d'arrêt se situe à Osny et a été mise en service en 1990. Elle remplace l'ancienne prison de Pontoise, considérée comme la plus vétuste de France avant sa fermeture définitive[22].

    Intercommunalité

    La ville est membre de la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise.

    Tendances politiques et résultats

    Osny était une commune ancrée à droite, l'évolution de la population nouvelle fait que le vote de droite s’érode.

    À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu se démarquer nettement en tête Nicolas Sarkozy avec 34,43 %, suivi par Ségolène Royal avec 24,84 %, François Bayrou avec 19,41 %, et Jean-Marie Le Pen avec 9,55 %, puis Olivier Besancenot avec 3,81 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 2,5 %. Le second tour a vu arriver largement en tête Nicolas Sarkozy avec 56,28 % (résultat national : 53,06 %) contre 43,72 % pour Ségolène Royal (national : 46,94 %)[23].

    À l'élection présidentielle française de 2012, sur 10035 inscrits et 7924 votants, le candidat en tête au premier tour fut François Hollande 28,18 % suivi à quelques voix de Nicolas Sarkozy 28,13 %, Marine Le Pen était à 17,66 %, Jean-Luc Mélenchon 10,51 %, François Bayrou 9,87 %, Nicolas Dupont-Aignan 1,94 %, Eva Joly 1,92 %. Au second tour Nicolas Sarkozy récolta 51,05 % des voix sur François Hollande.

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP-UDI menĂ©e par le maire sortant Jean-Michel Levesque obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 3 158 voix (55,65 %, 26 conseillers municipaux Ă©lus dont 5 communautaires), devançant très largement les listes menĂ©es respectivement par[24] :
    - Laurent Achite-henni (DVD, 1 344 voix, 23,68 %, 4 conseillers municipaux Ă©lus) ;
    - Pascal-Éric Lalmy (PS-PCF-EELV, 1 172 voix, 20,65 %, 3 conseillers municipaux Ă©lus).
    Lors de ce scrutin, 44,06 % des Ă©lecteurs se sont abstenus.

    Lors des Ă©lections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste menĂ©e par le maire sortant Jean-Michel Levesque est la seule candidate et obtient donc la totalitĂ© des 1 759 suffrages exprimĂ©s. Elle est donc Ă©lue en totalitĂ©.
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 80,31 % des électeurs se sont abstenus et 16,749 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    15 mars 1790 1791 Jean-Baptiste Subtil Jardinier
    1791 1792 Jean Squeville
    1792 1794 Armand Le Loir Cultivateur et meunier
    1794 1795 Jean-Baptiste Subtil Jardinier
    1795 1795 Pierre Belhague
    1795 1800 Pas de maire (municipalité de canton)
    1800 1808 Nicaise Noël Ancien agent municipal sous la municipalité de canton
    1808 1809 Charles-Malo de Lameth
    1809 1813 Scipion de NicolaĂŻ
    1813 1824 LĂ©on-Aimard Rambour
    1824 1826 Jean-Baptiste Pierre
    1826 1830 Scipion de NicolaĂŻ Marquis
    1830 1832 Charles-Malo de Lameth Comte
    1832 1838 Scipion de NicolaĂŻ Marquis
    1838 1873 Scipion-Louis de Nicolay Marquis, fils du précédent
    1873 1880 Eléonor Legrand Propriétaire
    1880 1886 BĂ©noni Leduc Cultivateur
    1886 1891 Eléonor Legrand Propriétaire
    1891 1896 Jean-Louis Carbonnier Maraîcher
    1896 1912 François Squeville
    1912 1920 Eugène Ancourt
    1920 1929 Victor Sergent
    1929 1930 Charles Oriot
    1930 1935 Fernand Laurence
    1935 1945 Albert Pelletier
    1945 1947 Marcel Gorce[26] PCF
    1947 1950 Louis Meeus
    1950 1971 Paul Roth
    1971 2011[27] - [28] Christian Gourmelen UDF-PR puis DL
    puis UMP
    Député du Val-d'Oise (2e circ.) (1993 → 1997)
    Conseiller général de Cergy-Nord (1985 → 2001)
    DĂ©missionnaire en octobre 2011
    15 octobre 2011[29] En cours
    (au 16 février 2023)
    Jean-Michel Levesque UMP → LR Ancien directeur informatique de la maison Hermès
    Vice-président de la CA Cergy-Pontoise (2014 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[30] - [31]

    Jumelages

    Équipements et services publics

    Enseignement

    • Écoles :
      • Lameth (Ă©lĂ©mentaire/maternelle)
      • Saint-Exupery (Ă©lĂ©mentaire)
      • La Ravinière (Ă©lĂ©mentaire/maternelle)
      • Charcot (maternelle)
      • Immarmont (maternelle/Ă©lĂ©mentaire)
      • Paul-Roth (maternelle/Ă©lĂ©mentaire)
      • Les Vignes (maternelle)
      • Yves-Le Guern (anciennement L'Oseraie) (maternelle/Ă©lĂ©mentaire)
    • Collèges :
      • Collège La Bruyère
      • Collège Saint-Stanislas (privĂ©) (dans le parc de Busagny)
    • LycĂ©e polyvalent Paul-Émile-Victor, qui a reçu les visites du ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer et de la secrĂ©taire d’État chargĂ©e de l’ÉgalitĂ© entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa le [32], puis de l'ancien prĂ©sident de la RĂ©publique François Hollande le [33]
    • Institut de formation par alternance Adolphe-Chauvin
    • LycĂ©e professionnel de la Communication et des Industries Graphiques (privĂ©) (dans le parc de Busagny)

    La ville abrite par ailleurs le siège de l'inspection académique du Val-d'Oise.

    Santé

    Osny compte un pôle de Santé comprenant le CHP Sainte-Marie (clinique privée avec service d'urgences), le Centre Ophtalmologique du Val d'Oise, un centre d'imagerie médicale, un centre de radiothérapie et d'oncologie médicale, un laboratoire d'analyses biologiques, un centre de psychothérapie, une maison médicale accueillant des médecins spécialistes, une clinique de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) ainsi que deux résidences médicalisées pour seniors.

    Justice, sécurité, secours et défense

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[34] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 17 111 habitants[Note 4], en augmentation de 0,12 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    422426455479482495495497471
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    462467677506473428445450488
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5125226275185856721 1521 5162 226
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 7383 9057 19510 73612 19514 30915 99616 33316 869
    2020 - - - - - - - -
    17 111--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Depuis 2009, huit salles de cérémonie de la mairie abritent, tous les ans le « Salon du Val de Viosne »[37] qui a lieu en début novembre.

    Économie

    • Zone commerciale rĂ©gionale de L'Oseraie
    • Zone commercial de la Croix Saint-SimĂ©on, limitrophe de la commune de Pontoise
    • Zone d'activitĂ© des Beaux Soleils

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Osny compte cinq monuments historiques sur son territoire, le château, son parc à fabriques et son colombier étant protégés par le même arrêté.

    • Église Saint-Pierre-aux-Liens, rue Aristide-Briand (clocher inscrit monument historique par arrĂŞtĂ© du , chĹ“ur inscrit en 1948[38]) : elle date en partie du XIIIe siècle et succède Ă  une ancienne chapelle romane du XIe siècle dont les vestiges peuvent se retrouver dans la construction actuelle ; ils constituent le croisillon nord du sanctuaire actuel.
      La croisée du transept, en même temps base du clocher central, conserve à ses quatre extrémités des colonnes aux chapiteaux romans. Le clocher est caractéristique de la transition du roman vers le gothique. Ses deux hautes baies abat-son en arc brisé par face sont cantonnées de colonnes à chapiteaux et surmontées d'un tore. Des colonnes à chapiteaux ornent également les quatre angles du clocher, coincées entre les contreforts. Hormis ces éléments, seul une partie du chœur est ancien. En effet, ce dernier est reconstruit en 1895, et la nef est entièrement remplacée en même temps.
      L'église actuelle se compose d'une nef aveugle de quatre travées avec des bas-côtés, d'un transept, d'un chœur au chevet plat de deux travées, flanqué de deux chapelles latérales d'une seule travée[39].
    • Château de Grouchy, actuelle mairie, rue William-Thornley (inscrit monument historique en 1990[40]) : Construit au XVIIIe siècle, il trouve vraisemblablement ses origines au Xe siècle.
      Le bâtiment de style classique comporte deux étages. Le corps de logis central porte sur onze travées ; il est flanqué de deux pavillons de trois travées aux extrémités, qui offrent un fronton vers la façade principale. Les baies du rez-de-chaussée sont des portes-fenêtres plein cintre ; les autres baies sont rectangulaires. La façade très austère n'est ornée que par des bossages, des chaînages d'angle très soulignés sur les deux pavillons, et des simples corniches de corbeaux en haut des murs.
      Propriété municipale depuis 1987, le château abrite l'hôtel de ville, une galerie de peintures, l'espace William-Thornley exposant des œuvres de cet artiste-peintre, ainsi que le musée départemental des sapeurs-pompiers du Val-d'Oise[41]. Ce dernier présente véhicules, pompes attelées ou à bras, mannequins en tenue de 1830 à 1976, casques, médailles et autres matériels rappelant l'évolution des moyens d'intervention des hommes du feu[39].
    • Parc de Grouchy, rue William-Thornley : propriĂ©tĂ© municipale, il est accessible Ă  tous, et offre un espace privilĂ©giĂ© de dĂ©tente, de loisirs et de promenade. Bien que dĂ©vastĂ© par les bombardements alliĂ©s du , du fait que le château appartenait Ă  l'Entr'aide française, le parc conserve plusieurs fabriques de jardin. La plus remarquable est un pĂ©ristyle rond reposant sur sept colonnes, baptisĂ© temple d'Amour. Au milieu, trĂ´ne la copie d'une statue de Christophe-Gabriel Allegrain, reprĂ©sentant une nymphe sortant du bain. L'original est au musĂ©e du Louvre. Le parc abrite Ă©galement une glacière de m de profondeur et un petit pavillon de chasse, dans le mĂŞme style que le château[39].
    • Colombier du château : il a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© dans une tour du Xe siècle, qui Ă©tait probablement le donjon du château fĂ©odal. Les vestiges de ce dernier sont encore visibles sur place. La terrasse avec son jardin est le vestige d'une galerie du XIVe siècle, destiner Ă  faire communiquer avec le parc et la tour les anciens appartements du premier Ă©tage[39].
    • Colonne de RĂ©al, au carrefour rue des Marines / chemin de la Colonne (inscrite monument historique par arrĂŞtĂ© du [42]) : Dite aussi pyramide des Lameth, c'est en rĂ©alitĂ© un obĂ©lisque Ă©rigĂ© par Charles-Malo de Lameth en l'honneur de ses neveux Alfred et Adolphe de Lameth, et Malo de Montozon, morts en jeune âge lors des guerres napolĂ©oniennes[39].
    • Église Saint-Pierre-aux-Liens.
      Église Saint-Pierre-aux-Liens.
    • Château de Grouchy, vu du parc.
      Château de Grouchy, vu du parc.
    • Colombier du château.
      Colombier du château.
    • Temple d'Amour au parc.
      Temple d'Amour au parc.
    • Colonne de RĂ©al.
      Colonne de RĂ©al.


    On peut Ă©galement signaler :

    • Château de Busagny, actuel collège Saint-Stanislas, rue des Pâtis : il remonte au dĂ©but du XVIIe siècle et a vu se dĂ©rouler une partie de l'affaire Marie Lafarge au XIXe siècle. L'Ă©difice actuel date de l'Ă©poque du Directoire.
    • Moulin d'Ars, rue Henri-LĂ©chauguette : la roue Ă  aubes de ce moulin Ă  eau de la fin du XVIIe siècle a Ă©tĂ© remise en Ă©tat de fonctionnement par l'actuel propriĂ©taire. Le moulin a laissĂ© son nom Ă  un quartier d'Osny, devenu Moulinars puis Moulinard[39].
    • La partie rurale est encore prĂ©sente avec le hameau d'Immarmont, la rue Aristide-Briand (anciennement Grand' Rue), rue centrale du village, et les vieux bâtiments de la rue des Pâtis menant Ă  Pontoise[43].

    Osny dans les beaux-arts

    Camille Pissarro, 1830-1903, Les Chataîgniers à Osny, 1873.

    Osny est un des lieux peints par Camille Pissarro qui y vécut en 1883 et 1884 et représenta la commune dans au moins soixante-dix-huit toiles, et quelques autres peintres impressionnistes ou post-impressionnistes tels Paul Gauguin puis Alexandre-René Véron et William Thornley.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Osny Blason
    D'azur à l'aulne fruité d'or issant d'un nid du même posé sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, une levrette courante du même au collier de gueules bordé et bouclé aussi d'or, brochant sur le fût de l'arbre ; au chef aussi d'azur semé de fleurs de lys d'or brisé d'un lambel d'hermine ; le chef soutenu d'une devise d'argent.
    DĂ©tails
    Il s'agit d' Armes parlantes (rébus : Aulne - nid).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Communes limitrophes d'Osny » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes d'Osny » sur Géoportail..
    3. Météo France - Climatologie
    4. L'aĂ©roport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 30 kilomètres au sud-est en plaine constitue la station de rĂ©fĂ©rence pour le dĂ©partement du Val-d'Oise.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Prévention du bruit des infrastructures de transports terrestres - Législation et réglementation
    14. Classement sonore des infrastructures terrestres du Val-d'Oise
    15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II, Formations non romanes, formations dialectales, Librairie droz, Genève 1991, p. 767, no 13028
    16. Cartulaire de l'Abbaye de Saint Martin de Pontoise .
    17. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    18. Monographie de l'instituteur (1899).
    19. Marie-Thérèse Morlet, NPAG, I, p. 45b.
    20. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    21. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    22. Histoire du Barreau de Pontoise, collectif, tome I (1887-1900), 2005
    23. Scrutin présidentiel de 2007 - Osny
    24. RĂ©sultats officiels pour la commune Osny
    25. « Val-d'Oise (95) - Osny », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    26. Site Pandor, brochure de la fédération de Seine-et-Oise du PCF, juin 1947, p. 55, « Les municipalités à direction communiste ».
    27. « Gourmelen va quitter son fauteuil de maire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    28. « « J'ai été l'un des bâtisseurs de Cergy-Pontoise » : Christian Gourmelen, maire d'Osny pendant quarante ans, passe la main. Le conseil municipal désigne ce matin son successeur », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    29. « Jean-Michel Levesque élu maire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    30. Christophe Lefevre, « Municipales: à Osny, les appétits sont aiguisés : Maire depuis 2011 et la démission de Christian Gourmelen, Jean-Michel Levesque se présente comme tête de liste pour la première fois. Et doit faire face à une gauche unie et une candidature menée par un ancien adjoint », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    31. Jérôme Cavaretta, « Municipales 2020. Osny : Jean-Michel Levesque réélu : Seul candidat en lice, Jean-Michel Levesque a été réélu maire d'Osny », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’abstention culmine à 80 %. Jean-Michel Levesque avait pris la succession de Christian Gourmelen en 2011 ».
    32. « « Osny : égalité femmes-hommes, Paul-Émile-Victor à la pointe » : Le ministre de l’Éducation nationale s’est rendu au lycée d’Osny pour évoquer les actions mises en place par l’établissement en faveur de l’égalité hommes-femmes. », La Gazette du Val d'Oise,‎ (lire en ligne).
    33. « « Au lycée d’Osny, c’est François Hollande qui assure le cours sur l’Europe » : L’ancien président de la République a entamé une tournée nationale auprès des jeunes pour faire de la pédagogie sur l’Union européenne. Le lycée Paul-Emile-Victor est le seul du Val-d’Oise sur sa feuille de route. », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Église Saint-Pierre-aux-Liens », notice no PA00080156, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Jean Aubert, Gondret, Jean Lacassy, M. Lefèvre, Yves Mâchefert-Tassin, M. Mélique et Valérie Jacquemin, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Osny », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 140-146 (ISBN 2-84234-056-6).
    39. « Château de Grouchy », notice no PA00080154, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Page internet du musée sur le site du SDIS 95 », sur http://www.sdis95.fr (consulté le ).
    41. « Château de Grouchy », notice no PA00080155, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Cergy-Pontoise - Description d'Osny
    43. L'Echo Régional, supplément gratuit au N°3106 du 12 septembre 2008 - Guide du Val d'Oise 2008-2009 : Sur la trace des écrivains

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jacques Dupâquier, Osny : du village Ă  la ville, Ă©d. des Etannets, 1997, 303 p.
    • Emmanuelle-Anne Fernandez, Osny au fil du temps… : l'histoire d'Osny et de ses monuments, Ă©d. Val de Viosne, 1995, 103 p.
    • Bernard Hirsch, L’invention d’une ville nouvelle : Cergy-Pontoise, 1965-1975, Paris, Presses de l'Ă©cole nationale des ponts et chaussĂ©es, 2000.

    Articles connexes

    Liens externes

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