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GĂ©nicourt

Génicourt est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France, sur une vaste plaine agricole. Ses habitants sont appelés les Génicourtois.

GĂ©nicourt
GĂ©nicourt
La mairie.
Blason de GĂ©nicourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Sausseron Impressionnistes
Maire
Mandat
Olivier Deslandes
2020-2026
Code postal 95650
Code commune 95271
DĂ©mographie
Gentilé Génicourtois
Population
municipale
514 hab. (2020 en augmentation de 0,59 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 80 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 05′ 00″ nord, 2° 04′ 00″ est
Altitude 103 m
Min. 68 m
Max. 106 m
Superficie 6,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pontoise
LĂ©gislatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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GĂ©nicourt
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GĂ©nicourt
Liens
Site web https://genicourt.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    Sentier au nord du village.

    Le village se situe sur le plateau agricole du Vexin français et dans le Parc naturel régional du même nom, au nord de l'agglomération de Cergy-Pontoise, à 40 kilomètres au nord-ouest de Paris.

    L'aérodrome de Pontoise-Cormeilles jouxte le territoire communal à son extrémité nord-ouest.

    GĂ©nicourt est desservi par :

    Plusieurs ligne du réseau de bus du Vexin desservent le village :

    Communes limitrophes

    Il est bordé par les communes de Livilliers, Osny, Boissy-l'Aillerie, Épiais-Rhus, Grisy-les-Plâtres et Cormeilles-en-Vexin. Génicourt touche en outre à Ennery en un quadripoint, mais ne possède pas de limites communes avec cette ville.

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Urbanisme

    Typologie

    Génicourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6] - [7].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Jherincurt, Gainericorth, Jerincuria au IXe siècle, Gerincorth au XIIe siècle, Gerincort, Genicourt au XIIIe siècle[8].

    Il s'agit, selon les formes anciennes, d'une formation toponymique médiévale en -court au sens ancien de « domaine rural » (terme issu du gallo-roman *CORTE ou *CURTE), précédé d'un nom de personne germanique, comme dans presque tous les cas.

    Ernest Nègre propose l'anthroponyme germanique Gerinus, devenu Genin par attraction de ce dernier nom de personne[9].

    Histoire

    Il est difficile de déterminer depuis quand le territoire de Génicourt est habité, et ce à cause d'un manque de documents sérieux. Des silex taillés et polis ont néanmoins été retrouvés dans les champs environnants le village.

    Génicourt a toujours été un lieu de passage important, voire de campement pour les troupes ennemies qui se dirigeaient vers Pontoise ou Paris aux XVe et XVIe siècle. Le «Château» de Génicourt, a vu des personnalités plus ou moins importantes se relayer à sa porte, comme Nicolas Brûlart en 1605, marquis de Sillery, vicomte de Puisieux, conseiller du Roi et seigneur de Génicourt, Gérocourt et Marines ; ou encore son fils, Pierre Brûlart, qui eut à négocier le mariage de Louis XIII avec Anne d'Autriche. Les Brûlart de Sillery ont donné à Génicourt son blason (voir l'héraldique).

    En 1691, le village est transféré du élection de Gisors à celle de Pontoise, comme de nombreuses autres paroisses. À cette époque, Génicourt est un village agricole prospère qui alimente le moulin de Pontoise en céréales.

    Le , Gérocourt est rattachée à Génicourt[10], petit village situé au nord-ouest de Génicourt sur la RD 22, ce qui augmente la population de la commune de 30 %[11].

    Génicourt a connu son essor surtout au début du XXe siècle. Le village est équipé d'un réseau de distribution d'électricité dès 1914[12]. L'artisanat y était alors relativement développé, la commune accueillant des cultivateurs, un maréchal-ferrant, un tonnelier, un charron, un menuisier et un maçon. La ferme de Gérocourt possédait même sa distillerie et transformait les betteraves en alcool. On pouvait également y voir une petite activité commerciale, avec deux bistrots, un épicier, un débit de tabac et un marchand de lait. Les autres commerçants (boulanger, boucher, charcutier et poissonnier) étaient ambulants.

    Une piscine existait encore il y a quelques annĂ©es et accueillait environ 6 000 visiteurs par mois. Il s'agissait, historiquement parlant, de la première piscine publique du Val-d'Oise ; les bassins avaient en effet Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©s en 1947 et dès 1982, ils Ă©taient couverts. La piscine de GĂ©nicourt offrait alors la possibilitĂ© de bĂ©nĂ©ficier de l'apprentissage de la natation, mais aussi de profiter d'un lieu de loisirs ; elle rendait possible Ă©galement la kinĂ©sithĂ©rapie en milieu aquatique. Cependant, l'Ă©tablissement ne respectant plus les nouvelles normes europĂ©ennes, et le financement des travaux Ă©tant trop lourd, l'avenir de la piscine semblait compromis. La tempĂŞte de dĂ©cembre 1999 causa des dĂ©gâts importants dans le bâtiment et prĂ©cipita sa fermeture.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[13], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1801 à 1976 du canton de Pontoise, année où elle rejoint le canton de la Vallée-du-Sausseron[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Pontoise

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Génicourt est membre fondateur de la communauté de communes Sausseron Impressionnistes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1795 1795 André Lavocat Cultivateur
    1795 1797 Henri Ogier Agent municipal
    1797 1798 Nicolas Aubin Guillard Agent municipal
    1798 1798 Nicolas Fournier Agent municipal
    1798 1799 Pierre Etienne Maitre Agent municipal, cultivateur
    1799 1800 Pierre Roch Caffin Agent municipal
    1800 1821 Claude Séjourné
    1821 1825 Pierre Etienne Maitre
    1825 1831 Claude Séjourné
    1831 1836 Jean François Deaubonne Cultivateur
    1837 1860 Jean Pierre Deschamps
    1861 1891[14] André Rousselle Décédé en fonction
    1891[15] 1911[16] Gustave Rousselle Président de la Société d'agriculture et d'horticulture de Pontoise, fils du précédent
    Décédé en fonction
    1911 1912 Marcel Benard Élu à la suite du décès du précédent[17]
    1912 1929 Henri Durand
    1929 Charles Jorel
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 juillet 2020 Annie Poucet[18] SE
    juillet 2020[19] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Olivier Deslandes

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2020, la commune comptait 514 habitants[Note 3], en augmentation de 0,59 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    177148155198192171189194217
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    228223219218214222228231266
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    222228262268299301324341373
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    331345335373520544528520489
    2015 2020 - - - - - - -
    524514-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 1801, GĂ©nicourt compte 148 habitants et GĂ©rocourt 42.

    Enseignement

    Les enfants du village sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Génicourt, Livilliers et Hérouville. L'école communale Pierre-Lefevre accueille en 2020 les élèves du groupement pour les classes de CE1, CE2, CM1 et CM2[23]

    Culture

    Une bibliothèque est ouverte depuis janvier 1993 dans les locaux du centre socio-culturel et est gĂ©rĂ©e par une Ă©quipe de bĂ©nĂ©voles ; elle offre aux habitants du village ainsi qu'Ă  ceux des communes avoisinantes un accès Ă  plus de 4 000 livres ainsi qu'Ă  des documents multimĂ©dias (cassettes, CD, CD-ROM)[24] dans une surface de 50 m2. Elle est un point de dĂ©pĂ´t de la bibliothèque dĂ©partementale de prĂŞt (BDP) du Val-d'Oise.

    Économie

    Le siège et le dépôt de la STIVO, société de transport en commun exploitant les lignes de bus de l'agglomération de Cergy-Pontoise, sont implantés sur le territoire de la commune. Le village possède également un hôtel des Ventes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Portail sud Renaissance de l'ancienne église du XIIe siècle.

    GĂ©nicourt compte un monument historique sur son territoire :

    • Portail de l'ancienne Ă©glise Saint-Pierre-et-Saint-Paul, rue des Fossettes, près du carrefour avec la RD 79 (classĂ© monument historique par arrĂŞtĂ© du [25]) : Cette Ă©glise a Ă©tĂ© dĂ©molie en 1905, hormis le portail du bas-cĂ´tĂ© sud richement sculptĂ© dans le style de la Renaissance, remontant au XVIe siècle. L'Ă©glise datant des XIIe et XVIe siècles Ă©tait de plan cruciforme avec nef, chĹ“ur rectangulaire, transept plus Ă©troit que le vaisseau central et deux travĂ©es formant deux chapelles latĂ©rales. Mais le manque d'entretien provoqua des dĂ©sordres dans la toiture et dans les murs de cet Ă©difice dus au poids du clocher central. Dès 1830, elle doit ĂŞtre fermĂ©e au culte pour cause de danger. Du fait que GĂ©nicourt ne soit alors pas une paroisse, la restauration ne peut ĂŞtre financĂ©e ni par l'État, ni par le diocèse. Au bout d'une sĂ©ance animĂ©e, le conseil municipal dĂ©cide unanimement de sa destruction en 1904, ce qui ne reste pas sans susciter des polĂ©miques. En effet, ni l'administration dĂ©partementale, ni la commission des antiquitĂ©s et des arts ne sont prĂ©venues. La nouvelle Ă©glise, sans caractère, coĂ»te vraisemblablement beaucoup plus cher que n'aurait coĂ»tĂ© la restauration de l'ancienne. - Outre le portail Renaissance dĂ©jĂ  bouchĂ© au moment de la dĂ©molition de l'Ă©glise, ne restent qu'un contrefort et divers Ă©lĂ©ments rĂ©cupĂ©rĂ©s Ă  l'intĂ©rieur tels que des statues, une pierre tombale, les fonts baptismaux (XVe ou XVIe siècle), les cloches, etc.[26] - [27] - [28].
    • Chapiteau de l'ancienne Ă©glise.
      Chapiteau de l'ancienne Ă©glise.
    • Face intĂ©rieure du portail Renaissance.
      Face intérieure du portail Renaissance.

    On peut Ă©galement signaler :

    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul : Bâtie en remplacement de l'Ă©glise prĂ©cĂ©dente, elle est consacrĂ©e en 1905 et aura occasionnĂ© davantage de frais Ă  la commune que n'aurait coĂ»tĂ© la restauration de l'ancienne Ă©glise. Le nouvel Ă©difice occupe Ă  peu près l'emplacement de l'ancien. Il est de plan rectangulaire avec un chevet plat. Le clocher en charpente s'Ă©lève au-dessus de la façade occidentale, avec une haute flèche couverte d'ardoise. Deux baies abat-son gĂ©melĂ©es sont percĂ©es dans la façade, en dessous du clocher, ce qui donne l'impression de la superposition de deux petits clochers[28].
    • Ancien relais de poste dit la Maison Blanche, près de la RD 15 Ă  l'entrĂ©e ouest du village : Établi sur l'ancienne route nationale 15, il date du XVIIIe siècle et Ă©tait considĂ©rĂ© comme Ă©cart de GĂ©nicourt, avant que l'extension du village ne le fasse fusionner avec de dernier. L'atelier du marĂ©chal-ferrant jouxtait directement le relais de poste.
    • Petit pont de l'Arche, Ă  mi-chemin entre GĂ©nicourt et GĂ©rocourt, Ă  l'est de la RD 22 actuelle : Ce pont du XVIIIe siècle enjambe un ruisseau et provient encore de l'ancienne route royale de Poissy Ă  Beauvais[28].
    • Chapelle Notre-Dame-des-Neiges de GĂ©rocourt : Chapelle privative de la famille BĂ©nard, cultivateurs Ă  GĂ©rocourt, elle remplace une ancienne Ă©glise elle aussi disparue, Ă  l'instar de celle de GĂ©nicourt. Elle est construite en 1856 dans le style nĂ©oroman d'après les plans de l'architecte Charles Brouty, qui lui donne toutefois une dĂ©coration intĂ©rieure de style nĂ©o-Renaissance. La statue de la Vierge Ă  l'Enfant datĂ©e du (XVIe siècle) provient sans doute de l'ancienne Ă©glise. La chapelle abrite Ă©galement le caveau familial des BĂ©nard. Après une pĂ©riode d'abandon, l'Ă©difice est rachetĂ© par la commune qui la fait restaurer[28].
    • Ferme de GĂ©rocourt, 6 rue Saint-Mellon (RD 22) : Grande ferme construite en 1862 pour son propriĂ©taire M. Rousselle, selon des principes architecturaux modernes pour leur Ă©poque. Ainsi, la grange possède Ă  l'intĂ©rieur l'une des premières charpentes Ă  longue portĂ©e, en appliquant une technique d'assemblage des grands arcs mise au point par le colonel Emy. Dans un bâtiment d'exploitation, une structure porteuse en fonte avec une riche ornementation a Ă©tĂ© rĂ©employĂ©e, provenant peut-ĂŞtre de l'une des expositions universelles[28].
    • L'ancienne mairie
      L'ancienne mairie
    • Portail de l'Ă©glise et monument aux morts.
      Portail de l'Ă©glise et monument aux morts.
    • Façade occidentale donnant sur le carrefour.
      Façade occidentale donnant sur le carrefour.
    • Chapelle Notre-Dame-des-Neiges de GĂ©rocourt.
      Chapelle Notre-Dame-des-Neiges de GĂ©rocourt.
    • La ferme de GĂ©rocourt
      La ferme de GĂ©rocourt

    HĂ©raldique

    Blason de GĂ©nicourt Blason
    De gueules à la bande d'or chargée d'un sarment de vigne ondé de sable, auquel sont liés par un anneau cinq barillets du même ordonnés 2 et 3[29].
    DĂ©tails
    Armes de la famille Brulart (XVIIIe siècle).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Catherine Crnokrak, Agnès Somers et Jean-Yves LacĂ´te (photographies), La vallĂ©e du Sausseron : Auvers-sur-Oise — Val d'Oise, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine ĂŽle-de-France et Conseil gĂ©nĂ©ral du Val d'Oise, coll. « Images du patrimoine / Inventaire gĂ©nĂ©ral des monuments et des richesses artistiques de la France », , 84 p. (ISBN 2-905913-09-6), p. 41-46.
    • Louis RĂ©gnier, Excursions archĂ©ologiques dans le Vexin français, première sĂ©rie : GĂ©nicourt, Évreux, Imprimerie de l'Eure, , 278 p. (lire en ligne), p. 37-43, lire en ligne sur Gallica.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « GĂ©nicourt », Ministère de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Communes limitrophes de Génicourt » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Génicourt » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    9. ibidem.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Jean Aubert, La grande histoire du Val-d'Oise, p. 84.
    12. « Génicourt », L'Echo Pontoisien, no 29,‎ , p. 3 (lire en ligne).
    13. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    14. Décédé en fonctions le 12/03/1891 : « Nécrologie - M. André Rousselle », L'Echo Pontoisien, no 12,‎ , p. 1 (lire en ligne)).
    15. « Génicourt », L'Echo Pontoisien, no 25,‎ , p. 2 (lire en ligne).
    16. Décédé en fonctions le 07/10/1911, et inhumé dans un caveau familial à Gérocourt (« Nécrologie », L'Echo Pontoisien, no 41,‎ , p. 2 (lire en ligne)).
    17. « Génicourt », L'Echo Pontoisien, no 49,‎ , p. 3 (lire en ligne).
    18. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
    19. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Frédéric Naizot, « Comme certains villages du Val-d’Oise, Génicourt retrouve ses écoliers : Les locaux ont permis à la commune d’accueillir dès lundi 35 élèves. Les écoliers sont également de retour à Villiers-Adam et Chauvry », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. Notice no PA00080070, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Génicourt, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 157.
    26. « Inventaire général du patrimoine culturel - église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00122318, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. M. Amiot, Yves Breton, Jean-François Humbert, Amélie Marty et Laure Schauinger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Génicourt », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 890-894 (ISBN 2-84234-056-6).
    28. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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