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HĂ©rouville-en-Vexin

Hérouville-en-Vexin (nommée Hérouville jusque fin 2017) est une commune française située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France.

HĂ©rouville-en-Vexin
HĂ©rouville (95), Ă©glise Saint-Clair, vue depuis le sud-ouest.JPG
Blason de HĂ©rouville-en-Vexin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité Communauté de communes Sausseron Impressionnistes
Maire
Mandat
Éric Baert
2020-2026
Code postal 95300
Code commune 95308
DĂ©mographie
Gentilé Hérouvillois
Population
municipale
572 hab. (2020 en diminution de 6,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 68 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 06′ 00″ nord, 2° 08′ 00″ est
Altitude 114 m
Min. 81 m
Max. 120 m
Superficie 8,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Ouen-l'AumĂ´ne
Législatives Première circonscription
Localisation
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HĂ©rouville-en-Vexin
Liens
Site web www.herouville-en-vexin.net

    Ses habitants sont appelés les Hérouvillois. Le château d'Hérouville se trouve sur le territoire de la commune.

    GĂ©ographie

    Vue panoramique sous la neige depuis le rond-point de la RD 927.

    Localisation

    Le village se situe à une dizaine de kilomètres de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, sur la RD 927 et jouxte la commune d'Auvers-sur-Oise.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Hérouville-en-Vexin[1]
    Vallangoujard Labbeville Nesles-la-Vallée
    Livilliers HĂ©rouville-en-Vexin
    Ennery Auvers-sur-Oise
    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Urbanisme

    Typologie

    Hérouville-en-Vexin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6] - [7].

    Toponymie

    Ernest Nègre ne mentionne pas cet Hérouville dans son ouvrage Toponymie générale de la France[8], tandis qu’Albert Dauzat ne cite aucune forme ancienne pour ce toponyme à l'article Hérouville de son dictionnaire[9], signe qu'il n'en connaît pas. Quant à Hippolyte Cocheris, il cite deux formes anciennes Herovilla, Herouvilla en 1249[10] qui sont peu fiables, comme le reste de son dictionnaire topographique déjà ancien[11].

    Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédée d'un anthroponyme selon le cas général[9]. L'absence de formes anciennes fiables oblige à comparer avec Hérouville-Saint-Clair[9] (Calvados, Herulfivilla 1066 et 1083) qui contient manifestement le nom de personne Herulf qui peut à la fois être germanique continental[9], (anglo-)saxon et scandinave. Ernest Nègre ignore Hérouville-en-Vexin faute de formes anciennes qui ne permettent pas de déterminer s'il s'agit du nom de personne germanique Hairulfus (comprendre Hairulf, sans la désinence latine des textes rédigés en latin médiéval) qu'il croit reconnaître dans Hérouville-Saint-Clair ou Hairoldus qui aurait pu également aboutir à Hérou-, ou encore un autre anthroponyme indéterminé.

    La commune nommée Hérouville prend le nom de Hérouville-en-Vexin fin 2017[12], afin d'éviter les homonymies et de souligner son appartenance au Vexin français. L'église paroissiale est dédiée à saint Clair de Beauvaisis, tout comme celle de Hérouville-Saint-Clair.

    Histoire

    Des vestiges archéologiques d'une occupation gauloise ont été retrouvés sous l'église[13].

    Les familles de Montmorency et de Laval y sont implantées dès le XIe siècle. De cette époque date une église sur le lieu-dit « la Haulte butte », mais elle subit un incendie et fut ruinée par les troupes anglaises, vers 1435, durant la guerre de Cent Ans. Elle fut reconstruite au XVe siècle grâce à Jeanne de Laval qui donna aux habitants le terrain et l'argent nécessaire pour commencer les travaux.

    Au début de la Première Guerre mondiale, après la bataille de Senlis, des éclaireurs ulhans allemands sont signalés à Hérouville[14]

    Le château d'Hérouville fut construit en 1740 par l'architecte Gaudot de l'école de Rome. Au XIXe siècle, il servit de relais de poste (entre Versailles et Beauvais) qui comptait une écurie d'une centaine de chevaux. Le compositeur de musiques de films Michel Magne l'achète en 1962 pour y habiter, crée piscine, tennis, tour génoise dans le fond du parc, et s'aménage une splendide salle de musique dans l'aile Nord. Un incendie d'origine criminelle ravage l’aile Nord en 1969. La même année, Michel Magne fait faire d'énormes travaux pour créer un studio dans les combles de l'aile Sud. Compte tenu des frais engagés, il l'ouvre à la clientèle, et crée ainsi le premier studio résidentiel français. Autre première : les artistes anglo-saxons viennent y enregistrer en nombre ! Citons entre autres : Cat Stevens, Pink Floyd, Michael Schenker Group, Eddy Mitchell, Elton John, Rainbow, Iggy Pop, Nino Ferrer, Jacques Higelin, Pierre Vassiliu, T. Rex, Claude Nougaro, les Bee Gees, Fleetwood Mac, Salvatore Adamo, Gilbert Montagné, Jean-Christian Michel y enregistre un disque avec Kenny Clarke -- David Bowie, Dick Rivers et beaucoup d’autres apprécieront également ce lieu magique.

    Le succès est énorme entre 1971 et 1973, puis le château est mis sous administration judiciaire. Les affaires reprennent dès fin 1974, et l'endroit retrouve tout son prestige entre 1976 et 1979, date à laquelle il est vendu aux enchères à un promoteur immobilier. Les activités continuent, mais le château n'est plus à la mode, n'investit plus : la gestion est déficitaire, les finances sont dans le rouge, le propriétaire expulse le studio le .

    1995 : Hérouville, avec 93 autres communes, est membre fondateur du parc naturel régional du Vexin français.

    2003 : le conseil municipal fait la demande officielle du changement du nom de la commune, pour s’appeler dorénavant Hérouville-en-Vexin. La procédure a été refusée.

    2010 : inauguration de la nouvelle mairie et d'une salle polyvalente attenante le .

    2015 : achat du château en janvier par deux ingénieurs du son (Jean Taxis, Thierry Guarracino) et un analyste financier (Stéphane Marchi). Un centre de formation, Sup HD Audio, est créé dans un des anciens studios fin 2015. Deux autres studios d'enregistrement seront prêts courant 2017.

    2016-2017: Le conseil municipal, dans sa séance du , a pris une nouvelle délibération de demande de changement de nom de commune pour s'intituler Hérouville-en-Vexin, à la suite de nouvelles recherches historiques et pour éviter d'être confondu avec Hérouville-Saint-Clair[15]. Ce changement de dénomination est décidé par un décret du [12].

    Politique et administration

    La mairie, rue du Poteau.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Antérieurement à la loi du [16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

    Elle faisait partie de 1806 à 1951 du canton de L'Isle-Adam, année où elle intègre le canton de Pontoise du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Ouen-l'Aumône puis, en 1976, au canton de la Vallée-du-Sausseron[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Saint-Ouen-l'Aumône.

    Intercommunalité

    La commune est membre fondatrice de la communauté de communes Sausseron Impressionnistes, créée fin 2002 sous le nom de communauté de communes de la Vallée du Sausseron.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[18]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1894 1906 Jean Émile Bagnard Cultivateur, Propriétaire
    1906 1910 Albert Caffin Cultivateur
    1910 1919 Henri Laille Cultivateur
    1919 1926 Emile François Bagnard Cultivateur
    Décédé en fonction
    1926 1960 Paul Émile Louis Bagnard Agriculteur
    Décédé en fonction
    1960 juin 1995 Guy Auxance Emile Bagnard GĂ©rant du GFA du Clerbourg
    juin 1995 mars 2014 Dominique Gernay SE
    mars 2014 En cours
    (au 28/08/2020)
    Éric Baert SE Informaticien
    RĂ©Ă©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[19]

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2020, la commune comptait 572 habitants[Note 3], en diminution de 6,54 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    331322359301303297303318323
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    189377308294284279292259260
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    270252259249246215200249233
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    254340319398439598559568605
    2014 2019 2020 - - - - - -
    612576572------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Clair, intérieur.
    Régulièrement orientée, l'édifice observe un plan cruciforme mais occupe une surface rectangulaire au sol, exception faite du chevet polygonal faisant saillie sur la façade orientale. Le vaisseau central s'accompagne de bas-côtés des deux côtés, dont font partie les croisillons du transept, que rien ne distingue extérieurement des travées voisines.
    Au niveau du bras méridional, le toit en appentis est simplement interrompu par des pignons intermédiaires, permettant ainsi de distinguer les limites du croisillon. L'ensemble de l'église est recouvert d'une immense toiture unique à deux rampants, présentant une déclivité moins important au-dessus des bas-côtés.
    Il n'y a que deux pignons, une pour la façade occidentale et une pour la façade du chevet.
    À l'intérieur, l'église se divise en une nef aveugle et non voûtée de quatre travées, accompagnée de ses bas-côtés ; en un transept dont la transept supporte le clocher en bâtière central ; en un chœur de deux travées dont la seconde se termine en hémicycle ; et en deux chapelles latérales dans la continuité des deux croisillons et bas-côtés. La nef représente environ la moitié de la longueur totale de l'édifice.
    De première vue, il semble s'agir d'un édifice homogène du XVe siècle. Effectivement, les façades latérales, la façade du chevet, le clocher et la toiture ont été construits pendant une seule campagne de 1443 à 1468 environ. Mais à l'intérieur, le chœur en cul-de-four est roman, et la nef en grande partie gothique primitif, avec d'intéressants chapiteaux. Le portail extérieur de la chapelle baptismale est exemplaire de l'art gothique flamboyant dans le Vexin français.
    En plus de ces détails, c'est surtout le clocher qui fait l'attrait de l'église. Considéré souvent comme le plus ancien clocher flamboyant du Vexin, il ne reflète que très peu le style de son époque, et constitue dans son ensemble une reproduction du clocher roman primitif, achevé avant le milieu du XIIe siècle et détruit par les Anglais en 1435.
    Cette reconstitution quasiment à l'identique, en faisant appel à un langage architectural d'une époque tout à fait différente, est un cas d'une grande rareté dans l'histoire de l'architecture avant le XIXe siècle[24] - [25] - [26].
    • Vestiges du château, aux n° 4 et 6 rue Georges-Duhamel : En subsistent les deux pavillons nord et sud, qui terminaient les deux ailes latĂ©rales ayant flanquĂ© le corps principal de logis. De style classique, ces pavillons ont un Ă©tage ainsi qu'une mansarde, et les façades assez sĂ©vères avec de hautes fenĂŞtres sont agrĂ©mentĂ©es de bossages aux extrĂ©mitĂ©s.
    Construit en 1740 selon les plans de Gaudot, architecte du roi, pour Ange Pinon, conseiller honoraire de la grande chambre du Parlement de Paris, le château est en grande partie démoli en 1871 après son rachat par un fermier et un marchand de moutons.
    Dans la cour de la ferme du château, face à la grange, se trouvent un intéressant bassin-abreuvoir octogonal, ainsi qu'un vieux puits. L'ancienne enceinte du château reste partiellement visible[27] - [26].
    Un célèbre studio d'enregistrement y fut aménagé en 1969 par le compositeur de musiques de film Michel Magne, et fonctionna jusqu'en 1985[28] - [29] - [30].
    • Ancien relais de poste, dans la grange Ă  cĂ´tĂ© du château : fondĂ© au XIXe siècle par Louis Achille de Brisay, il Ă©tait idĂ©alement situĂ© Ă  mi-chemin entre Beauvais et Versailles et comportait une Ă©curie pour cent chevaux. Cependant, une mauvaise gestion par son propriĂ©taire entraĂ®ne une faillite prĂ©maturĂ©e en 1855[26].
    • Mare-abreuvoir dite la mare Ă  laver Ă  la sortie du village par la RD 928 au nord-ouest.
    Sur les 3 mares qui existaient jadis dans le village, 2 subsistent encore. Cette mare était un lieu de rencontres des femmes qui venaient laver leur linge en papotant. Après les travaux des champs elle servait aussi de pédiluve pour rafraichir les pieds et sabots des chevaux.
    C'est une propriété de la commune qui est alimentée par la récupération et le ruissellement de l'eau pluviale qui coule dans un fossé en pente venant du village. On ne l'a jamais vue à sec. Elle est peuplée de jonc à massette et rubaniers qui ont poussé et grandi après des travaux de curetage indispensables, car la mare se comblait par la vase. La flore et la faune est diversifiée. Le rubanier et d'autres plantes servent à la nidification de la poule d'eau qui trouve en ce lieu tranquillité. La libellule et l'agrion jouvencelle vivent aussi dans ces lieux liés aux zones humides[31].
    • La grille d'entrĂ©e du château au 4, rue Georges-Duhamel.
      La grille d'entrée du château au 4, rue Georges-Duhamel.
    • La grille du château au dĂ©but du XXe siècle.
      La grille du château au début du XXe siècle.
    • Annexe de l'aile Sud du château au 6 rue Georges-Duhamel.
      Annexe de l'aile Sud du château au 6 rue Georges-Duhamel.
    • Mare-abreuvoir dite la mare Ă  laver en bas du village.
      Mare-abreuvoir dite la mare Ă  laver en bas du village.
    • Ancienne croix de cimetière.
      Ancienne croix de cimetière.
    • Monument aux morts Ă  cĂ´tĂ© de l'Ă©glise.
      Monument aux morts à côté de l'église.

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Magne (1930-1984) est propriĂ©taire du château de 1962 Ă  1979 et y habite de 1962 Ă  1973.
    • Jacques Higelin (1940-2018), auteur-compositeur-interprète et comĂ©dien français, est un locataire assidu de l'ancienne Bergerie du château entre 1975 et 1985 et y enregistre quatre albums dont Champagne pour tous (1979)[32].
    • Blanche Albane (1886-1975), actrice de théâtre et occasionnellement de cinĂ©ma au tournant des annĂ©es 1910, meurt le Ă  HĂ©rouville.

    HĂ©raldique

    Armes d'HĂ©rouville

    Les armes d'HĂ©rouville se blasonnent ainsi :
    De gueules à la brebis d'argent paissante sur une terrasse de sinople, surmonté à dextre d'une gerbe de blé d'or et à senestre d'une tête de loup arrachée et cousue de sable, lampassée d'azur ; au chef cousu d'azur semé de fleurs de lys d'or brisé d'un lambel d'hermine

    Hérouville au cinéma, à la radio et à la télévision

    L'émission Métronomique d'Amaury Chardeau du sur France culture a été consacrée au Studio d'Hérouville.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Catherine Crnokrak, Agnès Somers et Jean-Yves LacĂ´te (photographies), La vallĂ©e du Sausseron : Auvers-sur-Oise — Val d'Oise, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine ĂŽle-de-France et Conseil gĂ©nĂ©ral du Val d'Oise, coll. « Images du patrimoine / Inventaire gĂ©nĂ©ral des monuments et des richesses artistiques de la France », , 84 p. (ISBN 2-905913-09-6), p. 50-52
    • G. Duclos, « HĂ©rouville-en-Vexin du XIe au XVIIIe siècle », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, LigugĂ© (Vienne), Imprimerie E. Aubin et fils, vol. 39,‎ , p. 31-91 (ISSN 1148-8107, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Communes limitrophes d'Hérouville » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes d'Hérouville » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 939.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 351.
    10. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    11. Henri Lemoine, « Seine-et-Oise » in Revue des Études Anciennes, Année 1938, 40-2, pp. 152-154
    12. Décret n° 2017-1744 du 22 décembre 2017 portant changement du nom de communes.
    13. Aurélie Foulon, « Des vestiges archéologiques sous l'église d'Hérouville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    14. L'âne en guerre
    15. Anne Collin, « Fatigué d’être confondu, Hérouville veut changer de nom », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (www.leparisien.fr/val-d-oise-95/fatigue-d-etre-confondu-herouville-veut-changer-de-nom-17-04-2016-5723311.php, consulté le ).
    16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Roger Descamp, « Liste des Maires depuis la Révolution », Un peu d'histoire, sur http://www.herouville-en-vexin.net (consulté le ).
    19. « Le nouveau conseil municipal », Bulletin municipal d'Hérouville-en-Vexin,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Notice no PA00080092, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. « Inventaire général du patrimoine culturel - église paroissiale Saint-Clair », notice no IA00122221, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Hérouville, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 177-182.
    26. M. Amiot, Yves Breton, Jean-François Humbert, Amélie Marty et Laure Schauinger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Hérouville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 897-900 (ISBN 2-84234-056-6).
    27. « Le Château dit d'Hérouville », notice no IA00122222, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Le centre de formation du son s'installe au château d'Hérouville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    29. Alexandre Bouche, « Le parc du château d’Hérouville retrouve son éclat d’antan », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    30. Éric Bureau et Bénédicte Agoudetsé, « Le château des rock stars revit à Hérouville : Le château d'Hérouville, près de Paris, où ont enregistré Elton John, David Bowie et Pink Floyd, redevient un studio. Arte lui consacre une nouvelle émission ce vendredi soir », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (www.leparisien.fr/culture-loisirs/le-chateau-des-rock-stars-revit-a-herouville-10-11-2017-7384236.php, consulté le ).
    31. Texte tiré en partie d'un panneau d'explications posé sur le bord de la mare. (Août 2014)
    32. Alexis Campion, « Le château d'Hérouville revit grâce à la musique », Le JDD EUROPE 1 https://www.lejdd.fr/culture/musique/le-chateau-dherouville-revit-grace-a-la-musique-3439574,‎ article du 22/09/2017 (consulté le 03/10/2018)..
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