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Groupe Renaissance

Le groupe Renaissance (abrégé en RE) — dénommé jusqu'en 2022 groupe La République en marche[N 1] — est le groupe parlementaire de l'Assemblée nationale constitué autour du parti Renaissance.

Groupe Renaissance (RE)
Image illustrative de l’article Groupe Renaissance
Chambre Assemblée nationale
Législature(s) XVe et XVIe (Cinquième République)
Fondation
Ancien(s) nom(s) La République En Marche ! (2017-2022)
Partis membres Renaissance
En commun
Parti radical
Horizons
Fédération progressiste
Calédonie ensemble
Générations NC
Présidente Aurore Bergé
Représentation
171 / 577
Positionnement Centre-gauche à centre-droit
Idéologie Social-libéralisme
Fédéralisme européen
Troisième voie
Europhilie
Social-démocratie

Il est constitué à la suite des élections législatives de 2017, qui lui donnent la majorité absolue des sièges durant la XVe législature. Le groupe perd cette majorité le en raison de la constitution d'un nouveau groupe, Écologie démocratie solidarité et connaît la plus forte baisse d'effectif pour un groupe majoritaire sous la Ve République.

Depuis les élections législatives de 2022, il est le principal groupe sous la XVIe législature sans pour autant disposer de la majorité absolue, y compris avec ses alliés.

Activité législative

Vote des lois

Logo de 2017 à 2022

Les lois pour la confiance dans la vie politique sont les premiers textes adoptés, promulgués le . Celles-ci prévoient notamment la suppression de la réserve parlementaire, la prévention des conflits d’intérêt et un contrôle renforcé de l’indemnité représentative de frais de mandat.

Début 2018, à l’approche de la présentation du projet de loi asile-immigration par Gérard Collomb, une centaine de députés LREM s'oppose à une proposition de loi souhaitée par le gouvernement et portant sur les conditions du placement en centre de rétention des étrangers soumis au règlement européen sur l’asile[2]. Contexte relève que « c’est la première fois qu’un groupe de parlementaires LRM dépose des amendements contre l’avis du gouvernement et les défend en commission et dans l’hémicycle, exprimant ainsi publiquement un désaccord politique »[3]. Lors du vote final en première lecture du projet de loi asile et immigration, le député Jean-Michel Clément vote contre et quitte le groupe LREM[4]. Par ailleurs, 14 députés LREM s'abstiennent sur ce vote[5]. Mediapart ajoute que 99 députés LREM « n’ont pas participé au vote, dont une partie pour ne pas se prononcer sur un projet de loi qu’elles n’approuvaient pas »[5].

En , la députée Aina Kuric vote contre le projet de loi asile et immigration en deuxième lecture en raison de l'amendement ajouté qui modifie les conditions d'accès à la nationalité française à Mayotte[6] - [7], ce qui lui vaut un avertissement[8].

En , le groupe connaît un record d'abstention (50 députés de la majorité) lors du vote de la « loi anti-casseurs »[9]. Ce record est battu en avec le vote de ratification de l'Accord économique et commercial global, dit CETA : 52 députés LREM s'abstiennent, et neuf votent contre[10] - [11]. Gilles Le Gendre assure cependant qu'il ne procédera pas à l'exclusion de ces neuf députés, indiquant : « L’exclusion est réservée à des cas précis prévus par [le] nouveau règlement intérieur. En l’occurrence, voter contre le budget, la confiance au gouvernement ou avoir une expression clairement identifiée comme contraire à la charte [du] groupe[12] ». En , le groupe connaît un nouveau record d'oppositions et d'abstentions à un texte : seulement 175 des 271 membres votent en faveur du texte prévoyant la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes pour la filière betteraves ; 32 votent contre et 36 s'abstiennent[13].

Exceptionnellement, les députés LREM se voient accorder la liberté de vote sur le projet de loi bioéthique[14]. Lors du vote en deuxième lecture, où la plupart des groupes avait accordé la liberté de vote à ses députés[15], le groupe LREM avait selon le site Datan un taux de cohésion[16] de 0,73[17], un taux particulièrement faible (45 députés LREM ont voté pour, 7 contre et 3 se sont abstenus).

Volume d'activité

Après six mois de législature, un classement établi par Capital situe La République en marche ! comme le parti dont les députés sont les moins actifs en moyenne[18]. Les députés du groupe contestent la méthodologie de ce classement, qui serait structurellement plus favorable aux groupes d'opposition selon eux[19].

Après un an de législature, Contexte, s'appuyant sur sa comparaison « des données de l’Assemblée sur l’activité parlementaire entre la première année des députés marcheurs (juin 2017-juin 2018) et celle des élus socialistes de l’ère Hollande (juin 2012-juin 2013) », estime que « l’arrivée massive des nouveaux députés macroniens à l’Assemblée en juin 2017 a juste entraîné une accélération du rythme de travail, pas une révolution des pratiques »[20]. À la même période, Les Jours indique que la moyenne du taux de présence aux votes de l'Assemblée du groupe LREM est de 26 % ; il est le groupe le plus présent après celui de La France insoumise[21]. Les députés sortants sont, en moyenne, beaucoup plus absents que ceux élus pour la première fois en 2017[21].

Amendements

Au début de la législature, les membres du groupe REM ont interdiction, selon l'article 16 de leur règlement, de signer des amendements proposés par d'autres groupes, y compris alliés, sous peine de sanctions[22] - [23]. Cette interdiction avait été mise en place par Bruno Le Roux au sein du groupe socialiste, en 2012[23]. Tous les amendements du groupe doivent être soumis à des « réunions de balayage » dirigées par le coordinateur du groupe sur le texte, les députés ne déposant leur amendement que s’il est validé[24] : ce dispositif a lui aussi été copié sur celui du groupe socialiste de la précédente législature[25]. Contexte indique en que « depuis le début de la législature, aucun responsable de texte n’a été mis sérieusement en difficulté par la pression des députés de base » lors de ces réunions de balayage[25].

Le groupe s'affranchit parfois de l'avis du gouvernement sur ses amendements : Mediapart relève ainsi que « dans un bras de fer au sujet du budget du Centre national pour le développement du sport (CNDS), les députés avaient réussi à faire plier l’exécutif » ; de même, ils parviennent, en , « contre l’avis du gouvernement, à faire interdire la rémunération des assistants parlementaires par les lobbies »[26]. En , en comparaison avec la première année du groupe PS en 2012-2013, Contexte observe que « le nombre d’amendements déposés et adoptés est aussi en hausse, notamment de la part de la majorité. Sur les 11 premiers mois d’activité, la majorité LRM-Modem a déposé 9 582 amendements, contre 4 403 pour la période 2012-2013, selon notre analyse »[20].

Selon Contexte qui cite « plusieurs observateurs », le classement de Capital de « a fait basculer les pratiques. Cet article répertoriait le nombre d’amendements déposés et de prises de parole en séance et en commission. Pour avoir respecté les règles de fonctionnement du groupe, de nombreux députés de la majorité se sont retrouvés mal évalués et critiqués sur le terrain par leurs électeurs. La réaction a été immédiate. Les élus LRM ont commencé à déposer des amendements de manière individuelle, au point d’amener le groupe à réfléchir, en juin, à revoir son dispositif, désormais dépassé »[20].

Le dépôt d'amendements individuels par des députés du groupe LREM augmente dans les semaines qui suivent l'adoption de la loi asile-immigration, au point que Richard Ferrand confie à deux de ses proches, les députés Gilles Le Gendre et Pacôme Rupin, la mission de réfléchir à la façon d’en réduire le nombre[27].

En , après que Marc Fesneau, candidat du groupe MoDem à la présidence de l'Assemblée, a recueilli les voix de certains députés du groupe LREM au détriment de Richard Ferrand, Christophe Castaner, délégué général du parti et ministre des Relations avec le Parlement, accepte que les députés MoDem puissent cosigner des amendements de députés LREM[28]. En , dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de budget pour 2019, l'Assemblée nationale adopte de justesse (par 22 voix contre 20) un amendement du groupe MoDem excluant l'huile de palme de la liste des biocarburants, contre l'avis du gouvernement et du rapporteur général : le groupe MoDem obtient en effet le soutien de tous les groupes d'opposition ainsi que 5 LREM, le groupe UDI, Agir et indépendants étant partagé[29].

En , dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), 34 députés LREM menés par Jean-François Cesarini défendent un amendement visant à rendre plus progressive la hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) : celui-ci est adopté en commission des Affaires sociales grâce au renfort de députés de l’opposition et de certains MoDem, contre l’avis du groupe LREM et du rapporteur général du PLFSS, Olivier Véran, ce qui occasionne « un remontage des bretelles » de la part de Gilles Le Gendre, président du groupe LREM. Pour Libération, cet amendement vient « torpiller les efforts déployés par le gouvernement pour tenter de refermer une bonne fois pour toutes l’épineux dossier CSG » alors que « cette mesure, en vigueur depuis le 1er janvier 2018, est emblématique du début du quinquennat »[30].

Relations au sein du groupe

La presse fait état durant l'été 2017 d'une cohabitation difficile entre les 27 députés réélus et ceux élus pour la première fois, les premiers regrettant que les seconds ne cherchent pas à s'appuyer sur leur expérience[31]. Des députés d'autres formations jugent le groupe majoritaire « apathique » et peu enclin à débattre des amendements[32].

Dès , la gestion du président Richard Ferrand est contestée et ses inflexions pour préserver la réserve parlementaire ou remettre en cause le projet d'obliger les candidats à une élection à avoir un casier judiciaire vierge mal comprises[33].

À partir de l'été 2018, la presse observe une dégradation des relations au sein du groupe LREM, visible à travers des amendements votés contre l’avis du gouvernement, des tentatives d’infléchir la ligne à gauche ou vers plus d’écologie, des rivalités internes plus fortes pour les postes à responsabilités, ou encore une démobilisation croissante lors de la réunion hebdomadaire du groupe ou aux séances de questions d’actualité[34] - [35]. Le Huffington Post indique que « s'ils ont pu remettre en cause la gestion de l'affaire Benalla par l'Élysée ou si certains ont émis des doutes sur la manière avec laquelle le dossier Aquarius a été géré, aucun parlementaire LREM ne critique frontalement Emmanuel Macron », contrairement aux députés frondeurs de la précédente législature qui étaient « très structurés avec des leaders et un courant qui pesait au sein du parti »[34]. Contexte indique que « contrairement au groupe PS entre 2012 et 2017, les marcheurs ne sont pas structurés en courants politiques. Les coalitions se montent de manière informelle, au gré des textes, mais également des rencontres dans les couloirs ou des affinités préexistantes »[25].

Collectifs

Fin 2017, un groupe d'une trentaine de députés se forme autour de Brigitte Bourguignon : celui-ci revendique une « fibre sociale » et apparaît comme l'aile gauche du groupe parlementaire[36]. Sonia Krimi prend la tête de ce groupe à l'automne 2018[37]. En , un « Collectif social-démocrate », compose d'une vingtaine de députés, se crée au sein du groupe avec pour objectif d'en réunir l'aile gauche[38] - [39].

En , des députés du groupe LREM tentent de créer derrière François-Michel Lambert et Paul Molac un nouveau groupe parlementaire, plus impliqué sur les questions de changement climatique[40]. Cette démarche aboutit à la création du groupe Libertés et territoires à la rentrée.

En , une vingtaine de députés LREM élus en milieu rural créent, à l'initiative de Benoît Simian, le « Cercle girondin LREM » : celui-ci vise à répondre à la critique du « manque d’ancrage local de la majorité »[41].

En , un groupe de députés LREM fait part publiquement, sur Twitter, de son profond désaccord à l'égard de la proposition de Jean-Michel Blanquer d'instaurer des sanctions financières contre les familles d’adolescents à problèmes : selon Mediapart, « c’est la première fois que, dans le même temps, un tel collectif informel de parlementaires prend la parole de manière concomitante sur les réseaux sociaux »[42].

Plusieurs membres et anciens membres du groupe majoritaire fondent en un groupe parlementaire dissident, Écologie, démocratie et solidarité. Ils sont menés par Matthieu Orphelin et Paula Forteza[43].

Au sein du groupe se crée en 2020 le mouvement « En Commun ! », d'abord constitué comme association puis comme parti politique, tout en restant membre de la majorité. Situé sur l'aile gauche de la majorité, à connotation écologique et sociale, il compte en environ 500 adhérents payants, dont une cinquantaine de parlementaires. Il est présidé par Philippe Hardouin, un dirigeant d'entreprise, et compte trois vice-présidents : Barbara Pompili, Hugues Renson et Jacques Maire[44].

Élections internes

En , à mi-mandat, quelque 90 députés de la majorité présidentielle sont candidats aux 22 postes remis en jeu au sein du groupe[45]. La plupart des sortants aux postes importants sont réélus, le renouvellement intervenant sur des fonctions de second rang : les sept postes de secrétaire siégeant au bureau de l'Assemblée changent de titulaire[46] - [47].

Composition

Après avoir compté 314 députés au début de la législature, le groupe LREM en compte 268 en , (266 membres et apparentés)[48] - [49] - [50]. Il s'agit d'une baisse record pour un groupe majoritaire sous la Ve République[48]. Le groupe perd la majorité absolue en [48].

Parmi les candidats présentés aux élections législatives 2017, 52 % appartenaient à la société civile et n'avaient jamais exercé de mandat électif[51].

Ces élections législatives vont avoir pour principal écho : le renouvellement significatif de l'Assemblée et de ses 577 membres. Avec 308 Ã©lus, La République en marche revendique deux tiers des nouveaux députés, soit 281 sur 424 novices[52]. Selon Le Parisien, au début de la législature, 169 députés LREM n'ont jamais exercé le moindre mandat (et 98 d'entre eux n'ont aucune couleur politique connue) ; la gauche (PS, PRG, écologistes, DVG) est de loin la plus représentée des tendances avec 126 députés, dont 83 ont été élus ou ont eu une activité partisane sous la bannière socialiste ; enfin, 48 Ã©lus viennent de la droite (UDI, LR, DVD) et 17 des centristes[53]. 77 députés LREM sont des anciens élus et/ou militants socialistes[54]. Le groupe est composé à 10 % de chefs d’entreprise et à 21 % de cadres du privé[55].

Le premier secrétaire général du groupe LREM, Jérôme Taillé-Rousseau, était auparavant secrétaire général-adjoint du groupe socialiste à l'Assemblée[23]. Après l'élection de Gilles Le Gendre à la présidence en , il est remplacé par Pierre Herrero, ex-directeur de cabinet à l’École polytechnique[57].

Effectifs et dénomination

Législature Année Nom Nombre
de membres
Nombre
d’apparentés
Nombre
de députés
Évolution Pourcentage
XVe 2017 La République en marche 309 5 314 - 54,42 %
2022 (fév.) 263 4 267 −47 46,27 %
XVIe 2022 (juin) Renaissance 168 4 172 −95 29,81 %

Organisation

Liste des présidents successifs

Portrait Nom Dates du mandat Notes
Richard Ferrand Député du Finistère, il est élu en 2017 et devient le premier président du groupe LREM à l'Assemblée national. Il quitte cette fonction en 2018 lorsqu'il est élu Président de l'Assemblée nationale.
Gilles Le Gendre Député de Paris, il est élu président en 2018 puis réélu en 2019. Il quitte cette fonction en 2020.
Christophe Castaner Député des Alpes-de-Haute-Provence, il est élu président en 2020. Il perd son mandat de député lors de l'élection législative de 2022.
Aurore Bergé En fonction Députée des Yvelines, elle est élue présidente du groupe désormais nommé Renaissance en 2022.

Élection du président du

Candidat Premier tour
Voix %
Gilles Le Gendre 161 54,58
Florent Boudié 76 25,76
Olga Givernet 28 9,49
Perrine Goulet 17 5,76
Christophe Jerretie 12 4,07
Stéphanie Do 1 0,34

Élection du président des 9 et

Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Christophe Castaner 97 35,06 145 54,72
Aurore Bergé 81 30,11 120 45,28
François de Rugy 59 21,93
Coralie Dubost 26 9,67
Patrice Anato 6 2,23

Élection du président du

Candidat Premier tour
Voix %
Aurore Bergé 88 57,5
Guillaume Vuilletet 29 18,95
Rémy Rebeyrotte 25 16,34
Stella Dupont 11 7,19

Présidentes déléguées

Période Identité Parti Qualité
22 juin 2022 Aurore Bergé LREM Présidente du groupe LREM (depuis 2022)
Coralie Dubost LREM

Vice-présidents

Trésoriers

Période Identité Parti Qualité
Pacôme Rupin LREM Député de la 7e circonscription de Paris (2017-2022)
Stéphanie Do Députée de la 10e circonscription de Seine-et-Marne (2017-2022)
Stella Dupont LREM puis EC Députée de la 2e circonscription de Maine-et-Loire (depuis 2017)
en cours Béatrice Piron LREM puis RE Députée de la 3e circonscription des Yvelines (depuis 2017)
Xavier Roseren Député de la 6e circonscription de la Haute-Savoie (depuis 2017)

Secrétaires généraux

  • 2017-2018 : Jérôme Taillé-Rousseau
  • 2018-2020 : Pierre Herrero
  • 2020-2022 : Fanny Le Luel
  • depuis 2022 : Deborah Abisror-de Lieme

Porte-paroles

Membres

Liste des membres
Parti Nom Circonscription
RE Caroline Abadie 8e circonscription de l'Isère
Damien Adam 1re circonscription de la Seine-Maritime
Sabrina Agresti-Roubache 1re circonscription des Bouches-du-Rhône
David Amiel 13e circonscription de Paris
Pieyre-Alexandre Anglade 4e circonscription des Français établis hors de France
Jean-Philippe Ardouin 3e circonscription de la Charente-Maritime
Antoine Armand 2e circonscription de la Haute-Savoie
Claire Guichard 10e circonscription des Hauts-de-Seine
Belkhir Belhaddad 1re circonscription de la Moselle
Aurore Bergé 10e circonscription des Yvelines
Chantal Bouloux 2e circonscription des Côtes-d'Armor
Éric Bothorel 5e circonscription des Côtes-d'Armor
Florent Boudié 10e circonscription de la Gironde
Bertrand Bouyx 5e circonscription du Calvados
Pascale Boyer 1re circonscription des Hautes-Alpes
Yaël Braun-Pivet 5e circonscription des Yvelines
Maud Bregeon 13e circonscription des Hauts-de-Seine
Anthony Brosse 5e circonscription du Loiret
Danielle Brulebois 1re circonscription du Jura
Stéphane Buchou 3e circonscription de la Vendée
Céline Calvez 5e circonscription des Hauts-de-Seine
Éléonore Caroit 2e circonscription des Français établis hors de France
Thomas Cazenave 1re circonscription de la Gironde
Jean-René Cazeneuve 1re circonscription du Gers
Pierre Cazeneuve 7e circonscription des Hauts-de-Seine
Émilie Chandler 1re circonscription du Val-d'Oise
Christine Cloarec 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine
Fabienne Colboc 4e circonscription d'Indre-et-Loire
François Cormier-Bouligeon 1re circonscription du Cher
Laurence Cristol 3e circonscription de l'Hérault
Dominique Da Silva 7e circonscription du Val-d'Oise
Vincent Ledoux 10e circonscription du Nord
Julie Delpech 1re circonscription de la Sarthe
Frédéric Descrozaille 1re circonscription du Val-de-Marne
Benjamin Dirx 1re circonscription de Saône-et-Loire
Nicole Dubré-Chirat 6e circonscription de Maine-et-Loire
Sophie Errante 10e circonscription de la Loire-Atlantique
Marc Ferracci 6e circonscription des Français établis hors de France
Jean-Marie Fiévet 3e circonscription des Deux-Sèvres
Jean-Luc Fugit 11e circonscription du Rhône
Anne Genetet 11e circonscription des Français établis hors de France
Raphaël Gérard 4e circonscription de la Charente-Maritime
Hadrien Ghomi 8e circonscription de Seine-et-Marne
Éric Girardin 3e circonscription de la Marne
Olga Givernet 3e circonscription de l'Ain
Guillaume Gouffier-Cha 6e circonscription du Val-de-Marne
Carole Grandjean 1re circonscription de Meurthe-et-Moselle
Fanta Berete 12e circonscription de Paris
Jean-Carles Grelier 5e circonscription de la Sarthe
Caroline Yadan 3e circonscription de Paris
Marie Guévenoux 9e circonscription de l'Essonne
Benjamin Haddad 14e circonscription de Paris
Nadia Hai 7e circonscription des Yvelines
Yannick Haury 9e circonscription de la Loire-Atlantique
Alexandre Holroyd 3e circonscription des Français établis hors de France
Sacha Houlié 2e circonscription de la Vienne
Monique Iborra 6e circonscription de la Haute-Garonne
Alexis Izard 3e circonscription de l'Essonne
Jean-Michel Jacques 6e circonscription du Morbihan
Caroline Janvier 2e circonscription du Loiret
Guillaume Kasbarian 1re circonscription d'Eure-et-Loir
Fadila Khattabi 3e circonscription de la Côte-d'Or
Brigitte Klinkert 1re circonscription du Haut-Rhin
Daniel Labaronne 2e circonscription d'Indre-et-Loire
Emmanuel Lacresse 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Amal Amélia Lakrafi 10e circonscription des Français établis hors de France
Michel Lauzzana 1re circonscription de Lot-et-Garonne
Pascal Lavergne 12e circonscription de la Gironde
Sandrine Le Feur 4e circonscription du Finistère
Didier Le Gac 3e circonscription du Finistère
Gilles Le Gendre 2e circonscription de Paris
Annaïg Le Meur 1re circonscription du Finistère
Nicole Le Peih 3e circonscription du Morbihan
Fabrice Le Vigoureux 1re circonscription du Calvados
Marie Lebec 4e circonscription des Yvelines
Mathieu Lefèvre 5e circonscription du Val-de-Marne
Christopher Weissberg 1re circonscription des Français établis hors de France
Brigitte Liso 4e circonscription du Nord
Jean-François Lovisolo 5e circonscription de Vaucluse
Sylvain Maillard 1re circonscription de Paris
Laurence Maillart-Méhaignerie 2e circonscription d'Ille-et-Vilaine
Louis Margueritte 5e circonscription de Saône-et-Loire
Christophe Marion 3e circonscription de Loir-et-Cher
Sandra Marsaud 2e circonscription de la Charente
Didier Martin 1re circonscription de la Côte-d'Or
Denis Masséglia 5e circonscription de Maine-et-Loire
Stéphane Mazars 1re circonscription de l'Aveyron
Graziella Melchior 5e circonscription du Finistère
Ludovic Mendes 2e circonscription de la Moselle
Paul Midy 5e circonscription de l'Essonne
Benoît Mournet 2e circonscription des Hautes-Pyrénées
Karl Olive 12e circonscription des Yvelines
Nicolas Pacquot 3e circonscription du Doubs
Sophie Panonacle 8e circonscription de la Gironde
Astrid Panosyan-Bouvet 4e circonscription de Paris
Didier Paris 5e circonscription de la Côte-d'Or
Charlotte Parmentier-Lecocq 5e circonscription du Nord
Emmanuel Pellerin 9e circonscription des Hauts-de-Seine
Patrice Perrot 2e circonscription de la Nièvre
Anne-Laurence Petel 14e circonscription des Bouches-du-Rhône
Béatrice Piron 3e circonscription des Yvelines
Claire Pitollat 2e circonscription des Bouches-du-Rhône
Jean-Pierre Pont 5e circonscription du Pas-de-Calais
Éric Poulliat 6e circonscription de la Gironde
Natalia Pouzyreff 6e circonscription des Yvelines
Robin Reda 7e circonscription de l'Essonne
Véronique Riotton 1re circonscription de la Haute-Savoie
Stéphanie Rist 1re circonscription du Loiret
Marie-Pierre Rixain 4e circonscription de l'Essonne
Xavier Roseren 6e circonscription de la Haute-Savoie
Jean-François Rousset 3e circonscription de l'Aveyron
Thomas Rudigoz 1re circonscription du Rhône
Laëtitia Saint-Paul 4e circonscription de Maine-et-Loire
Mikaele Seo Circonscription de Wallis-et-Futuna
Bertrand Sorre 2e circonscription de la Manche
Violette Spillebout 9e circonscription du Nord
Bruno Studer 3e circonscription du Bas-Rhin
Liliana Tanguy 7e circonscription du Finistère
Sarah Tanzilli 13e circonscription du Rhône
Jean Terlier 3e circonscription du Tarn
Prisca Thevenot 8e circonscription des Hauts-de-Seine
Huguette Tiegna 2e circonscription du Lot
Annie Vidal 2e circonscription de la Seine-Maritime
Patrick Vignal 9e circonscription de l'Hérault
Corinne Vignon 3e circonscription de la Haute-Garonne
Jean-Marc Zulesi 8e circonscription des Bouches-du-Rhône
Charlotte Goetschy-Bolognese 5e circonscription du Haut-Rhin
Constance Le Grip 6e circonscription des Hauts-de-Seine
Patricia Lemoine 5e circonscription de Seine-et-Marne
Charles Rodwell 1re circonscription des Yvelines
Charles Sitzenstuhl 5e circonscription du Bas-Rhin
Lionel Vuibert 1re circonscription des Ardennes
Mounir Belhamiti 1re circonscription de la Loire-Atlantique
Guillaume Vuilletet 2e circonscription du Val-d'Oise
Éric Alauzet 2e circonscription du Doubs
Clara Chassaniol 7e circonscription de Paris
Anne Brugnera 4e circonscription du Rhône
Lionel Causse 2e circonscription des Landes
Laurence Heydel Grillere 2e circonscription de l'Ardèche
Jacqueline Maquet 2e circonscription du Pas-de-Calais
Lysiane Métayer 5e circonscription du Morbihan
Marjolaine Meynier-Millefert 10e circonscription de l'Isère
Philippe Sorez 1re circonscription de l'Hérault
Michèle Peyron 9e circonscription de Seine-et-Marne
Rémy Rebeyrotte 3e circonscription de Saône-et-Loire
Stéphane Travert 3e circonscription de la Manche
Servane Hugues 1re circonscription de l'Isère
Quentin Bataillon 1re circonscription de la Loire
Xavier Batut 10e circonscription de la Seine-Maritime
Françoise Buffet 4e circonscription du Bas-Rhin
Yannick Chenevard 1re circonscription du Var
Philippe Fait 4e circonscription du Pas-de-Calais
Pierre Henriet 5e circonscription de la Vendée
Lionel Royer-Perreaut 6e circonscription des Bouches-du-Rhône
Éric Woerth 4e circonscription de l'Oise
Horizons Freddy Sertin 6e circonscription du Calvados
PRV Joël Giraud 2e circonscription des Hautes-Alpes
FP Christine Decodts 13e circonscription du Nord
CE Philippe Dunoyer 1re circonscription de Nouvelle-Calédonie
GNC Nicolas Metzdorf 2e circonscription de Nouvelle-Calédonie
Liste des apparentés
Représentation partisane

Sous la XVe législature

Identité visuelle

  • Première version du logotype (2017-2022).
    Première version du logotype (2017-2022).
  • Seconde version du logotype (2022).
    Seconde version du logotype (2022).
  • Troisième version du logotype depuis 2022).
    Troisième version du logotype depuis 2022).

Notes et références

Notes

  1. Souvent abrégé en LREM (Le Figaro, Libération), REM, LRM (Le Monde) ou LaREM[1].

Références

  1. « Communiqué de presse : nouveaux statuts de LaREM », sur en-marche.fr, .
  2. Manon Rescan, « Asile : la fronde anti-Collomb gronde au sein de la majorité », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  3. Samuel Le Goff, « Les députés LRM entrent progressivement dans le moule parlementaire », sur contexte.com, (consulté le ).
  4. Agence France-Presse, « Loi asile : Jean-Michel Clément quitte la majorité après avoir voté contre le texte », sur Le Point, (consulté le ).
  5. Manuel Jardinaud, « A l’Assemblée, le groupe LREM secoué par son « aile gauche », sur Mediapart, (consulté le ).
  6. Alexandre Boudet, « Aina Kuric, nouvelle frondeuse au sein du groupe LaREM », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  7. « Une députée LREM en passe d'être exclue du groupe pour avoir voté contre le projet de loi immigration », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  8. Arthur Berdah, « Ferrand épargne la députée LaREM qui a voté contre la loi asile-immigration », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  9. « Loi anti-casseurs: abstention record des députés LREM à l'Assemblée », sur rfi.fr, (consulté le ).
  10. « Le CETA voté par l'Assemblée : record d'abstention chez LREM », Marianne,‎ (lire en ligne).
  11. Elisa Perrigueur, « Le Ceta est adopté par l’Assemblée nationale », mediapart.fr, (consulté le ).
  12. « Gilles Le Gendre : « La cohésion est un objectif constant, pas une crainte » », Le Figaro, no 23310,‎ , p. 5 (lire en ligne, consulté le ).
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