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Aurore Bergé

Aurore Bergé, née le à Paris, est une femme politique française.

Aurore Bergé
Illustration.
Aurore Bergé en 2017.
Fonctions
Présidente du groupe Renaissance
à l'Assemblée nationale
En fonction depuis le
(1 an et 8 jours)
Élection 22 juin 2022
LĂ©gislature XVIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Prédécesseur Christophe Castaner
Députée française
En fonction depuis le
(6 ans et 15 jours)
Élection 18 juin 2017
RĂ©Ă©lection 19 juin 2022
Circonscription 10e des Yvelines
LĂ©gislature XVe et XVIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique RE
Prédécesseur Jean-Frédéric Poisson
ConseillĂšre rĂ©gionale d'Île-de-France
En fonction depuis le
(2 ans et 5 jours)
Élection 27 juin 2021
Circonscription Yvelines
Président Valérie Pécresse
Porte-parole de La RĂ©publique en marche[1]
–
(1 an, 7 mois et 28 jours)
Président Stanislas Guerini
Présidente déléguée du groupe LREM
à l'Assemblée nationale
–
(1 an, 8 mois et 24 jours)
Avec Coralie Dubost
Président Christophe Castaner
Prédécesseur Fonction créée
Successeur Fonction supprimée
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Paris (France)
Nationalité Française
Parti politique UMP (2002-2015)
LR (2015-2017)
LREM (2017-2022)
RE (depuis 2022)
PĂšre Alain Dorval
Conjoint Nicolas Bays (2009-2015)[2]
DiplÎmée de IEP de Paris
Site web auroreberge.fr

D'abord cadre de l'Union pour un mouvement populaire puis des Républicains, elle est élue conseillÚre municipale de Magny-les-Hameaux et conseillÚre de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines en 2014.

Elle rejoint Emmanuel Macron au cours de la campagne prĂ©sidentielle de 2017. Elle est Ă©lue dĂ©putĂ©e de la 10e circonscription des Yvelines lors des Ă©lections lĂ©gislatives de 2017. À l'AssemblĂ©e nationale, elle est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation. Elle est porte-parole de LREM, chargĂ©e de la cellule « riposte », de Ă  .

TĂȘte de liste LREM dans les Yvelines pour les Ă©lections rĂ©gionales de 2021 en Île-de-France, elle est Ă©lue conseillĂšre rĂ©gionale.

Elle devient en 2020 prĂ©sidente dĂ©lĂ©guĂ©e du groupe LREM Ă  l'AssemblĂ©e nationale, chargĂ©e du travail lĂ©gislatif, et aprĂšs sa rĂ©Ă©lection en 2022, prĂ©sidente du mĂȘme groupe.

Famille et parcours Ă©tudiant

Son pÚre, Alain Bergé (dit Alain Dorval), a commencé sa carriÚre dans le théùtre avant de s'orienter vers le doublage de voix. Il incarne la voix française de Sylvester Stallone.

Sa mĂšre, Dominique Dumont, prĂȘte sa voix Ă  Katherine Kelly Lang dans la sĂ©rie Amour, Gloire et BeautĂ©[3] - [4] - [5]. Elle joue Ă©galement la voix de Mariska Hargitay dans la sĂ©rie New York, unitĂ© spĂ©ciale.

Aurore Bergé s'intéresse trÚs tÎt à la politique[6].

Elle grandit dans le département des Yvelines, à Versailles[3] et Méré[7].

Elle effectue sa scolaritĂ© Ă  Versailles, d'abord Ă  l'Ă©cole Colonel-de-Bange puis au lycĂ©e privĂ© Saint-Jean-Hulst[8]. Elle Ă©tudie Ă  Sciences Po Paris, oĂč elle obtient un master affaires publiques (promotion 2009)[9], fait des stages auprĂšs de dĂ©putĂ©s europĂ©ens, notamment auprĂšs de Roselyne Bachelot au Parlement europĂ©en, puis est embauchĂ©e par une agence de communication, Agence Publics d'abord, l'agence qui a organisĂ© tous les grands meetings de Nicolas Sarkozy lors de la prĂ©sidentielle 2012, puis chez Spintank, auprĂšs de Nicolas Vanbremeersch, et Hopscotch, en tant que directrice de clientĂšle[3] - [5].

En 2007, elle rencontre Nicolas Bays, alors collaborateur parlementaire[10], dans les couloirs du Parlement européen et se marie avec lui en à Wingles. Le couple choisit comme témoins Roselyne Bachelot, alors ministre de la Santé et des Sports, et Pierre Moscovici, alors député[11]. Ils n'hésitent alors pas à médiatiser leur couple qui partage des opinions politiques opposées[10]. Ils divorcent en 2015[3].

En , il est révélé qu'elle est enceinte de son premier enfant [12], une fille, Victoire qui naßt le ; son compagnon, Grégory Besson-Moreau, est déjà le pÚre de deux enfants d'une précédente union[13].

CarriĂšre

Communication

Elle a travaillé dans trois agences de communication et de lobbying : Spintank, Agence Publics et Hopscotch Groupe[14] - [15].

DĂ©buts Ă  l'UMP et LR

Elle adhĂšre Ă  l'Union pour un mouvement populaire (UMP) Ă  l'Ăąge de 16 ans, Ă  la suite de la prĂ©sence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2002[6]. Elle est responsable des Jeunes Populaires dans le dĂ©partement des Yvelines entre 2005 et 2008[5], nommĂ©e par le prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des Yvelines Pierre BĂ©dier et Ă©voluant sous l'Ă©gide de ValĂ©rie PĂ©cresse, prĂ©sidente de la fĂ©dĂ©ration UMP du dĂ©partement[16].

En 2004, elle milite à Sciences Po Paris dans les rangs de l'Union nationale inter-universitaire (UNI), un syndicat étudiant classé à droite.

En 2008, elle se présente une premiÚre fois à la présidence des Jeunes Populaires avec Mathieu Guillemin mais décide finalement de retirer sa candidature[17] et de rallier Benjamin Lancar.

Elle est candidate aux élections municipales de Versailles en 2008, sur la liste UMP menée par l'ancien adjoint du maire sortant. La liste UMP est finalement battue par la candidature divers droite dissidente de François de MaziÚres.

En 2010, elle se présente à nouveau à la présidence des Jeunes Populaires[17]. Elle est finalement battue par le président sortant Benjamin Lancar dans un scrutin soupçonné d'irrégularités[18].

Elle est candidate sur la liste de ValĂ©rie PĂ©cresse lors des Ă©lections rĂ©gionales de 2010 en Île-de-France, mais sa position sur la liste ne lui permet pas d'ĂȘtre Ă©lue.

Elle soutient François Fillon lors du congrÚs de l'UMP de 2012[3].

En 2013, elle dit admirer Nicolas Sarkozy, mais davantage celui de 2007 (qui a « siphonnĂ© » les voix du FN avec, selon elle, un « discours Ă©quilibrĂ© », crĂ©ant aprĂšs son Ă©lection le ministĂšre de l'Immigration et de l'IdentitĂ© nationale et le Conseil français du culte musulman), que celui de 2012 (annĂ©e oĂč il fait une campagne prĂ©sidentielle cherchant Ă  sĂ©duire l'Ă©lectorat du Front national). Elle continue toutefois de dĂ©fendre l'ancien prĂ©sident (il la reçoit pendant l'Ă©tĂ© 2013), se faisant Ă©galement « l'avocate » de Nadine Morano et de Jean-François CopĂ©.

Elle devient conseillÚre politique à l'UMP en , sous la présidence de Jean-François Copé[3].

Sous les recommandations de ValĂ©rie PĂ©cresse, elle s'installe en 2013 Ă  Magny-les-Hameaux dans les Yvelines afin de briguer la mairie de cette ville jusqu'alors ancrĂ©e Ă  gauche. En 2014, Ă  l'Ăąge de 27 ans, elle est investie par l'UMP et l'UDI pour les Ă©lections municipales dans la commune[3]. Finalement, elle essuie un Ă©chec face au maire socialiste sortant Bertrand Houillon en ne rĂ©unissant que 41,73 % des voix[19] et annonce qu'elle se prĂ©sentera aux Ă©lections suivantes[3]. À la suite des Ă©lections municipales, elle devient conseillĂšre de l'agglomĂ©ration de Saint-Quentin-en-Yvelines[20].

Quelques semaines plus tard, elle tente d'obtenir la 6e position sur la liste UMP des élections européennes de 2014. Selon le magazine Valeurs actuelles, Aurore Bergé est critiquée en interne car elle est jugée comme n'étant pas suffisamment à droite[21] et sa candidature n'est finalement pas retenue.

Elle soutient Nicolas Sarkozy lors du congrĂšs de l'UMP de 2014[22].

Campagne présidentielle de 2017

Libération indique qu'elle soutient Nathalie Kosciusko-Morizet pour la primaire de la droite et du centre de 2016[16]. Cependant, elle apparaßt dans l'organigramme de la campagne d'Alain Juppé, au sein duquel elle est responsable de la veille et de l'activisme sur les réseaux sociaux au sein du pÎle numérique[23], aux cÎtés de Xavier Moisant et d'Eve Zuckerman[24]. Sa participation à cette campagne et son soutien à Nathalie Kosciusko-Morizet lors des élections municipales de 2014 à Paris, deux scrutins qui se sont soldés par des défaites, amÚnent Le Lab (Europe 1) à la qualifier de « chat noir »[25] - [26].

En janvier 2017, elle participe au lancement de Droite Lib, « un mouvement pro-Fillon et anti-Macron », fondé par Virginie Calmels[25] - [27] (quelques mois plus tard, elle nie en avoir fait partie)[28]. Par la suite, elle refuse de rejoindre le groupe « Les femmes avec Fillon » et décide de ne plus renouveler son adhésion aux Républicains[29].

En , elle assiste Ă  un meeting d'Emmanuel Macron Ă  Lyon et rencontre son Ă©quipe pour finalement la rejoindre[30]. Elle explique sa dĂ©cision par la ligne droitiĂšre suivie par François Fillon qui souhaite notamment revenir sur l'adoption par des couples homosexuels et par les affaires qui entachent la campagne du candidat[31]. Par ailleurs, elle participe activement au ralliement Ă  Emmanuel Macron d'une cinquantaine de collaborateurs d'anciens ministres sous les prĂ©sidences de Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy[32]. Alors qu'elle affirme dĂ©fendre le « choix de la cohĂ©rence » avec ce ralliement, elle est cependant moquĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux pour le nombre de candidats qu'elle a soutenus depuis le dĂ©but de sa carriĂšre politique, l'amenant Ă  ĂȘtre qualifiĂ©e de « girouette » ou d'« opportuniste »[33] - [34]. En rĂ©action Aurore BergĂ© dĂ©nonce : « Faux comptes, mensonges, misogynie et vulgaritĂ© ». Elle considĂšre que c'est la « marque de ses opposants »[35].

À la mi-fĂ©vrier 2017, elle publie une longue tribune dans L'Obs pour justifier son ralliement Ă  Emmanuel Macron[31]. Elle y dĂ©fend le choix d'un candidat refusant « la fatalitĂ© du dĂ©clin de la France », voulant « bousculer le jeu institutionnel hagard et Ă  bout de souffle ». Lors de la campagne prĂ©sidentielle, elle intervient sur le thĂšme « La France doit ĂȘtre une chance pour tous »[36].

Élection

Le , elle est investie par le parti La RĂ©publique en marche pour les Ă©lections lĂ©gislatives dans la dixiĂšme circonscription des Yvelines[37] (circonscription diffĂ©rente de celle oĂč se trouve sa ville d'Ă©lection Magny-les-Hameaux), dont le dĂ©putĂ© sortant est le prĂ©sident du Parti chrĂ©tien-dĂ©mocrate Jean-FrĂ©dĂ©ric Poisson[27]. Elle reçoit le soutien d'Alain JuppĂ©[38], Nicolas Hulot, ministre d'État, ministre de la Transition Ă©cologique et solidaire[39], et d'Erik Orsenna, acadĂ©micien rĂ©sidant dans cette circonscription[40].

Aurore BergĂ© arrive en tĂȘte lors du premier tour avec 46,63 % des voix contre 19,12 % pour Jean-FrĂ©dĂ©ric Poisson soutenu par LR[41]. Elle est Ă©lue au second tour avec 64 % des suffrages exprimĂ©s[42].

Au sein de LREM et du groupe LREM

Le , Aurore BergĂ© est nommĂ©e porte-parole du groupe La RĂ©publique en marche Ă  l’AssemblĂ©e nationale, avec Stanislas Guerini, Olivia GrĂ©goire et HervĂ© Berville[43].

Le Monde indique en octobre 2017 qu'elle fait partie d'une petite dizaine de dĂ©putĂ©s qui forment « la garde avancĂ©e d’Emmanuel Macron, au Palais-Bourbon comme dans les mĂ©dias. Des janissaires dĂ©vouĂ©s corps et Ăąme au chef de l’État, qui ne dĂ©pendent que de lui, ne rendent de comptes qu’à lui »[44]. Elle est proche de Gabriel Attal au dĂ©but de la lĂ©gislature[45]. Contexte indique en juin 2018 qu'elle « a Ă©tĂ© trĂšs prĂ©sente auprĂšs des journalistes en dĂ©but de mandat, non sans susciter des critiques. Elle a depuis rĂ©duit sa venue en salle des quatre colonnes et pris en charge le sujet de la rĂ©forme de l’audiovisuel, qui doit faire l’objet d’un important projet de loi en 2019 »[46].

En , aprÚs la nomination de François de Rugy au gouvernement, elle soutient la candidature de Richard Ferrand à la présidence de l'Assemblée nationale[47]. Elle soutient ensuite Gilles Le Gendre pour lui succéder à la présidence du groupe LREM[45], puis Stanislas Guerini pour succéder à Christophe Castaner comme délégué général de LREM[48].

Le , Aurore Bergé est nommée porte-parole du mouvement La République en marche[49]. Elle est choisie par Stanislas Guerini pour mener la « riposte » du mouvement[50].

Lors des élections municipales de 2020, à Rambouillet, elle figure en 4e position sur la liste de Gilles Schmidt, son suppléant à l'Assemblée nationale, qui arrive en troisiÚme position sur trois au second tour avec 16,10 % des voix[51] - [52]. La liste n'obtenant que trois siÚges, Aurore Bergé n'est pas élue membre du conseil municipal.

Pressentie pour entrer au gouvernement Jean Castex, notamment pour un secrĂ©tariat d’État Ă  la Communication audiovisuelle, rattachĂ© au ministĂšre de la Culture, elle n'est finalement pas retenue[53]. Le Canard enchaĂźnĂ© la dit alors peu apprĂ©ciĂ©e par Emmanuel Macron et certains parlementaires LREM[54].

AprĂšs les anciens ministres François de Rugy et Christophe Castaner, elle se dĂ©clare candidate Ă  la succession de Gilles Le Gendre Ă  la prĂ©sidence du groupe La RĂ©publique en marche Ă  l’AssemblĂ©e nationale[55] - [56]. À l’issue du premier tour, le , elle se qualifie pour le second tour avec 81 voix, arrivant alors en deuxiĂšme position derriĂšre Christophe Castaner[57]. Elle reçoit le soutien de François de Rugy pour le second tour[57]. Le lendemain, elle est battue par Christophe Castaner avec 45,28 % des voix[58]. AprĂšs son Ă©lection, Christophe Castaner la nomme prĂ©sidente dĂ©lĂ©guĂ©e du groupe chargĂ©e du travail lĂ©gislatif, un poste qu'elle partage avec Coralie Dubost[59].

Le mĂȘme mois, dans la foulĂ©e de Pierre Person et Sacha HouliĂ©, elle dĂ©missionne de ses fonctions de porte-parole et quitte le bureau exĂ©cutif de LREM, contestant le « choix d'organisation » du dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral Stanislas Guerini et celui d'organiser des Ă©lections internes seulement aprĂšs les Ă©lections locales de 2021[60] - [61].

TĂȘte de liste LREM dans les Yvelines pour les Ă©lections rĂ©gionales 2021 en Ile-de-France, elle est Ă©lue conseillĂšre rĂ©gionale[62].

Travaux parlementaires

Aurore BergĂ© est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation.

Le , elle est chargĂ©e par la commission, avec la dĂ©putĂ©e UDI BĂ©atrice Descamps, d'une « mission flash » sur les relations entre les parents et l'Ă©cole[63]. Elles remettent leur rapport le au ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer[64], dans lequel elles estiment que les professeurs ne sont pas forcĂ©ment en phase avec les quartiers dans lesquels ils peuvent ĂȘtre mutĂ©s ou conseillent d'Ă©viter dans les bulletins les remarques « dĂ©sobligeantes, voire stigmatisantes sur le long terme pour l'Ă©lĂšve et son orientation ». Le rapport de la « mission flash » d'Aurore BergĂ© et BĂ©atrice Descamps formule ainsi cinq propositions pour renforcer le lien entre les parents et l'Ă©cole[65].

Le , la Commission des Affaires culturelles et de l’Éducation dĂ©signe les membres de la mission d’information sur une nouvelle rĂ©gulation de la communication audiovisuelle Ă  l’ùre numĂ©rique[66] qui a pour but de faire rĂ©flĂ©chir Ă  une rĂ©vision de la loi du relative Ă  la libertĂ© de communication. Aurore BergĂ© en est nommĂ©e rapporteure[67].

Le , Aurore BergĂ© prĂ©sente ses 40 propositions pour une nouvelle rĂ©gulation de l'audiovisuel[68] - [69] qui serviront de base pour les discussions sur la future loi audiovisuelle[70] qui devrait ĂȘtre prĂ©sentĂ©e Ă  l'Ă©tĂ© 2019[71]. Au cours de la 28e Ă©dition du colloque NPA-Le Figaro[72], Aurore BergĂ© a pu prĂ©senter ses 40 propositions aux professionnels du monde de l'audiovisuel[73].

En 2019, Aurore BergĂ© est nommĂ©e secrĂ©taire de la commission spĂ©ciale chargĂ©e d’examiner le projet de rĂ©vision des lois de bioĂ©thique, dont la mesure phare est l’ouverture de la procrĂ©ation mĂ©dicalement assistĂ©e (PMA) Ă  toutes les femmes[74]. Aurore BergĂ© Ă©tait pendant deux ans responsable de texte pour la majoritĂ© LREM du projet de loi bioĂ©thique[75]. AdoptĂ© en juillet 2021, ce texte de loi prĂ©voit notamment l'ouverture de la procrĂ©ation mĂ©dicalement assistĂ©e[76] Ă  toutes les femmes et ouvre la voie Ă  de nouveaux moyens thĂ©rapeutiques comme la mĂ©decine rĂ©gĂ©nĂ©rative[77].

Le , elle est chargĂ©e par le Premier ministre d’une mission auprĂšs du ministre de la Culture[78] visant Ă  « dĂ©finir les objectifs, les principes d’action et les leviers d’une politique d’émancipation artistique et culturelle renouvelĂ©e, allant au-delĂ  de l’éducation artistique et culturelle, et qui s’adresse Ă  tous nos concitoyens »[79]. AprĂšs 450 entretiens avec les acteurs culturels[80] et 55 dĂ©placements sur tout le territoire[81] - [82], elle prĂ©sente 60 propositions pour l’émancipation par la culture[83], parmi lesquelles celles « de faire entrer l’Éducation Artistique et Culturelle[84] dans les programmes scolaires » et « d’inscrire la santĂ© culturelle[85] comme une prioritĂ© pour la petite enfance » comme l’explique Le Point[86]. Elle remet son rapport Pour un ministĂšre de la Culture au service des crĂ©ateurs, des arts et des droits humains[87] au Premier ministre le [88], dont les prĂ©conisations sont accueillies favorablement par la SACD, le SPFA[89] et la SGDL[90].

Le , elle est désignée rapporteure générale[91] du projet de loi relatif à la communication audiovisuelle et à la souveraineté culturelle à l'Úre numérique[92], projet adopté en commission[93] le jeudi 5 mars.

Le , elle est nommée référente du groupe de travail de l'Assemblée nationale sur le suivi de la crise sanitaire et de ses impacts dans le secteur culturel[94].

AprÚs une trentaine d'entretiens avec des organisations d'artistes-auteurs[95] - [96], de spectacle vivant et du patrimoine, elle a porté et fait adopter trois amendements[97] dans le cadre du projet de loi relatif à diverses dispositions liées à la crise sanitaire[98]. Elle fait voter un amendement pour « adapter l'activité partielle aux spécificités du monde de la culture : prendre en compte la situation particuliÚre des artistes à employeurs multiples, permettant notamment de répondre à la situation alarmante des solistes »[99].

En mai 2020, elle se dit favorable au dĂ©veloppement de la publicitĂ© dans les mĂ©dias[100] et elle rend publiques les pistes de rĂ©flexion du groupe de travail crĂ©Ă© par La RĂ©publique en Marche[101] et qu’elle pilote, « Agir pour la culture, notre bien commun », dans le cadre de la crise du Covid-19. Le mĂ©dia spĂ©cialisĂ© La Lettre de l’Audiovisuel prĂ©sente ces rĂ©flexions comme un « plan massif de soutien Ă  l’emploi culturel » avec « la pĂ©rennisation de France 4 pour l’aprĂšs-crise »[102].

Au dĂ©but de son mandat, elle est vice-prĂ©sidente du groupe d'amitiĂ© France-IsraĂ«l Ă  l'AssemblĂ©e nationale[103]. Elle en devient la prĂ©sidente Ă  l’étĂ© 2019 Ă  la suite du dĂ©part d’Elise Fagjeles[104] - [105].

En , elle dépose, en compagnie de Jean-Baptiste Moreau, un amendement au projet de loi confortant les principes républicains afin d'intégrer une disposition visant à interdire le port du voile pour les jeunes filles. Néanmoins, l'amendement est jugé irrecevable par la commission[106]. Il a été désavoué par Emmanuel Macron par ailleurs[105].

En , elle est nommĂ©e rapporteure d’une mission parlementaire[107] sur le rĂŽle des bibliothĂšques, premiĂšre porte d’entrĂ©e vers la culture et puissants leviers d’insertion et de cohĂ©sion territoriale. Cette mission est menĂ©e avec la dĂ©putĂ©e PS Sylvie Tolmont. Ses propositions incluent notamment la pĂ©rennisation des financements de l’extension des horaires d’ouverture des bibliothĂšques, la mise en place de bonification budgĂ©taire dans les Contrats Territoire Lecture ou encore de faire de la lecture en prison une prioritĂ©[108].

Membre de la commission spĂ©ciale sur le projet de loi portant lutte contre le dĂ©rĂšglement climatique et renforcement de la rĂ©silience face Ă  ses effets, elle en est rapporteure thĂ©matique sur le titre I, qui regroupe les articles relatifs Ă  l’éducation, Ă  l’environnement, Ă  la publicitĂ© et Ă  l’économie circulaire (consigne et vrac)[109]. Deux de ses amendements, adoptĂ©s en sĂ©ance, interdisent la publicitĂ© pour la « commercialisation et la promotion » des Ă©nergies fossiles, alors que le texte initial ne mentionnait que la « vente », et renforcent les sanctions en cas de non-respect de cette interdiction[110]. Elle s'oppose en revanche Ă  l'interdiction de la publicitĂ© pour les automobiles, Ă©voquant un « risque important pour les mĂ©dias »[110].

En , elle est nommĂ©e rapporteuse du projet de loi relatif Ă  la rĂ©gulation et Ă  la protection de l’accĂšs aux Ɠuvres culturelles Ă  l’ùre numĂ©rique[111] - [112]. AdoptĂ© en juin 2021, ce texte de loi acte la crĂ©ation de l’AutoritĂ© de rĂ©gulation de la communication audiovisuelle et numĂ©rique par la fusion du Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel et de la Haute autoritĂ© pour la diffusion des Ɠuvres et la protection des droits sur internet.

Élection

Lors des élections législatives de 2022, elle se représente pour son siÚge de la 10e circonscription des Yvelines, investie le par la majorité présidentielle. En ballotage favorable au premier tour, elle est réélue avec 63,27% des suffrages exprimés au second, face au candidat de la NUPES Cédric Briolais[113].

Présidente du groupe parlementaire Renaissance

Le , Aurore Bergé est élue dÚs le premier tour d'un vote interne par ses pairs comme présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale[114] - [115] - [116].

En , LibĂ©ration indique qu'Aurore BergĂ© « est loin de faire l’unanimitĂ© » au sein du groupe, alors qu'un « clan » se serait formĂ© autour d'elle laissant Ă  la marge une partie des dĂ©putĂ©s[117].

Conseil d’administration de France TĂ©lĂ©visions

Elle est nommĂ©e au conseil d’administration de France TĂ©lĂ©visions en . Sa nomination suscite des critiques des syndicats concernant l'indĂ©pendance du groupe vis-Ă -vis du gouvernement[118]. Aurore BergĂ© a rappelĂ© que ce poste revenait automatiquement Ă  un dĂ©putĂ© de la majoritĂ©[119].

Positions politiques

Orientation générale

LibĂ©ration la prĂ©sente comme une « europĂ©iste laĂŻque, libĂ©rale sur les questions Ă©conomiques et de mƓurs »[26]. Elle prĂ©sente l'ancienne PremiĂšre ministre britannique Margaret Thatcher comme une « source d'inspiration »[16].

En , elle dénonce les positions de François Fillon, candidat à l'élection présidentielle : « La droite m'a perdue une premiÚre fois quand elle a appelé à défiler contre les droits des autres (l'ouverture du mariage aux couples homosexuels, pour la rédaction de Franceinfo). En 2017, cette droite m'a définitivement perdue quand elle a choisi un candidat, François Fillon, qui a proposé de revenir sur l'adoption pléniÚre pour les couples homosexuels, créant de fait une discrimination entre les enfants en raison de l'orientation sexuelle »[120].

En , interrogée sur l'état des Républicains sur Public Sénat, elle se félicite d'avoir quitté son ancien parti dénonçant « l'absence totale de ligne » et l'obstination des Républicains « à voir François Fillon en candidat »[121].

Sujets de société

En , lors du processus lĂ©gislatif de la loi ouvrant le mariage et l'adoption aux couples de personnes de mĂȘme sexe, elle prend position dans une tribune de L'Obs pour le mariage homosexuel, aprĂšs s'y ĂȘtre opposĂ©e peu de temps avant. Affirmant son attachement aux valeurs d'Ă©galitĂ©, de dignitĂ© et sa volontĂ© de protĂ©ger toutes les familles, elle prĂ©cise qu'elle aurait cependant prĂ©fĂ©rĂ© une union civile et un statut des beaux-parents, qu'elle est attachĂ©e Ă  l’altĂ©ritĂ© homme-femme au sein de la cellule parentale, qu'elle ne comprend pas « les expressions “deux mamans” ou “deux papas” » et qu'elle est dubitative sur l'adoption homoparentale et la procrĂ©ation mĂ©dicalement assistĂ©e (PMA) pour les couples de femmes. Elle accuse François Hollande d'ĂȘtre responsable de la « libĂ©ration » des dĂ©clarations homophobes en jouant des oppositions entre pro et contre mariage pour tous[122] - [123]. Elle indiquera plus tard Ă  l'hebdomadaire qu'elle a « failli quitter l’UMP Ă  cause de la « dĂ©ferlante de haine » qui a suivi sur Twitter »[124] - [3]. Elle est de ce fait classĂ©e Ă  la gauche de ce parti[26].

En , lors des débats sur la loi contre le délit d'entrave numérique à l'interruption volontaire de grossesse (IVG), elle dénonce, dans une tribune publiée sur les réseaux sociaux et reprise dans la presse, les pratiques des sites des mouvements pro-vie se présentant sous la forme de sites d'information sur l'avortement[125].

En 2017, elle se dĂ©clare dĂ©sormais favorable Ă  l’ouverture de la PMA Ă  toutes les femmes, plaidant « un enjeu d’égalitĂ© des droits »[126] - [127]. Selon La Croix, elle incarne la ligne du gouvernement lors de l'examen du projet de loi de bioĂ©thique en 2020 face Ă  l’aile libĂ©rale menĂ©e par Jean-Louis Touraine[128]. Comme la majoritĂ© prĂ©sidentielle, elle est opposĂ©e Ă  la gestation pour autrui[129].

En 2022, elle dĂ©clenche des tensions au sein de son groupe parlementaire aprĂšs avoir reçu et louĂ© Marguerite Stern et Dora Moutot, deux fĂ©ministes rĂ©guliĂšrement jugĂ©s transphobes par d'autres fĂ©ministes (TERF)[130] - [131] aprĂšs qu'elles ont publiĂ© une tribune contre l'accompagnement des hommes trans lors de leur grossesse par le Planning familial. La mĂȘme annĂ©e, alors rapporteure du texte de loi visant Ă  inscrire l’accĂšs Ă  l’IVG dans la Constitution, elle dĂ©pose un amendement qui en exclut les hommes trans[132] - [133] - [134].

Économie

En 2019, Aurore Bergé se dit favorable à l'Accord économique et commercial global (CETA)[135] et vote en sa faveur[136].

En 2022, elle présente un amendement visant à alléger les droits de succession sur l'héritage, ce qui conduit à une querelle interne entre les députés Renaissance[137] - [138].

Laïcité

Durant la XVĂšme lĂ©gislature, au sein du groupe LREM, elle figure parmi les dĂ©putĂ©s, qui estiment qu'il faut ĂȘtre ferme face au communautarisme islamiste et que ce dernier remet en cause la laĂŻcitĂ©[139].

Elle est proche des cadres et de la ligne du Printemps républicain[140] - [141] - [105].

En octobre 2019, des dĂ©putĂ©s LREM se dĂ©solidarisent d'elle sous le hashtag #NotInMyName lorsqu'elle annonce son intention de voter la proposition de loi d'Éric Ciotti (LR) visant Ă  interdire le port du voile aux accompagnantes lors des sorties scolaires[142]. À cette occasion, elle se dĂ©clare, plus largement, favorable Ă  l'interdiction de « tous les signes religieux ostensibles dans les collectivitĂ©s locales ou pour les accompagnatrices scolaires »[143].

International

En février 2022, elle appelle à l'unité la classe politique française, et plus largement tous les gouvernements européens, face à l'invasion militaire de l'Ukraine par la Russie [144]

En février 2021, la revue « sur le monde arabe et musulman » Orient XXI estime qu'elle tient des positions pro-israéliennes[145].

Caricatures de ses positions

Issues de sites humoristiques, de fausses citations d'Aurore Bergé sont relayées de façon récurrente sur les réseaux sociaux sans qu'il en soit précisé le caractÚre parodique[146]. Prises au premier degré, elles lui valent de nombreuses critiques, insultes, voire menaces de mort[147].

Polémiques

En fĂ©vrier 2019, dans le contexte de l'affaire de la Ligue du LOL, Aurore BergĂ© s’est dite victime de cyber-harcĂšlement[148]. Pourtant, en 2010, une lettre rĂ©digĂ©e pour critiquer les agissements supposĂ©s de ce groupe avait fuitĂ© sur Twitter et Aurore BergĂ© s’en Ă©tait moquĂ©e[149].

Le , une polémique se crée sur les réseaux sociaux[150] à la suite de plusieurs articles de presse relayant les noms des députés, dont celui d'Aurore Bergé, ayant voté contre la proposition de loi visant à « instaurer un congé de deuil de douze jours consécutifs pour le décÚs d'un enfant mineur »[151]. Aurore Bergé explique ne pas avoir été « au courant du vote de cette mesure »[152], ayant donné son vote par délégation. Elle a depuis demandé à l'Assemblée nationale une rectification de son vote[153].

Le , le rappeur Medine porte plainte pour diffamation publique, aprÚs qu'Aurore Bergé l'a qualifié de « rappeur islamiste »[154].

Publications

  • Avec Élodie MassĂ© et Élise Vouvet, Alter-Ă©gales : essai, Éditions Normant, , 121 p. (ISBN 978-2-915685-53-4)[155]

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

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 » Marie-Jeanne Delepaul, « « Vrai ou fake. Comptage des manifestants : le cabinet Occurrence est-il liĂ© Ă  LREM ? », sur francetvinfo.fr »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?), 9 octobre 2019 (consultĂ© le 13 octobre 2019).
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