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Union nationale inter-universitaire

L'Union nationale inter-universitaire (UNI) est une organisation universitaire française fondée en 1969, qui accueille des étudiants, des professeurs et des lycéens. Se réclamant de « la droite étudiante » selon son propre slogan, l'UNI est considérée comme proche du parti Les Républicains[5] au début du XXIe siècle. En 2022, le délégué national de l'UNI Jacques Smith affirme que « l'immense majorité » des membres du syndicat militent également au sein de Génération Z, l'organisation de jeunesse du parti d'extrême droite Reconquête[6].

Union nationale inter-universitaire
Logo de l'Union nationale inter-universitaire
Par l’éducation, pour la Nation !
Histoire
Fondation
Origine
Cadre
Sigle
UNI
Zone d'activité
Type
Forme juridique
Domaine d'activité
Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire
Financement
Donateurs privés, subventions publiques[1]
Objectif
Promouvoir les idées de la droite
Siège
Pays
Organisation
Membres
26 000 revendiqués (2006)[2]
Fondateurs
Suzanne Marton (d), Jacques Rougeot
Président
Olivier Vial[3]
Positionnement
Représentativité
Élus au CNOUS[4] :
0 / 8

Élus au CNESER :
1 / 11
Site web

Histoire

L'UNI a été créée pendant les événements de Mai 68. Ses statuts ont été déposés à la préfecture de police de Paris le par Jean-François Chauvel (journaliste au Figaro), Jacques Rougeot et Pierre de Vernejoul (universitaires). La réunion fondatrice a eu lieu en au siège du SAC, rue de Solférino (actuel Institut Charles-de-Gaulle) dans le bureau de Pierre Debizet, patron du SAC.

Selon François Audigier, l'UNI a été créée à la suite d'un entretien dans le bureau de Jacques Foccart à l'Élysée. Il s'agissait de « lutter contre la loi Faure en préparation, [laquelle multipliait] les compromis à l'adversaire (la gauche étudiante) et créait du désordre au lieu de rétablir l'autorité dans les universités ». L'UNI revendique vouloir « regrouper tous ceux qui entendent soustraire l'éducation nationale à l'emprise communiste et gauchiste et défendre la liberté en luttant contre toutes les formes de subversion »[7].

Un premier bureau est mis en place avec comme président René Deheuvels qui démissionne un mois plus tard au profit de Jacques Rougeot, alors jeune assistant à la Sorbonne. Le secrétaire général est Suzanne Marton, plus jeune membre du comité politique de l'UDR, celle qui avait averti Jacques Baumel début 1968 des risques d'une explosion dans les universités françaises. Une rivalité s'établit dès le départ entre elle et un ingénieur centralien, l'astrophysicien Gérard Daury, rattaché à l'équipe fondatrice par l'un des collaborateurs de Jacques Foccart, Philippe Lettéron.

De 1969 à sa mort en 1974, Georges Pompidou soutiendra personnellement le développement de l'UNI, pensant qu'une telle structure serait à même d'empêcher une nouvelle explosion dans les facultés telle celle que connut la France en mai 1968. Un tel soutien permettra à l'UNI de rapidement s'imposer dans les facultés françaises comme un mouvement étudiant représentatif, et non pas comme un groupuscule comme il en existait alors beaucoup.

Suzanne Marton devra abandonner ses fonctions en 1976, même si elle est toujours, en 2008, officiellement secrétaire générale.

Dès sa création, l'UNI lance son journal, toujours en activité, L'action universitaire. Par la suite, d'autres publications seront aussi diffusées telles Fer de lance (revue de réflexion), Vie étudiante ou encore Solidarité Atlantique. L'éditeur de ces publications se trouve être le Centre d'études et de diffusion (société éditrice rattachée à l'UNI).

Autocollants de l'UNI près de Sciences Po Lyon.

L'UNI est plus spécialement liée aux réseaux gaullistes de Jacques Foccart et, dans une moindre mesure, de Robert Pandraud et de Charles Pasqua (ce dernier exercera une forte influence sur le mouvement à la fin des années 1980). L’UNI s’implique dans les élections présidentielles de 1981 avec des autocollants écrits en rouge sur fond blanc avec des jeux de mots (Mitterrand le Marchais des dupes !).

En avril et , elle participe aux grèves et manifestations contre la Réforme Savary des universités de 1983 du ministre de l'Éducation nationale socialiste Alain Savary ; la presse parle alors d'un « mai 68 à l'envers ».

L'UNI est aujourd'hui un mouvement proche idéologiquement de LR, après l’avoir été de l'UMP et du RPR de Jacques Chirac.

Depuis la disparition du Collectif des étudiants libéraux de France (CELF), proche en son temps des Jeunes giscardiens, l'UNI est à l'échelon national le seul « syndicat étudiant » de droite. Depuis 2009, Olivier Vial, est son président. Il est issu de l'UDF. Il succède à Jacques Rougeot.

Jusqu'en 1995, sur ses publications et affiches, l'UNI conserve le nom d'Union nationale inter-universitaire. Néanmoins, à partir de cette date, c'est l'appellation « UNI-La droite universitaire » qui est utilisée.

L'hymne du mouvement est le chant militaire "La Strasbourgeoise", il est régulièrement repris par ses membres lors de victoire électorale ou lors de fête politique.

L'UNI a accueilli en son sein des militants d'extrême droite[8]. Des connexions locales entre des élus de l'UNI et des partis ou structures d'extrême droite ont pu être relevées : ainsi à Brest, la représentante de l'UNI au conseil de l'UFR de droit de 1991 à 1993 était la présidente de la section locale du Front national de la jeunesse et fut candidate du Front national pour les municipales de 1989 et les cantonales de ; de même, à Nancy, le responsable local de l’UNI représentait le FN aux cantonales de [9]. Des actions communes avec le GUD ont également existé[8].

En , une partie de l’UNI décide de devenir un mouvement de réflexion sur l’éducation, et crée avec d’autres associations le Mouvement des étudiants pour se présenter aux élections étudiantes. Ce mouvement se réclame plus dépendant de l’UMP[10] ; celle-ci, consultée, a donné son aval à la création du mouvement. Des adhérents de l'UNI voient également dans la création du Mouvement des étudiants une reprise en main de l'UNI par l'UMP[8]. Une scission a lieu avec la création de l'UNI-SU[11]. L'UNI reste cependant utile pour l'UMP en concurrençant l'extrême droite sur ses thèmes[8].

En , une partie de l'UNI Assas fait scission pour fonder un syndicat alternatif La Cocarde Ă©tudiante[12].

Lors de la crise sanitaire, l'UNI s'est mobilisée pour la réouverture des universités en France[13].

Organisation

Classification

L'UNI présente plusieurs caractéristiques qui la rapprochent d'un syndicat étudiant comme la participation aux élections des représentants étudiants ou l'implication dans les débats concernant l'évolution de l'université. Elle refuse cependant l'appellation de syndicat : même s'il lui est arrivé d'employer le mot syndicat sur une ancienne affiche, l'organisation évite d'utiliser ce terme pour se qualifier.

L'UNI se comporte surtout comme un mouvement politique, ils estiment que la vie politique fait partie intégrante de la vie des étudiants et donc elle participe à la résonance des élections et autres évènements politiques sur les universités.

Présidents

  • Jacques Rougeot (-), professeur de lettres.
  • Olivier Vial (depuis )[14].

UNI-Lycée

L'UNI-Lycée est la branche de l'UNI dans les lycées. Cette branche a vocation à se positionner sur les sujets et les réformes concernant le lycée et le Bac. Elle s'oppose régulièrement aux blocages des lycées[15].

Relations extérieures

Liens avec le RPR puis l'UMP/LR

En 1995 comme en 2002 est créé le collectif « Les Étudiants avec Chirac » visant à soutenir la candidature du président du RPR dans la course à l'Élysée. Le soutien de l'UNI en 1995 a joué un certain rôle dans l'élection de Jacques Chirac, étant le seul mouvement de jeunesse de droite soutenant cette candidature. Lors de la réforme des retraites, le collectif « Les jeunes pour la réforme des retraites » verra le jour pour soutenir le Gouvernement Juppé. Le comité « Défense de la République » fut créé en novembre 2005 afin de soutenir l'action du Gouvernement Villepin dans la « crise des banlieues ». Ainsi, des autocollants « Émeutes, trafics : tolérance zéro pour les ennemis de la République » seront imprimés et un site web mis en ligne[16].

Stand de l'UNI lors d'un meeting de campagne de Nicolas Sarkozy (Lyon, avril 2007).

Le , à la suite du congrès de l'UMP à la porte de Versailles à Paris, l'UNI a lancé le comité « Les Étudiants avec Sarkozy[17] » afin de soutenir le candidat dans le cadre de l'élection présidentielle de 2007. L'UNI a décidé de soutenir Nicolas Sarkozy considérant qu'il était le mieux placé, à droite, pour s'imposer lors de ce scrutin. En , le site « Pas les Royal[18] » a été créé par l'UNI[19] contre la « déferlante médiatique qui a accompagné l’investiture de Ségolène Royal ». Des tracts dénonçant le risque d'une « Banqueroute Royal » si la candidate socialiste était élue à la présidence et portant mention du site internet « Pas les Royal » furent diffusés. Sur ces tracts apparaissait, au bas du verso, l'adresse de l'UNI, à Boulogne.

L'UNI ne revendique aujourd'hui pas de lien direct avec le successeur de l'UMP, Les Républicains, même si de nombreux cadres de l'organisation le sont également dans le parti politique de droite. Le président de l'UNI, Olivier Vial, est membre du bureau politique des Républicains, occcupant la fonction de secrétaire national des Républicains en charge de l’enseignement privé[20]. En 2017, les étudiants de l'UNI se retrouvent dans une structure créée à cet effet « Les étudiants avec Fillon » et soutiennent ainsi le candidat LR à l’élection présidentielle, François Fillon.

En 2019, des étudiants de l'UNI renouvellent cette démarche avec la structure « Les étudiants avec Bellamy » pour soutenir la liste LR-LC aux élections européennes de 2019, conduite par l'essayiste et professeur de philosophie François-Xavier Bellamy.

Liens avec le MIL

L'UNI partage la même imprimerie intégrée que le Mouvement initiative et liberté dont le siège est à Levallois-Perret, association gaulliste utilisant la croix de Lorraine sur ses affiches. Le MIL a d'ailleurs été fondé en partie afin d'accueillir les anciens de l'UNI étant sortis du milieu universitaire. De 1981 à 1986, le MIL et l'UNI auront le même président, Jacques Rougeot. Les deux mouvements partageront aussi la même adresse durant plusieurs années avant que le MIL ne déménage à Levallois. Aujourd'hui, d'anciens militants de l'UNI font partie du bureau national du MIL (Bernard Debré et Éric Raoult, par exemple). Par le passé, l'UNI et le MIL ont pu utiliser simultanément le même slogan sur leurs affiches (exemple en 1991 avec la campagne « Armée, Honneur de la France »). Il est d’ailleurs fréquent de voir des affiches et autocollants du MIL et de l’UNI collés côte-à-côte puisque leurs militants mènent souvent des actions conjointes. Lors de la convention nationale du MIL, le , Olivier Vial (délégué national de l'UNI) et Jacques Rougeot (Président de l'UNI) étaient tous deux présents et ont même pris la parole. L'allocution de Jacques Rougeot était intitulée « Refouler la gauche : une entreprise de salut public » alors que celle d'Olivier Vial était baptisée « La gauche contre l'emploi des jeunes ».

L'UNI et le MIL partagent de nos jours des locaux communs tout en conservant chacun son indépendance.

Liens avec le FN/RN

Certains membres, notamment des cadres à Lyon, ont rejoint les rangs du Front national de la jeunesse (branche jeunesse de l'ancien FN) au début des années 2010[8]. Par ailleurs, certaines sections du Sud-Est de la France ont vu passer des responsables étant engagés également au sein du RN.

Liens avec Génération Z

En 2022, le délégué national de l'UNI, Jacques Smith, affirme auprès du Monde que « l'immense majorité » des membres du syndicat militent également au sein de Génération Z, l'organisation de jeunesse de Reconquête, un parti politique fondé en par Éric Zemmour en vue de sa candidature à l'élection présidentielle de 2022[6].

Liens avec le GUD

Certains membres de l'UNI ont pu participer à des actions violentes du GUD dans les années 1980. Cependant, ces rencontres de circonstance n'ont jamais abouti à une quelconque relation idéologique, les deux groupes se méprisant allègrement[8].

Comités et collectifs rattachés à l'UNI

À certaines occasions l'UNI créera des comités et collectifs visant à rassembler le plus grand nombre en évitant d'effrayer les plus réticents à rallier un mouvement se réclamant ouvertement de « La Droite universitaire » et parfois mal perçu dans les universités. Par l'intermédiaire de ces groupements, l'UNI parviendra à mobiliser des étudiants de tout bord, soit en élargissant le soutien vers le centre-droit, soit en s'attirant la sympathie de citoyens fréquentant habituellement les milieux de l'opposition…

Dans le même temps, face aux grandes grèves dues à ladite réforme et ébranlant le gouvernement, l'UNI fondera le collectif « Stop la grève » qui réapparaîtra lors de chaque grand mouvement de grève (, crise du CPE, etc.). C'est surtout ce collectif (Stop la grève), rassemblant des citoyens, entre autres étudiants, de différentes sensibilités qui s'opposent à ce qu'ils estiment être un abus du droit de grève.

En juin et , l'UNI a participé à la concertation concernant la reforme de l'autonomie des universités avec la ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse. Elle a voté en faveur du projet de réforme au CNESER. La campagne lancé par l'UNI contre les blocages dans les facultés, témoigne de l'implication de l'UNI contre les blocages dans les universités avec des étudiants de différentes sensibilités.

L'UNI est partenaire d'un laboratoire d'idées indépendant, le Centre d’Études et de Recherches Universitaire, fondé en 2008. Ce laboratoire orienté à droite éclaire l'actualité en proposant des solutions politiques concrètes énoncées par des universitaires experts en leur domaine. Certaines personnalités de renom contribuent à son activité, telles qu'Arnaud Benedetti, Xavier Breton, Bernard Carayon, Gilles Freyer, Patrick Hetzel, Philippe Meunier, Virginie Pradel, Charles Prats, Jacques Rougeot ou Philippe Stoffel-Munck[21]. Le CERU est présidé par la juriste Morgane Daury-Fauveau et dirigé par le président de l'UNI, Olivier Vial[22].

Avec le retour de la gauche au pouvoir en 2012, l'UNI a lancé trois observatoires : l'Observatoire de la théorie du genre, l'Observatoire des programmes scolaires et l'Observatoire de la gauche morale. Des chercheurs et universitaires travaillent au sein de ces trois observatoires pour décrypter la politique des gouvernements de gauche successifs (d'Ayrault à Castex) sur ces trois thèmes. Olivier Vial, président de l'UNI, est le porte-parole de ces trois observatoires.

Critiques Ă  l'encontre de l'UNI

Le Cato Institute, think tank américain libertarien, a dénoncé le financement de l'UNI via le NED dans les années 1980 dans le cadre du financement d’organisations anti-communistes. Le Cato Institute écrit que l’UNI « était largement vue comme un chaudron de la droite radicale »[23]. Cette accusation a fait l'objet d'une commission d'enquête du Sénat américain dirigée par la sœur du colonel North (elle avait surpris en acceptant d'enquêter sur son frère précédemment). Celle-ci a établi que l'UNI avait reçu des fonds au même titre que Solidarność en Pologne, dans le cadre d'un soutien aux organisations anti-communistes démocratiques dans le monde. La décision de financer ces structures avait été prise sous l'impulsion d'Irving Brown, responsable des relations internationales de l'AFL-CIO[24].

Publications

  • L'action universitaire (Ă©dition nationale universitaire)
  • Vie Ă©tudiante (Ă©dition nationale universitaire)
  • Vie lycĂ©enne (ancienne Ă©dition nationale lycĂ©enne)
  • Actua MĂ©decine (Ă©dition nationale, rĂ©servĂ©e aux Ă©tudiants des filières mĂ©dicales)
  • Bulletin inter-grandes Ă©coles (Ă©dition nationale, rĂ©servĂ©e aux grandes Ă©coles)
  • Dossiers SolidaritĂ© atlantique (20 000 ex.)
  • Tribord (ancien journal de la section UNI de Sciences Po Paris)
  • Le Hussard (ancien journal de l'UNI Lyon, section de l'UNI incluant les universitĂ©s Jean-Moulin-Lyon-III, Lumière-Lyon-II, Claude-Bernard-Lyon-I, l'Institut d'Ă©tudes politiques de Lyon et l'universitĂ© catholique de Lyon)
  • Fer de lance (disparue en 1977)
  • La voie droite (destinĂ©e aux universitaires, disparue)
  • Promotion Grandes Ă©coles (Ă©dition nationale, rĂ©servĂ©e aux grandes Ă©coles)
  • Promotion BTS (Ă©dition nationale, rĂ©servĂ©e aux Ă©tudiants en BTS)
  • AgriCampus (Ă©dition nationale, rĂ©servĂ©e aux Ă©tudiants des filières agricoles)
  • Action IUT (Ă©dition nationale, rĂ©servĂ©e aux Ă©tudiants en IUT)
  • Campus X (ancien journal Ă  l'universitĂ© Paris-Nanterre)
  • Dauphine est libĂ©rĂ©e (uniquement Ă  l'universitĂ© Paris-Dauphine)
  • Arsenik (disparu, uniquement Ă  l'universitĂ© Toulouse-I-Capitole)

Sources : « Quid 2000 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Site officiel de l'UNI.

Notes et références

  1. « L'Unef, deuxième syndicat étudiant le mieux financé », sur Challenges, (consulté le )
  2. Ariane Chemin, « Difficile numéro d'équilibre pour l'UNI, soutien traditionnel de Jacques Chirac », Le Monde, .
  3. Site de l'UNI, L'UNI renouvelle ses instances, consulté le 10 novembre 2009
  4. RĂ©sultats CNOUS 2019.
  5. Site de l'UNI, « La Rochelle : à droite, toute ! », Sud-Ouest, ; reproduit sur le site de l’UNI.
  6. Ivanne Trippenbach, « Avis de tempête à Reconquête !, le parti d’Eric Zemmour », Le Monde,‎ , p. 14 (lire en ligne).
  7. François Audigier, Histoire du SAC, p. 149, cité par Le Monde, blog « Droites extrêmes »
  8. « Qu'est-ce que l'UNI? », Le Monde, Blog « Droites extrêmes »
  9. « Ces jeunes fachos qui, peut-être, nous gouverneront... », REFLEXes, juin 1993.
  10. Marie-Estelle Pech, « L'UNI fait place à un nouveau syndicat étudiant de droite », sur www.lefigaro.fr,
  11. Site vousnousils, Des anciens de l'UNI de Tours refusent le Mét et décident de créer l'UNI-SU
  12. Marc de Boni, « Un syndicat étudiant souvernainiste allant des Républicains au FN voit le jour », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  13. « Exigeons la réouverture des universités ! », sur uni.asso.fr, (consulté le )
  14. Site de l'UNI, Présentation - UNI, consulté le 12 janvier 2021
  15. « Pourquoi les lycéens sont en colère », sur LExpress.fr, (consulté le )
  16. L'adresse de ce site Ă©tait http://www.defensedelarepublique.com/, elle semble inactive aujourd'hui mais appartient Ă  l'UNI comme l'atteste Whois : http://whois.net/whois_new.cgi?d=defensedelarepublique&tld=com
  17. Site : Les Ă©tudiants avec Sarkozy
  18. Pas les Royal.com
  19. http://whois.net/whois_new.cgi?d=paslesroyal&tld=com Preuve de l'appartenance du site Ă  l'UNI
  20. « POLITIQUE. Les Républicains : Olivier Vial dans le Jura pour parler de radicalisation », sur www.leprogres.fr (consulté le )
  21. Les auteurs, CERU
  22. Qu'est ce que le CERU ?, CERU,
  23. Loose Cannon: The National Endowment for Democracy
  24. Mort en mai 1989 et qui prenait la parole dans tous les congrès de FO jusqu'en 1986, date à laquelle il a eu de graves problèmes de santé.

Annexes

Bibliographie

  • François Audigier, GĂ©nĂ©ration gaulliste : L'Union des jeunes pour le progrès, une Ă©cole de formation politique, 1965-1975, Presses universitaires de Nancy, 2005.
  • François Audigier, Histoire du S.A.C. : La Part d'ombre du Gaullisme, Stock, 2003.

Articles connexes

Liens externes

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