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Vielle-Aure

Vielle-Aure est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Vielle-Aure
Vielle-Aure
Le village de Vielle-Aure.
Blason de Vielle-Aure
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement BagnĂšres-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Aure Louron
Maire
Mandat
Maryse Beyrié
2020-2026
Code postal 65170
Code commune 65465
DĂ©mographie
Gentilé Viellaurois
Population
municipale
317 hab. (2020 en diminution de 7,04 % par rapport Ă  2014)
Densité hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 49â€Č 48″ nord, 0° 19â€Č 33″ est
Altitude Min. 773 m
Max. 2 730 m
Superficie 35,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Neste, Aure et Louron
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Vielle-Aure
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Vielle-Aure
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Vielle-Aure
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Vielle-Aure

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constituĂ© de la vallĂ©e de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallĂ©e d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallĂ©e du Louron. ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par la Neste, le ruisseau Saint-Jacques et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des PyrĂ©nĂ©es, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « NĂ©ouvielle » et « Garonne, AriĂšge, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protĂ©gĂ© (la rĂ©serve naturelle nationale du NĂ©ouvielle) et huit zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Vielle-Aure est une commune rurale qui compte 317 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968.

    Ses habitants sont appelés les Viellaurois.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Vielle-Aure se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  49 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  30 km de BagnĂšres-de-Bigorre[2], sous-prĂ©fecture, et Ă  30 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Vignec (1,0 km), Bourisp (1,0 km), Sailhan (1,4 km), Saint-Lary-Soulan (1,6 km), Cadeilhan-TrachĂšre (1,8 km), Estensan (2,0 km), Camparan (2,5 km), Guchan (2,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Vielle-Aure fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[5].

    Carte de la commune de Vielle-Aure et des proches communes.

    La commune de Vielle-Aure se compose de deux exclaves séparées par la commune d'Aulon.

    La partie ouest (exclave du NĂ©ouvielle) est limitrophe de quatre autres communes.

    Communes limitrophes de Vielle-Aure (exclave du NĂ©ouvielle)
    BagnĂšres-de-Bigorre
    BarĂšges Vielle-Aure (exclave du NĂ©ouvielle) Aulon
    Saint-Lary-Soulan (exclave de Soulan)

    La partie est (exclave du village) est limitrophe de sept autres communes, dont Sailhan au sud-est sur environ deux-cents mĂštres, et Saint-Lary-Soulan en deux endroits disjoints.

    Communes limitrophes de Vielle-Aure (exclave du village)
    Aulon Guchen Guchan
    Saint-Lary-Soulan (exclave de Soulan) Vielle-Aure (exclave du village) Bourisp
    Vignec (exclave du village) Saint-Lary-Soulan (exclave du village de Saint-Lary) Sailhan

    GĂ©ologie et relief

    Si la partie du territoire communal centrĂ©e sur le bourg a une superficie de seulement 5,38 km2[6], la commune s'Ă©tend au total sur 35,2 km2[7] ; son altitude varie de 773 Ă  2 730 mĂštres[6].

    À l'est dans la vallĂ©e, le village

    Vue depuis la route du col du Pla d'Adet.
    Vue depuis Estensan.
    Vue depuis la route du col du Pla d'Adet.
    La Neste d'Aure Ă  Vielle-Aure.

    Les deux parties de la commune de Vielle-Aure sont reliĂ©es par un chemin est-ouest[8] d'environ 40 mĂštres de large qu'emprunte en grande partie le GR 10, joignant la fontaine du Pla du Castillon, Ă  l'est[9], Ă  la Hourquette ou Cap de Portet, Ă  l'ouest[10], en passant par Terre-NĂšre. Ce sentier sĂ©pare la commune d’Aulon au nord, de l'exclave de Soulan (partie de la commune de Saint-Lary-Soulan) au sud.

    La riviÚre de la Neste d'Aure (affluent de la Garonne) traverse le bas des villages de Vielle-Aure, de Vignec et de Saint-Lary (commune de Saint-Lary-Soulan) ; ces trois villages forment aujourd'hui une petite agglomération consacrée essentiellement au thermalisme et au tourisme. L'activité liée aux sports d'hiver (et aux départs de parapente et de vol libre) a cependant lieu dans les hauteurs de ces villages associés pour exploiter la station.

    C'est du village de Vielle-Aure que part la route de montagne D 123 reliant les trois villages à la station de sports d'hiver du Pla d'Adet (donnant accÚs au domaine skiable situé sur les trois communes), tandis que c'est de chacun des deux autres que partent les téléphériques qui y montent (bien plus rapidement et plus facilement en hiver).

    À l'ouest dans les hauteurs, l’exclave : le domaine skiable et la rĂ©serve naturelle du NĂ©ouvielle

    L'exclave sĂ©parĂ©e Ă  l'ouest de celle du village comprend deux parties bien distinctes : la partie orientale de l'exclave comprend la partie nord du domaine skiable accessible depuis la station du Pla d’Adet Ă  Soulan (dans la commune de Saint-Lary-Soulan depuis 1964 pour la crĂ©ation de la station de ski et l'installation de la gare d'arrivĂ©e du premier tĂ©lĂ©phĂ©rique montant depuis la vallĂ©e du village de Saint-Lary), tandis que la partie occidentale constitue une partie de la rĂ©serve naturelle nationale du NĂ©ouvielle, gĂ©rĂ©e depuis 1968 par le Parc national des PyrĂ©nĂ©es.

    La partie orientale de l'exclave est dĂ©limitĂ©e au nord-est par le pic du Pichaley (culminant Ă  2 626 m d'altitude) qui marque la frontiĂšre avec la commune d’Aulon et dont la face sud est utilisĂ©e par le domaine skiable jusqu'Ă  quelques centaines de mĂštres de son sommet, au nord par le pic de Portarras (2 697 m) oĂč convergent les frontiĂšres avec les communes d’Aulon et BagnĂšres-de-Bigorre, la face nord-est du pic de Bastan (2 718 m), au nord-ouest le pic du ContadĂ© (2 724 m) oĂč convergent les frontiĂšres avec BagnĂšres-de Bigorre et BarĂšges, et Ă  l'ouest la face sud-est du pic d'Aygues-Cluses (2 620 m) ; elle borde ensuite la rive nord du lac de Gourguet[11] puis suit vers l'est un le chemin le long d'un petit cours d'eau, le ruisseau de Port-Bielh (qui se dĂ©verse ensuite vers le sud, hors de cette zone, Ă  la pointe nord du lac de l'Oule Ă  Soulan, commune de Saint-Lary-Soulan) ; cette partie inclut Ă©galement les lacs de Bastan en aval du pic de mĂȘme nom.

    La partie occidentale de l'exclave fait en majorité partie de la réserve naturelle nationale du Néouvielle.

    Elle inclut la partie sud du ruisseau issu du lac de Gourguet (et du chemin qui le longe), puis est dĂ©limitĂ©e au sud-est par la rive nord-est du lac de l'Oule (presque entiĂšrement situĂ© Ă  Soulan). L'exclave est ensuite limitĂ©e au sud par la frontiĂšre avec Soulan pour inclure, toujours dans l'exclave et la rĂ©serve, le pic d’Anglade (2 511 m) et le petit lac d'Anglade Ă  son pied nord. Ce secteur boisĂ© situĂ© Ă  l'est de la rĂ©serve et qui ne comprend que des sentiers de montagne entre les lacs, n'est accessible qu'aux randonneurs, pas aux vĂ©hicules.

    La partie occidentale de l'exclave et de la rĂ©serve incluent Ă©galement la totalitĂ© du lac d'Aumar et la plus grande partie du lac d'Aubert (sauf une partie des rives sud-est Ă  Soulan). Ces deux derniers lacs, fermĂ©s chacun par un barrage prĂšs du « refuge du Lac d'Aubert-NĂ©ouvielle » et de la « zone de bivouac du lac d'Aubert », peuvent ĂȘtre rejoints Ă  pied ou Ă  ski en hiver depuis un parking touristique, situĂ© au cƓur de la rĂ©serve Ă  Vielle-Aure ; ce lieu est situĂ© au bout de la petite route de montagne D 177 qui descend en traversant la rĂ©serve et Soulan du nord au sud (prĂšs du « chalet-hĂŽtel du Lac d'OrĂ©don-NĂ©ouvielle » et du barrage du lac d'OrĂ©don) pour traverser ensuite la frontiĂšre sud de Soulan et nord d'Aragnouet : c'est lĂ  qu’on peut rejoindre cette petite route, en remontant depuis le village d'Aragnouet la route de montagne D 929, laquelle se poursuit Ă©galement vers l'ouest jusqu’au barrage du lac de Cap de Long dont la rive nord marque la limite sud de la rĂ©serve naturelle.

    La partie occidentale de l'exclave et de la rĂ©serve sont ensuite limitĂ©es au nord-ouest par la face sud du pic de MadamĂšte (2 657 m) avec Ă  son pied sud le lac de Gourg de Rabas (ou Gourguet de MadamĂ©te, d'oĂč part un chemin longeant un ruisseau qui alimente le lac d'Aumar citĂ© prĂ©cĂ©demment), et les faces sud et est du Pic d'EstibĂšre (2 663 m) avec (Ă  son pied sud) le lac d'EstibĂšre. Ces sommets successifs suivent Ă©galement la frontiĂšre commune avec la commune de BarĂšges et l'arrondissement d'ArgelĂšs-Gazost.

    Enfin au nord, l'exclave et la rĂ©serve sont limitĂ©es par le pic de Gourguet (2 619 m) et sa crĂȘte montante au nord-est : la face est du pic alimente le lac de Gourguet (presque tout entier dans la rĂ©serve sauf sa rive nord) et la face sud (ou face de l'Ours) alimente le petit lac SupĂ©rieur puis le lac de l'Ours (ces deux derniers lacs Ă©tant tout entiers inclus dans la rĂ©serve) ; la face nord-ouest du pic est situĂ©e hors de la rĂ©serve naturelle, sur la commune de BarĂšges.

    Cette derniĂšre commune pourrait ĂȘtre associĂ©e dans le futur pour Ă©tendre dans ce secteur la rĂ©serve naturelle actuelle, dont la gestion est confiĂ©e depuis 1968 au Parc national des PyrĂ©nĂ©es auquel adhĂšre dĂ©jĂ  la commune de BarĂšges pour une toute petite partie frontaliĂšre de la rĂ©serve naturelle, au sud-est de son territoire, Ă  moins qu'elle ne trouve les budgets et ne dĂ©cide de reprendre l'activitĂ© de sa station de ski, quasiment Ă  l'arrĂȘt depuis le dĂ©montage dans les annĂ©es 1980 de ses anciennes principales remontĂ©es mĂ©caniques.

    Hydrographie

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[12]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 6,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 017 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[15] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[16] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « GĂ©nos », sur la commune de GĂ©nos, mise en service en 1969[17] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[18] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 7,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 483,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[19]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  49 km[20], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[21], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[22], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels et biodiversité

    La table d'orientation du lac d'Aubert.

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[24] - [25]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhĂ©sion du Parc National des PyrĂ©nĂ©es[Note 5]. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, abrite une faune riche et spĂ©cifique particuliĂšrement intĂ©ressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes rĂ©implantĂ©es avec succĂšs, grands rapaces tels le GypaĂšte barbu, le Vautour fauve, le PercnoptĂšre d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tĂ©tras et le discret Desman des PyrĂ©nĂ©es qui constitue l’exemple type de ce prĂ©cieux patrimoine confiĂ© au Parc national et aussi l'Ours des PyrĂ©nĂ©es[26] - [27] - [28]. Un autre espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 215,8 ha[29].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive habitats[31] :

    • le « NĂ©ouvielle », d'une superficie de 6 176 ha, prĂ©sente une vĂ©gĂ©tation caractĂ©ristique de la haute montagne pyrĂ©nĂ©enne siliceuse et des milieux humides et tourbeux d'altitude, avec des pineraies de pins Ă  crochets Ă  trĂ©s haute altitude, des pineraies sylvestres et introgression des deux pins[32] ;
    • « Garonne, AriĂšge, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un rĂ©seau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayĂšres actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages rĂ©guliers et dont des adultes atteignent dĂ©jĂ  Foix sur l'AriĂšge[33].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensĂ©es sur la commune[34] :

    • le « cirque de Cloutou et sud de la Mongie » (2 257 ha), couvrant 5 communes du dĂ©partement[35] ;
    • « la Neste, amont » (100 ha), couvrant 18 communes du dĂ©partement[36] ;
    • le « massif en rive gauche du Bastan » (8 315 ha), couvrant 10 communes du dĂ©partement[37] ;
    • la « rĂ©serve du NĂ©ouvielle et vallons de Port-Bielh et du Bastan » (6 427 ha), couvrant 8 communes du dĂ©partement[38] ;
    • la « vallĂ©e d'Aulon et soulane de Vielle-Aure » (4 377 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[39] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 8] - [34] :

    • le « bassin du Haut Adour » (27 303 ha), couvrant 18 communes du dĂ©partement[40] ;
    • la « Haute vallĂ©e d'Aure » (43 605 ha), couvrant 38 communes du dĂ©partement[41] ;
    • les « vallĂ©es de BarĂšges et de Luz » (22 843 ha), couvrant 24 communes du dĂ©partement[42].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Vielle-Aure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [43] - [I 2] - [44]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    • Rues du village.
      Rues du village.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (90,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (90,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (59,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (17,2 %), forĂȘts (13,7 %), eaux continentales[Note 10] (3,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,5 %), prairies (1,7 %), zones urbanisĂ©es (1,5 %)[45].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route dĂ©partementale D 929 et la D 19.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vielle-Aure est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains, avalanche et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[46]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[47].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Neste et la MousquĂšre. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[48]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2009 et 2013 et au titre des inondations par remontĂ©e de nappe en 2013[49] - [46].

    Vielle-Aure est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[50]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vielle-Aure.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[51].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 1,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 209 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 0 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 0 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[52] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[53].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[46].

    La commune est exposĂ©e aux risques d'avalanche. Les habitants exposĂ©s Ă  ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prĂ©vention des risques avalanches (PPRA). Le cas Ă©chĂ©ant, identifier les mesures applicables Ă  l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la piĂšce avec la façade la moins exposĂ©e Ă  l’alĂ©a pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et Ă©quiper cette piĂšce avec un kit de situation d’urgence[54] - [55].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval d'un barrage de classe A[Note 11]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[57].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Vielle-Aure est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[58].

    Toponymie

    Panneau d'entrée de l'agglomération de Vielle-Aure
    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Vielle-Aure Ă  l'ouest de Saint-Lary.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[59] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    DĂ©nominations historiques :

    Étymologie : du latin villa (= domaine rural, village).

    Nom occitan : Viùla d’Aura.

    Les Hospitaliers

    La Chapelle Saint-Pierre d'Agos appartenait aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, elle date du XIIe siÚcle et est restaurée au XIXe siÚcle.

    Politique et administration

    La mairie en 2015.
    Le monument aux morts municipal.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 1995 Jean Mouniq SE Médecin, conseiller général du canton de Vielle-Aure (1992-1995)
    mars 2001
    (réélue en mai 2020)
    en cours Maryse Beyrié PS Agent immobilier, ConseillÚre générale du canton de Vielle-Aure (1995-2015)
    ConseillÚre départementale du canton de Neste, Aure et Louron depuis 2015

    Intercommunalité

    Vielle-Aure fait partie de la communauté de communes Aure Louron, créée au et qui réunit 47 communes.

    Services publics

    La commune de Vielle-Aure dispose d'une agence postale.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[62].

    En 2020, la commune comptait 317 habitants[Note 12], en diminution de 7,04 % par rapport à 2014 (Hautes-Pyrénées : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    271264294329401410394416436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    368383383426372340328317403
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    517514512511513283272215294
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    230196221205285343358357355
    2014 2019 2020 - - - - - -
    341325317------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee Ă  partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L’école Ă©lĂ©mentaire en 2021.
    L’école primaire.

    La commune dĂ©pend de l'acadĂ©mie de Toulouse. Elle dispose d’une Ă©cole en 2019[65].

    Sports

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 162 mĂ©nages fiscaux[Note 13], regroupant 310 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 310 â‚Ź[I 5] (20 420 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 6]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 7]1,8 %3,2 %4,1 %
    DĂ©partement[I 8]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  197 personnes, parmi lesquelles on compte 83,7 % d'actifs (79,6 % ayant un emploi et 4,1 % de chĂŽmeurs) et 16,3 % d'inactifs[Note 14] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 10]. Elle compte 84 emplois en 2018, contre 116 en 2013 et 135 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 158, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,4 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 56,7 %[I 11].

    Sur ces 158 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 72,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 19,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Culture locale et patrimoine

    La fontaine de la place.

    Lieux et monuments

    • La chapelle Saint-Antoine-de-Padoue.
      La chapelle Saint-Antoine-de-Padoue.
    • La chapelle Saint-Pierre d'Agos.
      La chapelle Saint-Pierre d'Agos.
    • L'Ă©glise Saint-BarthĂ©lemy.
      L'église Saint-Barthélemy.
    • Maison Ă  colombages.
      Maison Ă  colombages.
    • Les lacs d'Aubert et d'Aumar.
      Les lacs d'Aubert et d'Aumar.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'or à la levrette dressée de gueules, colletée et laissée d'azur, à la bordure aussi de gueules chargée de huit besants du champ[72].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[30].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[56].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Vielle-Aure » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vielle-Aure » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vielle-Aure » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vielle-Aure » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Aure et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Aure et BagnÚres-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Aure et Capvern », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Vielle-Aure », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 281-282.
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
    7. Vielle-Aure sur lion1906, consulté le 28 août 2015.
    8. Cadastre de Vielle-Aure, section D.
    9. Cadastre de Vielle-Aure, section B, feuille 1.
    10. Cadastre de Vielle-Aure, section C, feuille 5.
    11. Lac de Gourguet sur le site Lacs des Pyrénées, consulté le 12 octobre 2012.
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    15. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    67. .Notice no PA00095441, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 22 juillet 2010.
    68. Notice no IA00126605, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 22 juillet 2010.
    69. Notice no IA00126593, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 22 juillet 2010.
    70. Notice no PA00095442, base Mérimée, ministÚre français de la Culture. Consultée le 22 juillet 2010.
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