AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Ossun

Ossun est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Ossun
Ossun
Mairie d'Ossun.
Blason de Ossun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Francis Bordenave
2020-2026
Code postal 65380
Code commune 65344
DĂ©mographie
Gentilé Ossunois, Ossunoises
Population
municipale
2 369 hab. (2020 en augmentation de 1,85 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 86 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 11â€Č 05″ nord, 0° 01â€Č 31″ ouest
Altitude 366 m
Min. 345 m
Max. 542 m
Superficie 27,59 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ossun
(ville isolée)
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Ossun
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ossun
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ossun
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Ossun
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Ossun

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comtĂ© de Bigorre, comtĂ© historique des PyrĂ©nĂ©es françaises et de Gascogne. ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Gabas, le Souy, le Mardaing, le Gabastou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de six zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Ossun est une commune rurale qui compte 2 369 habitants en 2020. Elle est dans l'unitĂ© urbaine monocommunale d'Ossun et fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelĂ©s les Ossunois ou Ossunoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Ossun se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département [2], bureau centralisateur du canton d'Ossun dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1] La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Azereix (3,1 km), Louey (3,9 km), Lanne (4,0 km), Juillan (4,5 km), Hibarette (5,4 km), BĂ©nac (5,4 km), AdĂ© (5,6 km), Averan (5,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Ossun fait partie de l’ancien comtĂ© de Bigorre, comtĂ© historique des PyrĂ©nĂ©es françaises et de Gascogne crĂ©Ă© au IXe siĂšcle puis rattachĂ© au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comtĂ© de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattachĂ© au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

    Carte de la commune d'Ossun et des proches communes.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainĂ©e par le Gabas, le Souy, le Mardaing, le Gabastou, un bras du Mardaing, le Sanquia, ravin des bignes, le ruisseau de la Mourelle, le ruisseau de LĂ©tou, le ruisseau de Marcadieu et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 37 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le Gabas, d'une longueur totale de 116,7 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Souprosse, aprĂšs avoir traversĂ© 43 communes[8].

    Le Souy, d'une longueur totale de 24,7 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Luy Ă  Siarrouy, aprĂšs avoir traversĂ© 8 communes[9].

    Le Mardaing, d'une longueur totale de 19 km, prend sa source dans la commune de BartrĂšs et s'Ă©coule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Souy Ă  BordĂšres-sur-l'Échez, aprĂšs avoir traversĂ© 5 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[11]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 146 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1946 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[16]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs. La tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[18], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Statistiques 1981-2010 et records TARBES-LOURDES-PYRENEES (65) - alt : 360 m 43° 11â€Č 12″ N, 0° 00â€Č 00″ E
    Records établis sur la période du 01-01-1946 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1 1,5 3,7 5,6 9,5 12,8 14,9 14,9 11,9 8,7 4,3 1,8 7,6
    Température moyenne (°C) 5,6 6,4 8,9 10,7 14,5 17,8 20 20,1 17,4 13,8 9 6,4 12,6
    Température maximale moyenne (°C) 10,3 11,3 14,2 15,8 19,5 22,8 25,1 25,2 22,8 19 13,7 11 17,6
    Record de froid (°C)
    date du record
    −17,9
    08.01.1985
    −14,4
    11.02.1956
    −9,8
    06.03.1971
    −3,4
    13.04.1958
    −1,8
    01.05.1960
    2,3
    03.06.1962
    5,9
    08.07.1954
    5,3
    30.08.1956
    0,7
    25.09.02
    −3,3
    25.10.03
    −9,6
    23.11.1988
    −13,4
    28.12.1962
    −17,9
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    22,6
    28.01.1966
    29,2
    29.02.1960
    29,1
    17.03.1947
    30,1
    30.04.05
    32,9
    30.05.01
    37,9
    22.06.03
    38,2
    08.07.1982
    39
    13.08.03
    35,8
    16.09.1964
    33,8
    02.10.1985
    27,6
    23.11.1992
    26,1
    24.12.1983
    39
    2003
    Ensoleillement (h) 118,3 129,2 169,2 170,2 189,1 197,9 204,9 206 189,8 150,6 117,5 108,7 1 951,2
    PrĂ©cipitations (mm) 95 81,1 87 111,7 111,6 78 56 68,1 71,6 88,1 102,5 96,7 1 047,4
    Source : « Fiche 65344001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[20] :

    • le « bois des collines de l'ouest tarbais » (3 095 ha), couvrant 13 communes dont deux dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et 11 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[21] ;
    • les « landes humides du plateau de Ger » (805 ha), couvrant 5 communes dont deux dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et trois dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[22] ;
    • le « marais de la Matole et chĂȘnaie atlantique d'Ossun » (157 ha)[23] ;
    • le « rĂ©seau hydrographique de l'Échez » (392 ha), couvrant 26 communes dont trois dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et 23 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[24] ;
    • les « tourbiĂšres de Couet-Daban et de Gabastou » (47 ha), couvrant 3 communes dont une dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et deux dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[25] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [20] : le « plateau de Ger et coteaux de l'ouest tarbais » (6 409 ha), couvrant 26 communes dont six dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et 20 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[26].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Ossun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [27] - [I 2] - [28]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Ossun, une unitĂ© urbaine monocommunale[I 3] de 2 369 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (45,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (45,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (35,3 %), terres arables (23,1 %), prairies (17,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10 %), zones urbanisĂ©es (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,3 %), zones humides intĂ©rieures (3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,9 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,6 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Voies de communication et transports

    Ossun est traversée par la RD 936, ancienne RN 636, bordée par la RN 21 et desservie par la toute proche A64.

    La gare d'Ossun est desservie plusieurs fois par jour par des trains TER.

    Implanté sur la commune du fait de la proximité de Lourdes et Tarbes, l'aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées assure plusieurs liaisons quotidiennes avec celui d'Orly à Paris ainsi que des vols charters saisonniers ou ponctuels en provenance et à destination de grandes villes européennes[30].

    • Gare ferroviaire.
      Gare ferroviaire.
    • AĂ©roport.
      AĂ©roport.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Ossun est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Gabas, le Souy et le Mardaing. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[33]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009 et au titre des inondations par remontĂ©e de nappe en 2013[34] - [31].

    Ossun est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[35]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ossun.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[36].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 88,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 035 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 004 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 97 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[38].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1987[31].

    Risque technologique

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[39].

    Toponymie

    Le nom de ce village se traduit par Aussun en gascon. Le nom d'Aussun provient du mot ours, qui se dit Ossau en gascon (on retrouve par ailleurs le pic du Midi d'Ossau). Cet ours se retrouve sur de nombreux écussons ossunois et plus particuliÚrement sur le blason des barons d'Ossun pour ainsi mettre en avant leurs origines gasconnes et les valeurs de courage et de force symbolisées par ce mammifÚre.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[40] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    DĂ©nominations historiques :

    Nom occitan : Aussun.

    Histoire

    Ossun se trouve au cƓur de la grande nĂ©cropole prĂ©historique s'Ă©tendant de Dax Ă  Lannemezan. On a pu compter 27 tumulus sur le territoire du bourg, ils sont rĂ©partis en neuf groupes et leur diamĂštre varie entre 6 et 20 m. La plupart de ces tumulus ont malheureusement Ă©tĂ© dĂ©truits par les bulldozers lors de la mise en valeur des landes en 1964. On peut toujours en contempler un sur le plateau de Ger, dominant le village d'Ossun Ă  l'ouest.

    On a aussi dĂ©couvert des restes des populations celtibĂ©riennes, populations particuliĂšres au piĂ©mont pyrĂ©nĂ©en. Ces restes sont des tombes oĂč l'on a pu dĂ©couvrir des armes diverses telles que des Ă©pĂ©es Ă  antennes et des javelots Ă  crochets.

    Politique et administration

    Ossun est un chef-lieu de canton et dépend de l'arrondissement de Tarbes. Le Trésor public y possÚdait une antenne.

    Liste des maires

    HĂŽtel de ville.
    Le foyer rural en 2021.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 Pierre Baget
    mars 1989 Édouard Menginou Ouvrier à l'usine Morane
    mars 1995 mars 2001 Charles Barreat PS
    mars 2001 mars 2008 Michel Hourne PS
    mars 2008 mars 2014 Charles Barreat PS
    mars 2014 en cours Francis Bordenave[42] DVG Fonctionnaire

    Intercommunalité

    La communauté de communes du canton d'Ossun s'articule autour de cette commune.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[44].

    En 2020, la commune comptait 2 369 habitants[Note 8], en augmentation de 1,85 % par rapport Ă  2014 (Hautes-PyrĂ©nĂ©es : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7703 0193 0723 5523 2433 1013 0163 0042 964
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    2 8462 7332 5952 5042 4512 3152 3372 0252 050
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 0341 8331 6211 6691 6831 7171 7171 7771 851
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    1 8961 8371 7572 0832 1712 2512 2752 3142 372
    2020 - - - - - - - -
    2 369--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire publique et d'une Ă©cole libre.

    Sports

    • SĂ©lection de vues des installations sportives municipales en 2021.
    • Le stade de football Joseph-MĂ©rillon.
      Le stade de football Joseph-MĂ©rillon.
    • Le stade de rugby Joseph-MĂ©rillon.
      Le stade de rugby Joseph-MĂ©rillon.
    • Le court de tennis.
      Le court de tennis.
    • Le gymnase.
      Le gymnase.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 955 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 2 241 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 410 â‚Ź[I 8] (20 420 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 49 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (44,4 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]5,7 %7,8 %7,1 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 404 personnes, parmi lesquelles on compte 76,9 % d'actifs (69,8 % ayant un emploi et 7,1 % de chĂŽmeurs) et 23,1 % d'inactifs[Note 11] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 485 emplois en 2018, contre 622 en 2013 et 683 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 991, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,9 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 55,4 %[I 14].

    Sur ces 991 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 172 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 91,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Activités

    TARMAC et les champs avoisinants.

    La commune compte plus d'une quinzaine de commerces[47].

    Aux abords de l'aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées, se déploie la zone d'activité PyrÚne Aéro PÎle. Le bùtiment de TARMAC aerosave[48] voué au démantÚlement d'avions marque profondément le paysage du fait de sa taille. De nombreuses autres entreprises sont représentées telle que EADS Socata qui fabrique des avions d'affaires et de tourisme.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Blaise.
    • Chapelle Saint-Joseph.
      Chapelle Saint-Joseph.
    • Chapelle Notre-Dame de Belleau.
      Chapelle Notre-Dame de Belleau.
    • Croix monumentale de la crucifixion.
      Croix monumentale de la crucifixion.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D’argent à un ours au naturel sur une terrasse de sinople[49].
    Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprÚs de la mairie).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[13].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Ossun » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune d'Ossun » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 d'Ossun » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Tarbes » (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Ossun » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Ossun » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Ossun » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Ossun et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Ossun et Ossun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Ossun », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale d'Ossun », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « le Gabas »
    9. Sandre, « le Souy »
    10. Sandre, « le Mardaing »
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Fiche du Poste 65344001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ossun », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « bois des collines de l'ouest tarbais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « landes humides du plateau de Ger » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « marais de la Matole et chĂȘnaie atlantique d'Ossun » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    24. « ZNIEFF le « rĂ©seau hydrographique de l'Échez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    25. « ZNIEFF les « tourbiÚres de Couet-Daban et de Gabastou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « plateau de Ger et coteaux de l'ouest tarbais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    30. Aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées (site officiel)
    31. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Ossun », sur Géorisques (consulté le )
    32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    33. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    34. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    35. « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur www.hautes-pyrenees.gouv.fr (consultĂ© le )
    36. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    37. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    38. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ossun », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    39. « Dossier départemental des risques majeurs des Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    40. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, 2000.
    41. Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p. XLV (n°65), lire en ligne sur Gallica.
    42. « Municipales Ă  Ossun : Francis Bordenave rĂ©Ă©lu d’un cheveu », sur ladepeche.fr, (consultĂ© le )
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. Ossun (site officiel)
    48. Tarmac aerosave (site officiel)
    49. Passion Bigorre

    Notes

      Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.