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Lieusaint (Seine-et-Marne)

Lieusaint [ljĂžsɛ̃] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

Lieusaint
Lieusaint (Seine-et-Marne)
Le bĂątiment historique de l'hĂŽtel de ville de Lieusaint, actuel bĂątiment B.
Image illustrative de l’article Lieusaint (Seine-et-Marne)
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Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Melun
Intercommunalité CA Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart
Maire
Mandat
Michel Bisson
2020-2026
Code postal 77127
Code commune 77251
DĂ©mographie
Gentilé Lieusaintais
Population
municipale
13 804 hab. (2020 en augmentation de 13,79 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 153 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 38â€Č 00″ nord, 2° 33â€Č 00″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 85 m
Superficie 11,97 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Combs-la-Ville
LĂ©gislatives 11e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
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Lieusaint
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Lieusaint
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Lieusaint
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Lieusaint
Liens
Site web ville-lieusaint.fr

    En 2020, elle compte 13 804 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
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    • 4Carte avec les communes environnantes

    La commune de Lieusaint se trouve Ă  l'ouest du dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1] et au nord-ouest de la rĂ©gion naturelle la Brie. Elle fait partie de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Grand Paris Sud Seine-Essonne-SĂ©nart.

    Elle se situe Ă  16,05 km par la route[Note 1] au nord-ouest de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement et Ă  12,96 km Ă  l'est d'Évry-Courcouronnes[3], siĂšge de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Grand Paris Sud Seine-Essonne-SĂ©nart.

    La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].

    Communes limitrophes

    Le territoire de la commune de Lieusaint est situé à la limite des départements de Seine-et-Marne et de l'Essonne dont deux communes lui sont limitrophes à l'ouest. Aucun élément géographique naturel ne marque la limite du territoire de Lieusaint avec celui de ses voisines.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Tigery (3,1 km), Moissy-Cramayel (3,3 km), Combs-la-Ville (3,5 km), Quincy-sous-SĂ©nart (4,5 km), Saint-Pierre-du-Perray (4,5 km), Saint-Germain-lĂšs-Corbeil (4,6 km), Varennes-Jarcy (5,2 km), Nandy (5,5 km).

    Communes limitrophes de Lieusaint
    Tigery
    (Essonne)
    Combs-la-Ville
    Lieusaint Moissy-Cramayel
    Saint-Pierre-du-Perray
    (Essonne)
    Savigny-le-Temple

    Relief et géologie

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[5] - [6].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de Lieusaint.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de Lieusaint.
    Géologie de la commune de Lieusaint selon l'échelle des temps géologiques[5] - [6].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    X :DĂ©pĂŽts anthropiques, remblais.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent.
    MiocÚne non présent.
    PaléogÚne OligocÚne
    g1CB :Calcaire de Brie stampien et meuliÚres plio-quaternaire indifférenciées.
    ÉocĂšne non prĂ©sent.
    PaléocÚne non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[7].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Lieusaint.
    • le ruisseau des Hauldres, 17,14 km[8], affluent gauche de la Seine ;
      • le fossĂ© 01 du Pont du Roi, chenal de 0,95 km[9], qui conflue avec le ruisseau des Hauldres ;
    • le fossĂ© 01 des Quarante-Cinq Arpents, canal de 3,20 km[10], qui conflue avec le ruisseau des Pres Hauts ;
      • le bras 01 des Quarante-Cinq Arpents, 0,78 km[11].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,64 km[12].

    Au nord-est de la commune, un bassin de rĂ©tention des eaux pluviales, nommĂ© bassin de l'Ormoy (ou canal d'Ormoy), d'une superficie de 0,74 ha et d'une capacitĂ© de 12 000 m3, a Ă©tĂ© creusĂ© en 1981 pour rĂ©cupĂ©rer les eaux de ruissellement de la zone urbaine environnante. Le bassin a plusieurs fonction : l'Ă©crĂȘtement des dĂ©bits, la dĂ©pollution des eaux pluviales par effet de dĂ©cantation Ă  la suite de la stagnation des eaux et par phytoĂ©puration grĂące Ă  la prĂ©sence de plantes semi-aquatiques plantĂ©es au pieds des berges et une fonction d’agrĂ©ment et de loisirs. Un dĂ©versoir, situĂ© Ă  l'extrĂ©mitĂ© nord du bassin, rĂ©gule le rejet des eaux via un petit bras du ruisseau des Hauldres[13] - [14].

    • SĂ©lection de vues des cours d'eau et bassins de Lieusaint.
    • Le ruisseau des Hauldres.
      Le ruisseau des Hauldres.
    • Le bassin d'Ormoy.
      Le bassin d'Ormoy.
    • Le fossĂ© 01 Pont du Roi.
      Le fossé 01 Pont du Roi.

    Au nord de la commune, quelques Ă©tangs bordent le ruisseau des Hauldres. Parmi ceux-ci on trouve d'ouest en est : l'Ă©tang de la FlĂąche, l'Ă©tang des RoseliĂšres, l'Ă©tang du Vernouillet et l'espace naturel de la Motte construit sur l’ancien bassin de la sucrerie de Lieusaint[15].

    • SĂ©lection de vues de l'Ă©tang des RoseliĂšres
    • Vue de la partie occidentale de l'Ă©tang Ă  sa jonction avec le ruisseau des Hauldres.
      Vue de la partie occidentale de l'Ă©tang Ă  sa jonction avec le ruisseau des Hauldres.
    • Ponton le long de la rive nord de l'Ă©tang.
      Ponton le long de la rive nord de l'Ă©tang.
    • La partie orientale de l'Ă©tang.
      La partie orientale de l'Ă©tang.

    Deux canaux artificiels ont Ă©tĂ© construits au dĂ©but du XXIe siĂšcle dans la zone de CarrĂ© SĂ©nart : le canal Nord, dĂ©nommĂ© la Ligne d’eau , et le canal Sud, dĂ©nommĂ© le Fil de l’eau. Par la suite, deux extensions perpendiculaires aux canaux Nord et Sud ont Ă©tĂ© creusĂ©es et dĂ©nommĂ©es canal central Nord et canal central Sud[16]. Ces canaux ont pour vocation la retenue des eaux pluviales de la zone[17].

    • SĂ©lection de vues des canaux de CarrĂ© SĂ©nart
    • Le canal Nord.
      Le canal Nord.
    • L'extension du canal Nord.
      L'extension du canal Nord.
    • Le canal Sud.
      Le canal Sud.
    • L'extension du canal Sud.
      L'extension du canal Sud.

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,8 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,9 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 673 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,6 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,3 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[18].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[19]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[18]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[20]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[21], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[22] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Lieusaint comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] - [24] - [Carte 1], le « Bassin du ru des Hauldres à Lieusaint » (16,36 ha)[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Lieusaint est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [26] - [27] - [28]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[29] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32] - [33].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (57,12 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (19,02 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (39,12 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (34,51 %), zones urbanisĂ©es (22,37 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,76 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,24 %)[34].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[34].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    226,69 ha 19,02 % 680,64 ha 57,12 % 453,95 ha en augmentation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    910,80 ha 76,43 % 466,17 ha 39,12 % −444,62 ha en diminution
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    54,12 ha 4,54 % 44,79 ha 3,76 % −9,33 ha en diminution

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[35] - [36] - [Carte 2]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT SĂ©nartdont l'Ă©tude a Ă©tĂ© engagĂ©e en 2013, portĂ©e par le syndicat mixte de SĂ©nart Val de Seine (SYMSEVAS)[37].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[38]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de Lieusaint.

    La commune compte 44 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[39].

    Quartiers

    Outre le centre-ville historique de la commune, Lieusaint est composée de différents quartiers et lieux-dits : Villepecle, Varatre, Servigny, la PépiniÚre, Vernouillet, la BarriÚre, Lieusaint-Moissy-Gare, Passage à niveau 15, Passage à niveau 15 bis, Passage à niveau 16 et le quartier Sucrerie[40].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 5 182 dont 44,5 % de maisons et 53 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 95,9 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 3,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 49 % contre 50,2 % de locataires[41] dont, 18,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 0,8 % logés gratuitement.

    Communications routiĂšres

    Carte du réseau routier et ferroviaire de la commune de Lieusaint.

    Le territoire de la commune de Lieusaint est traversé du nord-ouest au sud-est par l'ancienne route nationale 6 (déclassée en route départementale D306 en Seine-et-Marne) et qui porte le nom de rue de Paris à Lieusaint.

    La commune est aussi traversĂ©e du nord-ouest au sud-est par l'autoroute A5a, dont les sorties nos 10a, 10b et 10c permettent l'accĂšs Ă  la ville de Lieusaint elle-mĂȘme (Ă  l'est de l'autoroute) et Ă  la zone d'activitĂ©s de CarrĂ© SĂ©nart (Ă  l'ouest de l'autoroute). Elle est de mĂȘme desservie par les sorties nos 25 et 27 de la Francilienne (la N104 entre l'autoroute A4 et l'autoroute A6) qui longe son territoire au nord et au nord-ouest.

    • SĂ©lection de vues des accĂšs autoroutiers Ă  Lieusaint.
    • Vue de l'autoroute A5a et de la sortie 10a pour l'accĂšs ouest de Lieusaint et CarrĂ© SĂ©nart.
      Vue de l'autoroute A5a et de la sortie 10a pour l'accÚs ouest de Lieusaint et Carré Sénart.
    • Sortie 25 de la N104 pour accĂ©der au nord de Lieusaint.
      Sortie 25 de la N104 pour accéder au nord de Lieusaint.
    • Sortie 27 de la N104 pour l'accĂšs ouest de Lieusaint et CarrĂ© SĂ©nart.
      Sortie 27 de la N104 pour l'accÚs ouest de Lieusaint et Carré Sénart.

    D'autres routes départementales relient Lieusaint aux communes voisines :

    • Combs-la-Ville, au nord, par la D 50 (boulevard de L'Europe) ;
    • Moissy-Cramayel, Ă  l'est, par la D 1149 (avenue RĂ©nĂ©-Cassin), la D 402 (avenue Paul-Delouvrier) et la D 2402 avenue Pierre-Point) ;
    • Savigny-le-Temple, au sud, par la D 50 (avenue Paul-Delouvrier), la D 306 (avenue Henri-PoincarĂ©) et la D 1150 (Les Hayettes) ;
    • Saint-Pierre-du-Perray, Ă  l'ouest, par la D 402 (CĂŽte de la CommunautĂ©) ;
    • Tigery, au nord-ouest, par la route de Tigery Ă  Lieusaint (route de Lieusaint Ă  Tigery).
    • SĂ©lection de vues des accĂšs routiers Ă  Lieusaint.
    • Boulevard de l'Europe (D50), accĂšs nord Ă  Lieusaint.
      Boulevard de l'Europe (D50), accĂšs nord Ă  Lieusaint.
    • Avenue Pierre-Point (D2402), accĂšs est Ă  Lieusaint.
      Avenue Pierre-Point (D2402), accĂšs est Ă  Lieusaint.
    • Route des Hayettes (D1150), accĂšs sud Ă  Lieusaint.
      Route des Hayettes (D1150), accĂšs sud Ă  Lieusaint.
    • CĂŽte de la CommunautĂ© (D402), accĂšs ouest Ă  Lieusaint.
      CÎte de la Communauté (D402), accÚs ouest à Lieusaint.
    Transports ferroviaires
    Le bùtiment voyageurs de la gare de Lieusaint-Moissy, cÎté Lieusaint.

    Dans sa partie nord-est, le territoire de la commune est traversé par la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles (ancienne « ligne impériale » de la compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée) sur laquelle est implantée la gare de Lieusaint - Moissy (à la limite du territoire de la commune de Moissy-Cramayel), et par la LGV Sud-Est.

    La gare de Lieusaint - Moissy est desservie par les trains de la ligne D du RER d'Île-de-France. Avec un cadencement de huit trains par heure aux heures de pointe et de quatre trains par heure en milieu de journĂ©e, les trains de la ligne D permettent, au dĂ©part de Lieusaint, de relier Paris en 40 min environ et Melun en 15 min environ. Le matin, trois trains sans arrĂȘt entre les gares de Lieusaint - Moissy et Paris-Gare-de-Lyon relient Lieusaint Ă  Paris en 20 min[42].

    Lignes de bus

    Plusieurs lignes d’autobus desservent la commune :

    • SĂ©lection de photos de bus Ă  Lieusaint.
    • Un bus de la ligne 52 du rĂ©seau de bus de SĂ©nart.
      Un bus de la ligne 52 du réseau de bus de Sénart.
    • Un bus du rĂ©seau Citalien Ă  la gare de Lieusaint - Moissy.
      Un bus du réseau Citalien à la gare de Lieusaint - Moissy.
    • Un bus de la Ligne 1 du T Zen Ă  la gare de Lieusaint - Moissy.
      Un bus de la Ligne 1 du T Zen Ă  la gare de Lieusaint - Moissy.

    Toponymie

    Le lieu oĂč se situe Lieusaint est mentionnĂ© dans un ouvrage sous l’appellation locus sanctus en 962[43], terme latin qui signifierait « lieu saint », en raison des cĂ©rĂ©monies religieuses qui s'y dĂ©roulaient Ă  l’époque gauloise[40].

    Sur des piÚces de monnaie datant de l'époque mérovingienne, le lieu est nommé loco sancto[43] - [44] - [45].

    Dans différents ouvrages datant du début du XVIIIe siÚcle, Lieusaint est nommée « Lieur-Saint »[46] - [47] .

    Histoire

    Moyen Âge

    Des piĂšces de monnaie mĂ©rovingiennes ont Ă©tĂ© trouvĂ©es, indiquant l’existence d’un atelier monĂ©taire sur le territoire[40].

    Sous le rĂšgne de Charles V, la forĂȘt de SĂ©nart est un lieu des chasses princiĂšres[40].

    Époque moderne

    Extrait d'une carte ancienne.
    Carte de la région de Lieusaint au XVIIIe siÚcle par Cassini.

    Sous l'Ancien régime, la paroisse de Lieusaint (orthographié « Lieur-Saint ») & Ville-Pecque relÚve du Parlement, de l'élection et de la généralité de Paris.

    Le dĂ©nombrement de l'Élection de Paris en 1709 compte 40 feux dans la paroisse[46]. Le dictionnaire universel du Royaume de 1726 indique que Lieusaint et Ville-Pecque ont une population de 245 habitants[47].

    Révolution française et Empire

    La borne terme boréal de Lieusaint.

    Le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e constituante adopte la grandeur du quart du mĂ©ridien terrestre pour base du nouveau systĂšme de mesures qui sera dĂ©cimal. Les astronomes Jean-Baptiste Delambre et Pierre MĂ©chain sont chargĂ©s d'effectuer les opĂ©rations nĂ©cessaires pour dĂ©terminer cette base. À la fin du mois de , ils commencent l'exĂ©cution des travaux de la mesure d'un arc de mĂ©ridien par triangulation depuis Dunkerque jusqu'Ă  Barcelone dans le but de fixer la valeur du mĂštre. Au sud de Paris, trois points gĂ©odĂ©siques, matĂ©rialisĂ©s par des bornes (appelĂ©es bases de mesure), sont installĂ©es en trois endroits : Lieusaint, Melun et Champcueil afin de former les points d'un triangle. La base de mesure de Lieusaint est nommĂ©e terme borĂ©al de Lieusaint[40] et celle de Melun est nommĂ©e terme austral de Melun. Pour valider les mesures de Delambre et MĂ©chain, deux tracĂ©s de rĂ©fĂ©rence de 6 000 toises du PĂ©rou ont Ă©tĂ© choisis : le premier, au nord de la France, entre Lieusaint et Melun, et le deuxiĂšme au sud, entre Le Vernet et Salses dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales. C'est la distance entre les deux bornes de Lieusaint et de Melun, d'une longueur de 6 075,90 toises (environ 11,842 km), mesurĂ©e trĂšs prĂ©cisĂ©ment en plaçant bout Ă  bout Ă  mĂȘme le sol des rĂšgles graduĂ©es de deux toises de long, qui servira de base aux calculs de triangulation effectuĂ©s par Delambre et Ă  la dĂ©finition du mĂštre[48] - [49].

    L'ancien relais de poste de Lieusaint, devenu le café-restaurant Gibert, au début du XXe siÚcle.

    Le matin du , la malle-poste, allant de Paris Ă  Lyon est dĂ©couverte abandonnĂ©e et pillĂ©e entre Lieusaint et Melun. Le postillon et le courrier ont Ă©tĂ© assassinĂ©s. L’unique voyageur de la voiture a disparu. Le contenu de la malle-poste, 80 000 livres en monnaie et 7 millions de livres sous forme d'assignats, destinĂ©s Ă  la solde des armĂ©es d'Italie, est volĂ©. L’enquĂȘte dĂ©signera le passager comme l’un des coupables, ainsi que quatre cavaliers qui ont Ă©tĂ© vus au relais de poste de Lieusaint avant l’heure de l’attaque.

    XIXe siĂšcle

    La gare de Lieusaint, au début du XXe siÚcle.

    En 1849, la Compagnie du chemin de fer de Paris à Lyon met en service la ligne ferroviaire de Paris à Tonnerre. La construction de la gare de Lieusaint, sur le territoire de la commune, est une cause de conflit entre la compagnie ferroviaire et la commune voisine de Moissy-Cramayel qui proteste pour que la gare soit nommée « Lieusaint - Moissy » et qu'une sortie cÎté Moissy soit créée[50]. La gare a été entiÚrement reconstruite entre 2002 et 2005.

    En 1866, le prix d'un aller Paris-Lieusaint coĂ»tait 3,45 F en 1re classe, 2,60 F en 2e classe et 1,90 F en 3e classe[51].

    XXe siĂšcle

    Lieusaint est une des communes qui ont constituĂ© la ville nouvelle de SĂ©nart, opĂ©ration d'intĂ©rĂȘt national (OIN) regroupant 10 communes, rĂ©parties sur deux dĂ©partements. Le pĂ©rimĂštre de la ville nouvelle a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© fin 1969.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la onziÚme circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie de 1793 Ă  1991 du canton de Brie-Comte-Robert, annĂ©e oĂč elle intĂšgre le canton de Combs-la-Ville[52]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifiĂ©, passant de 4 Ă  5 communes.

    Intercommunalité

    Localisation de Lieusaint dans la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart.
    L'hÎtel de la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart à Lieusiant.

    L'aménagement de la ville nouvelle a été réalisé par un établissement public d'aménagement et trois syndicats communautaires d'aménagement (SCA), dont Sénart-Villeneuve, qui regroupait quatre communes de Seine-et-Marne, dont Lieusaint.

    En 1984, les trois SCA sont remplacés par deux syndicats d'agglomération nouvelle (SAN), dont le syndicat d'agglomération nouvelle Sénart-Ville Nouvelle, qui se transforme le en communauté d'agglomération, sous le nom de communauté d'agglomération de Sénart, dont était membre Lieusaint.

    Le , la communautĂ© d'agglomĂ©ration de SĂ©nart fusionne avec ses voisines (la communautĂ© d’agglomĂ©ration de SĂ©nart en Essonne, la communautĂ© d'agglomĂ©ration Seine-Essonne et la communautĂ© d'agglomĂ©ration Évry Centre Essonne), pour former la communautĂ© d'agglomĂ©ration Grand Paris Sud Seine Essonne SĂ©nart[53], dont est dĂ©sormais membre Lieusaint. L'ancien hĂŽtel de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de SĂ©nart devient le siĂšge dĂ©libĂ©ratif de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Grand Paris Sud Seine Essonne SĂ©nart ; le siĂšge administratif Ă©tant situĂ© Ă  Évry-Courcouronnes, dans les locaux de l'ancienne communautĂ© d'agglomĂ©ration Évry Centre Essonne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[54] - [40]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 1947 Georges Signolle
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1953 mars 1959 Jean Viollet
    mars 1959 mars 1965 Octave LĂ©opold Lemaire
    mars 1965 mars 1977 Charles Franchy
    mars 1977 juin 1995[55] Christiane Legras DVD Agricultrice
    juin 1995[56] 1998 Christian Gutierrez PS DĂ©missionnaire
    mars 1998[57] En cours
    (au 28 mai 2020)
    Michel Bisson PS Ingénieur RTE
    PrĂ©sident de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de SĂ©nart (2014 → 2015)
    Vice-prĂ©sident (2016 → 2019) puis prĂ©sident (2019 → ) de Grand Paris Sud
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[58]

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[59].

    Jumelages

    Lieusaint a développé des associations de jumelage avec :

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [60] - [61].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Lieusaint gĂšre le service d’assainissement collectif (collecte et ) en rĂ©gie directe, c’est-Ă -dire avec ses propres personnels[62].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[63]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[62] - [64].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [62] - [65].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[66] - [Note 10].

    En 2020, la commune comptait 13 804 habitants[Note 11], en augmentation de 13,79 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    500459489509583579588583608
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    628651679623686688634661635
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    613670661726838808761637717
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7208006575105 2006 3659 35510 44113 363
    2020 - - - - - - - -
    13 804--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee Ă  partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Lieusaint est située dans l'académie de Créteil. Elle administre dix écoles communales, dont cinq écoles maternelles et cinq écoles élémentaires réparties dans les cinq groupes scolaires de la commune : l'école la Chasse, l'école l'Eau Vive, l'école Jules Ferry, l'école Antoine Laurent de Lavoisier et l'école le Petit Prince[68] - [69].

    • SĂ©lection de vues des Ă©coles primaires de Lieusaint.
    • L'Ă©cole de la Chasse.
      L'Ă©cole de la Chasse.
    • L'ecole de l'Eau Vive.
      L'ecole de l'Eau Vive.
    • L'Ă©cole le Petit-Prince.
      L'Ă©cole le Petit-Prince.

    Le département gÚre deux collÚges situés sur le territoire de la commune : le collÚge de la Pyramide et le collÚge Saint-Louis[70] - [69].

    Les lycéens ont accÚs au lycées intercommunaux des villes voisines : le lycée de la Mare Carrée de Moissy-Cramayel, le lycée de Gallilée de Combs-la-ville et le lycée polyvalent Pierre MendÚs de Savigny-le-Temple[69].

    Deux établissements d'études supérieures sont installés à Lieusaint : l'Institut universitaire de technologie (IUT) de Sénart et l'Institut catholique d'arts et métiers (Icam, site de Grand Paris Sud)[69] - [71].

    • SĂ©lection de vues des Ă©tablissements secondaires et supĂ©rieurs de Lieusaint.
    • Le collĂšge de la Pyramide.
      Le collĂšge de la Pyramide.
    • L'IUT de Lieusaint.
      L'IUT de Lieusaint.
    • L'Icam.
      L'Icam.

    Culture

    La commune de Lieusaint dispose de plusieurs centres culturels et artistiques sur son territoire :

    • la maison des cultures et des arts de Lieusaint, centre culturel rĂ©alisĂ© de 2010 Ă  2012 par le SAN de SĂ©nart dans l'ancienne Grande Ferme, rue de Paris - l'ancienne grange a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e en mĂ©diathĂšque et l'ex-maison de maĂźtre a Ă©tĂ© transformĂ©e en maison des cultures et des arts - qui dispose de deux salles d'exposition et trois pour les arts plastiques[72] ;
    • le centre culturel la Marge, qui hĂ©berge la Compagnie du ThĂ©Ăątre de la Mezzanine dirigĂ©e par Denis Chabroullet, et qui propose des ateliers et des spectacles ;
    • Le thĂ©Ăątre de SĂ©nart, situĂ© allĂ©e de la MixitĂ©, dans la zone d'activitĂ© de CarrĂ© SĂ©nart.
    • La maison des cultures et des arts.
      La maison des cultures et des arts.
    • Le centre culturel la Marge.
      Le centre culturel la Marge.
    • Le thĂ©Ăątre de SĂ©nart.
      Le théùtre de Sénart.

    Sports

    La commune de Lieusaint dispose de plusieurs infrastructures sportives[17] dont :

    • Le gymnase Richard-Dacoury.
      Le gymnase Richard-Dacoury.
    • La salle polyvalente de la Chasse.
      La salle polyvalente de la Chasse.
    • Le stade de baseball de Lieusaint.
      Le stade de baseball de Lieusaint.

    Lieux de cultes

    La commune de Lieusaint fait partie de la paroisse catholique de Lieusaint - Moissy - RĂ©au, laquelle est rattachĂ©e au pĂŽle missionnaire de Brie-SĂ©nart qui regroupe 24 Ă©glises dans 23 communes de Seine-et-Marne, au sein du diocĂšse de Meaux[73]. Elle dispose d'un lieu de culte catholique : l’église Saint-Quintien[74].

    Lieusaint dispose en outre d'une église baptiste, l'église Biblique Baptiste[75], et de salles de priÚres musulmane gérées par l'Amicale des musulmans de Lieusaint[76]. Une mosquée est en cours de construction depuis 2015[77].

    • SĂ©lection de vues d'Ă©difices religieux Ă  Lieusaint.
    • L’église Saint-Quintien.
      L’église Saint-Quintien.
    • L'Ă©glise Biblique Baptiste et les salles de priĂšres salles de musulmane.
      L'Ă©glise Biblique Baptiste et les salles de priĂšres salles de musulmane.
    • La nouvelle mosquĂ©e de Lieusaint.
      La nouvelle mosquée de Lieusaint.

    Économie

    L'entrée du centre commercial Carré Sénart.
    • Le CarrĂ© SĂ©nart est en pleine extension et continue de se dĂ©velopper sur la partie Nord (Shopping Parc, 13 nouvelles enseignes). Par ailleurs, les premiers immeubles de bureaux (TrĂ©sor public), ainsi qu'une rĂ©sidence hĂŽteliĂšre de luxe (Clarion) ont vu le jour respectivement en 2005 et 2008.

    Agriculture

    Lieusaint est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 12] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[79].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[80]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 8 en 1988 Ă  3 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 130 ha en 1988 Ă  136 ha en 2010[79]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Lieusaint, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Lieusaint entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[79] - [Note 13]
    Nombre d’exploitations (u) 8 5 3
    Travail (UTA) 51 27 24
    Surface agricole utilisĂ©e (ha) 1 036 804 407
    Cultures[81]
    Terres labourables (ha) 962 769 376
    Céréales (ha) 474 482 242
    dont blé tendre (ha) 333 325 163
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 134 s s
    Tournesol (ha) 34
    Colza et navette (ha) s s s
    Élevage[79]
    Cheptel (UGBTA[Note 14]) 0 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Quintien datant du XIIe siĂšcle. Elle comprend une cloche datant de 1727[82].
    • Le terme borĂ©al de Lieusaint. Afin d'adopter un nouveau systĂšme unifiĂ© de poids et de mesures, l'AssemblĂ©e constituante dĂ©cide d'envoyer une expĂ©dition menĂ©e par Delambre et MĂ©chain afin de mesurer la portion du mĂ©ridien comprise entre Dunkerque et Barcelone. En 1798 a lieu la mesure au sol de la base entre Melun et Lieusaint, avec des rĂšgles d'une toise (environ deux mĂštres). Des pyramidions sont disposĂ©s aux extrĂ©mitĂ©s. Aujourd'hui, seul est conservĂ© celui de Lieusaint. Le pyramidion de Lieusaint, borne borĂ©ale du dispositif. Il se situe au sud du centre-ville Ă  l'intersection de la rue de Paris et du boulevard SchƓlcher. Une coulĂ©e douce, entre la gare et cette borne, retrace, par des panneaux, l'historique de cette expĂ©dition. Des plaques au sol prĂ©sentent quelques mesures anciennes.
    • Le chĂąteau de la BarriĂšre, ou chĂąteau Berger, construit en 1910 par Jean-Baptiste Gobert-Martin, industriel et philanthrope, propriĂ©taire des Grands Magasins RĂ©aumur. Le domaine est rachetĂ© en 1972 par la sociĂ©tĂ© Berger qui y installe son siĂšge social et construit une usine de sirops. AprĂšs la fermeture de l'usine en 2003, le domaine est vendu Ă  en 2005 Ă  une sociĂ©tĂ© financiĂšre. Le chĂąteau est actuellement Ă  l'abandon, un projet de construction de 485 logements et d'une rĂ©sidence pour personnes ĂągĂ©es est Ă  l'Ă©tude.
    • SĂ©lection d'images de lieux et monuments de Lieusaint.
    • L'Ă©glise Saint-Quintien.
      L'Ă©glise Saint-Quintien.
    • Le chĂąteau de la BarriĂšre au dĂ©but du XXe siĂšcle.
      Le chùteau de la BarriÚre au début du XXe siÚcle.
    • Une des plaques au sol rappelant les mesures de Delambre.
      Une des plaques au sol rappelant les mesures de Delambre.

    Personnalités liées à la commune

    La légende de la Dame bleue

    Une lĂ©gende celtique dit qu'une source d'une grande puretĂ© se situait au centre de la forĂȘt de Lieusaint qui Ă©tait la demeure de la Dame bleue, une fĂ©e dont l’origine remonte aux temps gaulois. Deux fois par an, les druides cĂ©lĂ©braient l'esprit de la forĂȘt[83]. La lĂ©gende raconte aussi qu'au Moyen Âge les souverains ne pourchassaient aucun gibier dans la forĂȘt de Lieusaint, mais Ă©taient en quĂȘte de la Dame bleue[84]. Une fĂȘte est organisĂ©e depuis 2002 chaque annĂ©e au mois de mai Ă  Lieusaint sur le thĂšme de la lĂ©gende de la Dame Bleue[85] - [86].

    HĂ©raldique et logotype

    Le logo de Lieusaint.

    La commune de Lieusaint ne possĂšde pas de blason. Elle s’est cependant dotĂ©e d’un logotype dont les composantes reprĂ©sentent des Ă©lĂ©ments historiques ou gĂ©ographiques de son territoire : la forĂȘt de Lieusaint, la route royale qui traverse la commune et la Dame bleue.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Lieusaint », p. 306–307

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    10. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    14. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF de Lieusaint » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    2. « Lieusaint - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
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    4. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Quarante-Cinq Arpents (F4601100) ».
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