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Combs-la-Ville

Combs-la-Ville est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Île-de-France.

Combs-la-Ville
Combs-la-Ville
La mairie.
Blason de Combs-la-Ville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité CA Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart
Maire
Mandat
Guy Geoffroy (LR)
2020-2026
Code postal 77380
Code commune 77122
DĂ©mographie
Gentilé Combs-la-Villais
Population
municipale
21 657 hab. (2020 en diminution de 2,05 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 496 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 40â€Č nord, 2° 34â€Č est
Altitude Min. 43 m
Max. 91 m
Superficie 14,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Combs-la-Ville
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 9e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
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Combs-la-Ville
Liens
Site web combs-la-ville.fr

    La commune appartient Ă  la ville nouvelle de SĂ©nart.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Combs-la-Ville est une commune situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne faisant partie de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Grand Paris Sud Seine Essonne SĂ©nart. La ville est situĂ©e Ă  28 km au sud-est de Paris et Ă  un peu plus de 16 km au nord de Melun, prĂ©fecture du dĂ©partement. Limitrophe du dĂ©partement de l'Essonne, elle est localisĂ©e entre la forĂȘt de SĂ©nart Ă  l'ouest, la riviĂšre de l'Yerres au nord et le plateau de Brie Ă  l'est et au sud. Elle est traversĂ©e dans sa partie sud par la nationale 104 appelĂ©e « la Francilienne ».

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont :

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Combs-la-Ville.
    L'Yerres Ă  Combs-la-Ville

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de dix cours d'eau référencés :

    • la riviĂšre l’Yerres, longue de 98,23 km[1], affluent en rive droite de la Seine, ainsi que :
      • un bras de 0,36 km[2] ;
      • un bras de 0,92 km[3] ;
      • le ru de Ganisse, 2,55 km[4], affluent de l’Yerres ;
    • le fossĂ© 01 du Bois de Tigery, 2,14 km[5], et ;
    • le fossĂ© 01 du Bois Labrune, 3,18 km[6], affluents du ruisseau des Hauldres ;
      • le fossĂ© 01 du Gland, 1,05 km[7], et ;
      • le fossĂ© 01 des Quincarnelles, 1,21 km[8], affluents du fossĂ© 01 du Bois Labrune ;
    • le canal 01 de la Commune de Soisy-sur-Seine, 4,32 km[9], qui conflue avec le fossĂ© Daniel ;
    • le canal 01 de la Commune de Quincy-sous-SĂ©nart, 1,94 km[10].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,46 km[11].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un rĂ©seau hydrographique de 450 kilomĂštres de long environ, rĂ©partis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le BrĂ©on, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le RĂ©veillon[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifiĂ© de « structure porteuse »[14].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,7 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,2 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 671 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,9 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[15]. Il est caractĂ©risĂ© par une pluviomĂ©trie rĂ©partie tout au long de l'annĂ©e et des tempĂ©ratures gĂ©nĂ©ralement modĂ©rĂ©es[16].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[15]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[17], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[18] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Combs-la-Ville comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 2] - [20] :

    Urbanisme

    Typologie

    Combs-la-Ville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 3] - [23] - [24] - [25]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[26] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[27] - [28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[29] - [30].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 81 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[31].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (46,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (59,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (46,3% ), zones urbanisĂ©es (29,8% ), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (12,1% ), forĂȘts (7,9% ), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3% ), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,8 %)[32].

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[33] - [34] - [Carte 1]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT SĂ©nartdont l'Ă©tude a Ă©tĂ© engagĂ©e en 2013, portĂ©e par le syndicat Mixte de SĂ©nart Val de Seine (SYMSEVAS)[35].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[36]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 9 197 dont 54,4 % de maisons et 44,6 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 92,9 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants.

    La part des mĂ©nages propriĂ©taires de leur rĂ©sidence principale s’élevait Ă  64,9 % contre 34 % de locataires[37], dont 17,4 % de logements HLM louĂ©s vides (logements sociaux)[Note 6] et 1,2 % logĂ©s gratuitement.

    Voies routiĂšres

    En venant de Paris :

    En venant de province :

    Transport ferroviaire

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme « Villa cognominata Cumbis in pago Parisiaco » en 576[38] et 655[39] ; In Cumbis au IXe siÚcle[40] ; « Villa Cumbis in territorio Briacensi sita » en 1061[41] ; Villa que Cons vocatur en 1153[42] ; Cuns en 1197[43] ; Cons en 1198[44] ; Parrochia de Comis[45] et Combs en 1216[46] ; Consvilla en 1228[47] ; Parrochia de Combisvilla en 1235[48] ; G. de Cumbisvilla en 1237[49] ; Coms en 1272[50] ; Quons, Quoons la ville en 1319[51] ; Cons la ville[52], Cuons la ville[53] et Coignevilla en 1331[54] ; Conz la ville en 1340[55] ; Conbisvilla en 1356[56] ; Combz la ville en 1405[57] ; Conlaville en 1409[47] ; Camps la ville en Brye en 1673[58] ; Comblaville en 1770[59] - [60].

    Combs-la-Ville est formé sur le radical celtique Cumba, passé au roman et au français dialectal, combe qui désigne une vallée[61].

    Histoire

    En 636, le roi Dagobert lĂšgue sa terre de Combs (cumbis) Ă  l’abbaye de Saint-Vincent, qui se nommera plus tard Saint-Germain-des-PrĂ©s.

    En 1783, le comte de Provence, frÚre pußné du roi Louis XVI et futur roi Louis XVIII, est propriétaire de Combs-la-Ville.

    La gare de Combs-la-Ville - Quincy est inaugurée le 12 août 1849, puis reconstruite en 1981.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuviÚme circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie de 1793 Ă  1991 du canton de Brie-Comte-Robert, annĂ©e oĂč elle devient le chef-lieu du canton de Combs-la-Ville[62]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifiĂ©, passant de 4 Ă  5 communes.

    Intercommunalité

    Combs-la-Ville est l'une des communes qui composent la ville nouvelle de Melun-Sénart, administrée par deux « syndicats communautaires d'aménagement » (SCA) de la ville nouvelle de Sénart, le Grand-Melun et Sénart-Villeneuve.

    Le le SAN prend l'appellation de syndicat d'agglomération nouvelle de Sénart-Ville Nouvelle en retirant Melun de son nom. Le , le SAN est transformée en communauté d'agglomération[63], dont était membre la ville.

    Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines afin de former, le , la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, dont est désormais membre Combs-la-Ville.

    Tendances politiques et résultats

    Les élections municipales 2001 et 2008 ont vu les listes conduites par le candidat UMP Guy Geoffroy l'emporter de façon modérée au premier tour avec respectivement 54,57 % et 51,13 % des voix des votants[64]. Quant à l'élection de 2014, la victoire fut bien plus nette avec 69,85 % des voix des votants, contre la liste de Philippe Sainsard (PS) : 30,14 %, avec un taux de participation de 54,65 %[64]. Cette élection a donc suivi la tendance nationale de 2014 à voter plus à droite que précédemment, notamment du fait de l'impopularité du gouvernement PS mené par François Hollande auprÚs de la population française.

    Liste des maires

    Liste des maires successif
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 Jacques Viret Vigneron
    13 novembre 1791 Claude Pichon Vigneron
    30 septembre 1793 Nicolas Prevot Cordonnier
    An VII Paul Dutfoy Cultivateur
    1818 Jean-Didier Dutfoy Cultivateur
    7 janvier 1823 Jean-Louis Nicolle Cultivateur
    11 mai 1824 Pierre-Noël Papillon Meunier
    26 décembre 1828 Jean-Didier Dutfoy (2e du nom) Cultivateur
    25 septembre 1831 Paul Dutfoy (2e du nom) Cultivateur
    29 août 1843 Jean-Didier Dutfoy Cultivateur
    6 novembre 1846 René Garnot Cultivateur
    6 avril 1857 Philéas Breger Cultivateur
    28 novembre 1857 Auguste Denier Propriétaire
    4 décembre 1867 Jean-Noël Papillon Meunier
    23 janvier 1881 Hippolyte Lahaye Cultivateur
    20 mai 1888 Henry Chardin Propriétaire
    20 mai 1900 Emile Breton Cultivateur
    2 août 1903 Alphonse Rodier Boucher
    17 mai 1908 Albert Dauvergne Cultivateur
    12 dĂ©cembre 1919 David Bondu ReprĂ©sentant de l'État au PLM
    14 octobre 1923 Henri LebƓuf Cultivateur
    12 mai 1935 André Quentin Pharmacien
    27 octobre 1944 23 octobre 1947 Henri Pavard Mandataire aux Halles
    23 octobre 1947 21 mars 1959 Henri Chasselon Instituteur en retraite
    21 mars 1959 13 mars 1977 Lucien PeyriguĂšre MĂ©decin
    13 mars 1977 18 mars 1983 Alain Vivien PS Professeur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Brie-Comte-Robert (1970 → 1982)
    DĂ©putĂ© de la Seine-et-Marne (1re circ.) (1973 → 1986)
    18 mars 1983 17 mars 1989 Claude Sapin PS Ingénieur économiste
    Vice-prĂ©sident du SAN de SĂ©nart-Ville Nouvelle (1983 → 1989)
    17 mars 1989 29 juin 1992[65] Alain Vivien PS Professeur
    SecrĂ©taire d'État aux Affaires Ă©trangĂšres (1991 → 1992)
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Marne (9e circ.) (1988 → 1991)
    DĂ©missionnaire
    29 juin 1992[66] 18 juin 1995 Claude Sapin PS Ingénieur économiste
    18 juin 1995[67] En cours
    (au 7 juillet 2020)
    Guy Geoffroy RPR
    puis UMP
    (RS)
    puis
    LR
    Proviseur de lycée
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Marne (9e circ.) (2002 → 2017)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Combs-la-Ville (1992 → 1998)
    Vice-prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne (1994 → 1998)
    RĂ©Ă©lu en 2001, 2008, 2014 et 2020[68] - [69]

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[70].

    Jumelages

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [73] - [74].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Combs-la-Ville est assurée par le syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (SIAAP) pour le transport et la dépollution[75] - [76] - [77].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[78]. La communautĂ© d'agglomĂ©ration Marne et Gondoire (CAMG) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[75] - [79].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [75] - [80] - [81].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[82] - [Note 7].

    En 2020, la commune comptait 21 657 habitants[Note 8], en diminution de 2,05 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    500540512507500493494540609
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6107897497056768078819091 067
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1381 1561 3941 5381 7972 0392 3862 4822 833
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 6926 19211 09313 75919 97320 95321 60321 90822 212
    2020 - - - - - - - -
    21 657--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee Ă  partir de 2006[83].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Le , le Premier ministre français Dominique de Villepin est officiellement venu inaugurer la nouvelle mairie de Combs-la-Ville, en prĂ©sence du dĂ©putĂ©-maire de Combs-la-Ville Guy Geoffroy.

    Économie

    Commerce

    La commune se retrouve confrontée à de nombreuses grosses structures commerciales tout autour. Le centre commercial Carré Sénart n'est pas loin au sud, et il concentre nombre de commerces (tels que Carrefour, Célio, Desigual ou encore Darty) qui auraient pu s'implanter en son absence dans le centre de Combs-la-Ville. Enfin, il existe une forte évasion commerciale vers le centre commercial Val d'Yerres 2 de Boussy-Saint-Antoine, dans l'Essonne, qui par sa situation sert de lieu d'achats pour nombre d'habitants des environs.

    Enfin, l'explosion, quoique ralentie et en légÚre régression depuis 2007, du nombre d'administrés à Combs-la-Ville depuis les années 1990 explique le manque de commerces, car la ville n'a jamais été trÚs commerçante auparavant étant trop petite en nombre d'habitants.

    La municipalité tente de redonner vie à l'hypercentre avec la finalisation récente de la place de l'An 2000 qui devrait redorer légÚrement le commerce de centre-ville de la commune.

    Un restaurant McDonald's est implanté depuis le , vers la sortie sud de la commune.

    Agriculture

    Combs-la-Ville est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[84].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[85]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 7 en 1988 Ă  4 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 93 ha en 1988 Ă  137 ha en 2010[84]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Combs-la-Ville, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Combs-la-Ville entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[84] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 7 4 4
    Travail (UTA) 12 5 4
    Surface agricole utilisée (ha) 652 535 549
    Cultures[86]
    Terres labourables (ha) 650 535 549
    Céréales (ha) 421 377 324
    dont blé tendre (ha) 299 255 185
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 114 s s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 72 83 s
    Élevage[84]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 7 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Monuments civils

    ChĂąteau de la Fresnaye.
    • École Sommeville.
    • Parc Mennechy.
    • ChĂąteau de la Fresnaye.
    • Rue des Vignes.
    • ChĂąteau des Marronniers (ancien hĂŽtel de ville).

    Monuments religieux

    • Église Saint-Vincent (reconstruite au dĂ©but du XXe siĂšcle avec conservation d'un clocher carrĂ©e ainsi que de bases et chapiteaux de piliers fin XIIe siĂšcle/dĂ©but XIIIe siĂšcle[87].)
    • Maison communautaire des Musulmans.
    • Synagogue et centre communautaire de culture juifs.

    Espaces verts

    • Parc Arthur-Chaussy.
    • ForĂȘt de SĂ©nart.
    • Promenades le long de la riviĂšre l'Yerres.
    • Parc Central.
    • Bois l'Ă©vĂȘque.
    • Site de la Couture

    Patrimoine culturel

    La Coupole, Ɠuvre de l'architecte Jean Nouvel[88], est un lieu multiculturel qui inclut une mĂ©diathĂšque, un cinĂ©ma, une salle de musique, une salle de danse comme des espaces de rĂ©union et de restauration[89].

    La Maison des Jeunes et de la Culture permet la pratique de la musique (tam-tam, rap, rock...), et accueille Ă©galement un club d'aquariophilie.

    Personnalités liées à la commune

    • Au XVIIIe siĂšcle, quatre filles de Jean Jouvenet (1644-1717), peintre ordinaire du roi, sĂ©journent rĂ©guliĂšrement Ă  Combs-la-Ville, dans une maison de campagne ayant appartenu Ă  la famille Lordelot. L'une se marie dans cette paroisse, les trois autres y dĂ©cĂšdent[90].
      • Elisabeth-Anne Jouvenet (1684[91]-?) Ă©pouse le 9 novembre 1712 en l'Ă©glise paroissiale Saint-Vincent de Combs Bernard-Claude Lordelot (v. 1677- ?), avocat au parlement, 35 ans, fils de Benigne Lordelot, Ă©galement avocat au parlement. Jouvenet pĂšre, Mlles Marie-Anne, Marie-Magdelaine et Catherine Jouvenet, sƓurs de l'Ă©pousĂ©e assistent Ă  la cĂ©rĂ©monie. Ces derniĂšres, non mariĂ©es, sont rĂ©guliĂšrement accueillies dans l'ancienne maison de campagne des parents Lordelot qui Ă©choit successivement Ă  leur fils Bernard-Claude Lordelot (en 1720) et Ă  sa veuve (vers 1738?). Les trois sƓurs de celle-ci y dĂ©cĂšdent et sont inhumĂ©es Ă  Combs-la-Ville dans la nef de l'Ă©glise Saint-Vincent[90] ;
      • Marie-Anne Jouvenet (1681[91]-1740[90]), « fille majeure », inhumĂ©e le 22 octobre 1740 (morte la veille).
      • Marie-Magdelaine (1682[91]-1746[90]), « damoiselle », inhumĂ©e le 26 octobre 1746 (morte la veille).
      • Catherine Jouvenet (?-1750[90]), « fille de dĂ©funt Jean-Jouvenet », inhumĂ©e le 23 novembre 1750 (morte l'avant-veille).
        Jean II Restout[92] (1692-1768), leur cousin germain, peintre ordinaire du roi, assiste aux funérailles de Marie-Anne et de Marie-Magdelaine Jouvenet[90].
    • Victor Cherbuliez (1829-1899), romancier, auteur dramatique, essayiste et critique littĂ©raire, mort dans la commune.
    • Adolphe Paban (1839-XXe), littĂ©rateur, est nĂ© dans la commune.
    • Gustave Caillebotte (1848-1894), peintre impressionniste, vient souvent Ă  la propriĂ©tĂ© Caillebotte Ă  Yerres, Ă  partir de 1872 jusqu'en 1879, puiser son inspiration sur les bords de la riviĂšre du mĂȘme nom. Il peint plus de 80 tableaux avec des vues de la rĂ©gion.
    • Laurent Tailhade (1854-1919), polĂ©miste et poĂšte, mort dans la commune.
    • RenĂ© Lalique (1860-1945), achĂšte en 1913 une verrerie installĂ©e dans la commune.
    • Helena Rubinstein (1870-1965), industrielle et fondatrice de la sociĂ©tĂ© du mĂȘme nom, transforme en 1936 le moulin du Breuil, lieu historique de la commune, en rĂ©sidence secondaire[93].
    • Christiane Spoturno-Coty (1904-2005), mĂ©cĂšne et fille du parfumeur François Coty, achĂšte en 1963 le moulin du Breuil.
    • Edmonde Charles-Roux (1920-2016), femme de lettres, commence en 1961 l'Ă©criture de son premier roman Oublier Palerme au Moulin du Breuil, dans une des maisons prĂȘtĂ©e par son amie Helena Rubinstein. L'ouvrage sera couronnĂ© par le Prix Goncourt en 1966 et fera l'objet d'un film rĂ©alisĂ© par Francesco Rosi en 1989.
    • Bernard Tapie (1943-2021), homme d'affaires, locataire depuis 1999 du moulin du Breuil comme rĂ©sidence secondaire, achĂšte cette propriĂ©tĂ© en 2010 Ă  travers une sociĂ©tĂ© anglaise.
    • Laurent Fignon (1960-2010), cycliste, a pris sa premiĂšre licence au club de la commune.
    • Patricia Girard (1968), athlĂšte, entraĂźne une Ă©quipe dans la commune depuis 2009.
    • Erwan Baynaud (1983), acteur, nĂ© dans la commune.
    • Chris Mavinga (1991), footballeur, a jouĂ© dans la commune de 1999 Ă  2004.
    • Sheila (1945), chanteuse, a vĂ©cu dans la commune pendant son enfance.

    HĂ©raldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d’azur aux trois fleurs de lys d’or accompagnĂ©es, en abĂźme, d’un Ă©cusson cousu de sable aux trois besants d’argent, chaussĂ© aussi d’or, au chef cousu de gueules chargĂ© d’une couronne Ă  l’antique d’or.

    Photos

    • Vue sur une des rues principales de Combs-la-Ville.
      Vue sur une des rues principales de Combs-la-Ville.
    • La mairie de Combs-la-Ville.
      La mairie de Combs-la-Ville.
    • L'ancienne mairie de Combs-la-Ville.
      L'ancienne mairie de Combs-la-Ville.
    • Le stade Alain-Mimoun Ă  Combs-la-Ville.
      Le stade Alain-Mimoun Ă  Combs-la-Ville.
    • Le moulin Lalique Ă  Combs-la-Ville.
      Le moulin Lalique Ă  Combs-la-Ville.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Histoire de Combs-La-Ville des origines Ă  la RĂ©volution (1995) de Joseph Perret Ă©ditĂ© par la ville de Combs-la-Ville
    • Histoire de Combs-La-Ville de la RĂ©volution Ă  l'an 2000 (2000) de Joseph Perret Ă©ditĂ© par la ville de Combs-la-Ville.
    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Combs-la-Ville », p. 303–305
    • Évolution de Combs-la-ville, du fond des Ăąges Ă  nos jours, Hiltenbrand, Jackie, Ă©ditions Amatteis.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
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    92. Jean II Restout (1692-1768), neveu et filleul de Jean Jouvenet, orphelin de sa mĂšre Magdeleine Jouvenet vers l'Ăąge de 6 ans et de son pĂšre Ă  10 ans, a des liens forts avec la famille Jouvenet, au sein de laquelle il a Ă©tĂ© recueilli, Ă©levĂ© et Ă©duquĂ© avec ses cousins et cousines et oĂč il a notamment bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une solide formation de peintre auprĂšs de son oncle. Dans le registre des inhumations de Combs-la-Ville, il est qualifiĂ© de « peintre ordinaire du Roy, professeur de son acadĂ©mie royale » (1740), de « peintre ordinaire du Roy, adjoint recteur de l’accadĂ©mie Royalle de peinture » (1746), « de la paroisse St-Germain l'Auxerrois Ă  Paris, dans le cloĂźtre St-Nicolas du Louvre, rue Fromenteau » (1740, 1746).
    93. Catherine Jazdzewski, Helena Rubinstein, Ă©d. Assouline, 1999, p. 78.
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