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Les Sables-d'Olonne

Les Sables-d’Olonne sont une commune nouvelle française, sous-préfecture du département de la Vendée dans la région des Pays-de-la-Loire.

Les Sables-d'Olonne
Les Sables-d'Olonne
Vue aérienne des Sables-d'Olonne.
Blason de Les Sables-d'Olonne
Blason
Les Sables-d'Olonne
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
(sous-préfecture)
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
(chef-lieu)
Intercommunalité Les Sables-d'Olonne-Agglomération
(siège)
Maire
Mandat
Yannick Moreau
2020-2026
Code postal 85100
85180
85340
Code commune 85194
Démographie
Gentilé Sablais, Sablaises
Population
municipale
46 941 hab. (2020)
Densité 545 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 30′ 41″ nord, 1° 47′ 00″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 59 m
Superficie 86,07 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Les Sables-d'Olonne
(ville isolée)
Aire d'attraction Les Sables-d'Olonne
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton des Sables-d'Olonne
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Les Sables-d'Olonne
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Les Sables-d'Olonne
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Les Sables-d'Olonne
Liens
Site web Site officiel

    La commune résulte de la fusion des communes de Château-d'Olonne, d’Olonne-sur-Mer et des Sables-d’Olonne le , laquelle fait d’elle la deuxième commune la plus peuplée du département après La Roche-sur-Yon.

    Géographie

    Le territoire municipal des Sables-d'Olonne s'étend sur 8 607 hectares[1]. Les niveaux d'altitude de la commune nouvelle fluctuent entre 0 et 59 mètres[2].

    La nouvelle commune regroupe les communes du Château-d'Olonne, d'Olonne-sur-Mer et des Sables-d'Olonne, qui deviennent des communes déléguées, le . Les communes déléguées sont supprimées par décision du conseil municipal du .

    Localisation

    Le chef-lieu de la commune nouvelle, Les Sables-d'Olonne, se situe au centre-ouest du département de la Vendée[3], en bordure de l'océan Atlantique.

    Hydrographie

    Elle est bordée au nord par l'Auzance, fleuve côtier qui se jette dans l'océan Atlantique au havre de la Gachère, ainsi que, à l'est, par un affluent, la Vertonne. Ces deux cours d'eau alimentent le marais d'Olonne.

    Climat

    Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevées de 1971 à 2011 à la station La Roche-sur-Yon, située à 35 km dans les terres. Le climat des Sables-d'Olonne est plus doux l'hiver, moins pluvieux et plus ensoleillé que celui de La Roche-sur-Yon, avec notamment plus de 2 100 heures d'ensoleillement par an[4].

    Relevé météorologique de la Roche/Yon de 1971 à 2011
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,5 3,5 5,1 8,8 11,3 13,5 13,1 11,1 8,5 4,8 3,2 7,4
    Température maximale moyenne (°C) 8,1 9,8 12,1 14,3 18,6 22 24,7 24,8 22 17,2 11,8 9,1 16,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −14,9
    1985
    −15,4
    1986
    −10,3
    2005
    −4,1
    1996
    −0,3
    1995
    2,8
    2006
    7,2
    1996
    5,1
    1986
    3
    2002
    −4,5
    1997
    −7,1
    1988
    −9,5
    1996
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,6
    2007
    20,6
    1998
    24,1
    2005
    28,1
    2005
    35,1
    2012
    36
    2019
    36,6
    2006
    38,7
    2003
    33,7
    2005
    29,9
    2011
    19,7
    1988
    18,7
    2000
    Ensoleillement (h) 73 99 147 154 196 210 229 231 171 116 75 54 1 756
    Précipitations (mm) 94,4 77,4 54,1 76,4 51,1 49 45,3 40 85,2 102,2 110,5 98,7 884,3
    Nombre de jours avec précipitations 12 11 10 10 11 8 7 6 9 12 12 14 122
    Source : Météo-France[5] et lameteo.org[6]

    Urbanisme

    Typologie

    Les Sables-d'Olonne est une commune urbaine car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [7] - [8] - [9]. Elle appartient à l'unité urbaine des Sables-d'Olonne, une unité urbaine monocommunale[10] de 46 941 habitants en 2020, constituant une ville isolée[11] - [12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Sables-d'Olonne, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13] - [14].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16] - [17].

    Voies routières

    Transports ferroviaires

    Vendée Globe
    Plaque commémorative pour François Gabart, vainqueur du Vendée Globe 2012-2013, aux Sables-d'Olonne.

    La commune est desservie par la gare des Sables-d'Olonne qui accueille des trains TER Pays de la Loire quotidiens, à destination ou en provenance de Nantes ou La Roche-sur-Yon, et un TER « train des plages » mis en place en 2013 en provenance ou à destination de Saumur via Bressuire circulant l'été de mai à septembre. La commune est aussi desservie par des TGV quotidiens à destination ou en provenance de Paris-Montparnasse, via Nantes et La Roche-sur-Yon. Les premiers TGV à arriver aux Sables-d'Olonne sont tractés par des motrices diesels le temps que la ligne Nantes - La Roche-sur-Yon - Les Sables-d'Olonne soit électrifiée. Les TGV tractés sont remplacés par des TER de 2004 à 2008, année où le TGV est réintroduit grâce à l'électrification de la ligne. Elle est aussi desservie par la gare d'Olonne-sur-Mer qui est desservie par les TER Pays de la Loire faisant une liaison entre Nantes - La Roche-sur-Yon - Les Sables-d'Olonne.

    Transports aériens

    Port

    Le phare des Sables-d'Olonne, sur la digue ouest à l'entrée du port (La Chaume), avec le prieuré Saint-Nicolas en arrière-plan.

    Le chenal du port vu de la Chaume, avec l'entrée de Port Olona en arrière-plan et celle du port de commerce et de pêche à droite. Voilier prenant la mer, dans le chenal du port.

    Article détaillé : Port des Sables-d'Olonne.

    Les Sables-d'Olonne est une ville tournée vers la mer, ce qui se traduit par la présence de trois ports :

    • le port de pêche, quatrième de France, pêche artisanale (soles, seiches, morues…) ;
    • le port de commerce ;
    • les ports de plaisance, Port Olona, accueille de nombreuses manifestations nautiques dont la plus prestigieuse est le Vendée Globe et Port Garnier (emprise sur le port de pêche).

    Le port des Sables-d'Olonne est doté de plusieurs phares et balises qui jalonnent le chenal d'entrée : le phare de l'Armandèche, le phare de la Potence, le phare des Barges, le phare de la Jetée-Saint-Nicolas (ou Grande-Jetée) et le phare de la Chaume dit aussi Tour d'Arundel.

    Le bassin olonnais accueille de nombreux chantiers dont Alubat, Kirié, Privilège Marine, Océa et Tresco.

    Codes

    Les bateaux de pêche immatriculés aux Sables-d'Olonne ont pour code LS, selon la liste des quartiers maritimes.

    Transports en commun

    Bus Oléane à l'arrêt Hôtel-de-Ville, terminus de la plupart des lignes.

    Accostage de la ligne Passeur C au niveau de la Grande-Jetée.

    Les Sables-d'Olonne dispose, au sein des Sables-d'Olonne-Agglomération, d'un réseau de transport en commun baptisé Oléane, anciennement Tusco (pour Transports urbains des Sables-d’Olonne, du Château-d’Olonne et d’Olonne-sur-Mer), exploitant 9 lignes de mini-bus urbains (3 le dimanche), 13 lignes de bus urbains. Le ticket de bus valable 1 h est au prix de 1€50. De nombreuses cartes et abonnements existent.

    La ville dispose également de trois lignes de navettes maritimes (piétons et cyclistes) desservant trois débarcadères dans le port (6 en été). Le passeur est gratuit pour les résidents; le passage est à 1,10  pour les étrangers. Ici encore, des cartes sont disponibles, diminuant le coût du passage.

    De 1898 à 1925, la ville bénéficiait des services du tramway des Sables-d'Olonne, un tramway électrique qui circulait sur le remblai et qui, sur une distance de six kilomètres, reliait les casinos à la gare. La mauvaise gestion de la compagnie fondée par le directeur du Grand Casino fera abandonner ce mode de transport.

    Toponymie

    La mer recouvrait à l’époque une grande partie de la contrée : Ol-ona, hauteur au-dessus de l'eau, serait peut-être d’origine celtique et aurait donné son nom à quatre des six communes qui composaient la région. À cette époque, c’est Olonne qui règne en maître. Le XIIIe siècle verra sortir de l'ombre, ou plutôt du sable, une petite sœur cadette : les Sables-d'Olonne. En effet, pour remplacer le port de Talmont qui s’envase, le prince Savary de Mauléon décide de développer le havre d’Olonne vers les dunes protégées par l'île Vertime. Louis XI, en 1472, sépare Les Sables-d’Olonne de la ville d’Olonne pour en faire le port principal du pays.

    Histoire

    La commune est créée le par un arrêté préfectoral du [18].

    Carte des communes fondatrices de la commune nouvelle jusqu'au .

    La fondation des Sables-d'Olonne remonte à 1218. L'actuel bourg d'Olonne-sur-Mer était au Moyen Âge un port très actif situé au fond d'une baie abritée. L'envasement de cette baie ainsi que celle de Talmont conduisent le prince Savary de Mauléon à fonder un nouveau port à l'emplacement de l'actuel quartier de la Chaume et dans les dunes d'Olonne (d'où vient le nom de la ville). La ville va alors se développer sur le versant nord de la dune.

    En 1754, Les Sables-d'Olonne et la Chaume fusionnent. En 1844, la loi attribue à la ville, quatre-vingt-quatre hectares de terrains marécageux situés alors sur la commune d’Olonne sur lesquels seront aménagés par la suite la place de la Liberté et le cours Dupont. La même année, la commune du Château-d'Olonne cède à la ville soixante et un hectares de terrains situés à l'est du cimetière Arago. Toujours pour assurer le développement des Sables, la commune du Château-d'Olonne vendra à la ville l'embouchure du Tanchet en 1875 et la forêt de la Rudelière en 1913. Les frontières de ces trois communes resteront identiques jusqu'en 2019.

    L'arrivée du chemin de fer en 1866 voit l'émergence des quartiers de la gare et de Saint-Michel au nord de la ville. Les constructions ne cesseront de s'étendre le long des grands axes entre le centre-ville des Sables et les bourgs périphériques d'Olonne et du Château-d'Olonne. À partir des années 1930, la ville commence à se développer à l'est du boulevard de Castelnau et au sud de l'avenue d'Aquitaine. Ce nouveau quartier résidentiel sera doté d'une école (école Clemenceau), d'une église (église Saint-Pierre), de l'hôpital et du marché Arago qui donnera son nom à ce quartier. Ce développement se poursuivra vers l'actuel quartier des Présidents.

    Jusqu'aux années 1950, les communes d'Olonne-sur-Mer et du Château-d'Olonne se sont essentiellement développées autour de leurs centres bourgs. En effet, ces deux communes ont longtemps gardé un caractère rural où la vie économique est essentiellement marquée par l'agriculture et l'artisanat. L'essor démographique de l'après-guerre pousse néanmoins les communes à construire de nouveaux lotissements. Le quartier de la Tonnelle à Olonne-sur-Mer et celui de la Pironnière au Château sont aménagés respectivement en 1957 et 1959 à proximité immédiate de la ville des Sables et non pas autour des centres bourgs historiques. À partir des années 1960, la ville ne va alors cesser de s'étendre sur les deux communes périphériques avec la cité Charcot en 1965, la Tournée des Olonnes, le Havre de la Mérinière en 1971, le hameau des Moinardes en 1973, la cité de la Gillerie puis le village de la Paillolière en 1977. Au Château-d'Olonne, les terrains situés entre le centre bourg et le quartier des Nouettes sont également progressivement urbanisés au cours des dernières décennies, tout comme la partie sud de la ville, entre la route de Talmont et le littoral. Ces deux communes vont aussi faire le choix du développement de l'habitat maison individuel en raison de l'importante réserve foncière disponible sur leur territoire. Parmi les rares grands ensembles HLM construits dans les années 1960, on peut citer : la résidence des Aubépines (1961), la cité du Moulin (1963) ou encore la cité Charcot (1965).

    Cette extension rapide pousse les trois communes à créer en 1964 un syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) afin de travailler ensemble sur plusieurs projets nécessaires à leur développement. Parmi ces projets, on peut relever la création des zones d'activités des Fruchardières en 1968 et des Plesses en 1978, de nombreux établissements scolaires (écoles, collèges et lycées publics) ou encore du vaste espace sportif des Chirons en 1975. Pour plus d'efficacité, ce SIVOM sera remplacé en 1994 par la Communauté de communes des Olonnes. Dans les années 1980, l'idée de fusionner les trois communes fait son chemin parmi des citoyens qui décident de se regrouper au sein de l'association Arepo (Association pour la réunification et l'expansion du pays des Olonnes). Une étude présentée en 2009 par KPMG concluant à la nécessité d'une fusion relance le débat. L'élection ou la réélection de listes municipales ouvertement favorables à la fusion lors des élections municipales de 2008 et 2014 vont alors donner un coup d'accélérateur à la fusion. En 2017, la communauté de communes fusionne avec celle de l'Auzance et de la Vertonne pour former la communauté d'agglomération des Sables-d'Olonne, puis c'est au tour des trois communes des Olonnes de fusionner en 2019.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    [19] - [20] En cours
    (au 17 décembre 2022)
    Yannick Moreau Aucune[alpha 1] Maire délégué d’Olonne-sur-Mer (2019)
    Président des Sables-d’Olonne-Agglomération (depuis 2017)

    Communes fondatrices

    Liste des communes fondatrices des Sables-d’Olonne
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Les Sables-d’Olonne
    (siège)
    85194 Les Sables-d’Olonne-Agglomération 8,7 14 233 (2016) 1 636
    Château-d’Olonne 85060 Les Sables-d’Olonne-Agglomération 31,29 14 030 (2016) 448
    Olonne-sur-Mer 85166 Les Sables-d’Olonne-Agglomération 46,08 14 956 (2016) 325

    Jumelages

    Population et société

    Les habitants de la commune nouvelle sont appelés les Sablais et les Sablaises[23].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 2016. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 46 941 habitants[Note 4].

    Évolution de la population [modifier]
    2016 2017 2018 2019 2020
    43 21944 01744 35545 03046 941
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,6 %, soit au-dessous de la moyenne départementale (31,6 %) et le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 47,9 %, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 20 232 hommes pour 24 123 femmes, soit un taux de 54,38 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6
    90 ou +
    3,5
    14,7
    75-89 ans
    17,7
    28,1
    60-74 ans
    29,7
    18,8
    45-59 ans
    18,5
    12,5
    30-44 ans
    11,4
    12,4
    15-29 ans
    9,4
    12,0
    0-14 ans
    9,8
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,1
    8,4
    75-89 ans
    11
    19,5
    60-74 ans
    20,4
    20
    45-59 ans
    19,4
    18
    30-44 ans
    17,1
    14,9
    15-29 ans
    13,2
    18,5
    0-14 ans
    16,8

    Découpage infracommunal

    L'INSEE découpe la commune des Sables-d'Olonne en quinze quartiers IRIS, eux-mêmes regroupés en trois Grand-Quartiers[29].

    Carte des quartiers IRIS des Sables-d'Olonne.
    Découpage infracommunal
    Code IRIS Libellé IRIS Grand-Quartier Population

    municipale en 2013[30]

    851940101 Passage-Notre-Dame-Guynemer 8519401 2 249
    851940102 Saint-Pierre-La Rudelière 8519401 1 820
    851940103 La Foire aux Chats 8519401 2 081
    851940104 Gare-Saint-Michel 8519401 3 438
    851940105 Chaume Nord 8519401 1 987
    851940106 Chaume Sud 8519401 2 679
    851940201 Sud 8519402 4 849
    851940203 Est-Ouest 8519402 3 794
    851940204 Avenue Mitterrand Ouest 8519402 2 385
    851940205 Avenue Mitterrand Est 8519402 3 260
    851940301 Le Bourg 8519403 3 383
    851940302 Les Plesses 8519403 2 154
    851940303 La Ceinture 8519403 2 818
    851940304 La Métairie 8519403 1 696
    851940305 Le Littoral 8519403 2 542

    Associations sportives

    Les Sables Vendée Cyclisme (LSVC) est une équipe cycliste française, basée aux Sables-d'Olonne en Vendée, elle évolue en Division Nationale 2 de la Fédération française de cyclisme en cyclisme sur route.

    Fondée en 2018 par la fusion de deux clubs (Le Pays des Olonnes Cyclisme Côte de Lumière (POCCL) et L'Entente Cycliste du Château-d'Olonne (ECCO)).

    Plusieurs coureurs professionnels ou de très haut-niveau amateur ont évolué au sein du club : Freddy Bichot; Clément Orceau; Enzo Bernard; Stefan Bennett; Paul Ourcelin; Ayumu Watanabe; Jean Claude Uwizeye; Valentin Guillaud: Bryan Nauleau et dernièrement Raphaël Parisella qui vient de s'engager pour deux saisons chez B&B Hotels p/b KTM.

    Économie

    Médias

    Trois médias ayant leurs bureaux aux Sables-d'Olonne diffusent aux Sables-d'Olonne et dans ses environs :

    • Le Reporter sablais ;
    • Les Sables Vendée Journal (groupe Publi-Hebdos) ;
    • Ouest-France Les Sables-d'Olonne (groupe Ouest-France).

    Culture locale et patrimoine

    Carte des Sables-d'Olonne
    Localisation de la Vendée en France
    Port Olona
    Phare de l'Armandèche
    Phare de la Potence
    Phare de la Chaume
    Musée Sainte-Croixdes Sables-d'Olonne
    Blockhaus-hôpital des Sables-d'Olonne
    Zoo des Sables
    Château Saint-Clair
    Prieuré Saint-Nicolas
    Prieuré Saint-Nicolas
    Église Notre-Dame-de-Bon-Port
    Église Notre-Dame-de-Bon-Port
    Église Saint-Pierre
    Église Saint-Pierre
    Gare des Sables-d'Olonne
    Église Saint-Michel
    Église Saint-Michel
    Lac de Tanchet
    Lac de Tanchet
    Île Penotte
    Île Penotte
    Rue de l'Enfer
    Rue de l'Enfer
    Chapelle Notre-Damede-Bonne-Espérance
    Chapelle Notre-Dame
    de-Bonne-Espérance
    Port de pêchedes Sables-d'Olonne
    Port de pêche
    des Sables-d'Olonne
    Chapelle du Sacré-Cœur
    Chapelle du Sacré-Cœur
    Bois de la Rudelière
    Bois de la Rudelière
    Phare de la JetéeSaint-Nicolas
    Phare de la Jetée
    Saint-Nicolas
    Phare de la Jetéedes Sables
    Phare de la Jetée
    des Sables
    Le Remblai
    Le Remblai
    Carte des principaux lieux du centre-ville des Sables-d'Olonne.

    Quartier des Sables

    Remblai des Sables-d'Olonne de nuit.
    Le port de pêche des Sables-d'Olonne.
    Détail architectural d'un immeuble.
    • Le Remblai (promenades Lafargue et Clemenceau), bordé de nombreuses villas du XIXe siècle, faisant face à la mer et figurant à l'inventaire des monuments historiques[31] ainsi que plusieurs autres disséminées dans le centre-ville.
    • Ses trois ports :
    • Plusieurs lieux de culte, dont :
      • l'église Notre-Dame-de-Bon-Port, construite entre 1646 et le XVIIIe siècle, sa façade ouest évoque la Renaissance ; à la Révolution, elle devient le temple de la Raison avant d'être un grenier à grain puis elle retrouve sa vocation en 1800[34], située en plein centre ;
      • l'église Saint-Pierre, rue des Deux-Phares ;
      • l'abbaye Sainte-Croix, construite de 1633 à 1639, elle abrite, après le départ des sœurs, l'hôpital militaire, un camp d'internement, un centre de perfectionnement militaire, est réquisitionnée par les Allemands puis, rachetée par la municipalité, c'est un centre culturel, le musée des Sables, l'école de musique, et, actuellement, la médiathèque[35] - [36] ;
      • la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Espérance, dite Notre-Dame-des-Marins, construite en 1850, abrite une statue de la Vierge en bois polychrome, ancienne figure de proue d'un navire, qui aurait sauvé la vie de Flandrine de Nassau, naufragée au large de Bourgenay. Elle se trouve au 37 de la rue de l'Amidonnerie ;
      • l'église Saint-Michel. Sur son nouveau parvis est installée en 2018 une statue de saint Michel présente auparavant entre 1935 et 2017 dans l'enceinte d'une école privée. Après qu'une association a demandé son retrait de l'espace public en s'appuyant sur la loi de 1905, une consultation a lieu dont 94,51 % des participants se prononcent pour son maintien[37]. La cour administrative d’appel de Nantes confirme néanmoins son retrait[38].
      • le temple protestant, au 14 du cours Blossac.
    • Le cimetière, dans le quartier Arago, avec des tombes du XIXe siècle.
    • Le quartier du Passage, entre port et plage, avec ses maisons anciennes et ses ruelles étroites, dont :
      • la rue du Paradis (actuellement rue Manuel) ;
      • la rue de l'Enfer, figurant au Livre Guinness des records de 1987 comme étant la rue la plus étroite du monde avec 40 cm au sol ;
      • la rue Rapide…
    • Le quartier de l'île Penotte, ruelles piétonnes et façades ornées de mosaïques de coquillages.
    • Ses halles et marchés :
      • les halles centrales, au cœur de la ville, de style Baltard, abritent un marché quotidien et un marché de producteurs locaux, les mercredis et samedis ;
      • la halle à poissons, sur le port de pêche ;
      • le marché couvert Arago.
    • Le musée de l'abbaye Sainte-Croix, le MASC (art moderne et contemporain) : avec des œuvres de Victor Brauner, Gaston Chaissac, Philippe Cognée, Claude Viseux, Robert Combas, René Leleu, Albert Marquet, Peter Saul…, salle consacrée aux arts populaires et aux pratiques balnéaires, cycle de conférences sur l'art moderne organisé par la Société des amis du musée, présidée par Jacques Masson[39].
    • Le Conservatoire de musique Marin-Marais, situé derrière l'abbaye Sainte-Croix.
    • Le zoo des Sables-d'Olonne, à la Rudelière, dans une végétation luxuriante et fleurie.
    • Le Blockhaus-hôpital des Sables-d'Olonne, construit par les Allemands en 1943 et transformé en musée sur la Seconde Guerre mondiale ouvert au public en 2017.

    Quartiers de la Chaume et de l'Aubraie

    La piscine d'eau de mer Dombret, sur la côte sauvage de la Chaume.
    • Le château Saint-Clair qui abrite au sommet de son donjon le phare dit « de la tour d'Arundel ».
    • Le prieuré Saint-Nicolas, lieu d'expositions. À proximité, le mémorial des Péris en mer, mosaïque de Jacques Launois.
    • La Paracou, découverte de la faune et de la flore de l'estran, son ancienne écluse à poissons.
    • Musée du Coquillage.
    • Le château Saint-Clair dans le quartier de La Chaume.
      Le château Saint-Clair dans le quartier de La Chaume.
    • Le prieuré Saint-Nicolas.
      Le prieuré Saint-Nicolas.
    • Le musée du Coquillage.
      Le musée du Coquillage.
    • Le phare.
      Le phare.
    • Le château Saint-Clair.
      Le château Saint-Clair.
    Église Sainte-Marie d’Olonne
    L'église Sainte-Marie et son clocher.
    Le mur sud de l'église et la « tour des sarments ».

    Le style basilical du plus vieil édifice du Pays des Olonnes, utilisé par les Carolingiens, laisse supposer que l’église Sainte-Marie d’Olonne existait avant sa première mention en 1042[40]. L’église fut incendiée à deux reprises lors des guerres de Religion et son mobilier fut utilisé comme bois de chauffe par les troupes stationnées au camp de Pierre Levée lors des guerres de Vendée. Marquée par l’épisode révolutionnaire (sa flèche et son toit avaient, selon les mémoires de l'armateur sablais Collinet, brulé en 1797 après avoir été frappés par la foudre), l’église ne retrouva sa toiture qu’en 1805. Elle fit l’objet de campagnes de restauration aux XIXe et XXe siècles, et est classée comme monument historique depuis 1908.

    L'église présente la particularité de posséder une nef romane et un chœur gothique. Sa flèche octogonale culmine à quarante-cinq mètres. L'extrémité ouest du collatéral nord de la nef constitue la partie la plus ancienne de l'édifice (des pierres de taille typiques peuvent être observées sur le mur extérieur nord). En plus de ses voûtes romanes, l'église Sainte-Marie d’Olonne possède des clefs de voûte pendantes ouvragées du XVe siècle et accueille depuis 1937 dans son chœur la châsse de saint Vivent, évangélisateur du Pays des Olonnes (les reliques avaient été transférées en Bourgogne au moment des invasions normandes). La grande verrière du chevet date de 1884.

    Grande verrière du chevet de l'église.

    Le bourg d'Olonne comptait un autre édifice religieux avant la période révolutionnaire, un couvent de l'ordre des Cordeliers. Celui-ci fut incendié lors des guerres de Religion et son clocher fut, comme celui de l'église voisine, détruit par un incendie en 1797. L'édifice fut démantelé et vendu comme bien national sous la Révolution. Il n'en subsiste plus de trace aujourd’hui.

    Quartier du Château-d'Olonne

    Le Puits d'Enfer (2012).
    La Baie de Cayola (2012).

    Monuments historiques

    La commune ne compte qu'un monument historique, l'abbaye Saint-Jean d'Orbestier, abbaye bénédictine fondée en 1107 par Guillaume, comte de Poitou et duc d'Aquitaine, dont les parties encore existantes sont inscrites depuis le [41]. Elle n’a aucun lieu ou monument répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[42], ni aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[43], ni à l'inventaire général du patrimoine culturel[44].

    Château et manoirs

    • Le Château de Pierre-Levée (monument historique) fut construit sur le modèle du Petit Trianon de Versailles au XVIIIe siècle par l'architecte parisien Nicolas Ducret pour Luc Pezot, armateur et receveur des tailles de l’élection des Sables. Achevé en 1777, le château fut le siège d’un camp où logèrent une partie des troupes chargées de la défense du port des Sables lors des guerres de Vendée. Plusieurs parties du château (propriété privée) sont classées. L'entrée de la cour d'honneur se fait par une belle grille en fer forgé. Le château dispose de jardins desquels furent enlevées au XIXe siècle les statues de déesses dénudées qui l’ornaient à l’origine.
    Entrée du château de Pierre-Levée.

    Chaque été une scénographie bénévole se tient dans les jardins du château. Elle retrace l'histoire du Pays des Olonnes depuis la préhistoire.

    • Le manoir de la Jarrie (propriété de la commune) est une ancienne maison forte du XIIe siècle située au sud du bourg. Sa tour circulaire aurait été rajoutée au XIVe siècle. Les fossés du manoir ont été comblés pendant la Seconde Guerre mondiale par les troupes allemandes qui avaient installé dans le parc des pièces d'artillerie pour protéger la baie des Sables d'Olonne (les soldats ont également détruit les archives du manoir à leur départ).

    Le bâtiment et ses dépendances des XVIIe et XVIIIe siècles sont actuellement en restauration.

    Coquille sculptée.
    • Le manoir de la Mortière (propriété de la commune) est une autre maison forte située au nord du bourg. Un départ de voûte subsistant sur sa façade nord fait penser à une ancienne entrée de l'époque médiévale. Le porche et la tour carrée seraient du XVIe siècle. Le manoir fut offert par le roi Louis XIII à Jacques Martin, qui avait été anobli pour lui avoir sauvé la vie lors du siège de la Rochelle (1628) et en être sorti mutilé (il avait eu les deux bras arrachés par un boulet).

    Sur l'angle sud-ouest du mur, une pierre sculptée en forme de coquille rappelle que le bourg se trouvait sur l'un des chemins de Saint Jacques de Compostelle.

    • Une dernière maison forte, La Rocquerie (propriété privée), était située à l'ouest du bourg. Il n’en subsiste qu'une porte du XVIIe siècle et, à l'intérieur d’un puits, l'entrée d'un souterrain refuge de deux mètres de profondeur.

    Autres monuments

    Menhirs jumeaux de Pierre-Levée.
    • Des vestiges préhistoriques subsistent sur le territoire de la commune. Les menhirs jumeaux de Pierre-Levée se trouvent près du château auquel ils ont donné leur nom. Celui dit de la Conche Verte est situé au nord de la forêt d’Olonne et aurait servi de refuge à l’évangélisateur Saint-Vivent au IVe siècle. Un autre mégalithe, appelé Pierre des Serments, a été déplacé près d’une fontaine au nord du bourg. Sa nature préhistorique est contestée[45].
    • À la sortie du bourg (route de Vairé) se dresse le'monument aux morts. Celui-ci fut réalisé en 1922 par les frères Jan et Joël Martel. Ce monument est constitué d’une statue, représentant une femme en deuil habillée dans son costume local (appelé la mère Susane en référence au modèle supposé), reposant sur un socle orné de deux bas reliefs représentant des Poilus appuyés sur leurs fusils.
    • La maison du Père Tranquille (propriété privée), située à proximité du bourg, fut utilisée lors du tournage du film homonyme (1946).
    • La salle des Œuvres Post-Scolaires inaugurée en 1927 par Edouard Herriot, ministre de l’Instruction Publique et des Beaux Arts de l’époque, possède une intéressante charpente métallique. Elle est actuellement en voie de réhabilitation pour accueillir l’office de tourisme de la commune.
    • L’ancienne maison noble de la Gachère (propriété privée) se dresse dans le village du même nom et plusieurs maisons bourgeoises du XIXe siècle (propriétés privées) sont localisées dans le bourg d'Olonne-sur-mer.

    Musée des traditions populaires

    L'association Mémoire des Olonnes[46] gère depuis 1991 dans le bourg d'Olonne-sur-Mer le musée des Traditions Populaires.
    Celui-ci retrace la vie dans l'arrière-pays sablais à la fin du XIXe siècle. Les collections de l'association présentent la vie quotidienne, les costumes et coiffes locales, l'artisanat traditionnel et le matériel agricole de cette époque. Le musée reconstitue aussi l'ambiance d'une classe au début du XXe siècle.
    Il accueille également la collection réunie par un Olonnais, Alphonse Guillet[47], témoignage de la Guerre de 1914-1918.

    Autres lieux et monuments

    On peut également citer :

    • la résidence du Fenestreau (privée) ;
    • l'église Saint-Hilaire.

    La côte sauvage

    La commune de Château-d'Olonne présente la particularité de disposer à la fois d'une plage de sable et d'une côte rocheuse très découpée :

    Cet ensemble est parcouru par un cheminement cyclo-piéton.

    Olonne-sur-Mer

    La commune déléguée d'Olonne-sur-Mer dispose d'un important accès au littoral (environ 8 kilomètres) comportant des plages de sable fin, de rochers et de dunes en lisière de la Forêt domaniale d'Olonne :

    • la plage de Sauveterre, spot de surf réputé ;
    • la plage des Granges située au nord de la commune entre la forêt d'Olonne et le chenal du Havre de la Gachère qui matérialise la séparation avec les communes de Brem-sur-Mer et Bretignolles-sur-Mer ;
    • la plage de l'Aubraie entre la plage de Paracou (la Chaume) et celle de Sauveterre ;
    • les Marais d'Olonne qui commencent à La Roulière, l'ancien port d’Olonne avant son envasement.
    XVIe siècle
    XVIIe siècle
    • François l'Olonnais (1630-1669), l'un des pirates des Caraïbes les plus cruels et sanguinaires.
    • Philibert de la Brossardière, dit Philibert l'Olonnois.
    XVIIIe siècle
    XIXe siècle
    XXe siècle
    XIXe siècle
    XXe siècle
    XIIIe siècle
    XVIIe siècle
    • Michel Tortereau, flibustier né à Cuba ; adopté par une famille sablaise, il devient le second de Jean-David Nau dit l'Olonnais.
    XIXe siècle
    • Adolphe d'Hastrel (1805-1874), officier et artiste, auteur d'une série de lithographies sur la ville où il vécut.
    • Jean-Jacques Audubon (1785-1851), naturaliste (à cause de son père Jean Audubon, capitaine de navires né aux Sables en 1744).
    XXe siècle

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur au vaisseau équipé et habillé d'argent voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe, surmonté de la Vierge aussi d'argent, les bras croisés sur la poitrine et au voile mouvant à senestre, posée sur une nuée du même, accostée de deux chérubins aux ailes déployées d'argent cantonnés l'un en barre à dextre, l'autre en bande à senestre.
    Commentaires : Devise : Advocata Nostra Ora Pro Nobis (Ô notre médiatrice, intercède pour nous.)

    Notes et références

    Notes

    1. Yannick Moreau est membre des Républicains (LR) jusqu’en 2017[21] - [22].
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction d'une ville a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Commune 15488 », « Commune 23418 » et « Commune 10482 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Château-d'Olonne », « Olonne-sur-Mer » et « Les Sables-d'Olonne », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. Fiche des Sables-d’Olonne sur Lion 1906, site de Lionnel Delvarre, mis à jour le [lire en ligne].
    4. « Climat-Vendée - Toute l'info météo en Vendée (85) - Le climat Vendéen », sur climat-vendee.fr (consulté le ).
    5. « Normales - Station de la Roche-sur-Yon » sur le site officiel de Météo-France, consulté le 8 juillet 2009
    6. « Records aux Sables-d'Olonne » sur lameteo.org, consulté le 8 juillet 2009
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine - définition », sur www.insee.fr (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 des Les Sables-d'Olonne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Les Sables-d'Olonne », sur insee.fr (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    16. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Arrêté préfectoral no 18-DRCTAJ-494 portant création de la commune nouvelle “Les Sables-d’Olonne” », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Vendée, no 67, (lire en ligne [PDF]).
    19. Laurence Monard, « Yannick Moreau a “la fusion heureuse” », Ouest-France, (lire en ligne).
    20. Lucie Diat, « Les Sables-d’Olonne : Comme attendu, Yannick Moreau élu maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    21. Marylise Kerjouan, « Les partis politiques en voie de disparition », Ouest-France, édition des Sables-d’Olonne, , p. 10.
    22. Marylise Kerjouan, « Le maire confirme sa candidature », Ouest-France, édition des Sables-d’Olonne, , p. 11.
    23. Élisa Juszczak, « “Je suis Sablais” : difficile à dire pour certains », Ouest-France, Les Sables-d’Olonne, (lire en ligne, consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Sables-d'Olonne (85194) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    29. « Découpage infracommunal | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    30. Les Sables d’Olonne Agglomération, « Schéma de cohérence territoriale. Rapport de présentation. Livret 1 : Démographie et Habitat » [.pdf], sur lsoagglo.fr (consulté le ).
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    37. En Vendée, les habitants des Sables-d'Olonne votent pour le maintien de la statue de Saint Michel, lefigaro.fr, 5 mars 2022
    38. Sables-d’Olonne : la justice confirme l’enlèvement de la statue de saint Michel, leparisien.fr, 16 septembre 2022
    39. « Site des Amis du musée de l'Abbaye Sainte-Croix »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur amisdumasc (consulté le ).
    40. Olonne berceau d’un pays, X. Yziquel, éditions d’Orbestier, 2000
    41. « Abbaye Saint-Jean d'Orbestier », notice no PA00110068, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Liste des lieux et monuments de la commune de Château-d'Olonne à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Liste des objets historiques de la commune de Château-d'Olonne », base Palissy, ministère français de la Culture.
    44. « Liste des objets de la commune de Château-d'Olonne à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
    45. Bertrand Poissonnier, La Vendée préhistorique, La Crèche, Geste éditions, , 367 p. (ISBN 2-910919-38-2), p. 191.
    46. Site du Musée des Traditions Populaires
    47. Au milieu des années 1980, Monsieur Alphonse Guillet a fait bâtir à Massiges dans la Marne le monument en mémoire des disparus des combats de Champagne
    48. L'homme des villes de sable, texte d'Edith de Cornulier-Lucinière, illustrations de Sara, éditions Chandeigne, 2014
    49. « José David », sur musimem.com (consulté le ).
    50. Christophe Amouriaux, « Les Sables d'Olonne : mort de Marcel Hordenneau, ancien déporté et grand témoin auprès des jeunes », sur francetvinfo.fr, France 3 Pays de la Loire, (consulté le ).
    51. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/saint-nazaire-le-pere-de-la-statue-de-monsieur-hulot-a-saint-marc-est-decede-f5118ac6-5afc-11ea-ba7c-b449379aa379

    Annexes

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Michel Gaucher, Olonne-sur-Mer : d'hier à demain, Les sables-d'Olonne, Les Amitiés sablaises, coll. « Le littoral vendéen », , 43 p. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Eric Gillot, "la pironnière, vendée, france", TheBookEdition, 2019, 230 p.

    Liens externes

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