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Henri Chapu

Henri Michel Antoine Chapu est un sculpteur et médailleur français, né le au Mée-sur-Seine et mort le dans le 7e arrondissement de Paris[1].

Henri Chapu
Henri Chapu, photographie de Pierre Petit,
Paris, musée d'Orsay.
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Partenaire
Distinctions
Œuvres principales
Greece crowns Byron (d), Bust of Christakis Zographou, Ioannina (d)

Biographie

Léon Bonnat, Autoportrait (1855) , Paris, musée d'Orsay.
Fronton de la Cour de cassation à Paris.
Hercule et Mars au repos, château de Versailles.
Carl Jacobsen (1893) par August Jerndorff (en).

L'enfance

Henri Chapu naît du mariage de Julien Chapu (1811-1869) et de Claire Lecoq (morte en 1880), dans la propriété que possède le marquis Armand Pierre de Fraguier (mort en 1841), au Mée-sur-Seine, où ceux-ci sont employés respectivement comme cocher et comme ménagère. Après avoir été placé en nourrice chez des alliés familiaux, successivement à Marcq et à Thoiry[2], à l'âge de dix ans, il est de retour au Mée-sur-Seine pour aussitôt suivre ses parents à Paris lorsque son père devient concierge du marquis Léonce de Vogüé dans son immeuble aujourd'hui disparu du 92, rue de Lille. Les traits de ses parents nous sont connus : ceux de Julien, doublement, par le portrait au pastel réalisé en 1846 par la jeune Ursule de Vogüé (future comtesse Charles-Marie de Bryas)[3] avant qu'ils ne soient fixés par le portrait en médaillon que Chapu lui-même exécutera en 1861[4], ceux de Claire par le portrait sur toile que brossera Pierre De Coninck vers 1861[3].

La formation, le prix de Rome

Après qu'il a fréquenté l'école des Frères, c'est dans la perspective d'aboutir au métier de tapissier par l'apprentissage du dessin qu'il entre à la Petite école, rue de l'École-de-Médecine à Paris, où ses aptitudes lui valent une bourse lui offrant de changer de voie.

Devenu l'élève de James Pradier à partir de 1849 puis, au décès de celui-ci en 1852, de Francisque Duret et Léon Cogniet à l'École des beaux-arts de Paris, il remporte, successivement, en 1851 le second grand prix de Rome en gravure de médaille et pierre fine pour Neptune faisant naître un cheval, en 1853, le second grand Prix de Rome de sculpture pour Le Désespoir d'Alexandre après le mort de Clitus et, en 1855, conjointement avec Amédée Doublemard, le premier grand prix de Rome de sculpture pour Cléobis et Biton, à l'unanimité du jury malgré une mutilation de l'œuvre survenue accidentellement pendant son transport[2].

Il part pour la villa Medicis à Rome en , en même temps que les autres primés qui, outre Doublemart, sont l'architecte Honoré Daumet, le médailleur Alphée Dubois et le compositeur Jean Conte, les haltes lui offrant de visiter Lyon, Avignon, Arles, Nîmes, Marseille, Gênes et Florence[2]. Sur le trajet, il s'initie à la langue italienne et exécute quelques portraits en médaillons de ses camarades. Effectuant deux grands périples, l'un vers le nord (Pise, Sienne, Venise, Padoue, Bologne et à nouveau Florence), l'autre vers le sud (Naples, Baïes, Pouzzoles, le Cap Misène, le lac Lucrin et Pompéi), il se rapproche de Gustave Moreau avec qui il mesure les proportions des sculptures antiques, plus durablement de Léon Bonnat, les Paysages d'Italie qu'il dessine alors et que conservent aujourd'hui le musée Bonnat-Helleu à Bayonne et la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art à Paris portant témoignage des promenades qu'affectionnent les deux amis tant dans la ville que dans la campagne et les montagnes environnantes[5]. Chapu reviendra ensuite fréquemment dans la campagne romaine afin de s'y délasser, continuant d'en rapporter « des aquarelles bien écrites »[6]. Après ses deux premiers envois à Paris Le Christ aux anges en 1857, le Triptolème en 1859 , qui font l'objet de critiques cinglantes de l'Institut, son troisième envoi, Mercure inventant le caducée en 1861, année où au mois d'août s'achève ce premier séjour à Rome, est enfin favorablement apprécié[2].

Les années difficiles

De retour à Paris en , Henri Chapu trouve un « modeste atelier » situé rue de l'Abbaye, dans le 6e arrondissement, acceptant les travaux qui dans l'art industriel (ornements divers) et l'architecture (cariatides et mascarons) Charles Rohault de Fleury, notamment, fait appel à lui lui fournissent tant bien que mal une maigre subsistance alimentaire. Son œuvre de 1862-1863 intitulée Beauvais, sur la façade de la gare du Nord à Paris, sera suivie entre autres d'un cartouche cantonné de deux enfants et du médaillon Napoléon Ier ornant la façade de la Cour de cassation[2].

La société des Caldarrosti, qui s'est formée à la villa Medicis vers 1860, continue de grouper fraternellement un groupe d'artistes se rassemblant au cours d'un dîner mensuel qui l'été se déroule à la campagne et où Henri Chapu retrouve des peintres, sculpteurs, architectes ou compositeurs, tous anciens de Rome comme Léon Bonnat, Jean-Baptiste Carpeaux, Jules Chaplain, Pierre De Coninck, Honoré Daumet, Théodore Dubois, Alexandre Falguière, Jean-Paul Laurens, Jules Lefebvre, Charles Lenepveu, Louis Hector Leroux, Constant Moyaux ou Tony Robert-Fleury : de plusieurs d'entre eux il réalise alors des portraits en médaillons. Chapu s'associera également au groupe des Florentins avec Ernest Christophe, Paul Dubois, Alexandre Falguière, Laurent Marqueste, Antonin Mercié et Hippolyte Moulin.

Henri Chapu expose chaque année au Salon à partir de 1863 où la médaille de troisième classe qu'il reçoit pour son Mercure inventant le caducée ouvre la série des récompenses officielles. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en . Après les bustes de Léon Bonnat et Paul Sédille, celui du comte Tanneguy Duchâtel (1803-1867), qui est une commande de sa veuve née Rosalie Paulée et qu'il expose au Salon de 1869, énonce le début de sa célébrité en ce qu'il l'introduit « dans le monde d'amateurs riches et éclairés dont l'estime devait se traduire par d'importantes commandes : peu à peu, le talent devait s'affirmer dans le grand public, et les demandes de bustes (comme Jean Civiale) et de médaillons (comme Alfred Velpeau) devenaient chaque jour plus nombreuses »[2]. Frédéric Le Play, dont il réalise le buste en marbre que conserve aujourd'hui le musée Henri-Chapu au Mée-sur-Seine, lui commande deux cariatides monumentales pour l'Exposition universelle de 1867.

La célébrité

En 1869, Henri Chapu reconstitue dans la cour de Marbre du château de Versailles, « en remplacement de l'ensemble original ruiné » datant de 1679[7], les statues Mars au repos de Gaspard Marsy et Hercule au repos de François Girardon formant, en allégorie de Louis XIV victorieux, l'ensemble décoratif encadrant l'horloge du pavillon central[8].

Le Monument à Henri Regnault (1876), avec la figure de La Jeunesse, École des beaux-arts de Paris.

Chapu s'engage dans la Garde nationale en 1870, avant que le mandat d'arrêt dont il fait l'objet, à la suite de ses protestations contre le vandalisme subi par les monuments de Paris, ne le contraigne à demeurer caché dans une chambre de l'hôtel de Vogüé jusqu'à l'entrée des troupes versaillaises dans Paris[2].

Sa production, qui devient alors très abondante, est souvent inspirée de l'antique. Il reçoit de nombreux honneurs et distinctions, et devient l'un des sculpteurs les plus sollicités de la Troisième République. Le marbre de sa Jeanne d'Arc écoutant ses voix[9], exposé au Salon de 1872, le révèle au grand public. Cette œuvre dévoile en effet son talent pour rendre des expressions et des sentiments subtils et justes dans une enveloppe idéale. Il est promu officier de la Légion d'honneur le . Le marbre de La Jeunesse, « figure au drapé particulièrement élégant » qui témoigne de l'influence de la Renaissance qui vient s'ajouter à l'idéal des années romaines[10], sculpté pour le Monument à Henri Regnault et aux élèves morts pour la patrie érigé dans la cour du Mûrier à l'École des beaux-arts de Paris, lui vaut l'obtention de la médaille d'honneur au Salon de 1875[11]. Cette œuvre, que Chapu réutilisera maintes fois pour des monuments aux morts[12], connut un grand succès d'édition en bronze par la Maison Barbedienne. Il fait encore mémoire du récent conflit en co-réalisant avec Charles-Arthur Bourgeois le sphinx pour le Mémorial aux soldats français tombés durant la guerre franco-prussien de 1870-1871 du cimetière de Bruxelles[13].

  • Le Monument aux soldats morts pendant le siège de 1870, Paris, Cimetière du Père Lachaise
  • Vue d'ensemble.
    Vue d'ensemble.
  • Le Soldat de ligne et Le Fusilier marin.
    Le Soldat de ligne et Le Fusilier marin.
  • Le Garde mobile et L'Artilleur.
    Le Garde mobile et L'Artilleur.

Henri Chapu réalise en 1875, en association avec le médailleur Alphée Dubois, la Médaille du vœu national[14], frappée en l'honneur de la pose de la première pierre de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre[15]. Il épouse Marie Cozette de Rubempré (née en 1847) le [5], dont il avait réalisé le portrait en médaillon en 1861[16]. Une lettre écrite à son épouse depuis Nohant, où il restitue un dîner en présence d'Ivan Tourgueniev, Pauline Viardot et Ludovic Vitet, le situe alors dans l'entourage de George Sand[17]. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1880 au fauteuil no 7 de la deuxième section, et deviendra le président de cette institution en 1889.

Après son séjour à Munich en 1883 dans le cadre de l'Exposition internationale des beaux-arts qui s'y tient, Chapu séjourne plusieurs semaines durant en 1885 à Copenhague sur l'invitation du collectionneur et mécène Carl Jacobsen qui, à Munich, s'est porté acquéreur d'un exemplaire en plâtre de La Jeunesse[18] et qui l'y charge d'exécuter en marbre le buste d'Alexandra, princesse de Galles[19], en même temps que Jean Gautherin est appelé à y réaliser celui de sa sœur Dagmar, future tsarine Maria Feodorovna[2].

Les œuvres de Chapu ornent de nombreux bâtiments parisiens, notamment l'hôtel de ville, l'Opéra Garnier, le Palais de justice, la gare du Nord, le palais Galliera ou le grand magasin Printemps Haussmann. Quelques statues funéraires lui valent également un grand succès : le Tombeau de Mgr Dupanloup (1886) dans la cathédrale d'Orléans, celui en marbre de Mgr Augustin David dans la cathédrale Saint-Étienne de Saint-Brieuc, et surtout la statue funéraire de la duchesse d'Orléans, sculptée pour la chapelle royale de Dreux ; la jeune femme y est représentée sur son lit de mort, le bras droit pendant.

Une partie de sa production, et en particulier sa Jeanne d'Arc à Domrémy, ainsi que le Buste de Jean-Félix Bapterosses, ont été édités en bronze par la fonderie Barbedienne.

Projets inachevés

Désiré Fosse, Chemin de croix (1895, détail), d'après les dessins et la maquette inachevée d'Henri Chapu, Notre-Dame-de-Benoite-Vaux.

La Société des gens de lettres lui avait initialement commandé une statue d'Honoré de Balzac. Mais Henri Chapu meurt avant d'avoir pu exécuter son œuvre et n'a laissé que des esquisses et des ébauches de son monument[20]. En outre, il ne réalisera jamais la statue de La Grèce à Byron, qui sera reprise et sculptée par Alexandre Falguière[21], ni même le chemin de croix de l'église Notre-Dame-de-Benoite-Vaux, à Rambluzin-et-Benoite-Vaux, dont il a entamé les dessins en 1889, n'ayant le temps que de dessiner treize des quatorze stations et d'entreprendre une seule maquette[22] - [23]. L'artiste est emporté en trois jours par une congestion pulmonaire au cours de la grande épidémie de grippe de 1891 et il meurt dans son domicile parisien du 14, cité Vaneau le [24]. Il est inhumé au cimetière du Mée-sur-Seine.

Le tombeau en marbre de Carrare d'Henri Chapu, commandé par Henri Delaborde, le secrétaire perpétuel de l'Académie des beaux-arts, est orné d’un haut-relief réalisé par son élève Henri-Auguste-Jules Patey, qui réalisa aussi les deux médaillons représentant les parents du sculpteur. La statue du Génie de l'immortalité, réalisée en 1880 pour la sépulture de Jean Raynaud, orne également le tombeau. Celui-ci sera inauguré en 1894[25].

Œuvres dans les collections publiques

Pluton, parc du château de Chantilly.
Monument aux frères Galignani, Corbeil-Essonnes, place Galignani.
Jeanne d'Arc, médaillon, église Saint-Aspais de Melun.
Le Génie du Patriotisme ranimant la France, tombe d'Adolphe Thiers, Paris, cimetière du Père-Lachaise.
Les Saisons, Paris, Printemps Haussmann.
Les Lettres, Paris, Sorbonne.
Monument aux morts, Saint-Yrieix-sous-Aixe.
Monument funéraire Morgan, Springfield.

Belgique

Danemark

États-Unis

France

Italie

Royaume-Uni

Suède

Collections privées référencées

Œuvres non localisées ou disparues

  • Le Désespoir d'Alexandre après la mort de Clitus, 1853, second prix de Rome, localisation inconnue.
  • Vienne, hôtel de Nathaniel de Rothschild : fontaine, 1879, œuvre disparue[90].

Galerie

Réception critique

  • « L'auteur de la Jeunesse[41], écrivit une critique à propos de cette délicieuse création, s'est fait une spécialité de la sculpture funéraire. L'idéal, quand on veut laisser une trace d'immortalité, consiste à être ensépulturé par Chapu. Il semble, en effet, qu'aucun genre ne convienne mieux à la tendresse émue de son talent. Chapu y trouvera encore l'occasion de nombreux chefs-d'œuvre. » - Octave Fidière[2]
  • « Auprès des figues palpitantes de passion de Carpeaux, les ouvrages de Chapu, inspirés de l'antique et pourtant si modernes, ne perdent rien de leur charme délicat et discret. La Jeanne d'Arc à Domrémy, la Jeunesse, du monument de Regnault, restent parmi les chefs-d'œuvre dont peut s'enorgueillir la sculpture du XIXe siècle. » - Maurice Demaison[91]
  • « Au lendemain de la proclamation de la IIIe République, un nouveau style républicain, laïque et patriotique surgit du macadam. Essentiellement bourgeois et toujours rétrograde, chargé de lourds symboles, il se veut le héraut du progrès. Ce style, où l'emphase le dispute à la naïveté, n'est pas dépourvu d'intérêt et il n'est pas exclu que, dans un avenir assez proche, on rende justice au talent de Barrias ou de Chapu. Certaines de leurs sculptures telles l'Électricité ou la Vapeur sont remarquables par le génie qu'ils eurent - mêlant les symboles aux appareils techniques - de réaliser des œuvres d'une originalité aussi belle sur le plan plastique que singulière par la composition. » - Maurice Rheims[92]
  • « L'un des meilleurs représentants de la sculpture française des années 1860-1890, génération qui s'émancipe enfin de l'autorité de l'antique, mais demeure respectueuse des maîtres. Si le Prix de Rome lui ouvre, comme à Carpeaux, Falguière et Barrias une carrière officielle dès son retour à Paris en 1861, comme Carrier Belleuse, il éprouve pour la Renaissance un attrait que révèlent, sous des aspects différents, la silhouette bellifontaine de la Jeunesse ou le tombeau monumental de Mgr Dupanloup de caractère plus florentin ; comme Carpeaux et Dalou, et peut-être à cause de la formation qu'il a reçue comme eux à la Petite École, il admire les grandes figures de l'art baroque romain ou versaillais. Leur leçon restera sensible tout au long de son œuvre. » - Antoinette Le Normand-Romain[93]
  • « La France du XIXe siècle fut passionnée par la figure de Jeanne d'Arc, héroïne historique et mythifiée qui participa du fort mouvement nationaliste, volontiers antibritannique, de la seconde moitié du XIXe siècle. Henri Chapu, sculpteur classique qui sut explorer la voie d'un naturalisme sincère et élégant, ne choisit pas de représenter la vierge guerrière en armure, mais la bergère lorraine entendant les voix qui lui demandent d'aider le roi à libérer le royaume. Présenté au dernier Salon du Second Empire, en 1870, le plâtre fut transcrit en marbre en 1872 et connut un succès considérable : l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine, après la défaite de Sedan, avait fait de Jeanne d'Arc un emblème national et une véritable sainte laïque, bien avant sa canonisation par le Vatican en 1920. La sculpture de Chapu fut l'une des plus célèbres images de Jeanne d'Arc en France, diffusée dans toutes les dimensions et tous les matériaux bien après 1900 ; cette statue est particulièrement chère au cœur des Melunais car, en 1429, venue inspecter les remparts de la ville récemment libérée, Jeanne y aurait entendu ses voix l'avertir qu'elle serait bientôt faite prisonnière, qu'elle devrait accepter l'épreuve et que Dieu lui apporterait son aide, épisode rapporté dans les pièces de son procès. Le , une copie en marbre est inaugurée dans le square Henri-Chapu. » - Pascal-Raphaël Ambrogi et Dominique Le Tourneau[40]

Récompenses et distinctions

Expositions

Expositions collectives

Expositions personnelles

Élèves et collaborateurs

« Ne rêvez pas de trop grandes choses, disait Henri Chapu à ses élèves, un objet de petite importance, mais bien et solidement exécuté, peut faire plus pour votre réputation qu'une œuvre plus ambitieuse rendue de façon insuffisante. Une petite monnaie grecque contient plus d'art que le groupe du Taureau de Dircé »[2]. Il a été professeur à l’Académie Julian à Paris[97] où, parmi d'autres, il a eu pour élèves :

Iconographie

Notes et références

  1. Archives de Paris 7e, acte de décès no 894, année 1891, p. 23.
  2. Octave Fidière, Chapu, sa vie, son œuvre, E. Plon, Nourrit et Cie, 1894.
  3. [PDF] Les portraits intimes : les parents de Henri Chapu par Ursule de Vogüé et Pierre De Coninck, collections du musées de Melun.
  4. Petit Palais, Le père de Henri Chapu, médaillon en bronze dans les collections.
  5. Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'École française, tome premier, Librairie ancienne Honoré Champion, 1914.
  6. Dictionnaire Bénézit, vol.3, Gründ, 1999, p. 485.
  7. Versailles, décors sculptés extérieurs, catalogues des collections, Hercule et Mars au repos, allégorie de Louis XIV victorieux.
  8. Wikiphidias, encyclopédie des sculpteurs français, Henri Chapu.
  9. Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, Éditions du C.T.H.S., 2012, p. 103.
  10. Françoise Cachin (dir.), L'art au XIXe siècle. Seconde moitié : 1850-1905, Citadelles, 1990, p. 206.
  11. Catherinne Chevillot et Laure de Margerie (dir.), La sculpture au XIXe siècle. Mélanges pour Anne Pingeot, Paris, Éditions Nicolas Chaudun, 2008, p. 431.
  12. « La Jeunesse », notice sur musee-orsay.fr.
  13. Cimetière de Bruxelles, Monuments remarquables, 2017.
  14. Le dessin du projet est conservé au musée d’art et d’histoire de Melun.
  15. Jacques Benoist, « Henri Chapu et la médaille de vœu national (1875) », Le Sacré-Cœur de Montmartre de 1870 à nos jours, Les Éditions ouvrières, 1992, p. 621-622.
  16. Musée d'Orsay, Portrait en médaillon de Marie Cozette de Rubempré.
  17. Les amis du musée de Melun, Une lettre du sculpteur Henri Chapu.
  18. Archives Jacobsen, Lettre de Henri Chapu à Carl Jacobsen, 28 octobre 1883.
  19. Ny Carlsberg Glyptotek (cf. Ny Carlsberg Glyptotek, buste d'Alexandra de Danemark, princesse de Galles, par Henri Chapu).
  20. Maison de Balzac, Henri Chapu dans les collections.
  21. (grk) « Λόρδος Βύρων » [« Lord Byron »], sur www.zappeion.gr (consulté le ).
  22. Le sculpteur Désiré Fosse (1862-1913) achèvera en 1895 l'œuvre constituée de quatorze grands monolithes alignés tels des mégalithes bretons.
  23. Église Notre-Dame-de-Benoite-Vaux, Histoire du chemin de croix.
  24. Généa 77, Les célébrités : Henri Chapu.
  25. « Tombe d'Henri Chapu », sur le site Cimetières de France et d'ailleurs, consulté le 15 février 2015.
  26. Ny Carlsberg Glyptotek, Henri Chapu dans les collections
  27. Art Institute of Chicago, Henri Chapu dans les collections.
  28. Université de Mary Washington, Henri Chapu dans les, collections.
  29. Université James Madison, Henri Chapu dans les collections.
  30. Speed Art Museum, Henri Chapu dans les collections.
  31. Janne Voorhees Zimmerti Art Museum, Henri Chapu dans les collections.
  32. Metropolitan Museum of Art, "La Musique" par Henri Chapu dans les collections.
  33. Metropolitan Museum of Art, "Buste de Ferdinand Barbedienne" par Henri Chapu dans les collections.
  34. Metropolitan Museum of Art, "Monument à Flaubert" par Henri Chapu dans les collections.
  35. Allen Memorial Art Museum, Henri Chapu dans les collections.
  36. Philadelphia Museum of Art, Henri Chapu dans les collections.
  37. Forest Glen Annex, Henri Chapu dans les collections.
  38. Iris & B. Gerald Cantor Center for Visual Arts, Henri Chapu dans les collections.
  39. National Gallery of Art, Henri Chapu dans les collections.
  40. Pascal-Raphaël Ambrogi et Dominique Le Tourneau, Dictionnaire encyclopédique de Jeanne d'Arc, Desclée de Brouwer, 2017.
  41. Musée des beaux-arts d'Angers, Henri Chapu dans les collections.
  42. Musée Bonnat-Helleu, Henri Chapu dans les collections.
  43. « Proserpine », notice no 50520006762, base Joconde, ministère français de la Culture
  44. « Pluton », notice no 50520006763, base Joconde, ministère français de la Culture
  45. Reporter citoyen, Les frères Galignani, bienfaiteurs de Corbeil-Essonnes.
  46. Musée Henri-Chapu, buste de Frédéric Le Play.
  47. Musée Henri-Chapu, buste d'Alexandre Dumas père.
  48. Musée Henri-Chapu, buste de Ludovic Vitet.
  49. Musée Henri-Chapu, La danseuse à l'éventail.
  50. Musée Henri-Chapu, médaillon de Jean-Félix Bapterosses.
  51. Musée Henri-Chapu, médaillon de Léon Cogniet.
  52. Musée Henri Chapu, buste d'Hector Malot.
  53. Musée Henri-Chapu, Armand Chappée, médaillon.
  54. cimetières de France et d'ailleurs, Œuvres funéraires de Henri Chapu.
  55. latribunedelart.com.
  56. « Ville de Nemours », sur Ville de Nemours (consulté le ).
  57. n° inv. : 2016.0.17 (cf. photo.rmn.fr.
  58. « classé aux monuments historiques en 1862 », notice no PM45001761, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « classé aux monuments historiques en 2001 », notice no PM45000934, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. Académie d'architecture, Henri Chapu dans les collections.
  61. Bibliothèque interuniversitaire de santé, Henri Chapu dans les collections.
  62. Cimetières de France et d'ailleurs, sépulture Joseph-Louis Duc, cimétière de Montmartre.
  63. « Reynaud Jean Ernest (1806-1863) » sur appl-lachaise.net.
  64. « Sépulture de Clara Bancroft-Peabody – Cimetière du Père-Lachaise – Paris (75020) », notice sur e-monumen.net.
  65. École nationale supérieure des beaux-arts, Buste d'Eugène Millet par Henri Chapu.
  66. Notice de la base Cat'zArts.
  67. « La Moisson », notice sur parismuseescollections.paris.fr.
  68. Musée Carnavalet, Madame Robert-Fleury par Henri Chapu dans les collections.
  69. Musée Carnavalet, "Christiane Garnier" par Henri Chapu dans les collections.
  70. Musée Carnavalet, Sadi Carnot par Henri Chapu dans les collections.
  71. Musée Carnavalet, "La Jeunesse" de Henri Chapu dans les collections.
  72. Musée Carnavalet, "L'Été" de Henri Chapu dans les collections.
  73. Musée Carnavalet, "L'Hiver" de Henri Chapu dans les collections.
  74. [PDF] Musée national Jean-Jacques-Henner, Un séjour enchanteur : Jean-Jacques Henner en Italie, dossier de l'exposition, 2018. Les deux médaillons de Henri Chapu dans les collections sont reproduits en dernière page.
  75. Musée du Louvre, cabinet des arts graphiques, Henri Chapu dans les collections.
  76. Henri Chapu, Tony Robert-Fleury, médaillon, collections du musée d'Orsay.
  77. « Mercure inventant le caducée », notice sur musee-orsay.fr.
  78. « Le jeune Robert D. (Desmarres) », notice sur musee-orsay.fr.
  79. « Semeur ou Triptolème », notice sur anosgrandshommes.musee-orsay.fr.
  80. Petit Palais, Léon Bonnat par Henri Chapu dans les collections.
  81. Petit Palais, Marie, jeune femme, par Henri Chapu dans les collections.
  82. Petit Palais, Portrait de Nino Garnier par Henri Chapu dans les collections.
  83. Petit Palais, Élie Delaunay par Henri Chapu dans les collections.
  84. Petit Palais, "La Cantate" dans les collections.
  85. Petit Palais, "La Sécurité" dans les collections.
  86. Petit Palais, "Nu debout", dessin de Henri Chapu dans les collections.
  87. Paristoric, Les sculpteurs de la capitale : Henri Chapu.
  88. Walker Art Gallery, Henri Chapu dans les collections.
  89. Haauteville House (musée Victor-Hugo), Henri Chapu dans les collections.
  90. « Catalogue du musée Chapu au Mée ».
  91. Maurice Demaison, « La sculpture. L'exposition centennale », Revue de l'art ancien et moderne, 10 juillet 1900.
  92. Maurice Rheims, La sculpture au XIXe siècle, Arts et métiers graphiques, 1972, p. 226.
  93. Antoinette Le Normand-Romain, « Chapu : entre nature et tradition », in ouvrage collectif Centenaire Henri Chapu - 1833-1891, co-édition musée Henri-Chapu et musée de Melun, 1991, p. 9-16.
  94. Reproduite au catalogue de l'exposition sous le titre Jeanne d'Arc à Domrémy.
  95. L'Italie à Paris, "Souvenirs d'Italie", musée de Melun, présentation de l'exposition, juillet 2011
  96. Musée d'art et d'histoire de Melun, Études pour la danse par Henri Chapu, présentation de l'exposition, 2017.
  97. Site officiel de ESAG Penninghen.
  98. Musée d'art et d'histoire du judaïsme, Buste de Henri Chapu par Léopold Bernstamm, photographie de l'œuvre conservée à Versailles.
  99. École nationale supérieure des beaux-arts, "Portrait de Henri Chapu" par Léon Bonnat dans les collections.

Annexes

Bibliographie

  • Henri Chapu, Rapport sur la sculpture, Paris, Imprimerie nationale, 1884.
  • Octave Fidière, Chapu, sa vie, son œuvre, E. Plon, Nourrit et Cie, 1894 (lire en ligne).
  • Henri Delaborde, Notice sur la vie et les ouvrages de M. Henri Chapu, Académie des beaux-arts, 1895.
  • B. d'Oyloct, Henri Chapu, sculpteur, membre de l'Institut (1833-1891), Les Contemporains, no 563, 1903.
  • Charles du Bousquet, « Chapu - Lettres, pages d'albums et croquis inédits », Revue de l'art ancien et moderne, .
  • Henri Lapauze, « Lettres inédites du sculpteur Chapu », Le Gaulois, .
  • Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'École française du XIXe siècle, tome premier, Librairie ancienne Honoré Champion, 1914 (lire en ligne).
  • Encyclopédie Larousse, Larousse, 1964.
  • Maurice Rheims, La sculpture au XIXe siècle, Arts et métiers graphiques, 1972.
  • Anne-Marie Lussiez, Henri Chapu au Mée-sur-Seine, Le Mée-sur-Seine, Éditions du musée Henri-Chapu, 1977.
  • (en) James Mackay, The Dictionary of sculptors in bronze, Woodbridge, Suffolk, Antique Collectors Club, 1977.
  • Anne Pingeot, « Le Flaubert et le Balzac de Chapu », Revue du Louvre, no 1, 1979.
  • Françoise Cachin (dir.), L'art du XIXe siècle. Seconde moitié : 1859-1905, Citadelles, 1990.
  • Antoinette Le Normand-Romain, Philippe Grunchec, Annie-Claire Lussiez, Jacques Letève, Laure de Margerie, Chantal Rouquet, Marie Bouchard et Annette Gélinet (préface de René André et Jacques Marinelli), Centenaire Henri Chapu. 1833-1891, co-édition musée Henri-Chapu et musée de Melun, 1991.
  • Antoinette Le Normand-Romain, Mémoire de marbre. La sculpture funéraire en France, 1804-1914, Agence culturelle de Paris, 1995.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999.
  • (en) Ruth Butler, Suzanne Glover Lindsay, Alison Luchs, Douglas Lewis, Cynthia J. Mills et Jeffrey Weidman, European sculpture of the nineteenth century, Washington, National Gallery of Art, 2000.
  • Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, CTHS, coll. « Format no 71 », , 559 p. (ISBN 978-2-7355-0780-1, OCLC 828238758, BNF 43504839), p. 102-108.
  • Pascal-Raphaël Ambrogi et Dominique Le Tourneau, Dictionnaire encyclopédique de Jeanne d'Arc, Paris, Desclée de Brouwer, 2017.
  • Dominique Ghesquière, « Des musées, une collection (1887-2017), Henri Chapu, sculpteur : études, recherches et prospectives », Sculptures, no 4, 2017.

Conférences

Article connexe

  • Liste d'œuvres d'Henri Chapu (en).

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