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Saint-Louis-en-l'Isle

Saint-Louis-en-l'Isle est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Louis-en-l'Isle
Saint-Louis-en-l'Isle
La mairie de Saint-Louis-en-l'Isle.
Blason de Saint-Louis-en-l'Isle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Jean-Luc Massias
2020-2026
Code postal 24400
Code commune 24444
DĂ©mographie
Population
municipale
304 hab. (2020 en augmentation de 5,92 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 108 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 03â€Č 38″ nord, 0° 23â€Č 29″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 127 m
Superficie 2,82 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mussidan
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Saint-Louis-en-l'Isle
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Saint-Louis-en-l'Isle
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Saint-Louis-en-l'Isle
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Saint-Louis-en-l'Isle
Liens
Site web saint-louis-en-lisle.fr

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Généralités

    La commune de Saint-Louis-en-l'Isle est localisĂ©e dans l'ouest du dĂ©partement de la Dordogne et incluse dans l'unitĂ© urbaine de Mussidan[1]. Le nord du territoire communal fait partie de la forĂȘt de la Double. Avec moins de trois kilomĂštres carrĂ©s, c'est la commune la moins Ă©tendue de Dordogne, aprĂšs Monpazier.

    Le bourg de Saint-Louis-en-l'Isle est situé, en distances orthodromiques, quatre kilomÚtres au nord-est de Mussidan et quatorze kilomÚtres au sud-ouest de Saint-Astier. Il se trouve à l'intersection des routes départementales 3E5 et 3E10.

    La commune est Ă©galement desservie par la route dĂ©partementale 3. Elle est aussi traversĂ©e par la ligne de chemin de fer de Coutras Ă  Tulle dont les gares les plus proches sont celles de Mussidan et de Douzillac. Au nord, en forĂȘt de la Double, entre Beauronne et Douzillac, le sentier de grande randonnĂ©e GR 646 parcourt le territoire communal.

    Communes limitrophes

    Saint-Louis-en-l'Isle est limitrophe de quatre autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Louis-en-l'Isle
    Beauronne Douzillac
    Saint-Front-de-Pradoux Saint-Louis-en-l'Isle
    Sourzac

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Louis-en-l'Isle est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisĂątres et des calcaires graveleux bioclastiques Ă  orbitoides. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et sa notice associĂ©e[5].

    Carte géologique de Saint-Louis-en-l'Isle.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 43 mĂštres[6] au sud-ouest, au confluent de la Beauronne et de l'Isle, lĂ  oĂč cette derniĂšre quitte la commune et sert de limite entre Sourzac et Saint-Front-de-Pradoux, et 127 mĂštres[6] au nord-est, en forĂȘt de la Double, au nord de l'Argillier[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune est dans l'unitĂ© paysagĂšre de la « VallĂ©e de l'Isle », qui prĂ©sente un profil contrastĂ© : une vallĂ©e relativement encaissĂ©e, aux coteaux affirmĂ©s, dominant le fond de vallĂ©e de 60 Ă  80 m en amont de Mussidan, une vallĂ©e plus Ă©largie en aval avec un fond de vallĂ©e plat, large de 1,5 Ă  2 km. À la fois agricole et urbanisĂ©e, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[10] - [11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 2,82 km2[12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 2,8 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par l'Isle et la Beauronne, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face Ă  Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[17] - [18]. Formant un mĂ©andre, elle borde la commune Ă  l'est et au sud sur prĂšs de quatre kilomĂštre et demi, face Ă  Sourzac.

    La Beauronne, d'une longueur totale de 18,12 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent-de-Connezac ; son bras oriental se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Saint-Front-de-Pradoux et de Saint-Louis-en-l'Isle, face Ă  Sourzac[19] - [20]. Elle sert de limite naturelle Ă  l'ouest sur plus de deux kilomĂštres et demi, face Ă  Beauronne et Saint-Front-de-Pradoux.

    • L'Isle en limite de Sourzac (Ă  gauche) et Saint-Louis-en-l'Isle (en rive opposĂ©e).
      L'Isle en limite de Sourzac (à gauche) et Saint-Louis-en-l'Isle (en rive opposée).
    • La Beauronne au pont de la RD 3, en limite de Saint-Louis-en-l'Isle (Ă  gauche) et Saint-Front-de-Pradoux.
      La Beauronne au pont de la RD 3, en limite de Saint-Louis-en-l'Isle (Ă  gauche) et Saint-Front-de-Pradoux.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Louis-en-l'Isle.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [22].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[23]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 852 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[27] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[28] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-RibĂ©rac, mise en service en 1993[29] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[30] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[31]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  24 km[32], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[33], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[34], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Louis-en-l'Isle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [36] - [37] - [38]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Mussidan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 6 communes[39] et 7 131 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[40] - [41]. La commune est en outre hors attraction des villes[42] - [43].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (75 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (75,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (48,7 %), forĂȘts (24,9 %), terres arables (17,4 %), prairies (8,9 %)[44].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Louis-en-l'Isle est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[45]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[46].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Isle et la Beauronne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[47] - [45]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de l'Isle - Mussidanais » prescrit le et approuvĂ© le , pour les crues de l'Isle[48] - [49].

    Saint-Louis-en-l'Isle est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[50]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[51] - [52].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Louis-en-l'Isle.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[53]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[54]. 72,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [55].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1993, 1997 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[45].

    Toponymie

    Le nom de la commune se réfÚre à saint Louis, roi de France[56], et à l'Isle, principal affluent de la Dordogne et riviÚre qui arrose le territoire communal[57].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent LĂłis d'Eila[58].

    Histoire

    Le territoire communal a été occupé dÚs le Paléolithique, comme l'ont révélé les fouilles du site de Solvieux[59].

    Au XIIIe siĂšcle, le site appartenait Ă  la paroisse de Sourzac qui dĂ©pendait de l'abbaye de Charroux. Un acte de parĂ©age est signĂ© en 1308[60] entre l'abbaye et Philippe le Bel, le roi de France, pour y Ă©tablir une bastide[61]. Son nom latinisĂ© apparaĂźt en 1310 sous la forme Villa franca Sancti Ludovici (« Ville franche de Saint-Louis »). Selon Chantal Tanet et Tristan HordĂ©, comme il existe plusieurs saints portant le nom de Louis, il est possible, mais non prouvĂ©, que le nom du lieu fasse rĂ©fĂ©rence au roi saint Louis, grand-pĂšre de Philippe le Bel[62]. Cependant, l'abbĂ© Carles prĂ©cise que c'est bien le roi de France qui est Ă  l'origine de l'Ă©glise gothique (« S. Louis en posa lui-mĂȘme les fondements, en 1269, quand il partait pour la derniĂšre croisade. P. Dupuy, tome 2, page 94 »)[56].

    La bastide passa aux mains des Anglais lors de la guerre de Cent Ans. De sa fondation initiale, il ne reste plus au XXIe siĂšcle que l'Ă©glise[61] et quelques rues qui se coupent perpendiculairement.

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Montagne-Libre-sur-l'Isle-et-Beauronne[6].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Louis-en-l'Isle a, dÚs 1790, été rattachée au canton de Mussidan qui dépendait du district de Mussidan. En 1800, les districts sont supprimés et le canton est rattaché à l'arrondissement de Ribérac. Cet arrondissement est supprimé en 1926 et depuis, le canton dépend de l'arrondissement de Périgueux[6].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Saint-Louis-en-l'Isle intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Mussidanais en Périgord. Celle-ci disparaßt au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[63] - [64].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[65]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1793 1803 Estiene Madylhac
    1803 1810 Georges Lessalles
    1810 1832 Deffarges
    1832 1835 Ch. Chivaille
    1835 1846 Chivaille
    1846 1848 Joseph Courtois
    juin 1848 juillet 1852 Gabriel Madilhac
    juillet 1852 1860 Eymery Urbain Chivaille
    août 1860 juillet 1865 JérÎme Madilhac
    juillet 1865 mars 1866 Marie Victor Émile Limouzin-Lamothe[Note 9]
    mars 1866 octobre 1876 Antoine Bezac
    octobre 1876 1881 Jean Bertet
    janvier 1881 janvier 1885 LĂ©onard Deffarges[Note 9]
    février 1885 1896 Abdon Loisy
    mai 1896 1900 Élie Laforest
    juin 1900 1925 LĂ©onard Chevalier
    mai 1925 1937 Pierre Fraisse
    1937 juillet 1937 Germain Bezac Adjoint faisant fonctions de maire
    juillet 1937 octobre 1944 Émile Coussy
    octobre 1944 mars 1971 Jean Bleynie
    mars 1971 mars 1977 André Piganaux
    mars 1977 mars 1981 Edgard Mayen[Note 10]
    mars 1981 avril 1981 Roland Kossakowski Adjoint faisant fonctions de maire
    avril 1981 mars 1983 Roland Kossakowski
    mars 1983 mars 2001 Jacques Prout PCF
    mars 2001 mars 2014 Jean-Pierre Élie Prout SE[66] RetraitĂ© de l'enseignement
    mars 2014
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jean-Luc Massias[67]

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Louis-en-l'Isle relĂšve[68] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[70].

    En 2020, la commune comptait 304 habitants[Note 11], en augmentation de 5,92 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    230219266277315279237239244
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    243243236226218213244198245
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    207196205200219189194191213
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    209204241220233224244243261
    2015 2020 - - - - - - -
    296304-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[71].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2012, Saint-Louis-en-l'Isle est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[72] avec la commune de Sourzac au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure les classes de cours élémentaire, les classes de maternelle, de cours préparatoire et de cours moyen s'effectuant à Sourzac.

    Économie

    Emploi

    En 2015[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 114 personnes, soit 38,5 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (seize) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (treize) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  14,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte treize Ă©tablissements[74], dont six au niveau des commerces, transports ou services, trois relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, deux dans l'industrie, un dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et un dans la construction[75].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    SituĂ©e au sud de la forĂȘt de la Double et bordĂ©e par l'Isle, la commune reprĂ©sente un grand intĂ©rĂȘt pour la faune et la flore locales. Des zones de protection y sont donc dĂ©limitĂ©es.

    Natura 2000

    Deux sites Natura 2000 sont présents sur le territoire communal.

    La vallée de la Beauronne fait partie des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000 pour la conservation d'espÚces animales européennes menacées[76]. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[76].

    Depuis Périgueux jusqu'à sa confluence avec la Dordogne, l'Isle et sa vallée, ensemble de prairies et de cultures, représentent un site trÚs important pour le vison d'Europe ainsi que pour une libellule : le gomphe de Graslin (Gomphus gaslinii). Outre la cistude d'Europe et l'écrevisse à pattes blanches, on y trouve également des aires de reproduction de six espÚces de poissons dont des lamproies et des aloses[77].

    ZNIEFF

    Au nord, sur environ un tiers du territoire communal, la frange sud-ouest de la forĂȘt de la Double prĂ©sente une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2[78] - [79].

    Distinctions culturelles

    La commune fait partie de celles ayant reçu l’étoile verte espĂ©rantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espĂ©ranto.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Louis-en-l'Isle Blason
    D’azur Ă  la fasce ondĂ©e d’argent accompagnĂ©e de trois fleurs de lys d’or, au chef aussi d’azur chargĂ© d’une couronne royale fermĂ©e aussi d’or aux joyaux de gueules.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[25].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[26].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. DĂ©missionnaire.
    10. Décédé en fonctions.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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