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Montmeyan

Montmeyan est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Montmeyan
Montmeyan
Le village côté est.
Blason de Montmeyan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté de communes Provence Verdon
Maire
Mandat
Louis Reynier
2020-2026
Code postal 83670
Code commune 83084
DĂ©mographie
Gentilé Montmeyannais
Population
municipale
554 hab. (2020 en diminution de 4,48 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 14 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 38′ 51″ nord, 6° 03′ 50″ est
Altitude Min. 358 m
Max. 691 m
Superficie 39,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Flayosc
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Montmeyan
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Montmeyan
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Montmeyan
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Montmeyan

    GĂ©ographie

    GĂ©ologie et relief

    Montmeyan est un village médiéval fortifié[1] - [2], bâti à 504 mètres d’altitude sur un promontoire rocheux. Il domine une plaine étroite bordée de plateaux boisés, à proximité des gorges du Verdon et du lac de Sainte-Croix.

    Les tours[3] des remparts continuent de surplomber ce village[4] au charme véritable avec des rues étroites et encaissées, des passages voûtés, des traverses en escaliers et des arcs de soutènement. Au noyau médiéval regroupé sur la butte s’est ajoutée une agglomération développée en éventail sur le haut de la pente orientale, du côté le moins abrupt, le mieux abrité du vent et le plus proche de la route.

    La superficie de la commune est de 3 943 hectares dont 1 798 hectares de forĂŞt communale et 255 hectares de forĂŞt domaniale. Le territoire comporte plusieurs zones naturelles d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique, faunistique et floristique[5] :

    • La forĂŞt de PĂ©lenc,
    • Les bois de Malassoque et de La Roquette,
    • Le Verdon et ses versants boisĂ©s.
    • Sous la neige, fĂ©vrier 2012.
      Sous la neige, .
    • Zones naturelles ZNIEFF.
      Zones naturelles ZNIEFF.
    • Sur les toits du village, aoĂ»t 2017.
      Sur les toits du village, .

    Le synclinal de Montmeyan est un fossĂ© d’effondrement orientĂ© nord-sud, attribuĂ© au premier mouvement alpin de l’Oligocène, qui s’étend sur 12 km entre Quinson et Fox-Amphoux[6]. Il est rempli d’argiles rouges de l’Éocène infĂ©rieur, subdivisĂ©es en deux masses par un banc de calcaire lacustre[7].

    Dans cette plaine étroite, bordée de failles calcaires, affleurent des roches sédimentaires d’âge Jurassique et Crétacé. Ces roches renferment des fossiles rares : œufs et ossements de dinosaures, ammonites, poissons et coquillages (potamides).

    Le village est situé sur une bande allongée de Jurassique supérieur en plein milieu du fossé Tertiaire. C'est une klippe qui provient du bord ouest du fossé, preuve du chevauchement de cette bordure[8].

    • CĂ´tĂ© ouest après l'orage, aoĂ»t 2022.
      Côté ouest après l'orage, .
    • CĂ´tĂ© est, matin du 25 octobre 2018.
      Côté est, matin du .
    • Chapelle du Saint-Esprit au sommet de la klippe, novembre 2022.
      Chapelle du Saint-Esprit au sommet de la klippe, .

    Risques majeurs

    Le DICRIM de Montmeyan identifie six risques majeurs : incendie de forêt, rupture de barrage, mouvements de terrain, inondation, sismicité et transport de matières dangereuses[9]. La commune est dotée d'un Plan communal de sauvegarde qui est consultable en mairie[10].

    Hydrographie et eaux souterraines

    Cours d'eau traversant la commune :

    • Le pont de Montmeyan-Quinson sur le Verdon, septembre 2014.
      Le pont de Montmeyan-Quinson sur le Verdon, .
    • Le lac de Montmeyan-Quinson, aoĂ»t 2017.
      Le lac de Montmeyan-Quinson, .
    • Le pont de l'Iscle sur le ruisseau Beau RivĂ©, avril 2022.
      Le pont de l'Iscle sur le ruisseau Beau Rivé, .

    Climat

    Le climat est classé Csa dans la classification de Köppen et Geiger[11].

    Voies routières

    Neige Ă  Montmeyan, .
    • RD 13 vers Tavernes et Quinson,
    • RD 30 vers La Verdière et RĂ©gusse[12].

    La commune étant classée en zone montagneuse, les équipements hivernaux sont obligatoires pour tous les véhicules du 1er novembre au 31 mars[13].

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

    Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![14].

    Intercommunalité

    Commune membre de la communauté de communes Provence Verdon et du Pays de la Provence Verte.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Montmeyan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,8 %), terres arables (3,2 %), zones urbanisées (1,5 %), prairies (1,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[22].

    Toponymie

    Montmeyan apparaît dans les archives dès le XIIe siècle sous le nom de Locus de Monte Mejano ou de Montis Mejani (le « mont qui est au milieu »)[23] - [24].

    On lui donne aussi le nom de Monte Medio car ce lieu se trouverait au centre de la Provence[25]. Le mot gaulois Meillan, latinisé en Mediolanum[26], signifie « plaine située au milieu », véritable lieu sacré pour les Gaulois[27]. Montmeyan a probablement été un mediolanum gaulois[28], centre religieux et politique où se réunissaient les tribus (ou cités voisines associées) pour traiter de leurs intérêts communs, dans une enceinte dominant un « plat-pays» rural[29].

    Ses habitants sont appelés les Montmeyannais.

    Montmeyan se nomme Mount-Meyan en provençal de norme mistralienne et Montmejan dans la norme classique.

    • CĂ´tĂ© est, janvier 2018.
      Côté est, .
    • CĂ´tĂ© sud aoĂ»t 2011.
      Côté sud .
    • CĂ´tĂ© ouest, dĂ©cembre 2010.
      Côté ouest, .
    • CĂ´tĂ© nord, janvier 2010.
      Côté nord, .

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    La présence de l’homme au Paléolithique moyen est attestée sur le territoire de Montmeyan avec le site de l’abri Breuil dans la vallée du Verdon[30] - [31]. Une activité de débitage de silex a été mise en évidence dans un pré à Cocnillet[32].

    Plusieurs traces d’habitat néolithique et de l’âge du bronze avec des enceintes préhistoriques ont été découvertes sur la commune[33]. Un foyer circulaire à radier de pierres chauffantes datant du Néolithique moyen a été trouvé dans la plaine[32].

    Un dolmen du Chalcolithique sur le plateau de La Colle[34] et deux tumuli[35] (âge du bronze/âge du fer) à La Petite Roquette[36] figurent à l’inventaire des mégalithes de Montmeyan. Au cours de l’âge du fer, les peuplades celto-ligures construisent un oppidum à l'emplacement actuel du village[37] et installent deux camps entourés de gros murs de pierres au Castelar[38].

    L’occupation romaine a laissé des vestiges abondants à Enguerne et La Grande Roquette[39]. Un four de potier et des tuiles (tegulae et imbrices) sont répertoriés au nord du village, sur la rive gauche du Beau Rivé[40] - [41]. Des restes d'établissements ruraux ont été découverts à Coste Belle et à l'Eiglier[32].

    Templiers et Hospitaliers

    Tour du Castelar, vestige du castrum de La Roquette, .

    En , le seigneur Hugues de Montmeyan entre dans l’ordre du Temple et donne la terre de Camp Long ainsi que les droits de pâturage sur tout le territoire de Montmeyan[42] - [43]. Il renonce à tous ses droits et héritages au profit de la commanderie de Saint-Maurice[44]. La même année, les Templiers fortifient le Castelar à La Roquette[45]. En , le seigneur de Blachère donne et concède aux chevaliers du Temple toutes les terres cultes et incultes, le droit de pâture ainsi que les eaux des rives du Verdon. Il donne en outre la libre faculté de construire un moulin dans le vallon de Beau Rivé et un local pour préparer le pain[46] - [47].

    En 1223, la commanderie de Saint-Maurice achète le château de Montmeyan, avec le soutien — probablement financier — de la commanderie du Ruou. L’acte de vente est d’un grand intérêt en ce qui concerne les modalités d’une telle acquisition[48]. Pendant les croisades, Montmeyan jouera un rôle important dans la présence des moines-soldats entre Argens et Verdon.

    Après la disparition de l’ordre du Temple en 1308[Note 2], la terre de Montmeyan est réunie au domaine de la cour royale de Provence en 1309, puis passe aux mains des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1312[49].

    Seigneurie de Montmeyan

    Tour Charlemagne, vestige des fortifications de Montmeyan, décembre 2010.

    En 1322, Arnaud de Trians, comte d’Alife dans le royaume de Naples et neveu du pape Jean XXII, fait l’acquisition du territoire de Montmeyan[50]. En 1435, Marguerite de Trians, petite-fille d’Arnaud et dame de Montmeyan[Note 3], épouse Georges de Castellane-Salernes[Note 4] et apporte ainsi cette seigneurie à la famille de Castellane qui la conserve pendant plus de trois siècles[51].

    En 1518, la communauté de Montmeyan réunit son conseil hors des remparts, sur la place de la porte de Saint-Julien, avec l'assentiment du seigneur[52]. Cette communauté a une vie municipale réelle et dépend de la viguerie de Barjols[53] - [Note 5]. En 1593, Rolland de Castellane[Note 6] passe une transaction avec les habitants pour redéfinir leurs droits et leurs obligations « afin d'éviter tout procès et différend, et vivre en bonne paix et amitié comme il appartient entre le seigneur et ses sujets »[54] - [Note 7].

    Pendant les guerres de Religion, Rolland de Castellane est réputé « très bien intentionné pour la ligue catholique »[55]. Son fils aîné Pierre, enseigne des gendarmes du duc de Guise, participe à la prise de Marseille en 1596[56]. En 1644, le château de Montmeyan est décrit comme étant une « somptueuse habitation » avec des salles ornées de tapisseries de Flandre[57] - [Note 8]. Entre 1579 et 1663, les Castellane-Montmeyan fournissent six chevaliers à l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem[58] - [59] et deux prévôts à la cathédrale de Fréjus[60].

    Au XVIIIe siècle, le territoire est morcelé[61] ; la coseigneurie est tenue à deux en 1729 puis à quatre en 1746. Les coseigneurs sont alors Antoine de Castellane, Charles de Grimaldi-Régusse[Note 9], Esprit d'Eymar de Nans et Pierre Brunet de la Salle[62].

    Seigneurie de La Roquette

    Du XIIIe siècle au XVIIe siècle, la terre de La Roquette appartient à la famille d'Oraison[63] - [Note 10]. C'est une seigneurie péagère située près du franchissement du Verdon[64] - [Note 11]. En 1249, le seigneur Jacques d'Oraison confirme la donation de sa famille autorisant la commanderie de Saint-Maurice à bâtir et utiliser des matériaux tirés du territoire de La Roquette (approvisionnement en bois, pierres de construction et chaux)[65]. En 1252, il exempt les chartreux de Montrieux du droit de péage pour leurs troupeaux et marchandises[66].

    Au XVe siècle, le village de La Roquette est abandonné et l'église de Sainte-Thècle est déchue de ses droits paroissiaux[67]. En 1612, la seigneurie est achetée par Gaspard de Foresta à Pierre d’Oraison, érigée en baronnie en 1647 puis en marquisat en 1651 au profit de Jean-Augustin de Foresta. En 1723, Gaspard de Maurellet fait l'acquisition du marquisat[68]. En 1817, la majorité des terres est rachetée par la famille de Foresta ; cela lui permet le relèvement du titre de marquis en 1821[69] - [70].

    Édifices religieux

    Aux XIIe et XIIIe siècles, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon possède l’église paroissiale du Plan de Montmeyan et perçoit les revenus qui y sont attachés[71] - [72] - [73]. En 1274, les comptes de décimes du diocèse de Riez mentionnent une église et une chapelle à Montmeyan[23] - [74] - [Note 12]. Un hôpital[Note 13] est cité dans les archives[75] ; il a appartenu aux Hospitaliers du Saint-Esprit dès le XIIIe siècle[76] - [77] - [78].

    Au XVIe siècle, le prieuré-cure de Montmeyan comprend deux églises : Saint-Pierre et Saint-Léger dans l'enceinte près du château et Notre-Dame dans la plaine[79] - [Note 14]. À la fin du XVIIe siècle, l'hôpital du Saint-Esprit est réuni à l'hôpital des pauvres malades de Riez[80] - [81]. Au XVIIIe siècle, l'église Notre-Dame du Plan est devenue un ermitage[82].

    Révolution française

    Au printemps 1789, Montmeyan connaît des agitations antiféodales rapidement réprimées[83]. Durant l’été, les coseigneurs émigrent en Allemagne. En 1790, leurs biens sont encadastrés, les forêts sont déclarées biens nationaux et les terres agricoles sont soit vendues, soit affermées. En 1792, une société patriotique est établie dans le village[84].

    À partir de cette période, Montmeyan dépend du district de Barjols et fait partie du canton de Tavernes. En 1793, la population est de 661 habitants[85].

    Après la Révolution française

    En 1833, la première école publique communale est créée[86] - [87]. En 1840, la petite commune de La Roquette est rattachée à Montmeyan qui connaît ainsi un accroissement territorial et démographique[88] - [89]. La population atteint alors son maximum historique avec 768 habitants[85].

    Pendant la Révolution française de 1848, le club patriotique La société des Rouges est actif dans le village[90]. Le 1er mars 1848, les Montmeyannais se rendent en cortège à la propriété Layet pour récupérer à l'usage de la communauté la forêt déjà partiellement transformée en verger. On abat le mur de clôture et l'on arrache les plantations ; cinq auteurs de destructions ainsi que la commune sont condamnés à payer la réparation des dommages[91] - [92] - [93].

    En 1850, il existe six chambrées[Note 15] dans le village et la société secrète La Nouvelle Montagne est un parti républicain clandestin présidé par Pierre Sicard[Note 16] qui compte plus de 80 membres[94]. À la suite du coup d'État du 2 décembre 1851, Montmeyan fait partie des communes insurgées[95] - [96]. Le maire proclame, dans la nuit du 7 au , la mobilisation des hommes de 18 à 50 ans[97] et une centaine d’hommes arrivent à Aups le . Quarante-six républicains Montmeyannais sont poursuivis[98] - [99] - [100], mais ils sont indemnisés par la République en 1882[101] - [102]. Une brigade de gendarmerie est installée dans le village en 1851 pour assurer la surveillance du territoire[103] - [104] - [Note 17] ; elle y fonctionne jusqu'en [105].

    Vingt-huit Montmeyannais sont mobilisés pendant la guerre franco-allemande de 1870[83]. Au cours de la Première Guerre mondiale, quatorze Montmeyannais sont morts pour la France[106] - [107] - [108]. Durant la Seconde Guerre mondiale, dix Montmeyannais composent le comité local de libération qui s’occupe des tâches de Résistance et prépare la Libération[109] - [110] - [111]. Les FTP détruisent le pont du Verdon par sabotage le [112] - [Note 18].

    Dans le contexte de la fin de la guerre d'Algérie, un hameau de forestage est créé fin 1962 pour accueillir 30 anciens harkis et leurs familles[113] - [114] - [115] ; l’arrivée de ces 141 personnes marque le début d’un nouvel accroissement démographique[83].

    Politique et administration

    Liste des maires depuis 1925
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 1944 Émile Reynier sans étiquette Nommé conseiller départemental du canton de Tavernes en 1943[116]
    1944 1945 Victor Nicolas sans étiquette Président du comité local de libération[109] - [117]
    1945 1983 Clément Denans PS Conseiller général du canton de Tavernes
    1983 1989 Gaston Autran sans Ă©tiquette
    1989 2001 Louis Fabre DVD Conseiller général du canton de Tavernes
    2001 En cours Louis Reynier sans étiquette Vice-président du conseil départemental du Var, conseiller départemental du canton de Flayosc

    La commune de Montmeyan et ses administrés ont été mis à l’honneur et distingués par le prix « Marianne du Civisme » pour avoir obtenu l’un des meilleurs taux de participation de France lors des élections départementales des 22 et [119]. Ce concours de participation électorale est organisé par la Fédération des associations d’anciens maires et adjoints de France avec le soutien de l’Association des maires de France.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[120]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[121].

    En 2020, la commune comptait 554 habitants[Note 19], en diminution de 4,48 % par rapport Ă  2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    661622648733755746768746711
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    670688693685663553542503467
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    446370328325356355332249260
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    259408387299380399530577561
    2020 - - - - - - - -
    554--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[85] puis Insee Ă  partir de 2006[122].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[123] :

    • École maternelle,
    • Écoles primaires Ă  Montmeyan, RĂ©gusse, Quinson, Artignosc-sur-Verdon,
    • Collèges Ă  Barjols, Aups, Riez, Carcès,
    • LycĂ©es Ă  Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles, Manosque.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[124] :

    • MĂ©decins Ă  RĂ©gusse, Aups, Barjols,
    • Pharmacies Ă  RĂ©gusse, Barjols, Aups, Varages, Cotignac, Salernes,
    • HĂ´pitaux Ă  Draguignan, Brignoles, Manosque.

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    La cave coopérative vinicole La Montmeyannaise, .

    Montmeyan tire ses ressources de l’agriculture[Note 20], de l’élevage et du tourisme, fait partie de la communauté de communes Provence Verdon et du syndicat mixte du Pays de la Provence Verte. La cave coopérative vinicole La Montmeyannaise, établie en 1922[126] - [127] - [128], est victime de la disparition du vignoble et fermée en 1989[129] - [130].

    Tourisme

    Plusieurs structures d’hébergement et de restauration existent à Montmeyan : deux campings situés aux portes du village, des gîtes ruraux, des chambres d’hôtes et trois restaurants. Deux centres équestres sont installés dans la commune et la base nautique de Montmeyan Le Lac sert de point d’embarquement pour explorer les basses gorges du Verdon. Une aire de services pour camping-cars se trouve à proximité du village.

    Carrière de marbre

    Le marbre brèche et ses dérivés sont exploités entre 1921 et 1969 à l'ouest du village dans le quartier de la Bouissière[131]. Le gisement produit en même temps des roches ornementales et des roches industrielles. Les roches ornementales sont utilisées pour la décoration (cheminées et plateaux de commodes), la sculpture et l’art funéraire[132]. Les roches industrielles sont concassées, criblées ou broyées (granulats pour bétons et revêtements routiers, sables) ; ce marbre concassé, en granulés, s’appelle le blanc de Montmeyan[133].

    • Exploitation du marbre brèche
    • La carrière de marbre brèche.
      La carrière de marbre brèche.
    • Extraction des blocs de marbre.
      Extraction des blocs de marbre.
    • Plaque de marbre brèche de Montmeyan.
      Plaque de marbre brèche de Montmeyan.

    Budget et fiscalité 2020

    La maison commune, .

    En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[134] :

    • total des produits de fonctionnement : 892 000 â‚¬, soit 1 610 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 73 000 â‚¬, soit 1 318 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 565 000 â‚¬, soit 1 020 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 346 000 â‚¬, soit 625 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 145 000 â‚¬, soit 261 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 12,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 13,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 72,00 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2018 : mĂ©diane en 2018 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 18 220 â‚¬[135].

    Culture locale et patrimoine

    Montmeyan célèbre l'oignon, symbole de la commune, le troisième dimanche de septembre[136]. Une foire paysanne s'installe pour l'occasion, avec concours du plus gros oignon et d'épouvantails, pissaladière géante et diverses animations[Note 21] - [137]. D'autre part, la fête de la Saint-Léger a lieu le week-end de Pentecôte et la fête de Notre-Dame se déroule le dernier week-end du mois d'août.

    Depuis 2004, Montmeyan est ville étape de la course cycliste des Boucles du Haut-Var. Cette compétition est devenue au fil des ans un véritable classique du début de saison amateur avec la présence de l'élite des équipes nationales françaises[138].

    La commune de Montmeyan a obtenu le label de qualité de vie « Villes et villages fleuris ». Elle fait partie du Pays de la Provence Verte qui est labellisé « Pays d’art et d’histoire ». Sur ce territoire, les richesses à découvrir sont liées à la nature, à la culture et aux traditions. Dans le village, un circuit découverte est composé d’une dizaine de panneaux qui apportent un éclairage sur le patrimoine, l’histoire et les traditions locales. Ce circuit dure environ quarante cinq minutes.

    Patrimoine civil

    • Le village mĂ©diĂ©val fortifiĂ© comporte des vestiges d'appareil dĂ©fensif, notamment la tour Charlemagne (tour carrĂ©e Ă  archères)[139], une porte d'enceinte et de nombreux Ă©lĂ©ments architecturaux qui remontent au XIIe siècle.
    • Des maisons mĂ©diĂ©vales[140], dont celle situĂ©e dans la rue du Couvent[141], datent du XIIe siècle.
    • La tour carrĂ©e du Castelar[142], au sommet d’une aiguille rocheuse de La Grande Roquette[143], date du XIIe siècle ; elle domine les vestiges de l’église et du bourg castral de La Roquette (village abandonnĂ© au XVe siècle)[144].
    • La maison commune[Note 22] est achevĂ©e en 1885 avec la nouvelle mairie[Note 23], l’école de garçons et l’école de filles[145]. Elle abrite aujourd’hui la mairie et la poste.
    • Le château de l’Éouvière, Ă©difice du XVIIIe siècle situĂ© au sud du village, est devenu un camping caravaning.
    • Le pont de Montmeyan-Quinson, arche ovoĂŻde datĂ©e du XIIe siècle, est sabotĂ© par la RĂ©sistance en 1944 et reconstruit en 1945.
    • L'aqueduc de Beau RivĂ© avec 89 m de longueur et dix arches en plein cintre, construit vers 1865 pour alimenter le canal du Verdon[146].
    • Les deux tumuli de La Petite Roquette datent de l’âge du bronze et de l'âge du fer[147].
    • Le dolmen de La Colle, au nord-ouest de la commune, date du Chalcolithique[148] - [149].
    • L'abri Breuil, dĂ©couvert en limite nord de la commune Ă  l'Escourche près du Verdon, date du PalĂ©olithique moyen[150] - [Note 24].
    • Images anciennes
    • CĂ´tĂ© ouest, 1905.
      Côté ouest, 1905.
    • CĂ´tĂ© est, 1905.
      Côté est, 1905.
    • CĂ´tĂ© sud, 1933.
      Côté sud, 1933.
    • Ensemble « mairie-postes-Ă©coles », 1910.
      Ensemble « mairie-postes-écoles », 1910.
    • Place de la Forge, 1910.
      Place de la Forge, 1910.
    • Place du Nord, 1905.
      Place du Nord, 1905.
    • Tour Charlemagne du XIIe siècle, 1910.
      Tour Charlemagne du XIIe siècle, 1910.
    • Pont de Montmeyan-Quinson du XIIe siècle, 1910.
      Pont de Montmeyan-Quinson du XIIe siècle, 1910.
    • Aqueduc de Beau RivĂ© Ă  la fin du XIXe siècle.
      Aqueduc de Beau Rivé à la fin du XIXe siècle.
    • Patrimoine civil
    • Maison mĂ©diĂ©vale du XIIe siècle, dĂ©cembre 2010.
      Maison médiévale du XIIe siècle, .
    • Remparts du XIIe siècle (courtine nord), dĂ©cembre 2010.
      Remparts du XIIe siècle (courtine nord), .
    • Porte d’enceinte du XIIe siècle (porte sud), dĂ©cembre 2010.
      Porte d’enceinte du XIIe siècle (porte sud), .
    • Le pigeonnier qui Ă©tait la tour sud-ouest du château fort, avril 2015.
      Le pigeonnier qui était la tour sud-ouest du château fort, .
    • Passage qui reliait les deux tours sud du château fort, aoĂ»t 2016.
      Passage qui reliait les deux tours sud du château fort, .
    • Château de l'Éouvière, mai 2008.
      Château de l'Éouvière, .
    • Tour du Castelar depuis le bois de Malassoque, janvier 2019.
      Tour du Castelar depuis le bois de Malassoque, .

    Patrimoine religieux

    Patrimoine mémoriel

    • Le monument dĂ©diĂ© aux Enfants de Montmeyan morts pour la France, Ă©levĂ© par souscription publique, a Ă©tĂ© inaugurĂ© le [107] - [160].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    La commune de Montmeyan porte :

    De gueules à un château donjonné de trois tours d’or, ouvert d’argent et hersé de sable, sur un mont aussi d’argent mouvant de la pointe et chargé d’une croix pattée de gueules.

    Ce blason est inspiré de celui enregistré par d’Hozier pour la commune, sans croix pattée, et au château uniquement donjonné de trois tourelles (Armorial d’Hozier, section Provence, t. II, page 1588). Les armes de Montmeyan se rapprochent de celles des Castellane, dont elles ne diffèrent que par la montagne parlante sur laquelle est placé le château. Cette famille posséda pendant très longtemps cette terre[166] - [167]. La croix pattée de gueules a été rajoutée par la municipalité pour différencier le blason de celui de Saint-Julien qui avait le même, et rappeler la présence protectrice de l'ordre du Temple (Délibération du conseil municipal du 1er juillet 1974)[45].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Après la bulle de Clément V du , Charles II ordonne l'arrestation des Templiers du comté de Provence le .
    3. Aimeri de Trians, fils d'Arnaud, est seigneur de Montmeyan quand il Ă©pouse Bourguette d'Oraison, fille du seigneur de La Roquette. Ils donnent naissance Ă  Marguerite de Trians, future dame de Montmeyan qui Ă©pouse Georges de Castellane-Salernes.
    4. Georges de Castellane-Salernes et Marguerite de Trians ont 4 fils dont Honoré qui est l'auteur du rameau de Montmeyan.
    5. Il s'agit de l'actuelle place de la Forge devant la porte sud.
    6. Rolland de Castellane (1560-1637), seigneur de Montmeyan, est viguier de Marseille en 1588 et en 1615, député de la noblesse de Provence aux états généraux de 1614 et gouverneur de Fréjus en 1624.
    7. Cette transaction exempte les habitants du paiement de plusieurs franchises, maintient une pension féodale, rappelle quelles sont les terres réservées au seigneur et celles utilisées par ses sujets (dans le quartier du Plan) et précise quels sont les droits d'usage de la communauté (notamment pour le pâturage et le ramassage des glands).
    8. Le château de Montmeyan, visité en 1644, est la propriété de Pierre de Castellane qui a succédé à son père Rolland. On vient d'aménager une pièce qu'on appelle la salle neuve, ornée d'une tapisserie de Flandre, dont les huit tableaux figurent des bergeries dans le goût de l'époque. Dans cette somptueuse habitation, il y a d'autres tapisseries avec des arbres ombreux et des fauves.
    9. La famille Grimaud achète la seigneurie de Régusse en 1613, la terre de Villeneuve Coutelas en 1631, puis fait ériger le tout en marquisat en 1649. Le nom patronymique Grimaud est transformé en Grimaldi à la fin du XVIIe siècle sans aucun lien avec les Grimaldi de Monaco.
    10. Le castrum de Roqueta Auraisoni apparaît pour la première fois dans la liste des localités du diocèse de Riez dressée en 1232-1244. Il appartient aux seigneurs d’Oraison qui le conservent jusqu’au XVIIe siècle.
    11. Les droits de péage de La Roquette et la moitié de celui du pont de Quinson sont abandonnés en 1766.
    12. Il s'agit de l'Ă©glise paroissiale du Plan, future Ă©glise Notre-Dame du Plan, et de la chapelle seigneuriale dans l'enceinte, future Ă©glise Saint-Pierre et Saint-LĂ©ger.
    13. C'est une maison des Hospitaliers du Saint-Esprit située hors des remparts près de la courtine sud sur un éperon rocheux (bâtiment à trois niveaux avec chapelle intégrée : la chapelle du Saint-Esprit). Au Moyen Âge, l'hôpital ou « maladerie » n'est pas encore un lieu de soins médicaux. Il accueille trois catégories de personnes : les pauvres malades, les vieillards et infirmes, les enfants abandonnés ou orphelins.
    14. Le prieuré-cure (la paroisse) de Montmeyan, de l'ordre de saint Benoît, utilise deux églises au XVIe siècle ; son prieur est aussi décimateur (qui perçoit la dîme). La première, nommée église Saint-Pierre et Saint-Léger et située à l'intérieur des fortifications près du château, est devenue l'église paroissiale actuelle. La seconde, nommée église Notre-Dame et située dans le plan (la plaine), devenue un ermitage au XVIIIe siècle, s'est retrouvée dans un état très délabré après la Révolution et a été détruite au XXe siècle ; l'église actuelle a pris son nom.
    15. D’après Frédéric Négrel, les six chambrées de Montmeyan en 1850 sont : La Chambrée du Fort, La Chambrée Rouge, La Chambrée des Vieux, Les Coucourdiers, La Couronne, La Figuière (chambrée des jeunes).
    16. Pierre Sicard (1825-1876), maire en 1848 et en 1851, est un acteur majeur de la résistance républicaine à Montmeyan. Maire du soulèvement rural en contre la bastide d’un bourgeois qui bafoue les droits d’usage de l’ancienne forêt seigneuriale, il fait partie des condamnés pour dévastation. En 1850, c’est le président de la société secrète La Nouvelle Montagne, parti républicain clandestin. En , il est élu président de la commission municipale insurrectionnelle et redevient maire. Condamné à la déportation en Algérie, il est interné dans le camp de Bourkika en . Son père meurt pendant son exil et il n’est libéré qu’en . Il décède à Montmeyan avant de pouvoir être indemnisé par la République.
    17. La brigade de gendarmerie est installée dans l’ancienne maison des Grimaldi-Régusse. Il s'agit d'une brigade à pied de cinq hommes.
    18. Le pont sur le Verdon marque la limite entre deux départements ; le Var avec la commune de Montmeyan et les Alpes-de-Haute-Provence avec la commune de Quinson. L’ouvrage saboté par les résistants le 22 juillet 1944 est une belle arche ovoïde datée du XIIe siècle. Le nouveau pont est construit en 1945 ; il appartient en totalité au département du Var.
    19. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    20. Le territoire communal est en zone agricole à dominante polyculture et élevage. L’agriculture y structure les paysages et apporte une identité rurale appréciée par ses habitants et ses touristes (Communauté de communes Provence Verdon).
    21. Au début du XXe siècle, les Montmeyannais se lancent dans la culture de l’oignon ; on les surnomme alors « leï trousso-cebo » car ils écrasent la fane afin qu’elle mûrisse plus vite et que le bulbe grossisse.
    22. L’édifice possède un plan rectangulaire symétrique : la mairie est au centre, encadrée par les écoles.
    23. L’ancienne mairie place de la Forge est vendue aux enchères en 1885, lorsque la maison commune est réceptionnée.
    24. L'abri Breuil est une cavité naturelle identifiée sous le numéro PACAA0002501 (carte archéologique PACA, DRAC).
    25. Six œuvres d'art ont été inscrites au titre d'objet par les Monuments historiques : statue du Christ en croix (sculpture en bois doré du XVIIIe siècle), tableau de Saint Léger, Saint Jean-Baptiste et Notre-Dame (huile sur toile du XVIIIe siècle), statue reliquaire de Saint Léger (sculpture en bois peint et doré du XIXe siècle), tableau de Sainte Agathe et deux évêques, Saint Éloi et Saint Léger (huile sur toile du XVIIIe siècle), buste reliquaire de Saint Éloi (sculpture en bois peint et doré du XIXe siècle) et buste reliquaire de Saint Léger (sculpture en bois peint et doré du XVIIIe siècle).
    26. La chapelle est intégrée dans un bâtiment à trois niveaux qui a été un hôpital du Saint-Esprit du XIIIe siècle au XVIIe siècle.

    Références

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    Voir aussi

    Bibliographie

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