La Verdière
La Verdière est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
La Verdière | |||||
Le village côté ouest. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Brignoles | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Provence Verdon | ||||
Maire Mandat |
Gilles Rogier 2020-2026 |
||||
Code postal | 83560 | ||||
Code commune | 83146 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 628 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 38′ 22″ nord, 5° 56′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 327 m Max. 800 m |
||||
Superficie | 68,16 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
| |||||
Géographie
Localisation
La commune se situe sur le territoire du haut var et du parc naturel régional du Verdon[1].
Voies routières
- Le village se trouve au croisement des départementales 30 et 554.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![2].
Lignes SNCF
- La gare la plus proche se trouve à Manosque.
Communes limitrophes
La commune de la Verdière est limitrophe des communes de Saint-Julien, Quinson, Montmeyan, Tavernes, Varages, Saint-Martin-de-Pallières, Esparron et Ginasservis et à 37,4 km du Lac de Sainte-Croix[3].
Géologie et relief
Commune membre du Parc naturel régional du Verdon.
Juché au sommet du village éponyme, le château de la Verdière embrasse un vaste panorama. On peut apercevoir au nord, les villages de Moustiers-Sainte-Marie et de Castellane ; à l'ouest, le Mont Ventoux et le Luberon ; au sud-ouest, les montagnes de la Sainte-Baume et de la Sainte-Victoire et enfin au sud-est, la chaîne des Maures.
Sismicité
Il existe trois zones de sismicité dans le Var :
- Zone 0 : risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
- Zone Ia : risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
- Zone Ib : risque faible. Ce risque le plus élevé du département, qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.
La commune de La Verdière est en zone sismique de faible risque Ib[4].
Hydrographie et les eaux souterraines
- Caractéristiques des masses d'eau impactées par la commune[5] :
- Masses d'eau superficielles directement impactées (traversant la commune) : Vallon du pont, Ruisseau l'Abéou, Le ruisseau la Vabre, L'aqueduc de La Verdière[6].
- masses d'eaux souterraines impactées par la commune : Plateaux calcaires des Plans de Canjuers et de Fayence, Domaine marno-calcaire et gréseux de Provence est - BV Côtiers est, Domaine marno-calcaires Provence est - BV Durance, la source de Montbrien.
Climat
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[7].
Urbanisme
Typologie
La Verdière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [9] - [10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12] - [13].
Intercommunalité
Membre de la communauté de communes Provence Verdon, et du Pays de la Provence Verte.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), terres arables (12,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,8 %), zones urbanisées (2,8 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
La Verdière s'écrit en provençal La Verdièra selon la norme classique et La Verdièro selon la norme mistralienne.
Histoire
Du XIIe au XVe siècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon possédait le prieuré Notre-Dame-d’Église (à l’époque, Sancte Marie de Basseto)[16].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La dame de La Verdière, Philipotte de Vintimille, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[17].
Après la guerre de Cent Ans et une fois la sécurité revenue, de 1442 à 1471, plusieurs familles venues de Sausses s'installent à La Verdière afin de repeupler la communauté[18].
Les Templiers et les Hospitaliers
La bastide de Brauch, lieu-dit la Grande Bastide, fief de Brauch et membre de la commanderie de Saint-Maurice à l'époque des ordres militaires (Templiers puis des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem)[19] - [20].
Politique et administration
Budget et fiscalité 2020
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 1 422 000 €, soit 880 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 980 000 €, soit 607 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 430 000 €, soit 266 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 759 000 €, soit 470 € par habitant.
- endettement : 445 000 €, soit 276 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 9,73 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,20 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 46,97 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 250 €[25].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2020, la commune comptait 1 628 habitants[Note 3], en diminution de 1,03 % par rapport à 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Agriculture
- Coopérative vinicole dite Société coopérative agricole La Verdiéroise[30].
- Les vins produits sur la commune sont d'indication géographique protégée : Méditerranée (IGP); Var (IGP)[31].
Tourisme
- Camping de la Verdière[32].
- Gîtes de France[33].
- Restaurants[34].
- Foyer rural Laïque de Jeunes et d'Éducation populaire[35].
Commerces et services
- Commerces et services de proximité[36].
Culture locale et patrimoine
Le château
La construction du château est due à la famille royale des comtes de Castellane en 980 sous la forme d'une forteresse[37].
- Après avoir appartenu aux comtes de Vintimille de 1262 à 1437, l’édifice revient de nouveau à la maison des Castellane puis entre, en 1613, dans la famille des comtes de Forbin. Ce sont ces trois grandes familles qui offrirent au château de la Verdière une architecture si particulière née de ces différentes périodes d’aménagement.
- Par son caractère militaire, la Verdière commandait la route menant d'Arles à Castellane.
- Une chapelle fut également édifiée au pied du château, aujourd'hui l'église paroissiale du village.
- Le château et son parc sont entièrement classés au titre de la loi du sur les Monuments historiques depuis 1986[38].
- On peut visiter le château, il est depuis ces dernières années sauvé de l’état de ruine dans lequel il se trouvait[39].
Le patrimoine religieux
* L'église :
- L'église paroissiale de l'Assomption, inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[40], est accolée au château qui communique avec elle par un escalier intérieur. Une chapelle castrale s'y trouvait au Moyen Âge. Les cloches datent de 1604[41] et 1615[42] sont classées au titre des objets mobiliers.
- Les chapelles :
- La chapelle Notre-Dame-de-la-Salette, autrefois Notre-Dame-de-Santé
- La chapelle Notre-Dame-de-Santé est un lieu de pèlerinage depuis le XVe siècle. La tradition dit qu'elle contient une pierre rapportée de Jérusalem en 1655 par un religieux, au retour de son pèlerinage[43].
- La chapelle Saint-Roch[44]. Saint Roch est le saint patron de la commune[45] - [46].
- La cloche de 1617 de la chapelle Saint-Roch[47].
- La chapelle Saint-Pierre-de-la-Mourotte[48].
- La cloche de 1746[49].
* Le monument aux morts :
- Monument aux morts. Conflits commémorés : Guerres de 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954)[50].
* Le patrimoine rural :
- Le lavoir de la Gouargo-la-Verdière[51].
- L'aqueduc :
- Les conduites et aqueduc souterrains d'adduction d'eau datent de la même époque que le château. La partie aérienne a été projetée au début des années 1800 pour permettre à l'eau de la source de Montbrien, captée par aqueduc souterrain, de passer le vallon du Naï.
- La mise en eau est faite vers 1826. La source de Saint-Jean utilisée pour couler aux six fontaines du village, n'arrivait plus au niveau de la conduite souterraine passant sous le parc du château[52]. Depuis les années 1968, la source alimente les fontaines.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Honoré de Castellane-Bézaudun (1559-1594), né à La Verdière, chef ligueur pendant les guerres de religion[53]
- Paul Blanc (1836-1910), peintre et graveur. Issu d'une famille de la Verdière, il y est né et inhumé. Ses dessins de mendiants appréciés par leurs qualités artistique et expressive sont un document sur la misère au XIXe siècle.
Héraldique
|
Les armoiries de La Verdière se blasonnent ainsi[54] : |
---|
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Le Parc naturel régional du Verdon
- Réseau régional de transports en commun
- Itinéraires
- sismicité du Var sur le site de la préfecture
- L'eau dans la commune
- Paysages et problèmes du haut-bassin de l'Argens au cœur de la Provence Verte (Var occidental), par Jean Nicod. Figure 29 : Tracé de l'aqueduc de La Verdière, page 77
- Table climatique
- Hameau de La Mourotte : Station
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p. 232
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 412 (note 55).
- Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècles, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 85
- Maison du Temple de Braug
- La la Grande Bastide, commune de la Verdière. Commanderie de Saint-Maurice, page 55
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, pp.381-382
- Être un « bon » maire sous la Troisième République. Les maires varois décorés de la Légion d’Honneur
- https://www.lexpress.fr/resultats-elections/municipales-2014-la-verdiere-83560_413113.html
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « coopérative vinicole dite Société coopérative agricole La Verdiéroise », notice no IA83001397, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Vin La Verdière
- Camping Gorges du Verdon 83
- Gîtes de France
- Hébergements, restauration
- Foyer rural
- Commerces et services de proximité
- Le château de La Verdière
- « Château et son parc », notice no PA00081774, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Château de la Verdière
- « Eglise », notice no PA00081775, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM83000682, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1604 de l'église Notre-Dame de l'Assomption
- Notice no PM83000681, base Palissy, ministère français de la Culture cloche 1615 de l'église Notre-Dame de l'Assomption
- Chapelle Notre-Dame-de-Santé
- La chapelle Saint-Roch
- La Verdière Saint-Roch
- Saint Roc est le saint patron de nombreux villages et villes
- Notice no PM83000683, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Saint-Roch
- La chapelle Saint-Pierre-de-la-Mourotte
- Notice no PM83000684, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Saint-Pierre-de-la-Mourotte
- Monument aux morts
- Le lavoir de la Gouargo-la-Verdière
- La première arche de l'aqueduc a été cassée par un camion transportant une grue dans les années 1950. Un siphon tubé a remplacé l'aqueduc pour passer ce point bas lors de la réalisation en tuyauterie de toute la captation de la source de Montbrien pour alimenter le bassin qui se trouve dans le parc du château via la station de pompage des cèdres, l'eau courante et le tout-à -l'égout ont été mis en fonction début 1950. Seul le surplus d'eau pouvait couler aux fontaines dans ces années lÃ
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 144.
- Verdon Mont-Major : La Verdière, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
Voir aussi
Bibliographie
- La Verdière
- Renaissance du château de La Verdière
- Maison du Temple de Braug, Seignerie du Temple de Bras, Chapelle templière de Bras
- Le bourg castral de Montbrien
- Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée-IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). La Verdière, p. 143
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Verdière (La), p. 1209
- La Verdière sur Patrimages Drac Paca
- La Verdière, sur dignois.fr/
- Cavités souterraines : Aven de Mala Soque
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- La Verdière, site officiel
- La Verdière sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : La Verdière