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Château-l'Évêque

Château-l'Évêque est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Château-l'Évêque
Château-l'Évêque
L'église Saint-Julien et le château.
Blason de Château-l'Évêque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Alain Marty
2020-2026
Code postal 24460
Code commune 24115
Démographie
Gentilé Castelevêquois
Population
municipale
2 138 hab. (2020 en augmentation de 0,75 % par rapport à 2014)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 52″ nord, 0° 41′ 08″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 233 m
Superficie 35,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trélissac
Législatives Première circonscription
Localisation
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Château-l'Évêque
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Château-l'Évêque
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Château-l'Évêque
Liens
Site web chateauleveque.sitego.fr

    Géographie

    Généralités

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
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    Carte topographique
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    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Dans la moitié nord du département de la Dordogne, en Périgord central, la commune de Château-l'Évêque est incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1].

    Situé à la confluence de la Beauronne et de son affluent le ruisseau de Mesplier, et traversé par la route départementale (RD) 939 (l'axe Périgueux-Angoulême), le bourg de Château-l'Évêque est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest du centre-ville de Périgueux.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 2 et 3E7, ainsi que par la ligne ferroviaire de Limoges à Périgueux en gare de Château-l'Évêque.

    Communes limitrophes

    Château-l'Évêque est limitrophe de huit autres communes, dont Bussac à l'ouest, sur une distance d'environ 80 mètres et Périgueux au sud sur environ 500 mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Château-l'Évêque est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(2), date du Coniacien indifférencié, composée de calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huîtres au sommet. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3] - [4] et leurs notices associées[5] - [6].

    Carte géologique de Château-l'Évêque.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 92 m[7] au sud, à l'est du lieu-dit Chamarat, là où la Beauronne quitte la commune et entre sur celle de Chancelade, et 233 m[7] à l'extrême nord-ouest, près du lieu-dit le Grand Claud[8].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 35,68 km2[7] - [12] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 37,15 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Beauronne, le ruisseau de Mesplier, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[16] - [17].

    La Beauronne, d'une longueur totale de 28,16 km, prend sa source dans la commune de Négrondes et se jette dans l'Isle en rive droite à Marsac-sur-l'Isle[18]. En amont de cette confluence, son bras oriental marque la limite avec Périgueux. Elle traverse la commune du nord-est au sud sur huit kilomètres.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de Mesplier prend sa source dans le nord-ouest du territoire communal qu'il arrose sur plus de cinq kilomètres rejoignant la Beauronne dans le bourg.

    • La Beauronne à Preyssac.
      La Beauronne à Preyssac.
    • Le ruisseau de Mesplier en contrebas du château de Château-l'Évêque.
      Le ruisseau de Mesplier en contrebas du château de Château-l'Évêque.
    • Lavoir dans le bourg sur le ruisseau de Mesplier.
      Lavoir dans le bourg sur le ruisseau de Mesplier.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Château-l'Évêque.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 908 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[27] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[28] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 47 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Château-l'Évêque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [34] - [35] - [36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[37] - [38].

    Occupation des sols

    En 2006, au niveau communal, les sols se répartissaient de la façon suivante : 61,5 % de forêts ou de milieux semi-naturels, 34,3 % de territoires agricoles et 4,1 % de territoires artificialisés[39].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Château-l'Évêque proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :

    • l'Aubède
    • Baccade
    • la Bagatelle
    • Balzac
    • les Barres
    • la Bayolle
    • la Bessède
    • la Beylie
    • Bléda
    • les Boigettes
    • Bois Blancs
    • le Bois de Lavergne
    • la Borde
    • Boschaud
    • Boulanger
    • Bournazeau
    • Boyer
    • les Brandes
    • les Brandissoux
    • Bûcher
    • la Chabrerie
    • Chamarat
    • Ciriex
    • les Colys
    • la Combe du Rat
    • Commentou
    • les Communaux
    • Cosse Noire
    • Coullarède
    • la Couturie
    • le Cros
    • Cul de Chien
    • Daille
    • la Fauternie
    • la Fontaine de Pessard
    • la Fontaine de Laguizat
    • Forêt de Feytaud
    • les Forêts
    • la Fouillarge
    • la Fouillouse
    • la Garenne
    • la Glauterie
    • le Godet
    • la Gorce
    • le Grand Daille
    • la Grande Pièce
    • Grands Bois
    • la Grange du Godet
    • la Grange du Treuilh
    • la Grange Haute
    • les Granges
    • les Granges de Crolus
    • les Granges de Preyssac
    • les Grangiéras
    • les Gravettes
    • le Gros Chêne
    • Lac Lacroix
    • le Ladoux
    • Laforêt
    • Laguizat
    • Lascaud Vieille
    • Leymérigie
    • la Libaudie
    • la Loube
    • Maine de Talus
    • les Maritoux
    • les Marsalies
    • les Martys
    • Mesplier
    • les Meyrans
    • la Missou
    • la Monnerie
    • la Monzie
    • Nouzarède
    • Paradis
    • les Payants
    • le Petit Daille
    • le Petit Maine
    • le Petit Rey
    • Peyssard
    • la Picou
    • Plaisance
    • le Poteau des Quatre Communes
    • Preyssac
    • Puy de Paris
    • Puy Long
    • le Relais
    • Rimolas
    • Rivière
    • Rodemiole
    • la Rouchière
    • le Rouchou
    • le Royer
    • Saint-Angel
    • la Sauvage
    • Sauvagie
    • la Tamanie
    • la Tamiserie
    • la Tamiserie Basse
    • la Tuilière
    • le Verdoyer
    • Verginas
    • Vessat
    • les Vincents.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Château-l'Évêque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[41]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[42].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Beauronne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1988, 1993, 1999, 2007 et 2018[43] - [41]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Beauronne et de l'Alemps », couvrant 7 communes et approuvé le , pour les crues de la Beauronne. Le débit centennal de la Beauronne retenu pour l'élaboration du PPRI est de 72 m3/s[44] - [45].

    Château-l'Évêque est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[46]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[47] - [48].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Château-l'Évêque.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[49]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[50]. 79,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [51].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1997, 2003, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[41].

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu, sous la forme Ecclesia de Preisat concerne le hameau de Preyssac et date de 1169 dans une bulle pontificale[52] - [53]. On trouve ensuite Preyshac en 1247, la mention d'une léproserie en 1318 (Leprosia de Preysac), Prechat en 1325, Preychacum dans un pouillé au XIVe siècle, Preyschacum en 1382 et Preysat en 1665 dans un acte notarié[53]. À la création des municipalités, on retrouve le nom de Peyssac Dagonat en 1793 puis de Pressac d'Agonnac en 1801 avant que la commune de Preyssac-d'Agonac ne prenne le nom définitif de Château-l'Évêque[7] le .

    Le nom de Pressac est dérivé du nom d'un personnage gallo-roman Priscus auquel s'ajoute le suffixe -acum[52], l'ensemble signifiant le « domaine de Priscus ».

    Le nom de Château-l'Évêque est mentionné en 1329 en latin sous les formes Castrum Episcopi et Castrum Episcopale[52].

    En occitan, la commune porte le nom de Lo Chasteu[54].

    Histoire

    Deux sites du Néolithique ont été retrouvés sur la commune.

    On a décelé la présence de voies romaines, passant par la Sauvagie. Au lieu-dit la Pierre Plantée, se trouve une borne anépigraphe (borne milliaire) datée du règne de l'empereur Florien en 270 ap. J.-C..

    Au Moyen Âge, Preyssac dépendait de la châtellenie d'Agonac[55]. En 1347, Adhémar de Neuville, l’évêque de Périgueux fait construire le château de Château-l'Évêque qui devient une résidence d'été des évêques de Périgueux. En 1364, la paroisse est en partie détruite par les Anglais. En 1412, 280 combattants anglais sont sur Château-l'Évêque, brûlent trois maisons, puis prennent et détruisent Pressac (Pressac d'Agonnac, ancien nom de Château-l'Évêque).

    Château-l'Évêque est restauré en 1515 par l'évêque de Périgueux, Gui Ier de Castelnau. Pierre VIII Fournier ( - 1575), évêque de Périgueux, est étranglé par ses domestiques le dans son château.

    En 1581, Jean de Montardie, capitaine de l’armée catholique part de Preyssac pour reprendre la ville de Périgueux aux protestants.

    Le , saint Vincent de Paul (1581-1660) est ordonné prêtre dans la chapelle du château épiscopal par l'évêque François de Bourdeilles (1516-1600).

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Château-l'Évêque (appelée dans un premier temps Peyssac Dagonnat puis Pressac-d'Agonnac) a été rattachée, dès 1790, au canton d'Agonat qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Agonat en 1800. La commune est alors rattachée au canton de Périgueux dépendant de l'arrondissement de Périgueux[7].

    Ce n'est qu'en 1831 que la commune prend son nom actuel. Le canton de Périgueux est scindé en trois en 1973 et Château-l'Évêque fait partie du nouveau canton de Périgueux-Nord-Est.

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[56]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac.

    Intercommunalité

    Fin 2002, elle rejoint la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[57] - [58].

    Liste des maires

    L'hôtel de ville.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    (1882 ou avant) juin 1896 Jean-Baptiste Passerieux[Note 10]
    juin 1896 juillet 1896 Jean Sauvinet Conseiller municipal faisant fonctions de maire
    juillet 1896 1898 Pierre Brachet
    1898 novembre 1898 Jean Sauvinet Conseiller municipal faisant fonctions de maire
    novembre 1898 juin 1906 Georges Perrier
    juin 1906 mai 1912 Pierre Brachet
    mai 1912 décembre 1944 Pierre Maligne[Note 11]
    décembre 1944 mai 1945 Pierre Peignon[Note 12]
    mai 1945 mars 1959 Maurice Duranthon
    mars 1959 mars 1971 Jean Salviat
    mars 1971 1990 Maurice Chamoulaud[Note 13]
    juillet 1990 janvier 1994 Michel Granet[Note 10]
    janvier 1994 mars 2014 Serge Daugiéras SE[59] Entrepreneur du bâtiment retraité
    mars 2014 mai 2020 Marie-Hélène Belombo[60] DVD[61]
    mai 2020[62] En cours Alain Marty Technicien retraité

    Jumelages

    Panneau de jumelage à Château-l'Évêque.

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Château-l'Évêque relève[63] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Château-l'Évêque se nomment les Castelevêquois[64].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[66].

    En 2020, la commune comptait 2 138 habitants[Note 14], en augmentation de 0,75 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4621 4811 5101 5091 5901 6101 3601 5661 605
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5571 5531 5701 5441 5151 5981 5781 5821 563
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4911 3721 3771 2651 2211 2161 2111 1301 186
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1911 1731 2351 3781 7011 7601 8831 9152 086
    2015 2020 - - - - - - -
    2 1282 138-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Tenue actuelle du CLC (saison 2021-2022)

    En 2000, à la suite d'un échange sportif avec la commune jumelée d'Argonay, le club « Castel Cyclo », composé de sept membres, voit le jour. En janvier 2006, le club en plein essor est de plus en plus présent avec les cyclosportives, les cyclotouristes et sur les circuits cyclistes ; il devient le « Château-l'Évêque Cyclo » (CLC). En 2022, le club compte une cinquantaine de licenciés dont la moitié sont compétiteurs sur des courses UFOLEP. De nombreuses sorties sont organisées chaque année pour les randonneurs licenciés[68]. Depuis 2018, le CLC arbore les couleurs vert et blanc puis vert et noir, du fait de son partenariat avec Škoda[69]. Le club organise chaque année une randonnée VTT La Castelvêquoise et participe à plusieurs courses UFOLEP sur route en Dordogne[68].

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il concerne les habitants de Château-l'Évêque ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2016[70], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 004 personnes, soit 46,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (100) a augmenté par rapport à 2011 (70) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,0 %.

    L'emploi sur la commune

    En 2016, la commune offre 232 emplois pour une population de 2 149 habitants[71]. Le secteur administratif prédomine avec 45,8 % des emplois mais le secteur tertiaire est également très présent avec 36,4 %.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

    Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Nombre d'emplois 10 5 26 85 106
    Pourcentage 4,3 % 2,2 % 11,3 % 36,4 % 45,8 %
    Source des données[71].

    Établissements

    Au , la commune compte 136 établissements[72], dont soixante-sept au niveau des commerces, transports ou services, trente dans la construction, dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et cinq dans l'industrie[73].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Château de Château-l'Évêque (parfois aussi appelé château Saint-Vincent), XIVe, XVe et XVIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1938[74], visitable depuis le changement de propriétaire
    • Manoir de la Beylie, XVe siècle[75], fief des Montardit de la Beylie jusqu'en 1713. Cette famille joua un rôle pendant la Fronde. Le fief passa ensuite aux Jehan.
    • Maison noble de la Chabrerie, XVIIe et XVIIIe siècles, avec une chapelle : demeure des Cluzel puis des Cossé de Brissac[76].
    • Manoir de Coularède, XVIIIe siècle, repaire noble attesté en 1586[77].
    • Château de Daille, XVIIe siècle[78].
    • Manoir des Rivères, XVIe et XVIIe siècles, fief des Tortel, des Tessière, des Malet, des Mercier-Lacombe, des Aveline, des Vial d’Aram et des Bernard[79], implanté dans un site inscrit[80].
    • Gentilhommière (ou manoir) de Preyssac du XVIe siècle, ancienne propriété des Cluzel de la Chabrerie et des Jehan[81].
    • Domaine du Cros XIXe siècle, où naquit la romancière Rachilde (1860-1953)[82].
    • Château de Mesplier, XVIe et XVIIIe siècles, qui appartint aux Mesplier, aux de Vessat, aux de Méredieu au XVIIe siècle, et aux Fourichon[83] de Mesplier de 1799 à 1919, aux Picard de 1919 à 1961. Réquisitionné en 1939 pour recevoir des réfugiés Alsaciens. Le , des Allemands de la division "B" exécutent quatre otages. Une stèle de Mesplier le commémore.
    • Maison noble de Vessat, ancien fief des Barbarin[84], des de Méredieu et des Jehan, sur la route de l’ancien relais de poste de Vessat.
    • Ancien lavoir sur le ruisseau de Mesplier, dans le bourg, au bas du château.
    • Le château de Château-l'Évêque.
      Le château de Château-l'Évêque.
    • La maison noble de la Chabrerie.
      La maison noble de la Chabrerie.
    • Le manoir de Coularède.
      Le manoir de Coularède.
    • Le château de Daille.
      Le château de Daille.
    • La ferme de Daille.
      La ferme de Daille.
    • Le manoir des Rivières.
      Le manoir des Rivières.
    • Le manoir de Preyssac.
      Le manoir de Preyssac.
    • Le château de Mesplier.
      Le château de Mesplier.
    • La maison noble de Vessat.
      La maison noble de Vessat.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint Julien.
      L'église Saint Julien.
    • Vitraux du chœur de l'église Saint Julien.
      Vitraux du chœur
      de l'église Saint Julien.
    • Puits à côté de l'église.
      Puits à côté de l'église.

    Patrimoine naturel

    Partagée avec les communes de Chancelade et La Chapelle-Gonaguet, la forêt de chênes de Feytaud, occupe environ 350 hectares dans le sud-ouest du territoire communal. Elle est protégée en tant que zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II[86] - [87].

    Elle héberge deux espèces de rapaces protégées sur le territoire national[88] : la Buse variable (Buteo buteo) et la Bondrée apivore (Pernis apivorus).

    En ce qui concerne sa flore, deux espèces de plantes y sont considérées comme déterminantes : l'Aubépine à deux styles (Crataegus laevigata), et le Groseillier à grappes (Ribes rubrum).

    Sur sept hectares de part et d'autre de la route départementale 939, à un kilomètre et demi au sud du bourg, le site « Rivière nord » est inscrit depuis 1977, pour l'intérêt pittoresque de sa longue allée de tilleuls[80].

    Personnalités liées à la commune

    Statue de Saint-Vincent-de-Paul sur la façade du couvent de Château-l'Évêque.

    Héraldique

    Blason de Château-l'Évêque Blason
    De sinople au château d'argent, maçonné et ajouré de sable, flanqué d'une tour carrée à senestre et d’une autre plus petite à dextre ; au chef de pourpre chargé d'une mitre d'or et d'une crosse du même[89].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13] - [14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Démissionnaire.
    11. Élu maire en mai 1912 après refus du mandat par un autre conseiller municipal, Jean-Baptiste Passerieux.
    12. Élu maire en décembre 1944 après trois refus successifs du mandat par un autre conseiller municipal, Léon Valégeas.
    13. Décédé en fonctions.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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