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Bidarray

Bidarray (prononcĂ© [bidaʁaj][2]; en basque: Bidarrai) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Bidarray
Bidarray
Vue générale du village de Bidarray depuis l'ouest.
Blason de Bidarray
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Jean-Michel Anchordoquy
2020-2026
Code postal 64780
Code commune 64124
DĂ©mographie
Gentilé Bidarraitar[1]
Population
municipale
662 hab. (2020 en diminution de 4,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 17 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 16â€Č 03″ nord, 1° 20â€Č 38″ ouest
Altitude Min. 61 m
Max. 935 m
Superficie 38,20 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montagne Basque
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Bidarray
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Bidarray
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Bidarray

    Le gentilé est Bidarraitar[3] - [4] - [1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Bidarray se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontaliÚre avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[5].

    Elle se situe Ă  130 km par la route[Note 1] de Pau[6], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  35 km de Bayonne[7], sous-prĂ©fecture, et Ă  57 km de MaulĂ©on-Licharre[8], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[5]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cambo-les-Bains[5].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[9] : Saint-Martin-d'Arrossa (4,1 km), Louhossoa (5,5 km), OssĂšs (5,6 km), Macaye (7,8 km), Itxassou (8,5 km), Mendionde (9,0 km), Irissarry (9,1 km), HĂ©lette (9,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Bidarray fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [10]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[11]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[12] - [13]. La commune est dans le pays de Baïgorry-OssÚs (Baigorri-Ortzaize), au sud-ouest de ce territoire.

    Hydrographie

    La commune est drainĂ©e par la Nive, le Bastan, Arantko erreka, azketako erreka, Errariko ErrĂ©ka, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 46 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naĂźt au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delĂ  de la frontiĂšre espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Bayonne, aprĂšs avoir traversĂ© 20 communes[17].

    Le Bastan, d'une longueur totale de 12,9 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive sur le territoire communal[18].

    • Le pont Noblia sur la Nive.
      Le pont Noblia sur la Nive.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Bidarray

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[20].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 12,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 756 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[22] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[23] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'IroulĂ©guy, mise en service en 1963[24] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[25] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 398,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[26]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  28 km[27], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[28], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[29], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[30].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Quatre sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[32] - [Carte 2] :

    • le « massif du Mondarrain et de l'Artzamendi », d'une superficie de 5 792 ha, prĂ©sentant une densitĂ© de milieux Ă  caractĂšre tourbeux et la prĂ©sence d’espĂšces spĂ©cifiques au territoire, liĂ©es aux conditions de confinement et d’humiditĂ© importants des vallons du massif[33] ;
    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants Ă  accueillir l'ensemble des espĂšces de poissons migrateurs du territoire français, exceptĂ© l'Esturgeon europĂ©en[34] ;
    • les « montagnes des Aldudes », d'une superficie de 18 474 ha, ayant une vocation essentiellement pastorale, et dans une moindre mesure forestiĂšre, ce qui a engendrĂ© une mosaĂŻque complexe de milieux, qui accueillent une grande diversitĂ© d’espĂšces de flore et de faune[35] ;
    • le « massif du Baygoura », d'une superficie de 3 297 ha, un massif montagneux Ă  landes et pelouses exploitĂ© par le pastoralisme[36] et une au titre de la « directive Oiseaux »[32] - [Carte 3] :
    • la « vallĂ©e de la Nive des Aldudes, Col de Lindux », d'une superficie de 14 767 ha, un massif montagneux schisteux Ă  nombreux faciĂšs rupestres, et pelouses montagnardes[37].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensĂ©es sur la commune[38] - [Carte 4] : la « CrĂȘte d'Iparla et Artzamendi » (2 125,65 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[39] et les « mont Baigura et crĂȘte d'Haltzamendi » (616,19 ha), couvrant 6 communes du dĂ©partement[40] et trois ZNIEFF de type 2[Note 9] - [38] - [Carte 5] :

    • le « massif du Baigura » (4 200,57 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[41] ;
    • les « montagnes et vallĂ©es des Aldudes, massifs du Mondarrain et de l'Artzamendi » (23 074,84 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[42] ;
    • le « rĂ©seau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du dĂ©partement[43].

    EspĂšces

    La commune de Bidarray possÚde un patrimoine remarquable d'espÚces animales et végétales. Sur les contreforts de l'Artzamendi, au massif de Zerkambide, on trouve des habitats protégés comme des landes humides à bruyÚre à quatre angles Erica tetralix et bruyÚre ciliée Erica ciliaris ainsi que de vastes étendues de bruyÚre Saint Daboec Daboecia cantabrica.

    Urbanisme

    Typologie

    Bidarray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [44] - [45] - [46].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[47] - [48].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (82,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (84,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (50,9 %), forĂȘts (29,3 %), prairies (12,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (2,4 %)[49].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    Route

    Bidarray est desservie par la route D 918.

    Fer

    La gare de Pont-Noblia-Bidarray se situe du cÎté est de la Nive, face au centre, sur la ligne Bayonne - Saint-Jean-Pied-de-Port.

    Randonnées

    Le mont BaĂŻgura est accessible Ă  partir de Bidarray. À l’est du territoire de la commune, le Laina culmine Ă  869 mĂštres[14].
    L’Esteinumendi s’élĂšve Ă  346 mĂštres[14].

    Le GR 10 au petit matin
    Cairn sur le GR 10
    L'Artzamendi (926 m) vu des crĂȘtes d'Iparla

    Bidarray est le point de dĂ©part d'un tronçon du GR 10 qui rejoint Saint-Étienne-de-BaĂŻgorry en passant par les crĂȘtes d'Iparla, aux quatre sommets principaux : l'Aintziaga (905 m), l'Astate (1 022 m), le Buztanzelai (1 029 m) et l'Iparla (1 044 m).
    Ce trajet chevauche la frontiÚre franco-espagnole (borne frontiÚre n° 90). Il est emprunté par des troupeaux de brebis, de chÚvres et de pottoks, à demi sauvages, et est fréquenté par l'une des plus importantes colonies de vautours fauves d'Europe qui nichent en grand nombre sur une ceinture de falaises. De mars à novembre, on peut également y observer quelques vautours percnoptÚres.
    Il offre Ă©galement un beau point de vue sur l'Artzamendi (montagne des ours en basque) qui domine Itxassou, Espelette, SouraĂŻde et Louhossoa du haut de ses 926 mĂštres (plus haut sommet du Labourd, et qui abrite une nĂ©cropole protohistorique de l'Ăąge de fer, constituĂ©e d'un ensemble de cromlechs, notamment au col de Meatxe.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bidarray est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[56]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[57].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment la Nive et le Bastan. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2013, 2014 et 2021[58] - [56].

    Bidarray est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[59]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[60] - [61].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[62]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[63].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bidarray.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[64]. 3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 12] - [65].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2014[56].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bidarray est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[66].

    Toponymie

    Attestations anciennes[67]

    Le toponyme Bidarray apparaĂźt sous les formes hespital de Bidarray (1268[68] et 1292[69]), Remonet de Vidarray (1413[67]), La encomienda de Vidarray (1621[53], Martin Biscay[70]).

    Étymologie

    Pour Jean-Baptiste Orpustan[69], le toponyme serait formĂ© du basque bide (« chemin ») et de arrhan (« prunellier, Ă©pineux ») pour donner « chemin(s) (d’)Ă©pineux ».

    Autres toponymes

    Adarré désigne un mont entre Macaye et Bidarray (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[53]).

    Ibarla est une ferme que la réformation d'OssÚs[71] orthographie Ibarola en 1675[53].

    Le Legarré, noté Légarre en 1863[53], est un hydronyme désignant un ruisseau, tributaire du Bastan.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Bidarrai[3].

    Histoire

    Paul Raymond[53] note qu'au XVIIe siĂšcle, la commanderie de Bidarray appartenait Ă  l'Ă©vĂȘque de Bayonne.
    Bidarray devint une paroisse indépendante en 1723 et fut érigée en commune en 1790[68].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules Ă  la crosse croisĂ©e de Roncevaux d'or accostĂ©e de deux coquilles du mĂȘme[72].

    Politique et administration[73]

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 Domingo Larralde
    1800 1805 Jean Borda
    1805 1809 Martin Lambert
    1810 1816 Jean Duhalde
    1816 1817 Raymond Orthategaray
    1817 1835 Raymond Heguy
    1835 1848 Jean Ibar
    1848 1855 Jean Anchordoquy
    1855 1855 Jean Camino
    1855 1858 Jean Cedarry
    1858 1860 Martin Anchordoquy
    1860 1870 Dominique Saint Jean
    1870 1886 Martin Cedarry
    1886 1904 Jean Anchordoquy
    1904 1912 Jean Cedarry
    1912 1919 Dominique Etcheverry
    1919 1942 Jean Cedarry
    1942 1959 Pierre Ithurbide
    1959 1965 Guy Seychal
    1965 1977 Jean Cabillon
    1977 2004 Jean Lambert
    2004 2014 Jean-Bernard Berhouet DVD[74]
    1995 2001 Jean Lambert
    2014 En cours Jean-Michel Anchordoquy EHBAI[75]

    Intercommunalité

    La commune de Bidarray participe Ă  cinq structures intercommunales :

    • la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays Basque ;
    • le SIVU pour la mise en Ɠuvre du programme Natura 2000 sur le site du massif Mondarrain et de l’Artzamendi ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour l'amĂ©nagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[76]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[77].

    En 2020, la commune comptait 662 habitants[Note 13], en diminution de 4,89 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    8271 2031 2291 4171 3021 3481 3211 2551 241
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1651 1421 0001 0261 0561 1211 0361 1751 127
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 019962879894859828810751745
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    714673631585645637633685667
    2020 - - - - - - - -
    662--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[78] puis Insee Ă  partir de 2006[79].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école primaire publique[80]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[81].

    Économie

    La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy. L'activité est principalement agricole. Bidarray fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    La pureté des eaux de la Nive a permis l'établissement d'une activité de pisciculture. La riviÚre permet de plus la pratique de sports d'eau vive comme le kayak ou le raft. Une base est implantée dans la commune depuis 1991. La navigation est de difficulté moyenne (classe II passage 3), car l'essentiel de son parcours est une successions de rapides et de planiols.

    Pratique du sport d'eau vive Ă  Bidarray.

    Culture locale et patrimoine

    Langues

    D'aprÚs la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Bidarray est le bas-navarrais occidental.

    Patrimoine civil

    La commune présente un ensemble[82] de maisons et de fermes dont la construction des plus anciennes remonte au XVIIe siÚcle. La ferme Gastetto[51], date de la fin du XVIIe siÚcle ou du début du siÚcle suivant. La ferme Antxordokia[52], du lieu-dit Hanchordokia, date du XVIIIe siÚcle, tout comme les fermes Garbelania[50], Topene Zaharra[55] et Marmaroa[54].
    Le pont Noblia[83], sur la Nive, fut construit au XIVe siĂšcle. Il fait l'objet d'une inscription par les monuments historiques.

    Patrimoine religieux

    L'église de l'Assomption[84] - [85], d'origine médiévale (XIIe siÚcle) a été reconstruite en 1625. C'est une église à campenard.
    La grotte de Zelharburu et sa stalagmite donnait lieu à un pÚlerinage dédié à Harpeko Saindua.

    Équipements

    Enseignement

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire.

    Personnalités liées à la commune

    Jean-Baptiste Oxalde, né à Bidarray au XIXe siÚcle, est une poÚte basque qui se distingua dans les jeux floraux ; il y gagna de nombreux prix de poésie. Son poÚme dédié à l'impératrice Eugénie, Enperatrizari, remporta le concours de Sare en 1868.

    Jules Moulier, appelĂ© Ă©galement Oxobi, nĂ© en 1888 Ă  Bidarray et mort en 1958 Ă  Bayonne, est un prĂȘtre, bertsolari, poĂšte, Ă©crivain et acadĂ©micien basque français de langue basque.

    Bidarray par Pierre-Albert BĂ©gaud

    Pierre-Albert BĂ©gaud, peintre portraitiste et paysagiste, nĂ© Ă  Bordeaux le 19 septembre 1901 et mort Ă  Bordeaux le 22 juin 1956, a dĂ©couvert durant l’étĂ© 1930 le Pays Basque grĂące Ă  son ami Robert Cami ; il tombe amoureux du village de Bidarray et il rĂ©sidera dorĂ©navant plusieurs mois par an Ă  la pension Barberaenea tenue par la famille Çuburu[86]. Il y noue de fortes amitiĂ©s, s’initie Ă  la langue basque, aux chants et aux danses et, surtout, rĂ©alisera plus d’une centaine de paysages du village et de ses environs, des natures mortes ainsi que de nombreux portraits de ses habitants[87]. Plus tard, en 1948, il s’installera avec sa seconde Ă©pouse, Françoise, dans une maison isolĂ©e du village dans la vallĂ©e du Baztan, Ilara Bizkaria, reprĂ©sentĂ©e (en intĂ©rieur et extĂ©rieur) sur nombre de ses tableaux. Des artistes lui rendent visite ou choisissent Ă©galement Bidarray comme villĂ©giature (Claude Ferret, Camille de Buzon, Robert Cami). Ces sĂ©jours et ces expositions basques lui permettent d’échanger, Ă  Bidarray ou Bayonne, avec plusieurs artistes locaux dont Ramiro Arrue.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[21].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[31].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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