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Pierre-Albert Bégaud

Pierre-Albert BĂ©gaud est un peintre portraitiste et paysagiste français nĂ© Ă  Bordeaux le 19 septembre 1901 et mort Ă  Bordeaux le 22 juin 1956 (54 ans). Avec Jean Dupas, François-Maurice Roganeau, AndrĂ© Caverne, RenĂ© Buthaud, Robert Cami et Camille de Buzon, il est l’un des reprĂ©sentants marquants de « l’école de Bordeaux » de l’entre-deux-guerres. Il fut professeur de dessin (1931-1956) Ă  l’Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux et professeur d’antique Ă  l’Ecole RĂ©gionale d’Architecture de Bordeaux (mĂȘmes dates). Son Ɠuvre, importante (plusieurs centaines de rĂ©fĂ©rences au catalogue), se partage entre le portrait (populaire, familial ou mondain), les paysages (essentiellement du Pays Basque) et de grands Ă©lĂ©ments dĂ©coratifs (panneaux et fresques). Il signa Ă©galement de nombreux nus, des affiches ainsi que des dĂ©cors de théùtre.

Pierre-Albert Bégaud
Pierre-Albert Bégaud peignant la fresque murale de la bourse du travail à Bordeaux (1937)
Naissance

Bordeaux
DécÚs
(Ă  54 ans)
Bordeaux
Sépulture
Bordeaux, cimetiÚre de la Chartreuse (allée de la lyre brisée)
Nationalité
Française
Activité
Artiste peintre
MaĂźtre
Jean Artus, Paul Quinsac et Fernand Cormon
Lieu de travail
Paris (1923-1931), Bordeaux (1931-1956)
PĂšre
Jean-Georges Bégaud
MĂšre
Jeanne-Marguerite Marchand
Enfant

Anne-Marie Orssaud (née le 12 mars 1935)

Bernard Bégaud (né le 24 août 1949)
signature de Pierre-Albert Bégaud
Signature
Les toits de Paris par Pierre-Albert Bégaud (1922)


Biographie

Pierre-Albert BĂ©gaud nait le 19 septembre 1901 Ă  Bordeaux, au 64 rue Pomme-d’Or dans le quartier des Chartrons, de Jean-Georges BĂ©gaud, artisan horloger et de Jeanne-Marguerite Marchand professeure de piano qui initia tĂŽt ses quatre fils aux arts et Ă  la musique. La famille dĂ©mĂ©nagera ensuite au numĂ©ro 3 de la place Puy Paulin oĂč Jean, le quatriĂšme fils, naitra. L’ainĂ©, GĂ©rard, devint professeur au Conservatoire et premier violon de l’Orchestre Philharmonique de Bordeaux[1] - [2] - [3] ; AndrĂ© (le troisiĂšme des quatre frĂšres) fit (sous le pseudonyme de Jean DrĂ©na) une carriĂšre internationale de prĂ©sentateur de revues (Moulin-Rouge, Bal Tabarin, Folies BergĂšre, cirque MĂ©drano), mais Ă©galement de chanteur et de clown (duos avec Achille Zavatta)[4]. Pierre-Albert (le second de la fratrie) manifesta prĂ©cocement des dons pour le dessin et la peinture. En 1915, Ă  quinze ans, il entre Ă  l’école municipale des Beaux-Arts de Bordeaux ; il y est l’élĂšve de Jean Artus (qui le fera travailler, sous sa direction, Ă  la dĂ©coration de l’hĂŽtel FrugĂšs) puis de Paul Quinsac (1858-1929)[1] - [2] - [3] - [5] qui, convaincu de son potentiel, intervient pour qu’il parte Ă©tudier auprĂšs de Fernand Cormon (1845-1924)[1] - [3], alors ĂągĂ© de 75 ans, dont l‘Atelier parisien avait vu passer des Ă©lĂšves comme Vincent van Gogh et Henri de Toulouse-Lautrec. BĂ©gaud quitte Bordeaux en 1920 avec un beau palmarĂšs : premier prix de peinture dĂ©corative (1918), premier prix en petite figure et en esquisse (1919), hors-concours en modĂšle vivant (1919)[3].  

Pierre-Albert BĂ©gaud s’installe dans le quartier Montmartre, oĂč il partage au dĂ©but un logement et une vie de bohĂšme avec Robert Cami (1900-1975), Ă©galement Ă©lĂšve de Paul Quinsac et titulaire d’une bourse de la municipalitĂ© de Bordeaux pour se spĂ©cialiser en gravure Ă  l’Ecole des Beaux-Arts de Paris[2]. Il y retrouve son frĂšre AndrĂ© (Jean DrĂ©na), montĂ© Ă  Paris Ă  16 ans, qui dĂ©bute sa carriĂšre comme amuseur et chanteur dans diffĂ©rents cabarets montmartrois. Pendant ses Ă©tudes, BĂ©gaud exerce diffĂ©rentes activitĂ©s : copies et restauration de tableaux pour des marchands, affiches de cinĂ©mas. Il ouvre plus tard un atelier de batik (alors trĂšs en vogue) au 9 citĂ© Voltaire dans le 11Ăšme arrondissement[2] - [3], amĂ©nage au 7 rue BĂ©loni (devenue rue d’Arsonval en 1946, 15Ăšme arrondissement) puis, en 1926, au 4 rue VercingĂ©torix (14Ăšme)[6].

Bidarray par Pierre-Albert Bégaud

Pierre-Albert Bégaud parvient assez rapidement à se faire un nom à Paris ; il peint et vend nombre de toiles et de dessins représentant la ville (ex : Les toits de Paris), ses quais et ses jardins mais aussi des portraits et des natures mortes. En 1923, il expose Etude au Salon des Artistes Français (Paris)[2] - [3]. Le 10 septembre 1927, il épouse Renée de Paris, niÚce du peintre Georges Scott, mais le couple se séparera un an plus tard.

En 1931, l’école des Beaux-Arts de Bordeaux, lui propose le poste de professeur de dessin des cours Ă©lĂ©mentaires[1] - [2]. AprĂšs onze annĂ©es passĂ©es Ă  Paris et un temps d’hĂ©sitation, BĂ©gaud revient Ă  Bordeaux et s’installe, avec sa compagne Germaine Lachausse, dans un appartement au 42 quai Richelieu. Leur fille, Anne Marie, « Nanette », y naitra en mars 1935[7]. ParallĂšlement, il enseigne la perspective et l’antique Ă  l’école rĂ©gionale d’architecture de Bordeaux [1] - [3] - [8], c’est lĂ  qu’il rencontrera Claude Ferret[9], son futur directeur (1942) qui deviendra son ami intime. BĂ©gaud, qui donne Ă©galement des cours particuliers, devient rapidement un peintre et un dĂ©corateur trĂšs sollicitĂ©, notamment pour des portraits mondains[10].

Durant l’étĂ© 1930, son ami Robert Cami lui fait dĂ©couvrir le Pays Basque; il tombe amoureux du village de Bidarray et il rĂ©sidera dorĂ©navant plusieurs mois par an Ă  la pension Barberaenea tenue par la famille Çuburu[11]. Il y noue de fortes amitiĂ©s, s’initie Ă  la langue basque, aux chants et aux danses et, surtout, rĂ©alisera plus d’une centaine de paysages du village et de ses environs, des natures mortes ainsi que de nombreux portraits de ses habitants[12]. Plus tard, en 1948, il s’installera avec sa seconde Ă©pouse, Françoise, dans une maison isolĂ©e du village dans la vallĂ©e du Baztan, Ilara Bizkaria, reprĂ©sentĂ©e (en intĂ©rieur et extĂ©rieur) sur nombre de ses tableaux[11]. Des artistes lui rendent visite ou choisissent Ă©galement Bidarray comme villĂ©giature (Claude Ferret[9], Camille de Buzon, Robert Cami[2]). Ces sĂ©jours et ces expositions basques lui permettent d’échanger, Ă  Bidarray ou Bayonne, avec plusieurs artistes locaux dont Ramiro Arrue. Contrairement Ă  beaucoup de « paysagistes » de l’époque, BĂ©gaud ne peignait pas Ă  partir de photographies, ni de croquis mais toujours in situ ; il utilisait un chevalet et une boite de peinture dĂ©diĂ©s qu’il pouvait transporter lors de ses randonnĂ©es.

Portrait de ma fille par Pierre-Albert Bégaud (1948)

En 1934, il fonde avec RenĂ© Buthaud, Robert Cami et Camille de Buzon la SociĂ©tĂ© des Artistes de Guyenne et son salon d’exposition, l’Oeuvre, en dissidence avec le salon officiel qu’était l’Atelier[3]. La premiĂšre exposition ouvre le 16 mars 1935 Ă  l’orangerie du Jardin Public de Bordeaux. BĂ©gaud, trĂšs attachĂ© Ă  la composition et Ă  un dessin rigoureux, se voulait le reprĂ©sentant du « juste milieu » entre le classicisme et l’école dite moderne[13] - [14]. En dehors de son atelier, ouvert aux acheteurs, il exposera ses Ɠuvres Ă  de nombreuses reprises tant Ă  Bordeaux qu’à Paris[3] - [8](Galerie Barreiro, rue de Seine en 1936 ; Salon des Artistes Français en 1944, 1949, 1950, mĂ©daillĂ© d’or pour Portrait de ma fille, et 1952) ; Ă  Bayonne (Galerie Page).

C’est en aoĂ»t 1936 que la municipalitĂ© socialiste de Bordeaux lui confie, avec quatre autres artistes bordelais (Jean Dupas, François-Maurice Roganeau, AndrĂ© Caverne et Camille de Buzon), la dĂ©coration des foyers de la Bourse du Travail[1] - [2] - [3] - [8] - [15] - [16] - [17]; BĂ©gaud y rĂ©alise en 1937 l’une de ses Ɠuvres majeures : la grande fresque de 22 mĂštres carrĂ©s sur le pin des Landes, achevĂ©e un an plus tard, qui cĂ©lĂšbre la nature, la fĂ©conditĂ© et le travail des rĂ©siniers et des bucherons. Ses talents de fresquiste ont Ă©tĂ© Ă  maintes reprises sollicitĂ©s pour la dĂ©coration de grandes maisons bourgeoises de Bordeaux et, auparavant, en 1926, par la FĂ©dĂ©ration Maritime pour retracer, avec Pierre-Louis Cazaubon (1873-1950), l’histoire du port de Bordeaux (il peint cinq des douze panneaux)[18] et par le dĂ©putĂ©-maire d’Orthez Georges Moutet pour dĂ©corer la salle du conseil municipal (dĂ©cor sur toile marouflĂ©e)[15]. En 1951, il restaurera les peintures de Pierre Lacour dans la salle Ă  manger de l’hĂŽtel de ville de Bordeaux[3] et avait, auparavant, rĂ©novĂ© les dĂ©cors des salons.

Le pin des Landes. Fresque murale à la Bourse du Travail de Bordeaux peinte par Pierre-Albert Bégaud (1937)

En 1938, BĂ©gaud quitte l’appartement du quai Richelieu pour amĂ©nager au quatriĂšme Ă©tage du 38 cours de l’Intendance qui offre un grand atelier de peintre situĂ© sous les toits. Jean Dupas, dont la carriĂšre se poursuit dorĂ©navant Ă  Paris, y est hĂ©bergĂ© durant le sĂ©jour qu’il effectue Ă  Bordeaux pour rĂ©aliser la fresque monumentale de la Bourse du Travail qu’il n’achĂšvera qu’en 1942, aprĂšs l’inauguration du bĂątiment[7].

En 1948, Pierre-Albert BĂ©gaud Ă©pouse Françoise Lasserre une Ă©lĂšve de l’école des Beaux-Arts ; en 1951, elle est le modĂšle de La femme Ă  l’opale, l’une des ses Ɠuvres les plus cĂ©lĂšbres qui fera, en 1953, la couverture du magazine danois Tidens Kvinder[8]. Des portraits peints par Pierre-Albert BĂ©gaud illustreront les couvertures de plusieurs livres [19] - [20]. Leur fils Bernard BĂ©gaud naitra en aoĂ»t 1949 Ă  Bayonne.

Professeur ayant profondĂ©ment marquĂ© nombre de ses Ă©lĂšves mais aussi pĂ©dagogue novateur, il ouvre, en 1939, dans les locaux de l’école des Beaux-Arts de Bordeaux, un cours de dessin gratuit et mixte ouvert, tous les samedis aprĂšs-midi, tant aux non-diplĂŽmĂ©s qu’à d’anciens Ă©lĂšves ; il l’animera jusqu’à la fin de sa vie[3]. Il organise Ă©galement, notamment Ă  Bidarray et dans ses environs, des sĂ©jours pour les Ă©lĂšves et artistes souhaitant se perfectionner en paysage.

A partir de 1955, une grave maladie vasculaire limite de plus en plus son activité. Il décÚde à Bordeaux le 22 juin 1956. Il est inhumé à Bordeaux, cimetiÚre de la Chartreuse (allée de la lyre brisée).

En 1957, une exposition rĂ©trospective de son Ɠuvre est organisĂ©e par Jean Dupas et Robert Cami, au Salon des Artistes Français au Grand Palais Ă  Paris[8].

Trois autres expositions lui rendront hommage : en 1986 (Pierre-Albert BĂ©gaud et ses amis. Ville de MĂ©rignac) et 2006 : Pierre-Albert BĂ©gaud. Le cƓur et la raison ; MusĂ©e des Beaux-Arts de Bordeaux et Pierre-Albert BĂ©gaud et le Pays Basque ; MusĂ©e Basque et de l’histoire de Bayonne[8].

En 2006, la famille lÚgue 173 dessins au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux[21] - [22]

ƒuvres et expositions

  • Peintures de Pierre-Albert BĂ©gaud
  • La femme Ă  l'opale (1951)
    La femme Ă  l'opale (1951)
  • Portrait de Jean Argain, pelotari (1942)
    Portrait de Jean Argain, pelotari (1942)
  • FenĂȘtre sur le port de Saint SĂ©bastien (MusĂ©e des Beaux Arts de Pau)
    FenĂȘtre sur le port de Saint SĂ©bastien (MusĂ©e des Beaux Arts de Pau)
  • Mutriku, village du Pays Basque
    Mutriku, village du Pays Basque

ƒuvres dans les collections publiques

  • MusĂ©e des Beaux-Arts de Bordeaux
    • Saintes femmes au tombeau
    • Donation de la famille en 2006 (liste non exhaustive):
      • L'EnlĂšvement d'Europe (sans date), Crayon, encre de Chine, aquarelle et gouache sur carton
      • Les HespĂ©rides (sans date), crayon, encre de Chine, aquarelle et gouache sur carton
      • Le rĂȘve passe (sans date), photogravure sur papier
      • Couverture d'un journal danois avec le portrait de Françoise BĂ©gaud (sans date), photographie imprimĂ©e sur papier
      • Françoise cousant devant la fenĂȘtre (sans date), crayon feutre sur papier
      • Projet de blason pour la Ville de Bordeaux (sans date), crayon sur papier calque
  • MusĂ©e Basque et de l’histoire de Bayonne : Bidarray (1924)
  • MusĂ©e des Beaux-Arts de Pau : FenĂȘtre ouverte sur le port de Saint-SĂ©bastien

Salons

  • SociĂ©tĂ© des Amis des Arts : 1934, 1935, 1937
  • Les Artistes Français : 1923, 1944, 1949, 1950, 1952, 1957
  • L'Atelier : 1933
  • L'ƒuvre : 1935, 1936, 1937, 1941, 1943, 1944

Expositions

  • Peintres de l’école bordelaise. Galerie Barreiro, Paris : 1936
  • RĂ©trospective Pierre-Albert BĂ©gaud. Salon des Artistes Français (Grand Palais, Paris) : 1957
  • Pierre-Albert BĂ©gaud et ses amis. Ville de MĂ©rignac (Gironde) : 1986
  • Pierre-Albert BĂ©gaud : le cƓur et la raison, MusĂ©e des Beaux-Arts de Bordeaux, du 23 juin au 1er octobre 2006
  • Pierre-Albert BĂ©gaud et le Pays Basque, MusĂ©e Basque et de l'histoire de Bayonne du 6 octobre au 31 dĂ©cembre 2006

Références

  1. Dominique Dussol, EnquĂȘte sur un peintre au dessus de tout soupçon. In : Pierre-Albert BĂ©gaud. Le CƓur et la raison, Bordeaux, Le Festin, , p. 25-39
  2. CĂ©cile Cazeaux-diCĂ©lis, Pierre Albert BĂ©gaud peintre et dĂ©corateur. Catalogue de l’Ɠuvre peinte & Ă©tude raisonnĂ©e de la peinture murale. MĂ©moire de maitrise d’histoire de l’art contemporain sous la direction du Professeur Marc Saboya (3 volumes), Bordeaux : UniversitĂ© Michel de Montaigne,
  3. Jean et Bernard GuĂ©rin, Des hommes et des activitĂ©s. Autour d’un demi-siĂšcle, Bordeaux, Editions B.E.B, , p. 58-59
  4. « André-Jean Bégaud dit, Jean Drena (1904-1984) »
  5. Ouvrage Collectif, Au delĂ  de la RĂ©volution, deux siĂšcles d’arts Ă  Bordeaux, Bordeaux, Nouvelles Editions Corail, , p. 261
  6. Adresses retrouvées sur des courriers conservés par la famille
  7. Témoignage (avril 2023) de la fille de Pierre-Albert Bégaud : Anne-Marie Orssaud
  8. CĂ©cile Cazeaux, « Parcours chronologique. In : Pierre-Albert BĂ©gaud. Le CƓur et la raison », Le Festin,‎ , p. 115-119
  9. Philippe Caumes, Natalia Miteneva et Christian Sallenave, Les Ferret. Un siùcle d’architectures. Question d’arts de vivre et d’habiter, Bordeaux, Bastingage, , p. 61-71
  10. Dominique Dussol (2006). Les portraits. In : Pierre-Albert BĂ©gaud. Le CƓur et la raison. Bordeaux : Le Festin. pp 68-95.
  11. Olivier Ribeton (2006). Le Pays Basque de Pierre-Albert BĂ©gaud. In : Pierre-Albert BĂ©gaud. Le CƓur et la raison. Bordeaux : Le Festin. pp 96-113.
  12. Michel de Jaureguiberry (2009). La peinture basque. Urrugne : Pimientos. pp 110-113.
  13. Dominique Dussol (2000). Art et bourgeoisie. La Société des Amis des Arts (1851-1939). Bordeaux : Le Festin. p 236.
  14. Dominique Dussol (1998). Mérignac la collection. Bordeaux : Le Festin. pp 22-23.
  15. Dominique Dussol (2006). La peinture dĂ©corative. In : Pierre-Albert BĂ©gaud. Le CƓur et la raison. Bordeaux : Le Festin. p 41-67
  16. Jacques Sargos (2006). Bordeaux vu par les peintres. Bordeaux : L’Horizon ChimĂ©rique. p 354.
  17. Jacques Sargos (2014). Bordeaux, art et civilisation. Bordeaux : L’Horizon ChimĂ©rique. pp 369-373.
  18. Albert RÚche et Francis Ribemont (1994). Le port de Bordeaux vu par les peintres. Bordeaux : Horizon Chimérique. p18.
  19. Guy d’Arcangues (2006). Les tambours de septembre. Bordeaux : Le Festin
  20. Gabriele d’Annunzio (2013). La LĂ©da sans le cygne. Bordeaux : Le Festin.
  21. Musée des Beaux-Arts de Bordeaux. Collections en ligne. https://musba-bordeaux.
  22. Olivier le Bihan (2006). La donation BĂ©gaud. In : Pierre-Albert BĂ©gaud. Le CƓur et la raison. Bordeaux : Le Festin. pp 9-23.

Liens externes

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